[FIC] Les SENTIERS de la DRAGUE
Désolé de ne pas avoir été present
Beaucoup de rebondissements dans ces dernières suites! Par contre le coup du "koufar" comme insulte c’est un peu bizarre...
Sinon je vote la 3
Content de te revoir pour le "kouffar", Monsieur Eranlsol est un médecin indien (ça se voit un peu sur ces traits) donc Fajara en conclut qu'il est indou ou bouddhiste (non musulman par extension un mécréant) Ça c'est pour l'explication tirée par les cheveux.
L'autre c'est que j'ai pas forcément trouvé mieux à lui faire dire mais je vais désormais un peu plus développé ce perso (si vous faites les choix en rapport avec elle évidemment)
Le 11 février 2018 à 21:24:21 _Paradista a écrit :
Thiriodrakondas Thiriodrakondas
11 février 2018 à 13:52:18
Alerte
2+3. Faut la faire pleurer cette petite peste.Malheureusement il faut choisir entre l'une des deux kheys
Sinon Fajara c'est une chinoise muslim de base (ça existe, ça s'appelle les Hui) ou une convertie?
Ses parents sont des immigrés musulmans qui se sont installés en France quelques années avant sa naissance. Éduquée dans cette tradition islamique, elle est elle aussi devenue musulmane
Bon pas de sweet ce soir, j'espère vous voir plus nombreux avant demain après midi...
Bon ben la 3 alors.
CHAPITRE 04 • INSOUMIS
- Part 09 - Je comprends ce que tu ressens (1/2)
Tu avais enfin remis la main sur Juliana qui fumait une cigarette devant les immeubles du quartier parisien. Quel soulagement de la revoir ici, le nœud qui s’était mêlé juste sous ton estomac se libérait désormais mais rien n’était joué avec cette chenapan ; elle pouvait à tout moment te filer une nouvelle fois entre les doigts. Il fallait à tout prix la neutraliser pour éviter qu’elle ne s'enfuit. Faisant signe aux 3 autres membres de la voiture familiale de ne pas bouger, tu te cachais derrière un buisson d'une trop faible hauteur pour te cacher complètement mais assez peu éclairé pour éviter que Juliana ne te voit.
- Vous avez entendu ce bruit ?
- Mademoiselle Juliana, Lili pour les intimes a les chocottes de se retrouver toute seule en pleine nuit ? Il y a personne dans ce quartier pourri, passer 20h les viocs rentrent dans leur trou regarder leur téléfilm de merde où se goinfrer de pizza. Je te croyais plus téméraire...
- Prends une taff de ma clope, ça va te déstresser.
- C'est.. c'est de la drogue ?
- Un cuisinier ne donne jamais la recette de ses préparations. Pour savoir ce qu'il y a dedans tu vas devoir goûter..
Elle regardait longuement son jeune camarade aux yeux dilatés, tentant de démêler le vrai du faux. La main chancelante, elle attrapa timidement la cigarette finement roulée qu'il lui tendait. Elle n’était pas à l'aise dans cette situation, raison de plus pour se soulager avec ce genre de remède si planant. Tu n'allais pas lui laisser se bousiller la santé ce soir, surtout qu'elle était sous ta responsabilité. La cigarette oui mais la drogue, c’était le pas de trop. Ni une ni deux, tu fonças à toute vitesse sur elle avant de la plaquer au sol.
- Lâche-moi, bon sang ! Pour qui tu te prends !?
L’intrépide jeune fille se débattait au sol, arrivant presque à se défaire de ton emprise mais tu avais bien observé les divers techniques ancestrales que les Chiennes de garde avait décoché en plein dans la tête de ce type à la casquette, il y a quelques semaines. Plus elle bougeait, plus elle s’épuisait comme une gazelle prise au piège dans le braquemart d'un chasseur. Malheureusement pour toi, tu maîtrisais certes Juliana au sol mais pas les 4 autres personnes avec qui elle traînait, ces dernières te ruèrent alors de coups
- C'est un Condé ! Il veut embarquer Lili cet enfoiré !
- Faites le pleurer sa mère. Ça c'est pour Théo, ta grand-mère la caissière. Gaddem.
Même si certains étaient des adolescents ayant une force de frappe plus que douteuse, l'un d'entre eux était particulièrement virulent dans ses coups et se déchaînaient littéralement sur tes côtes et même sur Juliana !
- T'es en train de me frapper aussi !
- Ça c'est pour Zihed et Bouna !
Le fucboy aux yeux dilatés reprit la cadence des coups de plus bel malgré l'objection de la jeune adolescente au sol avec toi. Il décocha même un coup de pied dans tes parties tel le plus gros des lâches qu'on ait pu voir sur cette Terre, bien devant le commandant du Costa Concordia. Heureusement que Fajara et Monsieur Eranlsol réussirent à faire cesser le tabassage en règle qu'on te faisait subir.
- Mais t'es complétement taré ! Je t'ai dit que c’est pas un Condé, juste un larbin que ma grande sœur a trouvé. T'as failli me foutre ton pied dans mon ventre.
- Ma chère pignette, j'ai ripé, désolé, ça doit être le mélange de LSD et de coca. Je me demande comment ça aurait fini avec de la tequila ou du Champomy..
Devant son impertinence, Juliana lui mit un coup de genou en plein dans l'entrejambe tellement fort que le bruit de ses testicules s’interchoquant était audible dans un rayon d’une dizaine de mètres. Pris d'atroces souffrances il s'affala au sol, s'évanouissant aussi rapidement que ses espoirs de pouvoir féconder une donzelle un jour.
- Quand je te dis de pas frapper, t’arrêtes de frapper, abruti. Que je t'y reprennes pas, sinon je te fais péter la carotide, façon black mamba, capiche ?
Les 3 autres drogués, apeurés par le sanguinaire regard de la volcanique jeune fille et par la violence dont elle venait de faire preuve sur leur ami fuyaient loin de votre position. Fajara t'aidait à te remettre sur pied.
- T'as pas quelque chose à nous dire ?
Juliana te sortit cette phrase pleine de dédain, clope toujours entre les doigts.
Il était difficile de décrire précisément ce que tu ressentais à cet instant précis devant le peu d’empathie et de remords que semblait avoir Juliana. L'envie de la gifler ne manquait pas mais tu voyais derrière cette façade désinvolte et détachée qu’elle voulait se donner une vraie détresse dans l’éclat de ses pupilles. Fajara se posa moins de questions que toi et écrasait sa paume sur la joue désormais endolorie de l'insolente.
- Eh petite peste !? Tu vas nous parler autrement ! On n'est pas tes copains de classe, nous. J'en ai rencontré des petites récalcitrantes qui se prennent pour des adultes parce qu'elles mettent du rouge à lèvres sur leur bouche mais on me parle pas comme ça à moi. Je t'assure tu vas filer droit mais fissa. Ça fait 2 heures qu'on te cherche dans tout Paris, on se fait du mauvais sang pour toi et tout ce que tu trouves à faire c'est avoir cet air complaisant. T’imagines si ces types t'avaient fait boire ou pire violer ? T'y as pensé à ça !? J’en ai vu des filles stupides mais tu mérites la palme de la bêtise, ma grande.
La puissance avec laquelle la frêle brune avait giflé l'adolescente contrastait avec ses bras fins comme des baguettes. Les apparences étaient parfois drôlement trompeuses.
- Je crois pas que ce soit la bonne solution…
Juliana fondit en larmes dans ses mains, éclatant en sanglots. Évidemment tu lui en voulais de t'avoir laissé comme un idiot dans ces toilettes de clinique dentaire mais tu ne pouvais t’empêcher d’être peiné de la voir dans cet état. C’était un tout, elle libérait toute l'accumulation de pression qui était bloquée en elle depuis le début de cette journée ou peut-être même depuis bien plus de temps. Monsieur Eranlsol tentait de reprendre la main, sourire gêné aux lèvres.
- …On devrait se mettre en route. Il se fait tard et Marina va commencer à se faire du mourond pour ses bambins si ce n'est déjà le cas. En voiture !
Personne n'osait parler à l'intérieur du véhicule, l'ambiance était pesante. Quelques minutes de trajet plus tard, Fajara demanda au dentiste de se garer pour qu’elle descende.
- Il reste des bus à cette heure là, je vais pouvoir rentrer chez moi.
- Merci de m’avoir aidé à retrouver Juliana, je sais pas ce que j'aurais fait sans toi.
- Je n'ai fait que suivre le Guide. Tu m'excuseras auprès de Juliana de l’avoir giflé
- Il le fallait, elle doit se réveiller cette fille ; sinon le monde va la manger toute crue. Dieu est grand mais c'est seulement elle qui peut se décider à reprendre un chemin moins… sinueux.
Pour la première fois, Fajara te fit la bise – elle qui te repoussait d'habitude sortant l'excuse du respect de la Charia - avant de s'enfoncer dans l'obscurité des rues parisiennes, sa fine silhouette disparaissant dans le profond noir de la nuit.
CHAPITRE 04 •INSOUMIS
- Part 09 - Je comprends ce que tu ressens (2/2)
____________ https://youtu.be/40BMy6RUlL0 ___________
À la sortie des classes, Dans un petit parc du 17e arrondissement, alors que les enfants jouent après une dure journée d’étude et d’assiduité dans les écoles surpeuplées parisiennes et que leur parents discutent les uns avec les autres sur les derniers événements en lien avec la scolarité de leur enfant, des habituels cris se faisaient entendre dans le parc.
- Silvain !? Silvain !? Mais où à -t-il bien pu bien passer. Bonjour monsieur vous auriez vu un petit garçon l'air jovial dans les parages ?
- Elle est pas mal celle-là. Ça fait des enfants pour les allocations et c'est pas capable de s'en occuper… aïe mais arrêtez de me lancer du sable ! J'en ai plein dans les yeux !
Derrière les buissons, sous les toboggans, devant l’entrée, la maman paniquée cherchait dans chaque recoin du parc son enfant mais il restait introuvable. Les autres mères se contentèrent d’observer plein de dédain l’inquiétude de leur homologue familiale monter.
- Bonjour Joséphine, tu aurais vu…
- Désolée Tania, je ne sais pas où est ton bambin. Il vaudrait peut-être mieux que tu le laisses à la maison au lieu de le promener partout. Je dis ça pour toi et pour Silvain bien évidemment.
- Oui Tania, ni toi ni lui ne vous amusez, puis il réagit étrangement avec les autres enfants, peut-être qu'il n’est pas encor…
- Je n'ai pas besoin de vos conseils pour éduquer mon enfant.
- Très bien. On voulait pas t'énerver, pour enterrer la hache de guerre, je t’invite chez moi, viens avec Silvain.. enfin quand tu l'auras retrouvé
Les autres mères de famille ricanèrent comme des petites pestes après les mots inopportuns que venait de prononcer la femme. Malgré sa couleur ébène naturelle, on pouvait voir le sang de la jeune mère montée en elle mais d’un coup elle fut happée. Elle se précipita comme une furie vers le bac à sable, une petite paille sortait de l'amas de petit grain beige quadrillé.
Elle commença alors à creuser à proximité de la verticale en plastique sous les regards interrogateurs regards des petits et grands enfants.
- Madame, le sable est réservé aux gosses, ça paraît pourtant évident.
Sans porter la moindre attention au grassouillet garde du parc, la mère, pleine de détermination comme à son habitude, continuait à creuser tout en arrosant par la même occasion les autres enfants d'un océan de sable brûlant. Elle extirpa enfin un corps d'une soixantaine de centimètres du bac peint de la tête au pied de la beige poudre
- Qu'est-ce que tu fais, mon oiseau ? je te cherche depuis tout à l'heure ! Ça ne va pas de te noyer sous cette tonne de sable, qu’est-ce qui te prend ? Tu veux t'étouffer ?
- C'est Jérémy, on a joué à qui reste le plus longtemps dans le sable. Si je gagnais il m'a promis de me donner ses toupies Beyblade ! J'ai gagné maman ?
- Il n'a pas joué, mon oiseau. il est parti s'amuser sur la balançoire avec ses copains. N’écoute pas ce qu’ils te demandent de faire, ce sont de vrais petits monstres. Les chiens ne font pas des chats.
- On rentre, je vais te faire une fournée de tes beignets à la fève, ce que tu préfères mais pas à un mot à papa.
Elle couvra de mille bisous et de mille câlins le sablonneux enfant qui riait aux éclats, tête au vent.
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- Mon garçon ?! Mon garçon !? On est arrivé. Ecoute, Je me vois dans l'obligation de tout raconter à Marina au sujet de la fuite de sa fille et notre périple pour la retrouver. Ne t’inquiète pas, j’insisterai sur le fait que la fuite de la petite est majoritairement due à sa malice qu’à une quelconque faute de ta part.
- Je comprends, merci pour votre aide en tout cas. Je vais les saluer avant de rentrer chez moi.
Le dentiste te sortit de tes pensées avec ses dents réfléchissant partout sur les vitres de sa voiture familiale. Qu'est-ce qui allait arriver désormais ? Tu en avais aucune idée, Lola allait sûrement être déçu par le laxisme dont tu avais une nouvelle fois fait preuve mais ca t’était égal. L'essentiel était le retour à la maison de Ninoo et Juliana. Juliana, d'ailleurs, se tenait encore devant la porte.
________________ https://youtu.be/E9CuGgDNFkg ________________
- Il fait pas bien chaud, tu devrais rentrer à l’intérieur.
- Je veux pas rater ta PLS devant ta mère… je te taquine. C’était vraiment pas cool ce que tu m'as fait. J'ai tout fait pour t'aider le mieux que je pouvais lors de ton examen dentaire et c'est comme ça que tu réagis ? En me plantant comme un idiot ? Je ne te demandais aucun remerciement, juste une certain respect envers moi.
- Si tu veux que je m'excuse t'as pas tapé à la bonne porte.
- Oh mais je sais bien. Toi t'es la fille sans remords, sans sentiment qui s'en fout de tout à part d'elle. C'est en tout cas à ça que tu veux jouer mais tu trompes pas grand monde à ce petit jeu, désolé de te le dire.
Elle avait les bras croisés évitant ton regard en le tenant en l'air ou collé au sol, une certaine gêne se faisait sentir dans son comportement. Tu commençais à taper au bon endroit.
- Pourquoi t'es comme ça ? Quand je te vois j'ai l'impression que toute ta famille est morte sous tes yeux et que ça t'a donné une rancœur incroyable envers le monde et ses habitants alors que bien au contraire. T'es entouré par une famille aimante à chaque instant.
- Arrête un peu. Qu’est-ce tu sais de ma famille, qu'est-ce que tu sais de moi ? Rien. Nada. Tu sais pasTu penses peut-être que j'ai une vie de rêve mais t'es loin du compte mon gars. Y'a tellement de gens dans cette baraque de m*rde que tu deviens transparent, noyée dans ce tourbillon infernal. Que je sois vivante ou Morte, ça change pas grand-chose, pour moi comme pour eux.
- Je m'en fous. Ça a toujours été comme ça donc je suis habituée, au moins je peux faire ce que je veux quand je le veux sans que personne ne vienne m'emmerder à part des parasites comme toi. De quoi tu te mêles !? Je t’ai rien demandé, moi ! Va faire chier quelqu'un d'autre, j'ai besoin ni de toi, ni de personne alors barre-toi. BARRE-TOI !
- C'est pour ça que tes yeux sont aussi humides.. ?
La petite Juliana se battait pour ne pas une nouvelle fois éclater en larme devant toi serrant le poing . Elle se tenait comme un piquet, la tête baisée elle tapait le pied au sol. À ce moment-là, elle n'avait besoin que d'une seule chose. Tu tiras sa tête vers toi et la colla contre ton torse. Elle se débattait pour quitter ton étreinte frappant ses poings et ses pieds contre toi mais il en fallait bien plus pour te faire courber l’échine. Ses coups initialement assez violent devenaient de moins en moins intenses jusqu’à ce qu’elle lâche enfin prise. De chaudes gouttes humides atterrissaient désormais sur tes vêtements.
- Je comprends ce que tu ressens. "
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★ La vie avec Elle: Ta mère va préparer des beignets à la fève comme tu les aimes, que vas-tu faire ? ★
- Vote 1 : manger autant de beignets que tu peux, c'est tellement bon ces beignets. Et ça a l'air de faire tant plaisir à ta maman.
- Vote 2 : en manger raisonnablement, ton père risque de s'apercevoir de quelque chose si t'en manges trop.
★ En attendant de t’empiffrer quelle activité comptes-tu faire ? ★
- Vote A : confectionner un petit quelque chose pour ta maman
- Vote B : faire un dessin pour ton père.
- Vote C : fouiller dans l'appartement à la recherche d'un trésor secret !
Je vous ai manqué ? Non ? Bon bah c'est pas grave en tout cas la sweet arrive demain fin de soirée si tout va bien avec une annonce que je dois faire également sur la sweet des événements (annonce que je cesse de repousser mais bon)
Content que t'aies aimé la rétro avec Silvain, Tom ! J'espère que c'est aussi le cas des autres lecteurs car il y'en aura plusieurs durant les prochains chapitres
Le 15 février 2018 à 22:08:15 _Paradista a écrit :
Je vous ai manqué ? Non ? Bon bah c'est pas grave en tout cas la sweet arrive demain fin de soirée si tout va bien avec une annonce que je dois faire également sur la sweet des événements (annonce que je cesse de repousser mais bon)Content que t'aies aimé la rétro avec Silvain, Tom ! J'espère que c'est aussi le cas des autres lecteurs car il
y'en aura plusieurs durant les prochains chapitres
Tom
Tu arrêtes les votes quand ça?
Tom
Tu arrêtes les votes quand ça?
J'ai écrit Toy, ça a changé les votes s'arrêtent à 20h00 !
Le 16 février 2018 à 23:53:09 _Paradista a écrit :
Je vais pas pouvoir assurer pour ce soir, je suis même pas à la moitié de tout ce que je dois raconter dans la sweet elle est donc reportée, si y a des impatients, je peux tout de même sortir quelques extraits suffit de demander
Pas grave
Je mets en place un nouveau système pour les sweets longues
La première partie de la sweet va sortir, pour avoir la deuxième partie vous devez vous mobiliser en postant par exemple "sweet".
S'il y a au moins 2 personnes qui se sont mobilisées, la partie suivante sort dans les minutes qui suivent.
Si personne ne s'est mobilisée, la prochaine partie sort 2 heures après la diffusion de la précédente partie.
J'espère avoir été clair
Ce chapitre est divisé en 4 parties.
Données du topic
- Auteur
- -PARADISTA-
- Date de création
- 18 novembre 2017 à 13:22:05
- Nb. messages archivés
- 635
- Nb. messages JVC
- 634