[ALERTE] Leur fils vote Bardella, leur réaction va vous étonner
Le 15 juillet 2024 à 16:38:38 :
Et encore il est poli le gamin "Je n'ai pas à expliquer mon vote" il aurait pu lâcher la tirade qu'il pense et ses parents seraient à l'hosto.
J'ai l'impression que c'est le genre de gamin normal dans une famille de kassos, force à lui
Le 15 juillet 2024 à 16:37:32 :
Le 15 juillet 2024 à 16:34:23 :
Ce genre de gauchistes en phase terminal qui préféraient que leur gosse soit un délinquant plutôt que de voter RN
Le gars a du s'en prendre plein la gueule dans le 93 avec des parents profsPour eux, il vaut mieux être un petit ange connu des services de police, qui conduit sans permis et refuse d'obtempérer, qu'un récidiviste qui a voté 2 fois pour le RN
c'est aussi pour ça que les adultes et parents seront incapables de comprendre le basculement.
[16:39:32] <DucdeGuyenneIII>
Le 15 juillet 2024 à 16:38:38 :
Et encore il est poli le gamin "Je n'ai pas à expliquer mon vote" il aurait pu lâcher la tirade qu'il pense et ses parents seraient à l'hosto.J'ai l'impression que c'est le genre de gamin normal dans une famille de kassos, force à lui
Ses parents à deux doigts de l'envoyer à l'hôpital psychiatrique.
Le 15 juillet 2024 à 14:00:07 :
https://www.liberation.fr/societe/prof-en-seine-saint-denis-son-fils-a-vote-bardella-je-pensais-quil-me-provoquait-puis-jai-compris-quil-etait-serieux-20240715_YIIHUAKXL5H4TFQNAOSDCLTQDU/#:~:text=La%20professeure%20de%20fran%C3%A7ais%20dans,dans%20l'urne%20aux%20europ%C3%A9ennes.Un silence de fatigue. Les coudes sur la table, Isabelle cherche ses mots. Ses yeux clairs ne cachent pas son regard sombre. [...] Son fils aîné - le second est mineur - a glissé un bulletin «Jordan Bardella» dans l’urne aux européennes. [...] Isabelle, 53 ans, se réveille au milieu des nuits. Charles récidivera trois semaines plus tard lors du premier tour des législatives.
Ces gens sont sincèrement malades mentalement.
Le 15 juillet 2024 à 16:39:32 :
Le 15 juillet 2024 à 16:37:32 :
Le 15 juillet 2024 à 16:34:23 :
Ce genre de gauchistes en phase terminal qui préféraient que leur gosse soit un délinquant plutôt que de voter RN
Le gars a du s'en prendre plein la gueule dans le 93 avec des parents profsPour eux, il vaut mieux être un petit ange connu des services de police, qui conduit sans permis et refuse d'obtempérer, qu'un récidiviste qui a voté 2 fois pour le RN
c'est aussi pour ça que les adultes et parents seront incapables de comprendre le basculement.
Là, c'est aussi le cliché des bobos profs de français qui ont encore leur pin's "La jeunesse emmerde le FN".
Ils admettent quand même que voter à gauche est un vote de privilégiés (la gauche c'est censé être la lutte des classes) et ils taclent les "gamins pauvres qui se font chier à la campagne".
Vivement que leur fils gagne sa vie, il pourra se barrer de chez ces tarax
Le 15 juillet 2024 à 16:42:39 :
Le 15 juillet 2024 à 16:39:32 :
Le 15 juillet 2024 à 16:37:32 :
Le 15 juillet 2024 à 16:34:23 :
Ce genre de gauchistes en phase terminal qui préféraient que leur gosse soit un délinquant plutôt que de voter RN
Le gars a du s'en prendre plein la gueule dans le 93 avec des parents profsPour eux, il vaut mieux être un petit ange connu des services de police, qui conduit sans permis et refuse d'obtempérer, qu'un récidiviste qui a voté 2 fois pour le RN
c'est aussi pour ça que les adultes et parents seront incapables de comprendre le basculement.
Là, c'est aussi le cliché des bobos profs de français qui ont encore leur pin's "La jeunesse emmerde le FN".
Ils admettent quand même que voter à gauche est un vote de privilégiés (la gauche c'est censé être la lutte des classes) et ils taclent les "gamins pauvres qui se font chier à la campagne".Vivement que leur fils gagne sa vie, il pourra se barrer de chez ces tarax
oui enfin seulement il se heurtera à leur supposée liberté d'inquisiteur par la suite.
Le 15 juillet 2024 à 16:45:48 :
Le 15 juillet 2024 à 16:42:39 :
Le 15 juillet 2024 à 16:39:32 :
Le 15 juillet 2024 à 16:37:32 :
Le 15 juillet 2024 à 16:34:23 :
Ce genre de gauchistes en phase terminal qui préféraient que leur gosse soit un délinquant plutôt que de voter RN
Le gars a du s'en prendre plein la gueule dans le 93 avec des parents profsPour eux, il vaut mieux être un petit ange connu des services de police, qui conduit sans permis et refuse d'obtempérer, qu'un récidiviste qui a voté 2 fois pour le RN
c'est aussi pour ça que les adultes et parents seront incapables de comprendre le basculement.
Là, c'est aussi le cliché des bobos profs de français qui ont encore leur pin's "La jeunesse emmerde le FN".
Ils admettent quand même que voter à gauche est un vote de privilégiés (la gauche c'est censé être la lutte des classes) et ils taclent les "gamins pauvres qui se font chier à la campagne".Vivement que leur fils gagne sa vie, il pourra se barrer de chez ces tarax
oui enfin seulement il se heurtera à leur supposée liberté d'inquisiteur par la suite.
Il le dit bien dans l'article d'ailleurs "Mes parents m'ont élevé en me disant que j'étais libre, qu'ils me soutiendraient dans mes choix".
Au final, ça poucave son vote à Libé et ça ne dort plus car il a voté Bardella
Dans une petite salle de leur maison, où chaque coin respire des souvenirs de bonheur passé, Marie et Jean Dupont s'assoient l'un à côté de l'autre, leurs mains jointes dans une étreinte silencieuse. Leurs visages sont marqués par l'inquiétude et la fatigue, des traits autrefois lumineux maintenant assombris par une douleur incessante. Aujourd'hui, ils ont décidé de parler. De partager une vérité amère qu'ils cachent depuis trop longtemps.
Marie commence, sa voix tremblante mais déterminée : "Notre fils, Thomas, est dépendant à l'héroïne." Un silence lourd s'installe, comme si ces mots avaient le pouvoir de suspendre le temps. "C'est difficile à admettre," continue-t-elle, les larmes coulant silencieusement sur ses joues, "mais nous ne pouvons plus rester silencieux."
Jean prend la relève, sa voix grave et remplie de tristesse. "Thomas était un garçon plein de vie, passionné par ses études et le sport. Il avait des rêves, des ambitions. Mais tout a changé il y a trois ans. Nous avons remarqué qu'il devenait distant, qu'il s'isolait de plus en plus. Puis, un jour, nous avons trouvé des seringues dans sa chambre. Ce fut un choc inimaginable."
Les mains de Marie se crispent sur celles de son mari. "Nous avons tout essayé," dit-elle, sa voix se brisant. "Des thérapies, des centres de désintoxication, mais rien ne semble fonctionner. L'héroïne a une emprise sur lui que nous ne pouvons pas briser."
Jean hoche la tête, les yeux fixés sur un point invisible. "C'est comme si nous avions perdu notre fils," murmure-t-il. "L'homme que nous voyons maintenant n'est plus le Thomas que nous avons élevé. Il est prisonnier d'une drogue qui détruit tout sur son passage."
Marie se tourne vers la caméra, ses yeux suppliants. "Nous voulons dire à tous les parents qui passent par la même chose : vous n'êtes pas seuls. Il faut en parler, il faut demander de l'aide. Nous espérons que notre histoire pourra peut-être aider quelqu'un, quelque part."
Jean conclut, sa voix pleine de désespoir mais aussi d'une résilience silencieuse : "Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve. Chaque jour est une bataille. Mais nous aimons notre fils et nous nous battrons pour lui, jusqu'à notre dernier souffle."
Le témoignage des Dupont est un rappel poignant des ravages de la dépendance. Leur courage à exposer leur douleur au grand jour est un appel à la compréhension, à l'empathie, et surtout, à l'action pour tous ceux qui sont confrontés à cette terrible réalité.
Je sais que ça existe des golems un peu comme ça mais là c’est trop
Le 15 juillet 2024 à 16:51:31 :
Dans une petite salle de leur maison, où chaque coin respire des souvenirs de bonheur passé, Marie et Jean Dupont s'assoient l'un à côté de l'autre, leurs mains jointes dans une étreinte silencieuse. Leurs visages sont marqués par l'inquiétude et la fatigue, des traits autrefois lumineux maintenant assombris par une douleur incessante. Aujourd'hui, ils ont décidé de parler. De partager une vérité amère qu'ils cachent depuis trop longtemps.Marie commence, sa voix tremblante mais déterminée : "Notre fils, Thomas, est dépendant à l'héroïne." Un silence lourd s'installe, comme si ces mots avaient le pouvoir de suspendre le temps. "C'est difficile à admettre," continue-t-elle, les larmes coulant silencieusement sur ses joues, "mais nous ne pouvons plus rester silencieux."
Jean prend la relève, sa voix grave et remplie de tristesse. "Thomas était un garçon plein de vie, passionné par ses études et le sport. Il avait des rêves, des ambitions. Mais tout a changé il y a trois ans. Nous avons remarqué qu'il devenait distant, qu'il s'isolait de plus en plus. Puis, un jour, nous avons trouvé des seringues dans sa chambre. Ce fut un choc inimaginable."
Les mains de Marie se crispent sur celles de son mari. "Nous avons tout essayé," dit-elle, sa voix se brisant. "Des thérapies, des centres de désintoxication, mais rien ne semble fonctionner. L'héroïne a une emprise sur lui que nous ne pouvons pas briser."
Jean hoche la tête, les yeux fixés sur un point invisible. "C'est comme si nous avions perdu notre fils," murmure-t-il. "L'homme que nous voyons maintenant n'est plus le Thomas que nous avons élevé. Il est prisonnier d'une drogue qui détruit tout sur son passage."
Marie se tourne vers la caméra, ses yeux suppliants. "Nous voulons dire à tous les parents qui passent par la même chose : vous n'êtes pas seuls. Il faut en parler, il faut demander de l'aide. Nous espérons que notre histoire pourra peut-être aider quelqu'un, quelque part."
Jean conclut, sa voix pleine de désespoir mais aussi d'une résilience silencieuse : "Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve. Chaque jour est une bataille. Mais nous aimons notre fils et nous nous battrons pour lui, jusqu'à notre dernier souffle."
Le témoignage des Dupont est un rappel poignant des ravages de la dépendance. Leur courage à exposer leur douleur au grand jour est un appel à la compréhension, à l'empathie, et surtout, à l'action pour tous ceux qui sont confrontés à cette terrible réalité.
Sans rire, l'article de libé, on dirait une parodie des témoignages des parents dont les fils étaient partis rejoindre daesh.
je me demande pourquoi ils vont pas voir un psy pour eux au lieu de vouloir envoyer plutot leur gamin
toujours la faute des autres, si ces autres ne sont pas comme eux
apres ca pronent la tolerance
juste du bon gros virtue signaling
tu comprends mieux l education dans le 93, avec des profs comme eux, qui vont dans le sens de futur delinquant
ils auraient balancé samuel paty
d'ailleurs, à l epoque, un prof de la meme ecole de ce dernier etait pret à dire que c etait un fach*, jusqu à qu'il decouvre qu'il s est fait decapiter et là, magiquement, ca l'ouvre plus. Ah ben ouai, le virtuel signaling aurait été trop evident
En même temps, y a rien de pire que les profs dans une famille. Ils savent toujours mieux que tout le monde, et sont les premiers donneurs de leçon, car ils sont plus cultivé que toi, et ton avis est toujours stupide.
Je le plains
Données du topic
- Auteur
- CzernyMost
- Date de création
- 15 juillet 2024 à 14:00:07
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