[FIC] CELESTIN, PASSAGER 58

La Russie, j'aurais du y penser plus tôt !

Bon maintenant 2 choix s'offre à nous : La raison incarner par M. XdeX avec la B ou la Folie par Parapseudal est son choix C ma foi intéressant en perspective..

Le 12 mars 2024 à 23:40:30 :
Vote C on sait jamais dans le doute

Oh bordel, il a osé

Merci pour vote vote kheyou ! Si on a pas d'autres votes, je vais devoir partir sur la B

Le 13 mars 2024 à 12:35:21 :
La Russie, j'aurais du y penser plus tôt !

Bon maintenant 2 choix s'offre à nous : La raison incarner par M. XdeX avec la B ou la Folie par Parapseudal est son choix C ma foi intéressant en perspective..

Le 13 mars 2024 à 12:35:54 :
Donc vote A..

Merci pour ton vote Bloukay ! Je viens tout juste de le voir

Si personne d'autre ne vote pour la A ou la C, je vais devoir partir sur la B

B. Rester assis, et éviter tout geste dangereux.

Vous restez assis, préférant vous tenir à l'écart de toute confrontation physique. Ces types sont armés, ils sont plusieurs, et ils vous mettraient en pièces en quelques secondes. Cependant, vos mots n'ont pas échappés aux oreilles d'Abdoul, qui braque cette fois-ci son glock sur vous.

- Fils de quoi ? Vas-y ! Parle, petit couillon de m*rde !

- Je... je...

- Regarde-moi dans les yeux, petite m*rde ! Qu'est ce qui se passe ? Tu perds tes c*uilles ? Ou t'en as pas ?

- M-m-mais-

- Allez ! Vas-y ! Je veux savoir, enc*lé ! Fils de quoi ? Hein ? Fils de QUOI ?

- FILS DE P*TE !

Tout à coup, un blanc énorme. Plus un bruit. Les moteurs à réactions et les bruits d'emballages froissés sont les seuls sons qui vous parviennent à cet instant précis. Vous l'avez dit. Vous avez osé le dire. Vous avez osé insulté franchement ce... ce... ce fils de p*te. Pour vous, c'est un fils de p*te. Même Schwarx, plus loin, n'en revenait pas de cet affrontement verbal à l'issue possiblement dramatique. Tout le monde assis autour de vous était médusé. Les hôtesses aussi. Et même les terroristes. C'était bien la première fois de votre vie que vous aviez insulté la mère de quelqu'un. Et sans regret.

- ...

- ...

- ...

- ...

- ...

- ...

- ...

Abdoul a été comme électrocuté émotionnellement. Vous l'avez brisé avec trois mots. Sa main, avec le pistolet entre les doigts, remonte vers vous, et une expression de colère noire se dessine sur son visage.

- VA CREVER !

PAN !

Pan. Coup de feu. Ce n'est pas Abdoul qui vient de vous tuer. C'est Schwab qui vient de tirer sur Abdoul. Vous n'en revenez pas.

- AAHAHHHHHHHHHAHHH !

- TAISEZ-VOUS !

- Oh mon DIEU !

- IL L'A TUÉ ! REGARDEZ !

Schwab lève le bras, son glock pointant vers le plafond.

- J'AI DIT : TAISEZ-VOUS !

- TOUT LE MONDE LA FERME, COMPRIS ?

- ...

- Célestin...

Le 13 mars 2024 à 12:52:38 :
swing to C

Trop tard mon kheyou, j'écrivais déjà la sweet quand t'as swing, je suis désolé

Le 13 mars 2024 à 14:42:35 :
Sweet chef, tu peux pas t'arrêter la dessus

Vous voulez vraiment la sweet les kheyous ?

Le 13 mars 2024 à 15:22:24 :
Sweeet

Oh ! Un nouveau lecteur ! Enfin !

Bienvenue sur la fic mon kheyou, installe-toi !

Le 13 mars 2024 à 16:04:23 :
Par contre chers kheyous, je suis absolument à court d'idées pour la sweet

Je crois bien que tu n'avais pas à dire cela

Sous la menace des armes que possèdent les criminels, tout le monde se calme et le silence se fait. Schwarx s'exprime alors :

- Abdoul était quelqu'un de trop émotif, qui avait sûrement du mal à gérer ses pulsions. Dans mon business, j'ai habitude de renvoyer les employés trop émotifs. Abdoul sera mieux là où il est maintenant.

Le chef du groupe armé se tourne vers ses complices.

- N'est-ce pas, messieurs ?

- Totalement d'accord avec vous, chef !

- Ouais, c'est comme ça qu'on fait ici !

- Bien...

- ...

Schwarx s'approche de vous et pose son regard oppressant sur votre visage chamboulé par les événements.

- Il semblerait que ces 2 passagers soient particulièrement distrayants parmi nous. D'abord ce petit numéro idiot dans les toilettes, et maintenant cette crise de colère avec ce malheureux Abdoul.

- ...

- ...

- Si vous voulez profitez du vol dans des conditions souhaitables, je vous invite à vous faire discrets. Est-ce bien clair ?

- ... O-oui

- Oui...

Une information du capitaine appelle votre attention.

- Dear passengers, we are about to land in Berlin, Germany. Please fasten your seatbelts and stow your belongings.

- Tiens donc, il est temps que tout le monde se rassoit. Je m'en vais jeter un coup d'oeil dans le cockpit, et je reviens. Je vous recommande à tous de rester tranquilles, mes hommes sont là au cas-où...

- Ah, et avant que j'oublie : Zack, Julien, si vous voulez bien déplacer Abdoul quelque part ailleurs, histoire de ne pas perturber nos passagers et l'équipage...

- Tout de suite, chef.

Une fois que tous les bandits se sont éloignés, Jonathan vous montre quelque chose, caché sous son pantalon. Non, ce n'est pas le début d'un film pour adulte, je vous rassure.

- Hep, Célestin, regarde ça !

- Euh... oh ! Comment t'as-

- Chut ! Discrétion et rapidité, l'ami !

Pendant que Schwarx et les autres terroristes s'empressaient de calmer les passagers, Jonathan en a profité pour ramasser l'arme d'Abdoul. Il s'agit d'un pistolet muni d'un silencieux.

- Tu... tu le caches bien, hein ? Faut pas qu'ils le voient !

- T'inquiètes pas, je fais gaffe...

Ça fait plaisir que tu aies retrouvé de l'inspi !

Le flingue chopé par Jonathan n'augure rien de bon en dépit de son ingéniosité à l'avoir récupéré.