[RISIFIC A CHOIX] Célestin propulsé au moyen-âge

Putain je suis désolé mais je me suis endormi cet aprem nofake, et là je suis complètement crevé je m'endors debout

Je termine dans la semaine le plus tôt possible c'est promis, avec le boulot ça va me retarder mais je vais sortir la suite.

Ça me fait chier je voulais vraiment la faire hier, je trahis mes engagements

Le 22 octobre 2023 à 20:29:40 :
Putain je suis désolé mais je me suis endormi cet aprem nofake, et là je suis complètement crevé je m'endors debout

Je termine dans la semaine le plus tôt possible c'est promis, avec le boulot ça va me retarder mais je vais sortir la suite.

Ça me fait chier je voulais vraiment la faire hier, je trahis mes engagements

Tkt, fréro. La fic doit être un loisir pour toi, pas un job. Tu ne nous dois rien. ;)

Le 23 octobre 2023 à 20:53:46 :
Kheyou go picole un max et faire une suite très longue et fun tu vas retrouver le plaisir d'écrire

Le plaisir est là clé, aucun souci pour ça, j'ai juste pas eu le temps
Je suis complètement taré aussi, j'ai dormi en tout 6 h ce week end tellement j'ai voulu faire des choses

Le 23 octobre 2023 à 21:52:56 :

Le 23 octobre 2023 à 20:53:46 :
Kheyou go picole un max et faire une suite très longue et fun tu vas retrouver le plaisir d'écrire

Le plaisir est là clé, aucun souci pour ça, j'ai juste pas eu le temps
Je suis complètement taré aussi, j'ai dormi en tout 6 h ce week end tellement j'ai voulu faire des choses

C'est rassurant alors

Le 26 octobre 2023 à 21:28:04 :
l'op est tombé dans une faille spatio-temporelle qui l'a envoyé en Hongrie au XIIéme siècle

Ahi non je suis toujours vivant pas d'inquiétude

Je voulais écrire la suite le week end dernier parce que je savais que je serais bien occupé après, et je me suis pas trompé
Mais normalement demain je vais avoir un peu de temps, avec de la chance ça me permettra peut être de finir l'écriture

Mais je veux pas trop m'avancer

Le 27 octobre 2023 à 00:16:34 :

Le 26 octobre 2023 à 21:28:04 :
l'op est tombé dans une faille spatio-temporelle qui l'a envoyé en Hongrie au XIIéme siècle

Ahi non je suis toujours vivant pas d'inquiétude

Je voulais écrire la suite le week end dernier parce que je savais que je serais bien occupé après, et je me suis pas trompé
Mais normalement demain je vais avoir un peu de temps, avec de la chance ça me permettra peut être de finir l'écriture

Mais je veux pas trop m'avancer

nous voilà rassuré
tu as récupéré un ordinateur ?

Bon ce week end c'est la bonne

À demain, sûrement le soir

Pour l'ordi j'ai envie de dire oui et non

Le 27 octobre 2023 à 23:16:53 :
Bon ce week end c'est la bonne

À demain, sûrement le soir

Pour l'ordi j'ai envie de dire oui et non

Étrange, c'est la deuxième fois que je reçois un tel message... Quelqu'un a l'air de penser que je suis impliqué dans une sorte de complot... Mais est-ce un vrai rendez-vous ou un piège pour me démasquer ? Je ferais mieux d'être prudent...

Vous prenez votre temps pour vous préparer, revêtant une épaisse cape sombre qui vous servira à la fois à vous dissimuler dans la nuit, à vous tenir chaud, et également à cacher aux regards indiscrets votre dernière invention. Vous ajustez à votre ceinture votre réserve de munitions et de poudre et y glissez une lame courte mais bien affûtée.

La tour sud se situe quasiment à l'opposé de votre position, près de l'entrée principale dessinée dans les remparts qui bordent le château. Il s'agit de la grande porte par laquelle vous étiez sorti du château avec Zénon lors de son expérience nocturne.

Ça ne me dit rien qui vaille...

Vous vous dirigez discrètement dans cette direction en suivant les remparts. Arrivé au sommet de la tour sud, vous écoutez attentivement, à l'affût du moindre bruit suspect, mais rien ne vient vous inquiéter.

Vous descendez prudemment les marches de pierre jusqu'à surprendre des chuchotements. Vous vous arrêtez net.

- On attend encore un peu. S'il ne vient pas c'est qu'il est sûrement occupé ailleurs

- Ou bien il n'est pas de notre côté comme il l'a cru

- Ne sois pas stupide ! Il ne peut pas se tromper

- Cessez ce bruit ! On attend un peu et ensuite on y va, à trois on y arrivera sans peine

Vous restez suspendu à ces dernières paroles, sans trop savoir comment agir. Impossible de voir les individus au bas des escaliers, et étant restés bien trop vagues sur leurs plans, impossible également d'anticiper quoi que ce soit.

Vous arrivez à la conclusion que le plus prudent est d'attendre la suite des évènements et de continuer à observer.

Après quelques minutes, vous commencez à entendre du mouvement. Une lame est tirée d'un fourreau. Un chuchotement bref. Quelques instants plus tard, le bruit d'un fer glissant sur la chair. Un râle étouffé. Vous imaginez sans peine le sang s'écoulant sur le sol et imbibant la terre.

Vous remontez à l'étage supérieur et parvenez à voir en partie la scène depuis une meurtrière. Deux hommes traînent un cadavre jusqu'à la tour, un troisième semble affairé près d'un autre corps étendu au sol, inanimé.

Derrière vous, des cris vous parviennent soudain très distinctement.

- ALERTE ! ÉVASION !

Une cloche se met à retentir. En bas, les trois hommes pestent et s'activent de plus belle.

- Merde ! Vite, plus de temps à perdre, il faut qu'on ouvre !

*DONG ! DONG !*

- LES PRISONNIERS SE SONT ÉCHAPPÉS !

Un grincement sourd s'échappe de la grande porte. Puis celle-ci s'ouvre lentement.

*DONG !*

- INTRUSION ! INTRUSION DANS LE CHÂTEAU !

*DONG !*

- AUX ARMES !

*DONG !*

De nombreuses torches se mettent à flamber, éclairant bientôt presque la totalité des remparts.

En jetant un œil dans la cour, vous constatez avec effroi que des dizaines d'hommes ont pénétré dans l'ouverture et se précipitent armes à la main vers les gardes défendant le château.

- MORT À ALCUIN LE TRAÎTRE !

*DONG !*

- GARDES ! POUR LE SEIGNEUR ET LA TERRE !

*DONG !*

- LIBERTÉ ! LIBERTÉ !

*DONG !*

Le combat s'engage, terrible, sanglant, meurtrier. Au moins une trentaine ou une quarantaine d'hommes ont pénétré dans le château et affrontent la petite douzaine de gardes que compte la garnison. Incapables de tous les retenir, les gardes luttent avec l'énergie du désespoir tandis que les assaillants commencent à se disperser dans toute la cour.

*DONG !*

Plusieurs bâtiments commencent à prendre feu. Votre atelier n'échappe pas à la fureur des attaquants. Le brasier illumine de sa lumière rougeâtre le champ de bataille. Plusieurs gardes gisent au sol, se vidant lentement de leur sang tandis que quelques autres arrivent pour leur prêter main forte.

*DONG !*

Toute cette agitation vous tire de votre torpeur. Vous ne pouvez pas rester là sans rien faire.

*DONG !*

La foule des assaillants scande le nom du bandit qui leur sert de guide.

- HUNALD ! HUNALD ! POUR LA LIBERTÉ !

- RESTEZ EN FORMATION !

- LIBERTÉ ! INSOUMISSION !

*DONG !*

Vous vous dirigez droit vers les quartiers du comte. Lui seul importe désormais.

*DONG !*

Vous n'avez sans doute jamais couru aussi vite de votre vie. En revenant à l'intérieur du château, un effarant spectacle s'offre à vos yeux. Les prisonniers, lieutenants d'Hunald, qui étaient retenus dans les geôles, ne se sont pas seulement libérés. Ils ont pris les armes et luttent activement. Plusieurs gardes sont affairés à les combattre.

- ARGGGGLL !

- ALLEZ LES GARS !

*DONG !*

Vous vous détournez du combat, vous faufilant jusqu'à l'escalier principal. Vous empruntez alors le chemin des quartiers comtaux.

Devant la porte qui vous en barre l'accès, se tient un homme vêtu d'une grand manteau en cuir brun. Ses cheveux sont hérissés sur son crâne et ses yeux lui sortent presque de la tête. Tout en lui évoque la folie.

- CLINT ! ENTREZ VITE !

- Zénon ? Que faites vous ?!

Un horrible sourire de dément se dessine sur son visage.

- Je vais les retenir...

Vous pénétrez dans la pièce. Le comte, aidé du fidèle Kerold, s'équipe d'une armure ouvragée le recouvrant intégralement.

- Clint ! Mon ami !

Alcuin s'approche de vous, et soudainement, vous enserre dans ses bras.

- Nous devons lutter pour notre survie ce soir... Mais dès demain, les coupables seront châtiés

Des flammes semblent s'allumer dans les yeux du comte alors que son ire grandit.

- Ce sera alors l'heure de la vengeance. Une vengeance impitoyable, dont on parlera encore dans cent ans ! Que dis-je, cent ans ! DANS MILLE ANS !

Le visage déformé par la haine, le comte achève de s'équiper et brandit une épée bâtarde. Mis à part Kerold et quelques uns de ses cavaliers, trois autres gardes se trouvent dans la pièce : Chramn, qui vous adresse un petit signe de tête en guise de salut quand vous croisez son regard, ainsi que ses deux comparses, Rodrick et Gontran.

- Êtes vous tous prêts ? Chramn, ta blessure ne t'handicape-t-elle pas ?

- Je surmonterai la douleur, messire !

- Bien. Nous sommes donc tous prêts à défendre notre peau. Pas de quartiers pour ces traîtres ! Tuez les ! TUEZ LES JUSQU'AU DERNIER !

Une clameur commence à monter. Vous voyez alors Zénon s'éclipser prudemment. Peu après, une épaisse fumée envahit le couloir et les escaliers. Alors que les voix se rapprochent, vous entendez soudainement un ricanement suraigü.

- AVEC TOUS MES COMPLIMENTS ! GNIHIHIIIIII !

*BAAAAOOUUUUUUUMM*

Plusieurs détonations retentissent, faisant trembler le sol et les murs. Le lustre accroché au plafond vibre à se décrocher, et le souffle des explosions fait virevolter des objets en tout sens. Les clameurs vengeresses des assaillants ont été remplacées par des plaintes et des cris d'effroi.

- MAINTENANT ! ALLEZ !

Kerold fonce dans la fumée, suivi de deux de ses hommes. La bataille semble faire rage, les bruits des lames s'entrechoquant et des membres se brisant résonnant sur les murs.

Chramn s'approche lui aussi de la porte mais la referme après un coup d'œil à l'extérieur.

- Que fais-tu Chramn ? Nous devons nous battre !

- Messire, c'est trop dangereux ! Laissons Kerold se charger de cela pour l'instant

Il se tourne vers les cavaliers de Kerold.

- Vous deux, vous êtes ses hommes ! Que ne l'aidez vous pas ?

- Il nous a ordonné de rester auprès de messire Alcuin, notre seigneur

- Soit, peu importe... Notre supériorité... est écrasante

- Et comment !

- Je ne parlais pas de toi

- ... Que dis tu ?

- Je ne parlais pas de toi. Je parlais de moi

Sur ces mots, Rodrick et Gontran sortent leurs armes et viennent se placer, menaçants, autour du comte pour lui couper toute retraite. Les deux cavaliers de Kerold dégainent instinctivement et leur font face.

- Mais ?! Que signifie ?

- Cela signifie que ton règne de tyran est arrivé à son terme. Ta propagande à l'encontre d'Hunald est indigne d'un homme de pouvoir ! Tu extorques à ton peuple des impôts injustes, si lourds qu'ils en crèvent la gueule ouverte ! Mais tout cela est terminé

- Tu es fou... Voyons, qui donc prendra ma suite ? On ne défait pas une lignée comtale, le peuple n'accepterait pas une telle rupture !

- ... Ne te souviens tu pas ? Il y a 32 ans...

- ...

- Une jeune femme appelée Elisabetha... Cela ne te rappelle rien ?

- Je...

- Après que tu l'aies lâchement répudiée, elle donna naissance à un fils... Tu le savais, n'est ce pas ?

- Alors, c'est lui que tu mettras sur le trône ?

- C'est lui, oui. Ou plutôt... C'est moi

- ...

- Bien, à présent père, ne m'oblige pas à verser ton sang, qui est aussi le mien. Laisse ton trône et je te garantis que tu auras une retraite paisible

- ...

- Fidèles de Kerold ! Rejoignez notre lutte ! Que fera votre maître lorsqu'il comprendra de quoi il retourne ? Lui aussi rejoindra nos rangs !

- Foutaises ! Je ne crois pas un mot de cela ! Nous avons juré fidélité, nous servirons jusque dans la mort !

Chramn soupire en toisant le cavalier de haut. Puis il baisse la tête par dépit

- Je déteste verser le sang des hommes bons et loyaux... Mais aujourd'hui, c'est une nécessité... Pour un avenir doux et prospère...

Chramn se tourne lentement vers vous. Depuis le début de la scène, vous êtes resté interdit, les événements s'enchaînant si vite que vous n'avez pu qu'observer sans agir.

- Clint... Tu as parfaitement agi dans l'ombre, en gagnant la confiance d'Alcuin. A présent, il est temps de mettre ces efforts au profit de la liberté. Tu détiens l'arme décisive qui va nous permettre de remporter sans peine cette bataille

Il vous sourit, tandis que le comte vous lance un regard horrifié.

- Dépêchons-nous, plus vite cela sera réglé, le moins de sang coulera là dehors

- Clint... Non...

Voici le dernier choix de ce premier arc, qui lancera ensuite le chapitre final puis le début du second arc :

A) Soutenir la révolte de Chramn
B) Rester fidèle au comte

Encore désolé pour tout ce retard accumulé

Pour la suite je ne vais rien promettre, comme Arseneur, parce que je vais pas être capable de tenir mes délais

Ahi ça je l'avais pas vu venir

Vote A, j'aime pas le comte

Le 29 octobre 2023 à 01:23:50 :
J'ai oublié qui était chram donc je vote pour le compte...

C'est le garde qui guide célestin dans le château au début