Topic de CuckoLando :

"La GAUCHE c'est la SCIENCE, la DROITE c'est le PMU"

Toute l'histoire de l'humanité se résume au pmu donc. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/29/3/1626844043-55306401-1f4a-40bd-9fed-786974a6f866.png
La gauche champagne à part se masturber intellectuellement de leur prétendue supériorité culturelle et cognitive ca fait quoi
Absolument tous les grands mythes que ces adeptes de la "science" et de la "raison" nous ont vendus depuis 1945 s'avèrent être un tissu de mensonges et de foutaises de plus en plus facilement démontables (la Lune, le vaccin, l'intervention en Irak, les chambres à air de Pologne, et j'en passe), mais malgré ça, leur mépris pour ceux qui ne pensent pas comme eux n'en sort que renforcé. Que ce blaireau accepte un débat contradictoire avec Vincent Reynouard sur la question du nazisme (puisqu'il en est apparemment un "expert", ayant notamment participé au documentaire "Hitler et les apôtres du Mal"), afin de définitivement tordre le bras à tous ces droitards stupides et délirants :)
Pourquoi il ne le fait pas ? :)
Pourquoi se réjouit-il sûrement de la persécution de cet homme par les réseaux internationaux les plus puissants, si, come tous les autres, il n'est qu'un pauvre con qui n'aurait jamais dû quitter son PMU ? :)

Le 20 février 2024 à 01:12:49 :
« Qu’est-ce que nos principes naturels, sinon nos principes accoutumés ? Et dans les enfants, ceux qu’ils ont reçus de la coutume de leurs pères, comme la chasse dans les animaux ? Une différente coutume nous donnera d’autres principes naturels, cela se voit par expérience ; et s’il y en a d’ineffaçables à la coutume, il y en a aussi de la coutume contre la nature, ineffaçables à la nature, et à une seconde coutume. Cela dépend de la disposition. Les pères craignent que l’amour naturel des enfants ne s’efface. Quelle est donc cette nature, sujette à être effacée ? La coutume est une seconde nature qui détruit la première. Mais qu’est-ce que nature ? Pourquoi la coutume n’est-elle pas naturelle ? J’ai grand’peur que cette nature ne soit elle-même qu’une première coutume, comme la coutume est une seconde nature. »

Pascal, Pensées, f92 et 93 (Brunschvicg)

« Si le cours naturel des choses était parfaitement bon et satisfaisant, toute action serait une ingérence inutile qui, ne pouvant améliorer les choses, ne pourrait que les rendre pires. Ou, si tant est qu’une action puisse être justifiée, ce serait uniquement quand elle obéit directement aux instincts, puisqu’on pourrait éventuellement considérer qu’ils font partie de l’ordre spontané de la nature ; mais tout ce qu’on ferait de façon préméditée et intentionnelle serait une violation de cet ordre parfait. Si l’artificiel ne vaut pas mieux que le naturel, à quoi servent les arts de la vie ? Bêcher, labourer, bâtir, porter des vêtements sont des infractions directes au commandement de suivre la nature. (…)
Tout le monde déclare approuver et admirer nombre de grandes victoires de l’art sur la nature : joindre par des ponts des rives que la nature avait séparées, assécher des marais naturels, creuser des puits, amener à la lumière du jour ce que la nature avait enfoui à des profondeurs immenses dans la terre, détourner sa foudre par des paratonnerres, ses inondations par des digues, son océan par des jetées. Mais louer ces exploits et d’autres similaires, c’est admettre qu’il faut soumettre les voies de la nature et non pas leur obéir ; c’est reconnaître que les puissances de la nature sont souvent en position d’ennemi face à l’homme, qui doit user de force et d’ingéniosité afin de lui arracher pour son propre usage le peu dont il est capable, et c’est avouer que l’homme mérite d’être applaudi quand ce peu qu’il obtient dépasse ce qu’on pouvait espérer de sa faiblesse physique comparée à ces forces gigantesques. Tout éloge de la civilisation, de l’art ou de l’invention revient à critiquer la nature, à admettre qu’elle comporte des imperfections, et que la tâche et le mérite de l’homme sont de chercher en permanence à les corriger ou les atténuer. »

John Stuart Mill, La nature, 1874

« La culture humaine, j’entends par là tout ce en quoi la vie humaine s’est élevée au-dessus de ses conditions animales et ce en quoi elle se différencie de la vie des bêtes, et je dédaigne de séparer culture et civilisation, présente, comme on sait, deux faces à l’observateur. Elle englobe d’une part tout le savoir et tout le savoir-faire que les hommes ont acquis afin de dominer les forces de la nature et de gagner sur elle des biens pour la satisfaction des besoins humains, et d’autre part tous les dispositifs qui sont nécessaires pour régler les relations des hommes entre eux et en particulier la répartition des biens accessibles. Ces deux orientations de la culture ne sont pas indépendantes l’une de l’autre, premièrement parce que les relations mutuelles des hommes sont profondément influencées par la mesure de satisfaction pulsionnelle que permettent les biens disponibles, deuxièmement parce que l’homme lui-même, pris isolément, est susceptible d’entrer avec un autre dans une relation qui fait de lui un bien, pour autant que cet autre utilise sa force de travail ou le prend pour objet sexuel ; mais aussi, troisièmement, parce que chaque individu est virtuellement un ennemi de la culture, laquelle est pourtant censée être d’intérêt humain universel. Il est remarquable que les hommes, si tant est qu’ils puissent exister dans l’isolement, ressentent néanmoins comme une pression pénible les sacrifices que la culture attend d’eux pour permettre la vie en commun. La culture doit donc être défendue contre l’individu, et ses dispositifs, institutions et commandements se mettent au service de cette tâche ; ceux-ci visent non seulement à instaurer une certaine répartition des biens, mais encore à la maintenir ; de fait, ils doivent protéger contre les motions hostiles des hommes tout ce qui sert à contraindre la nature et à produire des biens ».

Freud, L’avenir d’une illusion, 1927

Ces auteurs écrivaient avant la découverte et/ou l'étude du comportements des grands singes anthropoïdes (orang-outans, gorilles, chimpanzés, etc.).

De plus, je n'ai jamais dit que tous nos comportements étaient déterminés par nos instincts, seulement que la plupart d'entre eux l'étaient, plus ou moins policés par la culture.

Par exemple, nous avons l'habitude de dormir dans des lits avec des oreillers.

Or, on peut observer les grands singes se confectionner des nids et même des oreillers, avec des branchages et des feuillages, avant de se coucher.

Notre habitude de dormir dans des lits avec des oreillers est donc un caractère ancestral, un instinct, qui nous vient de notre ancêtre commun avec les autres grands singes.

Cependant, rien ne nous empêche de décider délibérément de dormir à même le sol.

Mon dieu, c’est effarant de constater le niveau abyssal des intervenants deCNews à côté de ce gars.

Je le connaissais pas mais il est très bon. On voit à quel point les médias dominants n’ont pour seul but l’abrutissement de la population.

40 pages sont-elles nécessaires quand on sait que la pathologie mentale qu'est le gauchisme a apporté au monde les idéologies antinaturelles que sont le communisme, lysenkisme, rousseauisme, constructivisme, utopie égalitaire et j'en passe ? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/24/5/1497601900-shy2.png

Données du topic

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CuckoLando
Date de création
19 février 2024 à 18:47:41
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