Les "ÉTUDES" non-scientitiques: on en HABLAMOS?
c'est vrai que pour trancher entre sciences molles et sciences dures il faut déja savoir si la science dure est vraiment dure, ou pas!
perso je pense que la science ( hors mathématique, que je ne considère même pas comme de la science) relève du consensus.
Des choses arrivent ( le soleil se lève tous les matins), on conjecture une théorie et on se met à plusieurs pour valider ou non la théorie.
Et c'est tout!
C'est cela qu'on appele "science"
pour résumer , est scientifique une discipline qui permet de décrire, modéliser et/ou prédir la réalité.
Le 06 juin 2024 à 14:09:01 :
Le 06 juin 2024 à 14:06:06 :
Le 06 juin 2024 à 14:05:06 :
Le 06 juin 2024 à 14:03:54 :
Le 06 juin 2024 à 14:02:00 :
> Le 06 juin 2024 à 14:00:44 :
>> Le 06 juin 2024 à 13:51:17 :
> >D'ailleurs vous définissez comment la rationalité en toute généralité ? Est-ce même possible d'en donner une définition précise ? Et quand bien même peut-on définir la rationalité, peut-on réellement l'introduire partout, dans tous les sujets/domaines en gardant toujours du sens ?
>
> Tu dois être chiant.
? C'est gratuit ça khey, je discute c'est tout
Oui je t'aime bien quand même.
Du coup des réponses ?
T'es pas capable de donner des éléments de réponses déjà ? Quel rapport avec le sujet ?
J'ai un avis primitif sur la question que je suis entrain de construire en demandant des avis justement, le rapport il n'y en a pas tant que ça (d'où le "d'ailleurs") nonobstant les quelques personnes du topic qui parlent de rationalité dans les sciences sans la définire
Je comprends ta demarche intellectuelle, mais honnetement on ne va pas reinventer l´eau chaude a chaque fois qu´on ecrit un article de recherche, pas besoin besoin de remonter toute l´epistemiologie jusqu´a Descartes pour ecrire un papier, on s´en fout gentillement. Je pense que tu aurais meilleur compte a plutot te renseigner sur les problemes d´ethique et de mauvaise conduite dans la recherche, il y a vraiment de quoi creuser de cote-la
Le 06 juin 2024 à 14:15:37 :
c'est vrai que pour trancher entre sciences molles et sciences dures il faut déja savoir si la science dure est vraiment dure, ou pas!
perso je pense que la science ( hors mathématique, que je ne considère même pas comme de la science) relève du consensus.
Des choses arrivent ( le soleil se lève tous les matins), on conjecture une théorie et on se met à plusieurs pour valider ou non la théorie.
Et c'est tout!
C'est cela qu'on appele "science"
Il y a un certains niveau de "consensus" en mathématiques aussi sous forme d'axiomes et de conventions, mais ce n'est effectivement pas exactement la même chose que dans les sciences naturelles dans le sens où ces "consensus" on ne les voit pas vraiment changer à part si on souhaite reconstruire la totalité ou la quasi totalité de nos mathématiques à 0
Le 06 juin 2024 à 14:15:17 :
Le 06 juin 2024 à 14:07:00 :
Le 06 juin 2024 à 14:00:45 :
Le 06 juin 2024 à 13:57:25 :
Le 06 juin 2024 à 13:51:17 :
D'ailleurs vous définissez comment la rationalité en toute généralité ? Est-ce même possible d'en donner une définition précise ? Et quand bien même peut-on définir la rationalité, peut-on réellement l'introduire partout, dans tous les sujets/domaines en gardant toujours du sens ?Faculté à découvrir le vrai.
Ça a du sens dans un contexte logico-mathématique (bien que le verbe "découvrir" pose d'autres questions), maintenant dans un contexte isolé comme celui de la morale en philosophie est-ce que ça a encore du sens ?
ça dépend de ce que tu considères comme "le vrai"
La vérité historique par exemple fait parti du vrai.
La morale peut-être considéré comme vraie mais dans un sens beaucoup plus relative. Chacun pense que sa morale est la bonne.
Il est utile d'introduire la notion de connaissable.
Je ne pense donc pas qu'on puisse considérer la philosophie morale comme du domaine du connaissable. Mais ça n'empèche pas d'en parler, il faut juste accepter qu'aucun consensus universel ne pourra être établie, et donc qu'on ne peut pas vraiment prouver quelque chose dans ce domaine. On peut convaincre, à la limiteLe vrai pour moi il y a deux définitions plus ou moins distinctes : il y a les choses telles qu'elles le sont à priori en dehors de la perception humaine (la réalité au sens large qui encapsule donc la vérité), et le "vrai" en tant que valeur que l'on peut ou non attribuer en logique/mathématique à des assertions diverses
Effectivement la morale ne tombe dans aucune cas
oui mais le vrai " a priori", existe-t-il en dehors de toute perception humaine?
C'est ce que tu appeles la réalité
Tu distingues donc bien d'un côté la réalité, objective, et le vraie, ou vérité, propriété d'une assertion, qui dépend donc uniquement du language
Le 06 juin 2024 à 14:19:25 :
Le 06 juin 2024 à 14:15:37 :
c'est vrai que pour trancher entre sciences molles et sciences dures il faut déja savoir si la science dure est vraiment dure, ou pas!
perso je pense que la science ( hors mathématique, que je ne considère même pas comme de la science) relève du consensus.
Des choses arrivent ( le soleil se lève tous les matins), on conjecture une théorie et on se met à plusieurs pour valider ou non la théorie.
Et c'est tout!
C'est cela qu'on appele "science"Il y a un certains niveau de "consensus" en mathématiques aussi sous forme d'axiomes et de conventions, mais ce n'est effectivement pas exactement la même chose que dans les sciences naturelles dans le sens où ces "consensus" on ne les voit pas vraiment changer à part si on souhaite reconstruire la totalité ou la quasi totalité de nos mathématiques à 0
c'est vrai mais il y a encore bcps de recherche en logique notamment en axiomatique avec la théorie ZFC, etc, tu connais ?
Mais bon franchement je trouve plus interessantes les applications concrètes des maths
Par contre dire que le commerce sert à rien, faut vraiment être un cassos
Tu fais comment pour vendre des produits et des services sans service commercial le génie ?
Le 06 juin 2024 à 14:19:25 :
Le 06 juin 2024 à 14:15:37 :
c'est vrai que pour trancher entre sciences molles et sciences dures il faut déja savoir si la science dure est vraiment dure, ou pas!
perso je pense que la science ( hors mathématique, que je ne considère même pas comme de la science) relève du consensus.
Des choses arrivent ( le soleil se lève tous les matins), on conjecture une théorie et on se met à plusieurs pour valider ou non la théorie.
Et c'est tout!
C'est cela qu'on appele "science"Il y a un certains niveau de "consensus" en mathématiques aussi sous forme d'axiomes et de conventions, mais ce n'est effectivement pas exactement la même chose que dans les sciences naturelles dans le sens où ces "consensus" on ne les voit pas vraiment changer à part si on souhaite reconstruire la totalité ou la quasi totalité de nos mathématiques à 0
C'est pas vraiment ce qu'il pointe du doigt à mon sens, je l'ai déjà précisé dans un post dans les pages précédentes, c'est une logique propre au langage.
Et les maths sont une forme de langage pour décrire comme il dit la réalité, les faits, c'est d'ailleurs plus légitime de parler de véracité en ce qui concerne la science et non de vérité.
La vérité seul un être omniscient la détient, autrement dit personne, celui qui souhaite imposer son savoir à autrui applique comme l'op, comme le colon, comme le tyran une logique totalitaire car prévaut sa vision du bien, de la vérité, de ce qui est juste.
Mais la réalité ne peut être dite "toute" par le langage humain, il manque toujours quelque chose car l'homme est manquant, ce savoir incomplet c'est l'objet même de son désir, sa quête du Graal, et la science ne doit jamais pour autant s'arrêter à ce qui a été fait mais toujours douter, remettre en question.
Le problème du scientiste c'est qu'il part de sa conviction tel un militant pour arriver à sa conclusion, il borne son pretendu savoir dans une case par peur du vide et de l'inconnu, du savoir inconnu et jamais su. C'est rassurant de se dire "scientifique" de prétendre savoir et savoir mieux qu'un autre, de rabaisser autrui comme le font certains médecins ou le fait l'op, ça évite de faire face à sa propre ignorance en se raccrochant à son petit savoir.
Les maths ne décrivent aucunement comme la physique d'ailleurs qui fut le modèle de popper pour décrire ce qu'est une science le réel. Ils décrivent simplement de manière partielle le réel pour se faire comprendre de chacun, mais aucunement le réel en tant que tel, il manque toujours quelque chose en parlant.
Le 06 juin 2024 à 14:24:14 :
Le 06 juin 2024 à 14:19:25 :
Le 06 juin 2024 à 14:15:37 :
c'est vrai que pour trancher entre sciences molles et sciences dures il faut déja savoir si la science dure est vraiment dure, ou pas!
perso je pense que la science ( hors mathématique, que je ne considère même pas comme de la science) relève du consensus.
Des choses arrivent ( le soleil se lève tous les matins), on conjecture une théorie et on se met à plusieurs pour valider ou non la théorie.
Et c'est tout!
C'est cela qu'on appele "science"Il y a un certains niveau de "consensus" en mathématiques aussi sous forme d'axiomes et de conventions, mais ce n'est effectivement pas exactement la même chose que dans les sciences naturelles dans le sens où ces "consensus" on ne les voit pas vraiment changer à part si on souhaite reconstruire la totalité ou la quasi totalité de nos mathématiques à 0
c'est vrai mais il y a encore bcps de recherche en logique notamment en axiomatique avec la théorie ZFC, etc, tu connais ?
Mais bon franchement je trouve plus interessantes les applications concrètes des maths
Oui l'axiomatique des fondements c'est tout un domaine des mathématiques, mais on considère la théorie des ensembles suffisamment cohérente et efficace pour que l'on ait pas réellement à se prendre plus la tête que ça aujourd'hui (d'autant plus qu'il n'y en pas réellement besoin puisqu'une collection d'axiomes ne peut pas être "complète"), cependant c'est toujours amusant de faire "joujou" avec les axiomes que ça soit sur les ensembles ou autres pour voir ce que ça peut donner ou ne peut pas donner
Le 06 juin 2024 à 14:22:02 :
Le 06 juin 2024 à 14:15:17 :
Le 06 juin 2024 à 14:07:00 :
Le 06 juin 2024 à 14:00:45 :
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> Le 06 juin 2024 à 13:51:17 :
>D'ailleurs vous définissez comment la rationalité en toute généralité ? Est-ce même possible d'en donner une définition précise ? Et quand bien même peut-on définir la rationalité, peut-on réellement l'introduire partout, dans tous les sujets/domaines en gardant toujours du sens ?
Faculté à découvrir le vrai.
Ça a du sens dans un contexte logico-mathématique (bien que le verbe "découvrir" pose d'autres questions), maintenant dans un contexte isolé comme celui de la morale en philosophie est-ce que ça a encore du sens ?
ça dépend de ce que tu considères comme "le vrai"
La vérité historique par exemple fait parti du vrai.
La morale peut-être considéré comme vraie mais dans un sens beaucoup plus relative. Chacun pense que sa morale est la bonne.
Il est utile d'introduire la notion de connaissable.
Je ne pense donc pas qu'on puisse considérer la philosophie morale comme du domaine du connaissable. Mais ça n'empèche pas d'en parler, il faut juste accepter qu'aucun consensus universel ne pourra être établie, et donc qu'on ne peut pas vraiment prouver quelque chose dans ce domaine. On peut convaincre, à la limiteLe vrai pour moi il y a deux définitions plus ou moins distinctes : il y a les choses telles qu'elles le sont à priori en dehors de la perception humaine (la réalité au sens large qui encapsule donc la vérité), et le "vrai" en tant que valeur que l'on peut ou non attribuer en logique/mathématique à des assertions diverses
Effectivement la morale ne tombe dans aucune casoui mais le vrai " a priori", existe-t-il en dehors de toute perception humaine?
C'est ce que tu appeles la réalité
Tu distingues donc bien d'un côté la réalité, objective, et le vraie, ou vérité, propriété d'une assertion, qui dépend donc uniquement du language
Trop de verbiage pour exprimer une idee au fond tres simple...Sans vouloir etre mechant, c´est un peu pour ca que certains se foutent de la gueule des "sciences molles" justement
L'auteur a raison.
Les sciences molles monopolisent trop l'espace public. Il est inconcevable de réaliser que le nom et la vie de Grothendieck ont une notoriété secrète alors que tout le monde connaît à peu près Sartre et Camus.
Les sciences dures sont tout ce qui compte. Bergson s'était ridiculisé en allant attaquer Einstein sur la théorie de la relativité, car les travaux d'Einstein rendait toutes les billevesées qu'il avait faites sur le temps totalement caduques.
Le 06 juin 2024 à 14:30:06 :
Le 06 juin 2024 à 14:22:02 :
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> Le 06 juin 2024 à 13:57:25 :
>> Le 06 juin 2024 à 13:51:17 :
> >D'ailleurs vous définissez comment la rationalité en toute généralité ? Est-ce même possible d'en donner une définition précise ? Et quand bien même peut-on définir la rationalité, peut-on réellement l'introduire partout, dans tous les sujets/domaines en gardant toujours du sens ?
>
> Faculté à découvrir le vrai.
Ça a du sens dans un contexte logico-mathématique (bien que le verbe "découvrir" pose d'autres questions), maintenant dans un contexte isolé comme celui de la morale en philosophie est-ce que ça a encore du sens ?
ça dépend de ce que tu considères comme "le vrai"
La vérité historique par exemple fait parti du vrai.
La morale peut-être considéré comme vraie mais dans un sens beaucoup plus relative. Chacun pense que sa morale est la bonne.
Il est utile d'introduire la notion de connaissable.
Je ne pense donc pas qu'on puisse considérer la philosophie morale comme du domaine du connaissable. Mais ça n'empèche pas d'en parler, il faut juste accepter qu'aucun consensus universel ne pourra être établie, et donc qu'on ne peut pas vraiment prouver quelque chose dans ce domaine. On peut convaincre, à la limiteLe vrai pour moi il y a deux définitions plus ou moins distinctes : il y a les choses telles qu'elles le sont à priori en dehors de la perception humaine (la réalité au sens large qui encapsule donc la vérité), et le "vrai" en tant que valeur que l'on peut ou non attribuer en logique/mathématique à des assertions diverses
Effectivement la morale ne tombe dans aucune casoui mais le vrai " a priori", existe-t-il en dehors de toute perception humaine?
C'est ce que tu appeles la réalité
Tu distingues donc bien d'un côté la réalité, objective, et le vraie, ou vérité, propriété d'une assertion, qui dépend donc uniquement du languageTrop de verbiage pour exprimer une idee au fond tres simple...Sans vouloir etre mechant, c´est un peu pour ca que certains se foutent de la gueule des "sciences molles" justement
Je comprends ton ressenti face à ce genre de discussions, malheureusement je pense que c'est nécessaire de s'engouffrer dans ce genre de convolution comme beaucoup l'ont fait par le passé sans quoi on se confronte à des incompréhensions, des incohérences ou autres
Mais c'est effectivement pas ce qui va nous faire avancer dans les sciences en général
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> >D'ailleurs vous définissez comment la rationalité en toute généralité ? Est-ce même possible d'en donner une définition précise ? Et quand bien même peut-on définir la rationalité, peut-on réellement l'introduire partout, dans tous les sujets/domaines en gardant toujours du sens ?
>
> Faculté à découvrir le vrai.
Ça a du sens dans un contexte logico-mathématique (bien que le verbe "découvrir" pose d'autres questions), maintenant dans un contexte isolé comme celui de la morale en philosophie est-ce que ça a encore du sens ?
ça dépend de ce que tu considères comme "le vrai"
La vérité historique par exemple fait parti du vrai.
La morale peut-être considéré comme vraie mais dans un sens beaucoup plus relative. Chacun pense que sa morale est la bonne.
Il est utile d'introduire la notion de connaissable.
Je ne pense donc pas qu'on puisse considérer la philosophie morale comme du domaine du connaissable. Mais ça n'empèche pas d'en parler, il faut juste accepter qu'aucun consensus universel ne pourra être établie, et donc qu'on ne peut pas vraiment prouver quelque chose dans ce domaine. On peut convaincre, à la limiteLe vrai pour moi il y a deux définitions plus ou moins distinctes : il y a les choses telles qu'elles le sont à priori en dehors de la perception humaine (la réalité au sens large qui encapsule donc la vérité), et le "vrai" en tant que valeur que l'on peut ou non attribuer en logique/mathématique à des assertions diverses
Effectivement la morale ne tombe dans aucune casoui mais le vrai " a priori", existe-t-il en dehors de toute perception humaine?
C'est ce que tu appeles la réalité
Tu distingues donc bien d'un côté la réalité, objective, et le vraie, ou vérité, propriété d'une assertion, qui dépend donc uniquement du languageTrop de verbiage pour exprimer une idee au fond tres simple...Sans vouloir etre mechant, c´est un peu pour ca que certains se foutent de la gueule des "sciences molles" justement
ce n'est pas simple. L'epistémologie est un domaine très riche, passionnant et qui été étudié par les plus grands mathématiens, physicien, philosophe, etc.
Renseigne toi sur Bertrand Russel, Wittgenstein, Kant, Hume, etc.
Si tu trouves ça basique c'est que tu comprend pas les difficultés conceptuelles et leurs concéquences ( ou que tu ne veux pas t'y interesser, mais ça je le comprend tout a fait)
nonobstant le QI en médecine est 100, le même que pour ceux qui font des études pour devenir éducateurs
En philo, la moyenne est 120, logique, de même pour math et physique qui sont mes domaines
J'adore les jean médecine qui se pense smart alors qu'ils font des études de low, qui consiste juste à bourriner la mémorisation...
Le 06 juin 2024 à 17:17:42 :
nonobstant le QI en médecine est 100, le même que pour ceux qui font des études pour devenir éducateurs
En philo, la moyenne est 120, logique, de même pour math et physique qui sont mes domainesJ'adore les jean médecine qui se pense smart alors qu'ils font des études de low, qui consiste juste à bourriner la mémorisation...
Quels sont tes sources mon VDD ? Et ne me ressort pas le poncif habituel "c'était dans une connue, tu peux trouver toi-même !"
Le 06 juin 2024 à 17:27:31 :
Le 06 juin 2024 à 17:17:42 :
nonobstant le QI en médecine est 100, le même que pour ceux qui font des études pour devenir éducateurs
En philo, la moyenne est 120, logique, de même pour math et physique qui sont mes domainesJ'adore les jean médecine qui se pense smart alors qu'ils font des études de low, qui consiste juste à bourriner la mémorisation...
Quels sont tes sources mon VDD ? Et ne me ressort pas le poncif habituel "c'était dans une connue, tu peux trouver toi-même !"
Pour le QI y’a sûrement aucune étude en France là-dessus
Mais beaucoup d’entre nous ont été en terminale S et ont eu d’énormes low dans leur classe qui ont réussi en medecine
On ne juge pas la difficulté d’une filière au niveau du meilleur qui réussit mais du plus mauvais
De plus j’ai beau ne rien connaître en médecine, avec les bouquins sous les yeux je torche l’ECN, alors mettre médecine au même niveau qu’inge rang A c’est à pisser de rire
Elle semblait plutôt intéressant mais d'un point de vue américain, avec un système universitaire. En tout cas elle statuait que les médecins était parmi les plus "avantagés" à ce niveau.
Il est possible, non c'est même très certain, que les meilleurs, tant intellectuellement que scolairement choisisse les formations purement scientifique, fondamentale dans notre beau pays. Néanmoins, cela ne conclue en rien sur le quotient intellectuel, il n'y a pas d'études, comme tu dis, qui clarifie sur la situation française.
Je pense qu'en Belgique, en Suisse, et dans une quantité de pays développés, les meilleurs vont (ou presque) en médecine qu'en sciences plus fondamentales. Le système classeprépa-grandesécoles/université ponctionne la médecine à ce niveau, ce qui est beaucoup moins le cas pour les écoles vétérinaires. Enfin, ce ne sont que des suppositions, et ça n'a aucune valeur scientifique.
Le 06 juin 2024 à 17:45:45 :
Il y avait une étude qui était souvent relayée par les carabins du forum.
Elle semblait plutôt intéressant mais d'un point de vue américain, avec un système universitaire. En tout cas elle statuait que les médecins était parmi les plus "avantagés" à ce niveau.
Il est possible, non c'est même très certain, que les meilleurs, tant intellectuellement que scolairement choisisse les formations purement scientifique, fondamentale dans notre beau pays. Néanmoins, cela ne conclue en rien sur le quotient intellectuel, il n'y a pas d'études, comme tu dis, qui clarifie sur la situation française.
Je pense qu'en Belgique, en Suisse, et dans une quantité de pays développés, les meilleurs vont (ou presque) en médecine qu'en sciences plus fondamentales. Le système classeprépa-grandesécoles/université ponctionne la médecine à ce niveau, ce qui est beaucoup moins le cas pour les écoles vétérinaires. Enfin, ce ne sont que des suppositions, et ça n'a aucune valeur scientifique.
Y’a quand même un truc qui s’appelle la stimulation intellectuelle
Je doute que quelqu'un de reconnu pour sa vivacité d’esprit et ses profondes capacités de raisonnement ait très envie d’aller apprendre des pages et des pages mot pour mot pendant 10 ans
D’ailleurs je doute que quiconque d’un peu talentueux en sciences dures (c’est pas avoir 20 au bac hein) envisage à un seul moment une autre voie que la prepa
Données du topic
- Auteur
- Espace2Banach
- Date de création
- 6 juin 2024 à 12:48:53
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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