[FIC] Ta Grand-mère et moi.
Le 11 mars 2018 à 19:19:57 Toystealer a écrit :
Le 11 mars 2018 à 18:55:42 Nirox_3 a écrit :
Vote 1 + Ce sera la 2ème sportive + La première à été filmé ? J'ai pas souvenir de la mention des lunettes + Clito est morte ? La fic à été delete avant que je la finisseOui on a filmé la première
La première sportive ? Je m'en souviens pas du tout + Np bepis
Le 11 mars 2018 à 18:55:42 Nirox_3 a écrit :
Vote 1 + Ce sera la 2ème sportive + La première à été filmé ? J'ai pas souvenir de la mention des lunettes + Clito est morte ? La fic à été delete avant que je la finisse
Oui elle est morte après son combat final contre Attali sur le dirigeable. Bepis a même signalé au début des aventures de Phil que la tour Eiffel fut détruite suite au combat
Le 11 mars 2018 à 23:46:27 Wiseone a écrit :
Le 11 mars 2018 à 18:55:42 Nirox_3 a écrit :
Vote 1 + Ce sera la 2ème sportive + La première à été filmé ? J'ai pas souvenir de la mention des lunettes + Clito est morte ? La fic à été delete avant que je la finisseOui elle est morte après son combat final contre Attali sur le dirigeable. Bepis a même signalé au début des aventures de Phil que la tour Eiffel fut détruite suite au combat
Enfin il y a toujours un mec qui essaye de la réssucité.
Mais j’ai toujours voulu tuer Clitorine, a la base je voulais faire une troisième saison en enfer. Mais il vaut mieux s’arrêter en pleine « gloire ».
De retour, c'est toujours aussi bon Bepis.
Je vote 1
Voici le résultat final des votes.
- 1) IIIIIIIIIIIIII
- 2) II
La réponse 1) est clairement la gagnante, la sweet arrivera entre 23heures et minuit les quais.
Le 11 mars 2018 à 19:19:57 Toystealer a écrit :
Le 11 mars 2018 à 18:55:42 Nirox_3 a écrit :
Vote 1 + Ce sera la 2ème sportive + La première à été filmé ? J'ai pas souvenir de la mention des lunettes + Clito est morte ? La fic à été delete avant que je la finisseOui on a filmé la première
Puis j'ajouterais que la fic n'a été supprimé que pendant une semaine, on a pu conclure tranquilou.
Chapitre 5: Le choix
Partie 04:
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-Je ne connais pas réellement mon numéro tu sais, mais je veux bien t'appeler pour que tu l’as.
-Ça marche. On se tient au jus.
Je pris donc naturellement le numéro de la jeune fille. Je ne savais pas réellement où elle voulait en venir. Peut-être que dans son délire d’apprentissage d'auto-défense, elle voulait tout simplement avoir un partenaire d'entrainement ou un bien encore un genre d'allié. C'était peut-être une amitié naissante qui se jouait là, ou voir même plus, je ne pouvais encore le dire. Avais-je envie de la mêler à ce satané pari et à tout ruiner? C'était encore une autre histoire. Ce maudit choix me pourrissait la vie à chaque instant, heureusement que j'avais réussi à isoler Audrey de ce véritable jeux de la mort.
Une fois de retour au bureau, j'avais hésité à faire cogner mes phalanges contre la porte de Poppy. Avais-je réellement envie de relancer une animosité qui avait été tuée dans l’œuf par mon patron? Le mieux que j'eus trouvé à faire fut de corriger tout seul dans mon coin plusieurs des points qu'elle m'avait reproché. Pour la première fois depuis longtemps, je m'étais donc assis sur mon fauteuil, allumant l'ordinateur. Mon lieu de travail n'avait même pas encore une véritable personnalité, je n'avais même pas réellement eu le temps de le décoré, passant mon temps soit à papoté, soit à faire des lancés francs au panier de basket d'intérieur. Endroit donc vide, mais propice au boulot: Le silence était presque total, seul le bourdonnement des ailes d'une mouche rebondissait à travers mes murs, mais ce bruit était presque couvert par le tapotement de mes collègues qui dactylographiaient tous en cœur.
Mon traitement de texte fut finalement ouvert pour la toute première fois, mais mes pensées n'eurent même pas le temps de me demander sur quel sujet j'allais disserter. Une voix s'invita à la fête, parasita mon génie créatif. Cette mélodie appartenait à une femme, et concernant celle qui l'avait émise, il n'y en avait pas cinquante qui voulait me parler.
Ayant pris pose sur le pas de ma porte, elle me regardait d'un savant cocktail à la fois aguicheur et abrupt. A la manière d'une femme d'affaire, elle portait une jupe sombre partant du dessous de sa poitrine et lui descendant jusqu'aux rotules. Son haut était une chemise d'un rouge vif avec des motifs fantaisistes; ornée d'un décolletée aussi ouvert qu'une piste d’atterrissage pour zeppelin. Comment une chemise peut avoir un décolleté? Cette dernière ne possédait pas de bouton sur sa partie supérieure, et comment j'avais pu le remarqué? Tu veux bien me laisser terminer mon histoire petit con?
Jamais avant ce jour je n'avais produit un sourire et une intonation qui sonnaient aussi fausse. Sur le coup, je te promets que ce discours était des plus innocents. Pourtant, avec le recul, j'en suis parfaitement conscient. Cela pouvait s'apparenter à une provocation, et ce fut de cette manière que ma séduisante collègue l’interpréta.
-Oui, c'est vrai que quoi que tu fasses, c'est apparemment pour le travail.
Elle se rapprocha, bougeant sensuellement un pied après l'autre. Alors que l'une de ses mains était posée sur sa taille, l'autre gesticulait à la manière d'un chef d'orchestre, accompagnant et ponctuant ses mots.
-Comme tu dis. Le pot, la chance, quelle baraka comme dirait monsieur Safardi.
Nous fûmes étonnamment proche l'un de l'autre par la suite, son souffle fruité me chatouillant le lobe de mes oreilles. Ses paroles se firent plus suaves par la suite.
-Je ne pense pas que monsieur Safardi soit un rebeu tu vois, à mon avis il est plus...
-Tu es étonnamment proche du patron. Donc du pouvoir. J'aime le pouvoir.
Ses mains descendirent doucement et ce fut à ce moment-là que je m'étais demandé quel genre de pouvoir aimait-elle? Le pouvoir hiérarchique? Masculin? Les deux en même temps? Le temps que mes méninges me faisait voyager au pays de la suggestion, elle avait déboutonnée ma braguette sans même que je m'en aperçoive.
-Tu vas m'en faire profiter pas vrai? Sois aussi généreux que je le suis actuellement.
Mon membre n'avait eu besoin d'aucune suggestion de ma part pour répondre présent. Poppy l'avait en main et s'amusait avec lui pendant qu'elle me dévorait le cou. Ses paroles s'adaptèrent au même rythme que son va et vient infernal. Une véritable sirène des temps moderne, qui m'avait envouté et qui s'apprêtait à faire jaillir les écumes. J'aurais peut-être dû dire quelque chose, mais ce rôle de spectateur me plaisait énormément.
-Je veux profiter du pouvoir. C'est toi qui a le contrôle.
-Alors si tu l'as réellement ce putain de pouvoir, tu as intérêt à bosser saleté de feignasse avant que je t'étripe par moi-même et que je me serve de tes organes comme guirlande.
Sa voix venait de changer du tout au tout et ses caresses sensuelles devinrent un atroce coup bas, sa main droite descendant sur mes bourses, qu'elle sera de toute ses forces. Les appels de la gâterie et de la flatterie m'avaient dupés, j'avais désormais extrêmement mal, elle me tenait, pris au piège.
-Arrêtes ça bordel ça fait mal!
-Tu as intérêt de travailler! Dis-le!
Ses doigts se refermèrent d'avantage, au point que l'une de mes testicules aurait pu exploser comme une baudruche. Le fait que j'avais invité le père d'Audrey à notre conversation téléphonique avait été interprété comme une démonstration de force. Sa riposte me mettait actuellement à genoux. Heureusement que la porte de mon bureau fut fermée, car lorsqu'elle me relâcha, j'étais littéralement en position fœtale, la douleur au ventre. Au lieu de me soulager, la fin de l'étreinte signifia à ma douleur testiculaire qu'elle pouvait se propager à travers tous les membres de mon corps. Quand on m'avait dit qu'elle était nymphomane, je n'aurais pas imaginé une seule seconde qu'elle utilisait le sexe pour arriver à ce genre de fin.
-Pauvre petit bébé. Va bosser maintenant feignant. Et n'oublie pas l'autre idiot, il passe son temps à écrire des fictions sur le net au lieu de nous pondre une chronique de merde.
-Pourquoi tu ne vas pas lui dire par toi-même?
-Parce-que s'il fait de la merde, ça va fragiliser l'entreprise et me permettra de monter en grade.
-Mais tu as dit que c'était moi qui avait le pouvoir.
-C'était pour flatter ton égo. Et si jamais tu subis réellement une ascension sociale par le plus grand des hasards, tu n'oublieras pas mes petites caresses. Et si jamais ça arrive, Je ne porterais pas de culotte ce jours-là. A bon entendeur.
Elle s'en alla et fit claquer ma porte. J'étais toujours allongé sur le sol, mon engin gisant mollement dans l'ouverture de la braguette. Cette fille n'était pas cool du tout, c'était bel et bien une sauvage, mais dans le mauvais sens du terme. Elle était prête à tout pour escalader l'échelle sociale et gonfler son salaire. A tout.
Mais que vas-tu faire?
- 1) Elle t'a piégée une fois, mais tu ne te laisseras pas avoir une seconde. Tu continues de glander en restant le plus possible éloignée d'elle.
- 2) Vu ce qu'il vient de se passer, il serait préférable de commencer à travailler.
Entre la menace d'Ariel et celle de Poppy. Va falloir bosser pour Marius
Données du topic
- Auteur
- bepis
- Date de création
- 23 décembre 2017 à 21:53:32
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