[FIC] Ta Grand-mère et moi.

Le 13 mars 2018 à 22:31:26 bepis a écrit :

Le 13 mars 2018 à 22:14:46 fiondehsuhao a écrit :
Non mais quai c'est normal que tu as fait 5000 vues (juste sur risibook), que l'autre veux te voler ton topic et que beaucoup se sont inspiré de ta fic (et on même repris les idées de tes futurs texte). Avec le périple de Clitorine tu nous as vendu du rêve pendant 6 mois.

Une épopée mythique avec des personnages Attachants.

Clitorine est un personnage qui a subit un véritable développement du début à la fin, et même sans ça, admettons que tu ne saches pas écrire des personnages attachants... Rien que les péripéties en elle-même étaient énorme. On pourrait faire une grosse liste des moments mythique:

• Celestin Silverstein qui se fait défoncer par le concierge
• Le concert contre Clitorine avec Nagui et Bon Jovi
• Madame Silverstein qui finie broyée dans un réacteur d'avion
• Le crash de l'avion et la technique de la chaise
• La rencontre entre Tarene et Clitorine (toute leur relation était )
• Le Gala sur Hans Spinher avec le personnage du quai qui a tué Laeticia à coup de Lance Roquette
• Le gang bang de noël
• Le chapitre en Inde avec la bataille entre les Russes et les mutants du Gange
• Le concours de beuverie entre Clitorine et Annie
• La course poursuite pour forcer Paul à ranger sa chambre qui a débouché sur une dizaine de mort ( )
• L'opération sauvetage pour sauver Frank West
• La bagarre contre Koko le gorille lecteur de Risific
• Le sacrifice final de Clitorine
• La révélation où tu joues le jeux d'un vote qui ne t'as pas plus en annonçant qu'elle a abandonnée Tarene pour la protégé.

J'ai oublié des moments épique les quais?

Ton énumération m'a fait rire, ce récit n'avait aucun sens quand on y repense.

Ah merde, bravo, maintenant je veux réécrire sur Clitorine,Tarene, Paul et Julia.

Félicitations pour les 5000 vues, elles sont méritées

Quant au dernier point, cela ne nous dérangera pas le moins du monde

Le 14 mars 2018 à 17:53:20 Ribauchard a écrit :

Le 13 mars 2018 à 21:45:02 bepis a écrit :
http://risibook.fr/
Sérieusement mais 5000 vues pour le pdf de ma fic juste sur ce site c'est énorme.

Du coup vous me faites culpabiliser de ne pas pouvoir poster de sweet ce soir.

Je vous remercie pour cette pêche que vous me donnez les quais. Si jamais je publie un livre et que je fais 5000 ventes je serais aux anges.

Ca m'a donner envie de relire les perigrinations de Clito, c'est vraiment une un chef-d'oeuvre
Je crois qu'il manque les derniers chapitres par contre

Il en manque toute une partie, mon topic de secours a été poucave aux admins par un mystérieux corbeau (on se comprend) du coup ils ont tout supprimé. Ces textes là sont définitivement perdu par-contre.

Le 14 mars 2018 à 21:40:18 bepis a écrit :

Le 14 mars 2018 à 17:53:20 Ribauchard a écrit :

Le 13 mars 2018 à 21:45:02 bepis a écrit :
http://risibook.fr/
Sérieusement mais 5000 vues pour le pdf de ma fic juste sur ce site c'est énorme.

Du coup vous me faites culpabiliser de ne pas pouvoir poster de sweet ce soir.

Je vous remercie pour cette pêche que vous me donnez les quais. Si jamais je publie un livre et que je fais 5000 ventes je serais aux anges.

Ca m'a donner envie de relire les perigrinations de Clito, c'est vraiment une un chef-d'oeuvre
Je crois qu'il manque les derniers chapitres par contre

Il en manque toute une partie, mon topic de secours a été poucave aux admins par un mystérieux corbeau (on se comprend) du coup ils ont tout supprimé. Ces textes là sont définitivement perdu par-contre.

Principalement car l'époque était autre, la fic s'est achevée avant le début de la répression des 410.
Donc j'étais moins regardant sur la sécurité. (Bon, on avait déjà essayé de m’usurper une première fois mais voilà voilà). Je me justifie pas, je suis nostalgique du 18-25 dissident. Plus ça va plus on devient un facebook-bis à base de validaient ou de sticker Seb.

Le 15 mars 2018 à 18:53:14 TheWhomp a écrit :
Une sweet pour ce soir ?

Entre 23h et 23h30

Chapitre 5: Le choix
Partie 05:

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Ma douleur à dimension abdominale et masculine dura encore pendant une bonne partie de mes horaires de travail, mais je ne pouvais plus me permettre de m'affaler éternellement sur le sol. Il fallait que je me lève, car si l'emploi du temps était à l'appréciation des employés du Picsou Magazine, l'échéance finale pour ma toute première publication approchait. Pour la mienne, et puis pour Marius. Je ne lui faisais plus réellement confiance depuis la révélation de Poppy à son sujet et je me devais d'aller le voir une fois que j'en avais fini avec ma propre besogne.

-Il va falloir que je mitraille le clavier comme ce mec faisait avec ses poings au Dojo Dassin. Mais c'est encore faisable.

Pour l'ensemble de mes premiers article, je dois te l'avouer mon garçon, j'avais un poil triché. Je possédais déjà une solide base de travail de par mon précédent contrat de travail, et je n'étais nullement embêté du bis répétita puisque mon émission à radio France avait de modestes audiences. 5000 auditeurs n'était qu'une broutille à l'échelle d'un mensuel national distribuant même dans des pays à forte densité Francophone comme en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, en Espagne et au Portugal.

Ma toute première chronique se porta donc sur un ouvrage pionnier de mon imagination: J'ai nommé la saga des étoiles d'Edmond Hamilton. Je ne sais pas réellement si ça va t'intéresser mon petit, mais vu que mon travail de l'époque consistait à faire découvrir des auteurs à la populace, autant en faire de même avec toi. Si jamais tu t'en contrefous, je t'autorise à mettre ton cerveau en stand-by jusqu'à la fin de ce barbant passage.

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La Saga des étoiles, tel que je l'avais présenté fut en réalité une compilation de deux romans écrits par l’auteur Edmond Hamilton. Ouvrage et auteur connut principalement pour avoir créé le genre du space opéra, sous genre de la science-fiction, encore représenté aujourd’hui par des mastodontes médiatiques comme Star Wars.

Dans ces ouvrages, on y découvre John Gordon, un petit comptable new yorkais de l’après-guerre, une personne sans grand intérêt. Il mène une vie morose, jusqu’au jour où il va recevoir un appel mystérieux.
Un appel émis par un prince issu d’un lointain futur. Ce dernier se nomme Zarth Arn, et sa position dans le plus grand royaume de la galaxie ne l’empêche pas d’être un homme de science, et de se livrer à des excentricités scientifiques. Ce dernier propose un deal au comptable New Yorkais :

Souhaitant découvrir la vie d’un contemporain du XXe siècle, il lui propose un échange de corps. Notre personnage principal, Gordon, se retrouvant projeté deux milles siècles dans le futur.
Bien sûr, rien ne se passe jamais comme prévu, et pendant que notre cher prince découvre la vie terrestre, le comptable New Yorkais, lui, se retrouve projeté au sein d’un conflit intergalactique.

A notre époque, ce genre de récit n’a plus grand-chose d’originale, mais vous trouverez l’un des pionniers du genre.

Vous y découvrirez tous les atouts du genre :
Princesse, amour caché, combats spatiaux, panache, rebondissements, intrigue politique complexe.
Vous verrez un air de déjà vu qui vous fera penser que le travail d’Hamilton doit beaucoup à des œuvres comme par exemple : Le cycle des princes d’Ambre de Roger Zelazny, ou Star Wars de Georges Lucas.
Le style d’écriture de l’œuvre est aussi moderne, aérée et agréable à lire. La traduction est un peu moins vieille que l’œuvre, elle date de 1952, mais c’est vraiment à la portée de tous, je le conseil à n’importe quel niveau de lecture.

X

-Et voilà, tout est prêt. Quelle arnaque, je suis un vrai génie. Un salaire en or pour quelques minutes de casse-tête.

Mon arnaque fut absolument fabuleuse. A titre d'information, je n'avais utilisé qu'une demi-heure sur mes trente-cinq hebdomadaires et personne ne découvrit jamais le poteau rose. Je pus donc envoyé mon travail à la rédac' par email et sortir de mon bureau tout en évitant consciencieusement de me faire apercevoir par ma dingue de voisine. Je n'avais plus qu'à me rendre en direction du cagibi de Marius, où mon véritable problème m'attendait.

-Bon sang! Bon sang! Où sont mes feuilles?! Où sont mes feuilles? J'ai tout perdu! Encore un coup des Chinois du FBI qui ont volé mon travail!

-Je me suis planté dans mes pronos, les lecteurs vont forcément voir que je me fous de leur gueule! Je suis dans la mouise!

En tout cas, l'ambiance fut acerbe dans les locaux. Tout le monde (à l'exception de Poppy enfermée à double tour dans son bureau) était pris à la panique, et j'aurais même décrit la scène par un mot à consonance Africaine commençant par la lettre B et finissant par un A si jamais ce n'était pas politiquement incorrect.
Les feuilles volaient dans tous les sens, le désespoir se lisait dans tous les regards qui croisèrent ma route. On se sentait jeune et dynamique en permanence dans ce genre de lieu à l'ambiance Start-up, mais on n'était qu'un ramassis de fainéant qui n’attendait que la dernière échéance pour réellement travailler.

-Tiens, bonjour Déborah.

-...

J'avais même enfin réussi à croiser Déborah Cohen entre deux intersections et comme d'habitude, je ne réussis pas à lui faire soutirer autre chose qu'un minuscule "salut" qui s'échappa du maigre espace situé entre deux incisives. Comme à son habitude, sa réaction ressembla à un mélange de stupeur et de panique et elle s'en alla dans la direction opposée sans demander son reste, abandonnant au passage ses dossiers. Je ne pus m'empêcher de me dire que c'était réellement dommage qu'une fille de son genre était en proie à la timidité maladive. Et dire que l'autre m'avait masturbé dans l'unique but de m'apprendre par la suite les bonnes manières une heure plus tôt. C'était décidément tout ou rien en ce lieu.

La dernière personne que j'eus croisé sur le chemin du Cagibi fut le père d'Audrey; qui m'adressa quelques mots entre deux engueulade sur de pauvre employé. Il m'informa donc que mon premier Riche-athlon allait avoir lieu le lendemain même, et que par la même occasion il m'invita à diner chez lui dans la soirée, bien évidemment en présence d'Audrey sa fille. Dans les deux cas, je ne pus refuser ses propositions, probablement à cause de sa prestance légendairement hébraïque.

Tout se passait donc pour le mieux, jusqu'à mon arrivée au bureau de Marius. Sa porte était non verrouillée, il n'y avait même pas de trou pour insérer une clef en dessous de la poignée. La politesse m'aurait donc imposé de frapper plusieurs fois sur la planche de bois nous séparant avant de rentrer, mais cela aurait été à l'encontre de l'état d'esprit qu'il fallait avoir lors d'une inspection surprise. Sourire aux lèvres, j’ouvris donc la porte tout en lui annonçant:

-Mec, c'est moi, inspection surprise je vais rentrer!

Sa voix sembla légèrement paniquée lorsqu'il me demanda:

-Non non, attends encore un peu!

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre une fois à l'intérieur de la salle. Peut-être à un immonde capharnaüm où même des rats mutants du Gange n'auraient pas osé s'aventurer. Au moins concernant l'hygiène de son espace de travail, il n'y avait rien à dire, tout semblait impeccable. Sauf concernant le plafond, qui avait l'air d'avoir subi un petit changement.

-J'arrive voir ce qui se passe sur ton ordi. J'espère que je ne vais pas être déçu.

-Attends un peu je t'ai dit, pas si vite!

En effet, je ne fus pas déçu. Cet élément fut un premier temps caché par son bureau, mais plus je m'avançais et plus cela me sautait aux yeux. Marius était assis sur son siège avec le pantalon déboutonné, caleçon et bosse apparente. Hormis cette vision des enfers qui me provoqua une légère nausée, j'avais malheureusement remarqué par la suite qu'il était sur son navigateur en session privée (pratique) et que cet idiot du village n'avait même pas commencé à travailler alors que non seulement il fallait rendre les textes pour demain aux aurores, mais aussi que ce fameux soleil terminait sa course quotidienne, laissant dans son sillage un ciel orangé. On était mal barré.

-Tu te moques de moi, tu n'as rien branlé encore...

L'expression fut mal choisie à case de son pantalon et j'avais donc immédiatement changé mon approche. Son contrat lié au mien, je lui avais brièvement et violemment expliqué la situation. Mon second meilleur ami (ce genre de bêtise ne serait jamais arrivé avec Cassandre) protesta un peu mais je ne voulais pas lui céder. Ses jérémiades se transformant de plus en plus en pleurnicheries, mon corps s'allia à mon esprit pour lui faire comprendre la gravité de la situation.

-Arrêtes de taper sur le sol, c'est une mauvaise idée si tu veux mon avis.

-Rien à faire de ton avis.

Tapotant de mes talons toujours de plus en plus forts pour lui exprimer mon mécontentement, le sol commença à grincer de plus en plus sous mes chaussures. Pourtant, l'accident n'arriva point du sol mais du plafond. Mes nombreux coups firent tomber une cache et de nombreux coffrets de films en haute définition me tombèrent sur la tête. L’intégrale de la filmographie d'Audrey Hollander et de Blacked m'étaient tombé dessus. Cet idiot avait été payé pour se toucher la nouille et si mon beau-père l'apprenait, il allait probablement très mal le prendre...

Mais que vas-tu décider de faire?

• 1) Malgré les conséquences sur ta propre carrière, tu décides de le laisser se démerder.

• 2) Tu décides de l'aider, et tu vas rédiger son article à sa place dans la chambre d'Audrey, une fois le repas chez monsieur Safardi de terminé.

• 3) Tu décides de l'aider, mais tu profites avant tout de ton repas chez ton patron et de passer la nuit avec ta copine dans sa chambre. Tu vas donc travailler très tard le soir.

Le 15 mars 2018 à 23:23:22 culdevados a écrit :
Je vote 3) + j'approuve le:

Depuis deux-trois jours j’adapte des stickers typique du forum à la sauce Star Wars.
Des risitas ou autre Togruta, Duros, Twi’lek, Mirialan.

Je pense que tout ce travail là je l’uploaderais sur Risibank (si jamais un jour ça remarche) pour que le forum en profite une fois toutes mes fics terminés.

Je vote la 2 YALLAH

Ça va mal finir avec Marius, on aurait du l'envoyer boulet YALLAH

Le 16 mars 2018 à 08:39:50 Zmhaire a écrit :
Je vote la 2 YALLAH

Ça va mal finir avec Marius, on aurait du l'envoyer boulet YALLAH

Je plussoie, la 2)