[FIC] « Dis Célestin, ça te dit de venir à ma soirée?"

Le 19 mars 2024 à 17:45:24 :
Tout rattrapé et mis en fav ! C'est très intéressant comme fic je crois que c'est la première que je vois avec un délire MHA gg l'op

Merci jeune crayon

Je tiens à présenter mes excuses aux nouveaux lecteurs y’a des fautes c’est parce que j’écris en compagnie de Mitch

C] Léa t'es où ?

-P-p-pas tout de suite Mitch

Mitch s'arrêtait net, coupant votre marche amicale sur l'instant. Il se tournait vers vous, vous scrutant le
blanc des yeux.

- Qu'est ce qu'il y'a Célestin ? T'aurais fait tout cet effort social pour ne pas récolter les fruits de ton dur
labeur?

Il savait y faire. Il était peut-être né avec une cuillère en or dans le fondement, mais il aurait pu vendre du
shampoing à un chauve le bougre.

- N-n-non, je vais faire un peu de re-repérage tout seul pour voir quelle fille me plait le plus c'est tout.

Une demie-vérité. Si votre chibrax ne bandait que pour Léa à ce moment, vous ne refuseriez pas les
plaisirs charnels que pouvait offrir une des jeunes demoiselles ici présentes si elles le proposaient.
Pourquoi pas toute à la fois si possible. Votre pucellerie latente vous murmure à l'oreille que vous pouvez
danser le tango allongé toute la nuit si l'occasion se présente.

- Je vois que tu sais rester réfléchi et sage même quand tes pulsions primaires tambourinent à la porte.
C'est une bonne initiative. Mais n'oublie pas que plus le fermier patiente...

Mitch s'éloignait de vous et dirigea ses mains vers le cul bombé d'une jeune demoiselle qui, au contact
des mains de Mitch, lui adressa un sourire félin, digne d’un succube.

- Plus la pomme pourrit.

Et il s'empressa d'embrasser à pleine langue la divine donzelle sous les applaudissements de ses
compères au loin. Etait-ce dû à sa bien naissance? Son attitude dépravée? Le costume? Ou peut-être
juste le lieu, les lumières, la musique, l'ambiance? Vous n'en saviez rien, mais ce dont vous êtes sûr
c'est que vous allez ajouter ce justu interdit à votre Playbook, chapitre 1 technique numéro 1.

Vous pénétriez finalement l'intérieur du chalet. Tout d'un coup, une chaleur étouffante vous prenait
littéralement au visage. Il devait y faire 27-29 degrés peut-être. Vous étiez étonné qu'une seule cheminée
puisse réchauffer à ce point un chalet de cette ampleur. L'intérieur était cosy mais moderne, et tout le
chalet semblait être aménagé afin de contenir tout le confort disponible mais également au niveau de
technologie le plus élevée. C'est simple, vous avez l'impression qu'un agent secret en aurait fait son
terrier. L'écran géant accroché au mur diffusait des clips vidéos aux figurantes peu habillées était entouré
de tableaux de plus ou moins grandes tailles mais représentant tous des paysages somptueux. Vous qui
n'aviez jamais voyagé plus loin que votre ville d'origine ou les deux ou trois bourgs voisins, vous vous
perdiez dans ces visions idylliques du monde pur que ces tableaux projetaient.

• - C'est des Mokter. L'artiste prend un an à réaliser une toile qu'il vend le soir de Noël. Généralement, ça

part pour 25-50 millions. *

Et vous en contempliez une dizaine au bas mot. Rien que sur le mur de la télévision.

C'est là que vous vous demandiez finalement, qu'est-ce que vous savez de Léa? Finalement, pas grand
chose : Léa Callahan, blonde, yeux bleus, 1m77, 54kg500, tour de poitrine 86 , 66 tour de taille, 91 de
tour de bassin, 100C taille de soutien gorge, quelques taches de naissance mais rien ne semble
envisager un quelconque cancer. Taille fine et athlétique, corps élancé, démarche gracieuse. A certified
babe.

Intellectuellement vous savez qu'elle est un élément phare de votre promotion. Des notes proches de
l'excellence à chaque fois et des devoirs soignés. Même ses interventions orales étaient toujours
pertinentes. Elle ne semblait jamais dire d'imbécilité ou de profaner de propos aberrants.
Vous aviez pu observer tout au long de l'année la multitude de mâles se jeter à ses pieds dans l'espoir
d'en capturer ne serait-ce que l'effluve, mais tous se faisaient rejeter comme des moins que riens. Tous,
sauf vous. Impossible de rejeter celui qui ne tente rien.

Elle conservait cependant un groupe d'amis assez hétérogène et conséquent autour d'elle, ne passant
jamais un moment seule. Vous avez cru comprendre que ce genre de petites sauteries étaient courants
entre eux : road trip en week-end, vol vers une destination de rêve, camping à flanc de montagne. Ils
revenaient toujours de leurs périples avec une tonne d'histoires à raconter, et vous vous surpreniez à
suivre rêveur leurs récits savoureux quand vous pouviez les écouter d’une oreille discrète en cours
magistraux.

Mais hormis cela, rien du tout. Elle parlait rarement de sa vie privée, et vous étiez bien trop timide pour
essayer de lui en parler et de soutirer plus d'informations.

Jusqu'à ce soir.

Car ce soir vous la voulez pour vous. Vous les voulez toutes pour vous, ogre libidineux que vous êtes.
Mais avant de clamer votre la croupe pêcheresse de Léa il faudrait d'abord la trouver. Vous déambulez
donc dans la maison à la recherche de votre Léa de pocket en devenir. Après avoir fait un tour complet
au rez-de-chaussée, forcé de constater qu'elle ne s'y trouve manifestement pas.

Le salon abritait une foule de jeunes en sueur s'adonnant aux plaisirs de la danse. Le dj, cet enfant de
catin de Jason, enflammait le dancefloor avec des transitions chaloupées et pas piquée des hannetons.
La vue de tous ces corps transpirants, se collant, se frottant, pris dans la spirale infernale du besoin de
contact physique vous fascinait. Votre imagination débordante eut vite fait d'assimiler cette scène à une
gigantesque orgie. Vous baviez déjà un peu.

Vous n'étiez pas un grand danseur, mais quelque chose en voulait mourrait de s'exprimer, et seule la
danse semblait pouvoir vous libérer de cet étrange mal-être.

Chassant cette idée saugrenue de votre esprit vous vous retrouvez en bas d'un escalier menant
vraisemblablement à l'étage supérieur. Vous pouvez entendre des discussions animées y avoir lieu, et
plusieurs autres bruits dont vous connaissez la signification sans jamais les pousser vous même. Un
couple vous bouscule pendant votre réflexion ; il s'agit de Mitch et sa donzelle, visiblement pressés de
trouver un endroit où leur envie de se mettre en tenue d'Adam et d'Eve ne dérangerait personne.

Dans votre vision périphérique vous observez Nicolas, empruntant une porte discrète qui elle mènerait
plutôt vers le sous-sol.

A]L'étage supérieur. Avec un peu de chance on peut même se faire emporter dans un threesome.
B]Suivre Nicolas au sous-sol. Il est séparé de son compère et ça ne vous dit rien qui vaille.
C]Vous avez repéré un petit a$$ tout à fait charmant. Suivre l'exemple de Mitch en l'empoignant
prestement.
D]Il suffit d'être timide. Libérez votre potentiel. Dès maintenant.

Et maintenant une égalité,

Vous jouez sur ma patience

Victoire du A

En espérant que vous n’avez pas laissé ce faquin de Nicolas faire du mal à votre douce Léa

Mais d’abord je dois travailler et justifier mon bullshit job

A]L'étage supérieur. Avec un peu de chance on peut même se faire emporter dans un threesome.

Vous empruntez finalement la première marche de l'escalier. L'air se fait un peu plus chaud à chaque marche, et une odeur bien singulière arrive à vos narines.

La musique bat son plein derrière. Les conversations se font distantes. Vous vous sentez comme appelé par cet étage mystique. C'est la même sensation que vous avez lorsque vous terminez le premier sous-sol d'un donjon. Un sentiment d'excitation et de peur vous prend. Vous ne savez ce que vous allez y découvrir, mais le besoin de savoir vous force à y aller.

- * Alors Célestin, tout se passe bien jusqu'à maintenant...
- Plutôt oui, j'ai, enfin, on a réussi à rentrer dans la soirée en un seul morceau, on a noué un lien avec Mitch, si j'étais pas si loin de chez moi je considérerais ça comme une réussite et serais déjà rentré chez moi.
- Malheureux, tu t'en irais alors que la fête n'a pas encore commencé! Profites, vis ducon !
- C'est facile pour toi de me dire ça, c'est pas toi qui y est à la soirée !
- Ca changerait pas grand chose à ton problème, à part que tu me trainerais dans les pattes au lieu de sociabiliser. Arrêtes de parler tout seul, on te regarde bizarrement.

Vous vous stoppez brusquement d'un coup. Oswaldo vous regardez en haut des escaliers, une bière à la main et une cigarette au bec.

Oswaldo. Une bête d'un mètre quatre-vingt pour quatre-vingt kilos de muscles. Blond, les yeux verts, la mâchoire si carrée qu'on pourrait découper du beurre avec. Forcément, vous faîtes pâle figure à côté avec votre mètre soixante-dix et vos soixante kilos tout mouillé.

Joueur star de l'équipe de football après avoir été champion de lutte durant toute son adolescence. A vrai dire, c'est sur lui que l'histoire devrait se concentrer. Il a tout du mec sympa, beau gosse, pas bête pour un sou. C'est même lui qui a initié la conversation avec vous au début de l'année pendant que vous erriez en solitaire sur le campus, mais vous n'aviez pu noué un lien avec lui, par peur d'être le sujet d'une mauvaise blague sans doute.

Il commençait à descendre les marches d'escaliers, et à chaque marche, vous sentez vos poils s'hérisser de plus en plus, comme si votre corps vous hurlez de vous éloignez de l'orage.

Oswaldo possédait un alter, sobrement nommé l'Eclair, lui permettant tout bonnement de se changer en électricité à sa guise. Entièrement ou partiellement d'ailleurs. Les journaux locaux ne cessaient de louer cette capacité hors du commun qui le rendait insaisissable sur le terrain.

- Célestin, je pense que l'on t'a déjà dit ce soir, mais c'est une véritable surprise de te voir.
- A-a-ah oui on me l'a un peu dit oui moi aussi je suis content d'être là Oswaldo
- T'aurais du venir bien avant. On se marre bien ici.

Oswaldo vous tapait l'épaule d'une manière franche tout en soufflant la fumée de sa cigarette.

- Viens avec moi Célestin.

Vous saisissant par l'épaule, l'athlète vous fait monter les marches d'escaliers à ses côtés.

- * Demandes lui s'il est satisfait d'être passé du football américain à la lutte ! *

Oswaldo vous tend une bière sortie d'une glacière à proximité. Vous l'ouvrez assez difficilement, ce qu'il le fait sourire, et en buvait votre première gorgée. Le liquide âcre et gazeux vous glace la gorge, vous en toussez sur le coup, surpris de ce gout si original. Vous ne comprenez pas pourquoi c'est autant appréciée

- M-m-erci Alors t'es content d-d--être passé de la lutte au football?

Il vous regard l'air rêveur.

- Tu sais quoi? Non. Je déteste ça. Je préfère et préférerais toujours la lutte je pense. J'y ai mis toute mon âme. C'est pour elle que j'ai passé des semaines à maitriser mon alter pour pouvoir l'utiliser sans causer d'arrêt cardiaque, de brulures et tout le reste ! C'était une vraie torture, comme, comme essayer de déplacer un oeuf sur un kilomètre avec un marteau sans le casser.

Ces discussions sur les alters et comment les gens faisaient pour les utiliser dans la vie de tous les jours vous dérangeaient toujours autant. Tout simplement parce que vous ne compreniez pas. Vous ne pouviez pas comprendre ce que c'est d'être comme eux. D'avoir ces capacités supplémentaires qui font partie de vous, de votre être à part-entière. Peut-être était-ce un fardeau de ne pas avoir de pouvoirs, ou peut-être était-ce l'inverse.

Vous passez dans un couloir donnant sur plusieurs chambres du chalet. Les portes, pas toujours fermées, laissaient échapper quelques gémissements de plaisir, et votre regard se perd à quelques reprises sur les cabrioles que vous pouvez apercevoir. Vous croisez le regard de Mitch, alors qu'il s'affaire à retirer le haut de la demoiselle qu'il avait peloté plus tôt.

C'était un tout autre monde que ceux auxquels vous étiez habitué, et pour l'instant vous n'en goutiez que les prémices.

Arrivant sur le balcon, vous constatez une petite foule amassée là, attendant semble t-il quelque chose au vu de leurs airs impatients. Oswaldo soulève alors votre main, mimant la victoire d'un champion de boxe.

- Mes amis, j'ai trouvé mon poulain, et ce soir, je nous sens particulièrement...chanceux.

- C'est quoi c'plan Mitch? A-a-attends je veux p-

- T'inquiètes, tu vas bien t'amuser. Je rappelle les règles. Plus loin dans la forêt se trouve une petite clef, accrochée à un arbre. Le premier qui ramène la clef peut ouvrir la porte, et ce qu'il se trouve à l'intérieur est à lui jusqu'au lever du soleil.

Vous observez les autres "participants" ...

- * Ok, soit on m'a invité exprès pour participer à ce jeu pourri, soit ils ont vraiment pris les étrons des étrons pour participer à leur jeu pourri *

A] Participer. Après tout vous avez le Technoking avec vous, vous partez avec un avantage supplémentaire.
B] Refuser de participer, vous n'êtes pas leurs bouffon.