RISITAS: Ma vie, les femmes et moi !
SuppriméEt voila, j'accepte donc ce petite verre en terrasse avec la jolie Irina, 20 ans, fille d'un des big boss de mon taff.
Je sors du travail, je prends le fameux RER A de tout bon esclave qui paye le RSA des kheys et j'arrive près de chez moi car oui Irina habitait, enfin habite toujours à approximativement 1km de chez moi, soit quelques rues. On a alors décidé de se fixer dans un bar à 500mètres de chez nous respectivement.
J'arrive, elle n'est pas encore là. Je m'installe, je l'attends clope au bec, à cette période j'étais vraiment au sommet de ma confiance physiquement. Je m'étonnais de jour en jour, de pouvoir plaire à des canons comme Irina. Typiquement la fille qui m'aurait ignoré au collège, voire même au lycée et voila maintenant qu'une déesse comme elle s'intéressait à moi.
Elle arrive, elle s'approche, grande fine, elle mesurait 1m72, j'en mesure 1m78. Blonde, les cheveux qui tombent au niveau des hanches. Rouge à lèvre, style hipster. Sans déconner, elle ressemblait tellement à Falbala.
On commence à picoler tous les deux. On se marre, en fait on accrochait impeccable. Je sentais son regard transperçant sur moi, ses yeux bleus, d'un bleu azur. Elle avait aussi un nez, particulier. Une bosse dessus, en fait son nez n'était pas très beau, elle le disait elle-même. Mais je trouvais que ça lui rajouter un certain charme. Quoi qu'il en soit, c'était l'été, ça grouillait autour, les gens rigolent, tout le monde est habillé léger, le jour est encore présent jusqu'à 21h30.
On boit, on boit, on se taquine, on filtre. Elle rigole de mon âge, je rigole tu sais. Je commence un peu à lâcher que je l'avais repérée l'année dernière. Elle me dit que c'est pareil pour elle, puis elle lance une nouvelle offensive " Mais tu sais, tu le sais bien quand même que tu me plais. Quand je t'ai vu, je suis venu avec le pire prétexte, je te le dis franchement". Roulette petit pont la meuf.
Je bafouille un peu, étant toujours mal à l'aise quand on me complimente comme ça. J'ai beau savoir que je plais, j'ai ce côté discret, je n'aime pas être au centre de l'attention et j'ai toujours ce sentiment d'être handicapé avec l'affection des autres.
J'en rigole, puis je décide d'être franc, non sans lui expliquer qu'elle me plait. Je décide alors de lui raconter une partie de mon histoire, mon ex du travail Marlène. Je lui explique en partie, et qu'elle sort désormais avec un de ses boss. Et puis je lui dis qu'en ce moment je voyais une meuf en mode plan cul. Voila j'avais abattu mes cartes.
Et en plus je ne sais pas pourquoi mais malgré son âge, je la sentais mature et je me sentais en confiance avec elle. Je sentais que je pouvais lui parler de ça. Et sa réaction fut assez surprenante " Mais tu sais, bon je t'avoue que moi je ne cherche pas forcément un plan cul, mais pour le moment tu ne me dois rien. Rien n'a commencé et c'est cool que tu me parles, j'espère juste que tu n'as pas de copine pour le moment car je déteste l'infidélité".
Sa réponse me satisfaisait. Et puis bon pour le moment, je suis lié avec personne, tant pis je m'occuperai du dossier Liliana plus tard. La soirée continue à se dérouler, je regarde ma montre, déja minuit, j'étais supposé rentrer à 23h et on état là depuis 19h. A chaque fois que je tentais de rentrer, elle faisait une petite moue et puis en fait je n'avais pas envie de partir. " Bah alors le vieux on a peur de ne pas assumer demain au travail " ?
Ok alors ma petite, du coup piqué au vif et puis amusé. Je reste, on boit, je sens ses jambes s'approcher parfois des miennes, des regards doux. Puis vient 1h, là je me devais de rentrer. Puis je n'avais pas envie que ça dérape maintenant, pas maintenant, pas toi..
On se lève tous les deux, non sans mal, encore les jambes endolories par des heures assis et puis surtout. Aie la bière et le ricard commençaient à monter. Vient le moment de se dire au revoir, je me revois encore l'air joyeux lui dire " Booooon, on va devoir se séparer pour le moment, mais t'es pas loin non ? "
"Bien entendu que je ne suis pas loin, et puis tu sais tout, et c'est à toi d'agir maintenant ".
"Oui bien sur t'en fais pas pour ça, dans ce cas viens ici".
Et je lui fais la bise, une bise qui veut tout dire, celle qui dure, le contact joues contre joues est durable et doux à la fois. Je passe même mon bras sur son dos "On se voit demain au travail, et on se prendra un autre verre, je t'enverrai un message".
Elle rigole, amusée, je me souviens encore de sa tête et de ses expressions faciales. Je rentre alors vers chez moi, écouteurs dans les oreilles, musique à fond, j'écris à mon cobureau " La fille du boss, c'est presque dans la poche", ce à quoi il me répondra "colle la petite".
Je m'effondre sur mon lit, bien saoul, et je m'endors tendrement tout en pensant à Irina. Et hop le lendemain de retour au travail, les regards se croisent. Je décidé de prendre les devants en proposant un verre deux jours plus tard. Toujours en semaine, parce que je voulais éviter de merder, et le fait d'être en semaine, on ne pouvait pas aller chez moi car je bosse le lendemain.
On se retrouve donc un jeudi soir, on se fixe un nouveau bar dans un quartier proche de chez nous. Le genre de bar bien populaire et hipster avec la bouteille de vin à 14 balles.
La soirée recommence, on se marrait tellement, j'en apprends sur elle. Sur ses origines, moitié grecque et moitié algérienne. On avait donc une origine en commun. Et qu'elle était belle, en plus d'être intelligente et mature. Puis il ne faut pas se mentir, je me sentais valorisé, 6 ans de plus qu'elle. J'étais un roi à ses yeux, je comprenais enfin ce que ressentais les cassos de 20 ans qui venaient choper nos soeurs de 16 ans au lycée.
Et puis malgré le fait que ça soit l'été, il a commencé à faire frais à cause d'un petit vent, elle était en jupe donc ses jambes commençaient à trembler, et puis elle pousse alors ses jambes sur mes genoux et instinctivement je mets à les caresser pour la réchauffer, sans sous-entendu sexuel.
En fait, ça s'est fait naturellement, aucun ne nous deux ne s'est étonnés, on a continué notre conversation comme ça, dans cette position quelque peu étonnante. Et puis à un moment, c'était décidé, on s'est embrassé. Un petit baiser, bref, rapide, et on a repris nos bavardages.
Dans ma tête, ça luttait encore le fait d'être raisonnable, et en même temps contre l'excitation. Et puis en fait j'étais bourré, on était à la deuxième bouteille de vin et on allait finir sur deux verres de ricard.
Puis le bar nous dégage, ils ferment, c'est 2h. On sort, on se prend par les bras, et on s'assoit sur un banc, et là je lui dis " Bon merde, on fait quoi ?" Elle me dit " Mec c'est l'été, pas de pression, on verra ce qu'il se passe".
"Oh et puis merde", on s'embrasse. On se roule de grosses pelles comme deux dépravés souls, dans un Paris estival à 2h de matin avec des mecs chelous qui passaient à côté de nous. Je la prends par la main, on marche vers chez moi. On titube, on se marre, tout roule.
On arrive chez moi, on s'embrasse sauvagement, on s'installe sur le lit. Et là elle me chuchote " tu peux éteindre la lumière et mettre un peu de musique ? Je préfère".
Pas de soucis ma belle, j'envoie mon enceinte, elle met la Femme d'argent de Air. Et je me tourne vers elle et je l'embrasse avec tendresse. Elle m'attire en fait, elle me plait et je trouvais ça tellement excitant. Et puis on couche ensemble, elle et moi. Elle était parfaite, une poitrine modeste mais ferme, un joli fessier bien rebondi.
DRING DRINNNNG. Je me réveille 8h45, la tête dans le cul. Est-ce que j'ai rêvé ? Je me tourne, je vois une jolie blonde toute nue à côté de moi en train de roupiller tranquillement, les fesses à l'air. Je vois par terre, string, soutif, mon jean mes chaussettes. Un vrai foutoir et putain ce mal de crâne.
Je la réveille, je dois foncer au travail, heureusement que je peux arriver jusqu'à 10h. Je lui dis "Tu peux rester ici, dors, claque juste la porte". On s'embrasse, et je me tire en fonçant au travail. J'arrive à mon bureau, la tête à l'envers mais un sentiment de fierté, d'être le meilleur, d'avoir tout niqué ce soir là. Vous savez ce sentiment d'être le roi du monde.
Mais je décide d'être discret, je ne raconte à personne ce qu'il s'est passé. Elle m'a demandé de ne pas en parler par rapport à son père et puis car elle ne veut pas me poser de problèmes. Donc je ferme ma gueule même si l'envie de raconter à mes supers potes du taff me démange, je me dis que c'est mieux ainsi.
La journée passe doucement, et puis mon portable vibre, je pensais que c'était encore Irina on avait échangé quelques textos le matin. Et en fait je vois que ça affiche " Liliana".
J'ouvre le message " Hey ! Tu vas bien ? T'es un peu distant en ce moment, on s'appelle dans l'après-midi ?"
Bordel, mais en fait on a couché ensemble deux fois, et elle se pensait déja en couple avec moi. Putain, putain mais pourquoi tu te fous toujours dans des galères, arrête de coucher avec toutes les meufs que tu kiffes, crétin pensais-je. Bon ben voila, va falloir faire un choix et vite..
Le 09 avril 2020 à 16:57:33 Saiiya29 a écrit :
T'en est ou l'OP ? j'espère que tu vas bien et que tes pas encore tombé dans une déprime (on commence à connaitre le personnage maintenant)T'es un super khey en tout cas ça se ressent dans ce que tu nous raconte, j'espère qu'on aura une suite fructueuse et joyeuse bientôt tu le mérite vraiment
Dans une période spéciale comme tout le monde en cette période de confinement. Mes doutes sont revenus sur plein de chose, vous comprendrez en lisant, car je reprends le Risitas bien décidé à le terminer !
Pour ceux qui veulent reprendre en cours:
Partie I:
https://www.jeuxvideo.com/must29/forums/message/1016436812
Partie II:
https://www.jeuxvideo.com/must29/forums/message/1016438044
Partie III:
https://www.jeuxvideo.com/must29/forums/message/1016439052
Je continue demain
Le 14 avril 2020 à 01:44:43 sarkoski a écrit :
Retour inattendu, mais apprécié
Merci khey, j'espère que la suite vous plaira et que ça ne va pas être trop compliqué pour vous à tout reprendre.
Le 14 avril 2020 à 07:15:07 Okochatte a écrit :
Content de ton retour khey! Je vais m’atteler à lire la sweet.
Merci khey, je vois que t'es un suiveur de longue date.
Nous sommes donc à l'été 2019, en plein mois de juillet, début août 2019. Je sortais donc d'une relation ultra passionnelle avec Marlène, une collègue de travail qui encore aujourd'hui pour moi représentait l'idéal d'une complicité amoureuse.
Elle avait des défauts, elle ne savait pas ce qu'elle voulait. Elle m'avait fortement déçue par ses actions immatures. Je gardais en moi une certaine rancoeur envers elle. Mais j'avais avancé, réinstallé Tinder, et puis j'avais recommencé à fréquenter des meufs, tout d'abord la petite Liliana, avant de tomber sur la déesse Irina.
Problème, problème, la Liliana se voyait déja en couple avec moi apparemment. Tandis qu'Irina était la fille d'un de mes big boss et avait 6 ans de moi que moi. Autre problème, je n'avais clairement pas l'envie de m'impliquer dans une relation plus ou moins sérieuse pour l'heure.
Mais bon, au fond je sentais déja une grande préférence pour Irina, Liliana était cool comme de nombreuses femmes que j'avais rencontrées, mais je ne sentais nullement la flamme, ni l'envie. D'un autre côté je sentais qu'Irina était bien plus dans mon délire, dans ma vision des choses pour l'heure. Il fallait donc que j'agisse. J'ai beau agir comme un con parfois, sans réfléchir, je déteste vraiment du mal à autrui.
Après avoir reçu ce sms de Liliana, je me devais donc de mettre les points sur les I et les barres sur les T. Il fallait lui dire qu'en gros y'aura rien.
Je prends mon courage à deux mains, ce n'est jamais facile de dire à quelqu'un " j'ai pas envie, du moins pas avec toi". Enfin, mon courage c'est un bien grand mot. Puisqu'elle n'était pas sur Paris, je devais lui écrire un message. Je décide alors d'écrire un grand pavé, on pourrait appeler ça de la flûte.
Mais en réalité tout était sincère, je lui écrit, pour vous faire un résumé "Ecoute, je pense qu'il vaut mieux mettre les choses au clair. Je t'apprécie bien, j'ai bien aimé ces moments passés avec toi. Le problème c'est qu'actuellement je n'envisage pas de relations sérieuses. Je me voyais mal te dire ça au moment où on a commencé à se voir je voulais voir comment ça évoluait. On s'est vu deux fois, et je ne veux pas te faire perdre ton temps ni te blesser. A l'heure actuelle, je veux simplement être libre et ne me sentir lié à personne. Je sens que tu cherches plus que ça. D'ailleurs je pense encore à mon ex (ceci était partiellement faux) et cela signifie que je ne suis pas encore guéri d'elle, voila je ne vais pas m'excuser pour ce que je ressens, mais j'espère ne pas t'avoir heurté".
J'envoie et je jette mon téléphone et je me plonge dans un bouquin histoire de voir le temps passer plus rapidement tout en espérant une réponse rapide afin de m'ôter ce poids. Environ 1h plus tard mon portable vibre et voila sa réponse.
Et bien, elle l'avait très bien pris, elle est mature, posée. Elle m'explique qu'il n'y a pas de problème et qu'effectivement, pour elle, elle cherche quelque chose de plus sérieux et posé. Et qu'elle avait déja ressenti un certain blocage de ma part. Elle accepte ma décision sans rancune et me souhaite bonne continuation.
Bon, par politesse, je fais encore un petit la conversation, histoire de ne pas passer pour un immonde connard, et nos échanges se terminent dans la soirée. Je me sens tellement soulagé, je m'étais ôté un poids. Encore un de mes problèmes, je m'implique trop et j'ai trop peur de décevoir et de blesser les gens. Si bien que parfois il m'est déja arrivé de coucher en soirée avec une meuf car je savais pas dire non, comme une vraie petite catin.
Puis progressivement, une sorte de semi-relation s'instaure avec Irina. Je rectifie quelque chose, dans mon dernier risitas je disais que je l'avais revu au travail. En fait non, Irina avait terminé sa vacation, elle ne venait donc plus au travail. On a donc commencé à se voir elle et moi en dehors du travail.
Ces moments furent courts et intenses. Enfin comme toute étudiante, plutôt friquéée mademoiselle partait en vacances d'été, donc on se voyait au gré de ses vacances pendant que moi je travaillais pour le boomers et financer le RSA des kheys.
Généralement on se retrouvait dans des petits bistrots, autour de pinte, on rigolait, on refaisait le monde. Elle écoutait ma vie, mes problèmes, je lui racontais mes histoires, mes expériences, puis ça terminait toujours chez moi. Toujours chez moi pour une raison évidente, elle vivait chez ses parents, et vous pensez bien que je ne pouvais pas me réveiller en calebute et y trouver dans le salon un de mes big boss.
Cependant, toujours cet esprit de doute, de questionnement. Je commençais progressivement à constater que la différence d'age entre Irina et moi me perturbait. Elle avait seulement un an de plus que ma soeur, cela me gênait. On avait 6 ans d'écart, elle était en 2ème années d'études de droit. Je ne sais pas cela me perturbait.
J'essayais à chaque rencard de la songer, de tester sa maturité, ce qu'elle était. Le plus flagrant c'est quand je lui racontais mes voyages, mes expériences, et bien je parlais de la fac. Quant à elle, elle évoquait.. les années lycée très souvent. Malgré son âge en effet elle avait une certaine expérience, du vécu, mais en comparaison avec moi ce n'était rien ! Bien sur ce n'est pas de sa faute hein, c'est juste la logique des choses, elle ne pouvait pas avoir autant de vécu, sachant que les années 20 ans- 28 ans restent les années les plus chargées en expérience très souvent, elle y faisait à peine son entrée.
Je commençais un peu à tourner en rond, et je me creusais la tête. Je parlais de cette relation à mes amis, certains m'avertissaient " trop jeune, fille de ton boss, ça ne marchera jamais, garde là cet été à la limite mais après il va falloir que tu arrêtes". D'autres mais ils étaient rares me disaient que ça pouvait marcher.
En fait au fond de moi ce que je craignais, c'était de m'attacher à elle outre mesure. De commencer à force de nourrir des sentiments pour elle mais qu'un jour je me heurterais à la dure réalité des choses. Je m'explique elle venait à peine d'avoir 20 ans, elle était en plein de ses études. Elle partirait surement faire un stage ou un Erasmus à l'étranger d'ici un an ou deux, elle multipliera les rencontres. Il y avait 90% de risque qu'un jour, si notre relation durait, qu'elle me dise " Must, j'ai besoin de liberté, de vivre ma vie, désolé je dois partir".
Ce qui serait normal, et je ne pourrais pas lui en avoir. Je ne pourrais pas non plus l'empêcher de partir faire des stages à l'étranger ou des expériences là-bas, je sais combien c'est enrichissant et important puisque je l'ai fait aussi. Je n'avais pas envie non plus de repartir sur des relations à distance chaotiques. J'avais passé l'âge de toutes ces galères, tous ces problèmes.
Une chose aussi me dérangeait, nos discussions, en effet même si elle était assez mature, je ressentais parfois un décalage. J'avais l'impression de tout mener, d'être le boss de la relation, qu'elle était en admiration devant moi.
Mais bon, c'était l'été, j'aimais sa présence, elle était magnifique, douce, intelligente, et puis après tout si j'arrêtais d'être aussi clinique et de voir les relations dans un prisme ultra rationnel et pragmatique ? Et de laisser faire les choses comme disent de grands scientifiques du fofo ?
En plus, elle était supposée partir trois semaines fin aout en voyage, tandis que moi j'avais décidé de faire un petit voyage seul en Norvège pour y voir une amie norvégienne rencontrée au cours de mes études pendant une semaine fin aout, début septembre. On était donc début aout, et j'ai décidé de continuer et de faire le point sur nous deux lorsqu'on se reverrait en septembre.
On s'est revus une dernière fois, un jour avant son départ, même schéma, bar, restaurant, et puis chez moi. Sauf qu'au restaurant, elle me fait " Au fait, je t'avais ramené un petit cadeau d'Alsace, c'est un peu con, mais je voulais te l'offrir puisque tu m'avais parlé de tes gouts pour ça".
Elle me donna alors un petit paquet que j'ai ouvert, il s'agissait d'un petit sachet de thé de marque, du bon thé. Elle avait retenu et constaté lorsque j'étais chez moi que je buvais du thé et que j'aimais les bons thés. On boit du thé de qualité, on se sent ADULTE
Cela m'a touché, je l'ai accepté avec plaisir mais cela m'a perturbé encore plus. Elle voyait donc notre relation dans un prisme de plus en plus sérieux. Et moi je ne savais pas ce que je voulais, renvoyant toujours mes décisions au Must du futur comme le faisait Ted Mosby.
Dernière soirée, on couche ensemble, on passe une superbe soirée. Le lendemain matin, elle traine un peu chez moi, je me souviens encore de ces derniers mots " un petit calin et j'y vais".
Je lui ouvre la porte et elle s'en va. On se dit à septembre, et je la vois partir et descendre les marches, j'ai un petit sourire. Je suis content la soirée s'est bien passée, tout ira bien hein cette fois-ci.
Seulement, nous arrivons au 15 août, je fais partie des derniers couillons qui n'ont pas posé leurs congés à cette période. Une petite soirée s'organise entre irréductibles du travail. Il y avait cette fameuse Jeanne dont j'avais parlé ici: https://www.jeuxvideo.com/must29/forums/message/991812644
Voici le passage concerné
Elle est venue plusieurs à des soirées, pour aller boire des verres ou bien à toutes activités sportives mais je lui parlais peu. En fait je la trouvais super jolie mais il y avait comme une barrière qu'elle mettait autour d'elle. Enfin surtout j'étais avec Marlène donc j'étais occupé à vivre cette relation.
Je me souviens qu'une fois elle était passée devant nous, et je parlais avec Marlène en lui montrant cette fille, cette jolie brune en lui disant " tiens tu vois c'est elle, la nouvelle, elle est très jolie non ?".
Marlène avait confirmé non sans une certaine pointe de jalousie dans sa voix. Et cette fille, on va l'appeler Jeanne. Bref, cette Jeanne, on a commencé un peu plus à discuter ensemble, au fil des mois, elle était de plus en plus présente aux soirées. Mais moi de mon côté je m'interdisais tout rapprochement avec cette personne. Sachant que d'ailleurs la moitié des mecs du taff étaient dessus.
Je la salue, on rigole un peu, cette Jeanne était quelqu'un de.. impossible à cerner. Vous voyez Sasuke ? La meuf était une sasuke au féminin. Canon, froide, impassible, je n'avais jamais vu ça.
La soirée commence, les bières s'empilent, on commence à danser, l'alcool monte et on décide alors de partir danser en boite. Bien sur on part sur une soirée latino machin chose pour faire plaisir aux donzelles présentes.
Le 15 avril 2020 à 20:45:02 JonnyRonnyBobby a écrit :
Purée ce retour inattendu d'un des risitas les plus sous-cotés, tu refais ma soirée kheyou
Il n'y a pas de quoi
J'essaye de vous faire des pavés avec beaucoup de détails puisqu'il reste grosso modo moins d'un an à raconter, on est en aout 2019 au moment du Risitas. N'hésitez pas à me dire si vous voulez que je change certains trucs dans la manière d'organiser.
Le 15 avril 2020 à 21:11:56 Must29 a écrit :
Le 15 avril 2020 à 20:45:02 JonnyRonnyBobby a écrit :
Purée ce retour inattendu d'un des risitas les plus sous-cotés, tu refais ma soirée kheyouIl n'y a pas de quoi
J'essaye de vous faire des pavés avec beaucoup de détails puisqu'il reste grosso modo moins d'un an à raconter, on est en aout 2019 au moment du Risitas. N'hésitez pas à me dire si vous voulez que je change certains trucs dans la manière d'organiser.
Pour moi c'est nickel comme ça C'est pas un risitas classique où les stickers à chaque fin de phrase font 30% de l'intérêt du récit mais c'est loin de me déranger. J'aime beaucoup les longs chapitres bien fournis
C'est super khey continue comme ça
hate de lire la suite
Le retour du bordel de rêve qu'est le risitas de l'auteur, la prochaine c'est jeanne hein ?
Je suis puceau et je suis presque certain que j'aurais peu de femmes dans ma vie (si jamais ça arrive) ton récit fait envie l'op.
Je sais pas si on peut parler de chance vu que ces relations te marquent et t'affectent beaucoup mais au moins t'as une vie bien remplie côté relation amoureuse
J'ai pas fait le compte t'es à combien de longue relation ?
Le 16 avril 2020 à 01:09:41 Joguro a écrit :
Le retour du bordel de rêve qu'est le risitas de l'auteur, la prochaine c'est jeanne hein ?Je suis puceau et je suis presque certain que j'aurais peu de femmes dans ma vie (si jamais ça arrive) ton récit fait envie l'op.
Je sais pas si on peut parler de chance vu que ces relations te marquent et t'affectent beaucoup mais au moins t'as une vie bien remplie côté relation amoureuseJ'ai pas fait le compte t'es à combien de longue relation ?
Vous le saurez très vite
Sinon tu as quel âge ? Ne jamais se dire " je serais toujours puceau/je serais toujours seul", récemment j'ai appris qu'un très bon ami de longue date, puceau jusqu'à ses 26 ans a enfin une meuf, dépucelé et il vit déja avec elle alors que ça fait trois mois qu'ils sont ensemble.
Je sais que ça peut paraître cliché mais il faut que tu aies un déclic en toi, déja tes propos laissent paraître un certain manque de confiance, si y'a des choses qui ne te conviennent pas chez toi, essaye de voir comment tu peux les améliorer, les corriger non ?
Jusqu'au début du lycée, j'étais un peu le vilain petit canard de ma bande de pote, le plus "moche", le plus en retrait, aujourd'hui j'ai levé plus de meufs qu'eux.
Sinon en longue relation et véritable j'en ai eu une au lycée, la hongroise, Louison, la hippie vegan, Alexia, Marlène et une autre dont je vous parlerai, ça fait 7 relations 'longues" si on estime que c'est long à partir de 6 mois.
Sinon j'ai du coucher avec entre 25 et 30 meufs, j'ai pas pris le temps de compter, je le ferais un jour peut-être. mais j'en fais pas un concours, et je ne suis pas heureux pour autant d'ailleurs, ni forcément malheureux.
Données du topic
- Auteur
- Must29
- Date de création
- 2 janvier 2018 à 00:58:01
- Date de suppression
- 1 juin 2022 à 15:48:33
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