[FIC] "Bienvenue dans la police criminelle monsieur Célestin Chancla"
Le 11 novembre 2024 à 21:04:20 :
Le 11 novembre 2024 à 19:06:04 :
Le 11 novembre 2024 à 18:32:09 :
Le 11 novembre 2024 à 18:21:15 :
Un week-end bien rempli, la suite devrait être pour demainChouette, j'ai fait quelques stickers pour la peine
Un peu de Jennifer et de Rob
Ce film, j'ai dû faire beaucoup de pauses
Pour la stickerisation bien sûr
J'aime beaucoup l'écriture et l'intrigue, hâte de voir la suite!
Je vais voter 3, j'aimerai bien comprendre quels profs font partie de ce cercle pour savoir sur qui enquêter, et les autres choix me semblent soit trop passifs (la voiture, aller voir l'autre groupe), soit complètement contre-productif (aller interroger un témoin seul, voir le journaliste alors que la hiérarchie l'interdit)
Le 11 novembre 2024 à 21:16:53 :
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Un week-end bien rempli, la suite devrait être pour demainChouette, j'ai fait quelques stickers pour la peine
Un peu de Jennifer et de RobCe film, j'ai dû faire beaucoup de pauses
Pour la stickerisation bien sûr
Le 11 novembre 2024 à 23:48:44 :
Le 11 novembre 2024 à 21:16:53 :
Le 11 novembre 2024 à 21:04:20 :
Le 11 novembre 2024 à 19:06:04 :
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> Le 11 novembre 2024 à 18:21:15 :
>Un week-end bien rempli, la suite devrait être pour demain
Chouette, j'ai fait quelques stickers pour la peine
Un peu de Jennifer et de RobCe film, j'ai dû faire beaucoup de pauses
Pour la stickerisation bien sûr
Le 12 novembre 2024 à 13:37:22 :
Le 12 novembre 2024 à 02:33:06 :
Arseneur'ed
Tu sais, ça reste quand même honorifique d'avoir la comparaison
Après un rapide passage vers le médecin légiste qui vous avait confirmé que la précaution était la seule mesure recommandée pour votre nez, vous croisez sur le retour Mike Landru et Camille Mendes passant dans le couloir en direction de la machine à café. Après réflexion, vous vous décidez à les rejoindre.
CHAPITRE 10 : LE TEMPS D’UN CAFÉ
- Bonjour !
- Hey, Chancla ! Alors, ton appartement te plaît ?
- Oui, beaucoup. C’est même un peu grand pour moi tout seul. Je voulais vous remercier d’être intervenu le premier jour, lorsque Barthod...
- Il fallait beaucoup de courage ou bien de bêtise pour aller lui demander d’éteindre sa cigarette. Même si tu avais raison, tu as été inconscient. Mais à part ça, comment se passe ton intégration ? On n'a pas vraiment eu le temps de rencontrer la nouvelle brigade.
- Ils sont sympas, même si ce n’est pas toujours facile par rapport à mon cas personnel.
- Pourquoi « par rapport à ton cas personnel » ?
Quel idiot ! Le commissaire n’a rien dû dire aux autres de ma situation.
- Juste comme ça, j’ai quelques lacunes parfois. Barrios m’a d’ailleurs demandé de travailler ma condition physique et mon tir.
- ...
- C’est que tu dois avoir d’autres qualités très développées, si tu as pu intégrer la crim’ malgré tes lacunes.
- Oui, ça doit être ça.
Alors que vous venez de vous servir en café et êtes en train de discuter, vous ressentez une présence dans votre dos.
- Regardez qui voilà ! Un oisillon tombé du nid.
Vous vous retournez et tendez une main faible à l’homme imposant qui vous fait face.
- Bon... Bonjour. Major Chancla.
- Capitaine Cortero. J’ai appris que tu avais essayé de casser la gueule à Barthod pour ta première !
Une main puissante prend la vôtre et l’écrase.
- ...C’est un peu exagéré, c’est surtout lui qui a mal réagi.
- Je vais rester avec l’image que le nouveau a voulu remettre à sa place cet abruti à peine l’as-tu vu. Il faudrait qu’on se rencontre vraiment avec ta brigade, on fera ça en fin de semaine. Il y a un bar dans lequel l’on va tous, tous les gars du poste sont des habitués.
- Nous verrons ça en temps voulu, non ?
Barrios était apparue dans le couloir, appuyée contre le mur. Elle semblait contrariée de vous trouver ainsi.
- Capitaine Barrios ! J’ai bien cru ne jamais vous rencontrer.
- On était occupé à travailler, jusqu’à il y a peu.
Elle était venue faire échouer sa phrase et son regard sur vous, le sous-entendu venant vous frapper au visage pour vous laisser les stigmates de la culpabilité.
- ... Je... désolé capitaine, je me remets au travail.
- Dans mon bureau, tout de suite. Gréville nous y attend.
Tête basse, vous passez à côté d’elle sans qu’elle ne vous adresse un regard. Vous buvez votre café d’une traite et vous séparez de votre gobelet dans une poubelle sur votre passage.
- Il ne faut pas être dure comme ça, il venait d’arriver.
- ... Bonne journée à vous.
Vous entrez dans le bureau du capitaine et prenez place sur la chaise restante. Le lieutenant tente de comprendre la raison de votre mine abattue. L’entrée sèche de Barrios répondit à ses interrogations.
- Je veux le compte rendu des vidéos.
Voyant que vous ne vous apprêtez pas à répondre, Gréville prend la parole tandis que Barrios s’assied à son bureau.
- Sur les vidéos, le groupe de jeunes quitte ensemble la maison avec deux voitures. Léa Vacquerie et Emilie étaient avec eux.
- Ils ont donc tous menti ?
- Tous. La question est de savoir où sont-ils allés ? J’étais en train de faire la demande de mandat pour accéder aux vidéos de surveillance de la ville afin de suivre les voitures et de voir où elles sont allées.
- Très bien. Autre chose ?
Greville reste muet. Vous comprenez qu’il vous laisse l’opportunité de répondre.
- Il n’y a pas que les jeunes qui ont quitté la maison ce soir-là. Peu après leur départ, monsieur Turpinier a quitté lui aussi son domicile avec sa voiture.
- Il nous faut vraiment le mandat de ces vidéos. Pour ma part, j’ai été voir le Terre-Foulox. Une superbe demeure qu’un des élèves que nous avons interrogé a loué à la date indiquée sur le mémo relevé par Célestin.
- Un rendez-vous amoureux ?
- Vu la taille de la maison, je pense plutôt qu’il va s’agir d’une fête étudiante, avec vraiment beaucoup de monde.
- Rien d’exploitable donc ?
- J’aurais bien dit oui, mais puisque ce papier nous a été caché une fois la victime annoncée morte, je deviens très intéressée par cette soirée.
- On va interroger à nouveau ses camarades ?
Barrios s’enfonce dans son siège et prend un air songeur.
- Je ne sais pas. Tous mentent sans hésiter alors que leur camarade est décédée. Je n’exclus pas que la mère nous ait menti aussi. La tournure des évènements me déboussole un peu.
- Il n’y aurait pas un moyen de se renseigner sans les interroger frontalement puisqu’ils ne veulent pas parler ?
- Un m’a traversé l’esprit, mais...
Elle n’avait pas terminé sa phrase et vous fixait.
- Si c’est ce que je pense, c’est une très mauvaise idée. Ils vont immédiatement griller qu’il est flic.
- Non, justement, car il ne ressemble pas à un flic.
Vous regardez alternativement vos deux collègues à la recherche du sens de leurs propos.
-... J’ai du mal à comprendre où vous voulez en venir.
- Ils doivent tous se connaître.
- La maison est vraiment immense, je pense plus que cela sera une grande soirée étudiante comme ils en font en médecine, avec même possiblement des gens de l’extérieur. Ce sera juste avant les vacances de Noël.
Attends, je commence de comprendre... elle n'est pas sérieuse ?
- Ils ne l’ont pas déjà vu ?
- Non, c’est moi qui les ai interrogés. Célestin s’est chargé des professeurs.
- Et s’il y a des profs ?
- Je ne sais pas... Je réfléchissais seulement à cette éventualité.
- Vous voulez que je m’infiltre à la soirée ?
- Peut-être... Nous verrons où nous en serons dans quelques jours. D’ici là : Lucien, obtiens le mandat pour les vidéos. Célestin, tu fouilles le fichier des condamnations pour crime ou délit sexuel et vois si un nom que nous connaissons ressort.
- Il n’y a pas eu d’agression sexuelle sur la fille selon le légiste, je ne suis pas sûr que cela soit une bonne piste.
- Je sais, mais il l’a mise nue et a lavé son corps. Cela peut être sexuel pour le tueur.
Le capitaine se lève et prend la direction de la porte.
- Allez, au boulot ! Moi, je vais essayer d’obtenir des informations sur la soirée. Le propriétaire m’a donné le nom du brasseur qui devrait leur louer des tireuses à bière. Ça devrait nous donner une idée du nombre qu’ils seront. À ce soir !
- Tu pourras me prendre une brochure avec les prix s’il te...
Elle ferme la porte derrière elle. Gréville et vous restez assis à vous regarder.
- Qu’est-ce que tu as fait ?
- Elle est arrivée alors que je buvais un café avec l’autre équipe.
Le lieutenant rie.
Il se lève et pose une main sur votre épaule.
- J'ai une idée de qui va devoir se coltiner le visionnage de toutes les caméras de la ville dès que j’aurai le mandat.
- ...
______________
Derrière votre écran, vous êtes absorbé par votre travail. Les listes de condamnés défilent sans relâche devant vos yeux depuis plusieurs heures maintenant, lorsqu’un tapotement sur votre bureau extirpe pour la première fois de l’après-midi votre attention de l’ordinateur.
- Allez le génie, c’est la fin de journée.
D’un coup d’œil, vous découvrez que les lumières autour de vous sont pour la plupart éteintes et que les bureaux se vident. Vous faites vos affaires tandis que Gréville vous quitte. Un dernier regard vers les bureaux vous permet de remarquer qu’un seul est encore allumé. Il s’agit de celui de Barrios. Vous décidez d’aller la saluer avant de partir et frappez à sa porte.
- Entrez ! ... Ah, Célestin, c’est toi.
- Oui, je venais seulement te saluer avant de partir et m’excuser pour tout à l’heure.
- Oh ! Ce n’est rien, c’était déjà oublié.
- Bon, eh bien... À demain !
- À demain, Célestin.
Après vous avoir adressé ces derniers mots, elle reporta immédiatement son regard vers son ordinateur pour se replonger dans son travail. Elle semblait déterminée à rester au bureau. Vous refermez sans un bruit la porte et partiez pour votre appartement lorsque vous êtes interpellé par Mike Landru.
- Hey, Chancla. J’ai repensé à ce que tu as dit tout à l’heure, sur ce que t’avait demandé le capitaine Barrios, et, si tu veux, je vais plusieurs fois par semaine à la salle de sport. Nous pourrions y aller ensemble, je t’aiderais au début.
- Oh ! C’est sympa.
- Et sinon, il y a aussi Mendes qui est très douée au tir. Je l’ai déjà vu tirer une cerise à cinquante mètres du premier coup pour te dire. Je pourrais lui demander qu'elle t’emmène au stand de tir pour que tu puisses t’améliorer. Par contre, comme nous avons les mêmes heures avec Camille, je ne pense pas que tu pourras faire les deux.
Qu’allez-vous répondre ?
1) Vous irez dorénavant à la salle de musculation avec le major Mike Landru.
2) Vous acceptez que Mike demande au lieutenant Camille Mendes si elle peut vous initier au tir.
3) Vous remerciez Mike et dites que vous réfléchirez à sa proposition.
Si Célestin va à sa première soirée étudiante, il va falloir qu'il ait un peu plus confiance en lui pour ne pas être ostracisé
Et il n'aura pas d'arme pour se défendre si ça se passe mal
Données du topic
- Auteur
- PubliusOvidius
- Date de création
- 30 octobre 2024 à 20:15:02
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