Je regarde les 3 MEILLEURS FILMS FRANCAIS les mieux notés par années depuis 10 ans

Classement actuel avec Mise à jour après avoir pris du recul et/ou revu les films
🔵 + 2 pour "Enter the void" (visionné à nouveau et j'ai revu ma copie)
🔴 + 1 pour "Le sommet des Dieux" et "Pacifiction"
🟡+ 0,5 pour "Climax" et "Mars express"
🟢 - 0,5 pour "Tout en haut du monde" et "Un p'tit truc en plus" (revu)

1er : Le sommet des dieux : 8,75/10
2ème Mars Express : 8/10
3ème : Bac Nord : 7,75/10
4ème : Au revoir là-haut : 7,5/10
---------- Les Misérables : 7,5/10
---------- J'ai perdu mon corps : 7,5/10
5ème : Yannick : 7,25/10
6ème : Boîte noire : 7/10
--------- Pacifiction, tourment sur les îles : 7/10
---------- Un p'tit truc en plus : 7/10
---------- Enter the void : 7/10
---------- Tout en haut du monde : 7/10
----------- Le règne animal : 7/10
7ème : 9 Mois ferme : 6,75/10
--------- Sauver ou périr : 6,75/10
8ème : Je verrai toujours vos visages : 6,5/10
--------- Chien de la casse : 6,5/10
--------- Pupilles : 6,5/10
9ème : Ma vie de courgette : 6,25/10
---------- Vermine : 6,25/10
---------- The artist : 6,25/10
10ème : Le sens de la fête : 6/10
---------- Anatomie d'une chute : 6/10
---------- Grave : 6/10
11ème : Capharnaüm : 5,75/10
---------- Tortue Rouge : 5,75/10
---------- Mustang : 5,75/10
---------- Adieu les cons : 5,75/10
12ème : Jusqu'à la garde : 5,5/10
13ème : Portrait de la jeune fille : 5,25/10
14ème : Hors Norme : 5/10
---------- Astérix - Le domaine des Dieux : 5/10
---------- Novembre : 5/10
---------- Illusions perdues : 5/10
15ème : Les Garçons et Guillaume, à Table : 4,75/10
16ème : Climax : 3/10
17ème : A Plein temps : 2/10
18ème : Holy Motors : 1/10

Le 04 novembre 2024 à 01:34:40 :
enter the void est le seul bon film qui mérite la moyenne, parce que la réalisateur n'est pas né en France et n'a donc pas la mentalité requise pour faire de mauvais films.

J'ai pas aimé son film "Climax" qui ressemble trop à "Enter the void" mais tout en moins bien
Par contre j'ai beaucoup apprécié "Enter the void" (au 2ème visionnage)

Classement actuel avec Mise à jour après avoir pris du recul et/ou revu les films
🔵 + 2 pour "Enter the void" (visionné à nouveau et j'ai revu ma copie)
🔴 + 1 pour "Le sommet des Dieux" et "Pacifiction"
🟡+ 0,5 pour "Climax" et "Mars express"
🟢 - 0,5 pour "Tout en haut du monde" "Bac Nord" et "Un p'tit truc en plus" (revu)

1er : Le sommet des dieux : 8,75/10
2ème Mars Express : 8/10
3ème : Au revoir là-haut : 7,5/10
--------- Bac Nord : 7,5/10
---------- Les Misérables : 7,5/10
---------- J'ai perdu mon corps : 7,5/10
4ème : Yannick : 7,25/10
5ème : Boîte noire : 7/10
--------- Pacifiction, tourment sur les îles : 7/10
---------- Un p'tit truc en plus : 7/10
---------- Enter the void : 7/10
---------- Tout en haut du monde : 7/10
----------- Le règne animal : 7/10
6ème : 9 Mois ferme : 6,75/10
--------- Sauver ou périr : 6,75/10
7ème : Je verrai toujours vos visages : 6,5/10
--------- Chien de la casse : 6,5/10
--------- Pupilles : 6,5/10
8ème : Ma vie de courgette : 6,25/10
---------- Vermine : 6,25/10
---------- The artist : 6,25/10
9ème : Le sens de la fête : 6/10
---------- Anatomie d'une chute : 6/10
---------- Grave : 6/10
10ème : Capharnaüm : 5,75/10
---------- Tortue Rouge : 5,75/10
---------- Mustang : 5,75/10
---------- Adieu les cons : 5,75/10
11ème : Jusqu'à la garde : 5,5/10
12ème : Portrait de la jeune fille : 5,25/10
13ème : Hors Norme : 5/10
---------- Astérix - Le domaine des Dieux : 5/10
---------- Novembre : 5/10
---------- Illusions perdues : 5/10
14ème : Les Garçons et Guillaume, à Table : 4,75/10
15ème : Climax : 3/10
16ème : A Plein temps : 2/10
17ème : Holy Motors : 1/10

La French (2014)

Sous ses faux airs scénaristiques de Heat - sans atteindre la dimension de ce dernier - ripoliné à la sauce Scorsese, "La French" est un polar captivant qui prend ses racines dans le crime organisé qui a sévi à Marseille durant plusieurs décennies.

Jean Dujardin en néo-juge implacable et incorruptible du grand banditisme prend sa mission très à cœur au point même d'en négliger sa famille et plus particulièrement sa femme avec qui la relation va s'étioler peu à peu (Le parallèle avec Al Pacino et Diane Venora est tout trouvé). Il va se livrer un mano à mano à distance avec le parrain de la pègre Marseillais "Zampa" incarné par un Gilles Lellouche toujours aussi concerné dans ses rôles composites.

Le rythme est bon, la reconstitution de la cité phocéenne des années 70 également en plus de nous offrir quelques jolis plans. Les rares scènes d'action sont par contre peu convaincantes.

Comme souvent dans ce genre de films testostéronés et nourris d'Egos les femmes sont malheureusement réduites à faire de la figuration en arrière-plan, à ce titre Mélanie Doutey est honteusement sous-exploitée. Mais il en est de même pour Benoît Magimel qui tient la chandelle aux deux superstars du film, et quand on connait le talent de ce garçon c'en est que plus dommageable.

N'en reste pas moins une fiction avec des assises très solides qui, tout en empruntant les codes et les références de ses illustres prédécesseurs, arrive à se frayer son propre chemin avec une grande efficacité

Note Senscritique : 6,6/10
Ma note : 7,25/10

La French (2014)

Sous ses faux airs scénaristiques de Heat - sans atteindre la dimension de ce dernier - ripoliné à la sauce Scorsese, "La French" est un polar captivant qui prend ses racines dans le crime organisé qui a sévi à Marseille durant plusieurs décennies.

Jean Dujardin en néo-juge implacable et incorruptible du grand banditisme prend sa mission très à cœur au point même d'en négliger sa famille et plus particulièrement sa femme avec qui la relation va s'étioler peu à peu (Le parallèle avec Al Pacino et Diane Venora est tout trouvé). Il va se livrer un mano à mano à distance avec le parrain de la pègre Marseillais "Zampa" incarné par un Gilles Lellouche toujours aussi concerné dans ses rôles composites.

Le rythme est bon, la reconstitution de la cité phocéenne des années 70 également en plus de nous offrir quelques jolis plans. Les rares scènes d'action sont par contre peu convaincantes.

Comme souvent dans ce genre de films testostéronés et nourris d'Egos les femmes sont malheureusement réduites à faire de la figuration en arrière-plan, à ce titre Mélanie Doutey est honteusement sous-exploitée. Mais il en est de même pour Benoît Magimel qui tient la chandelle aux deux superstars du film, et quand on connait le talent de ce garçon c'en est que plus dommageable.

N'en reste pas moins une fiction avec des assises très solides qui, tout en empruntant les codes et les références de ses illustres prédécesseurs, arrive à se frayer son propre chemin avec une grande efficacité

Note Senscritique : 6,6/10
Ma note : 7,25/10

Le 05 novembre 2024 à 23:18:00 :
The substances

Le 05 novembre 2024 à 23:20:48 :
Hippocrate

mes 2 prochains films

Le 05 novembre 2024 à 20:09:16 :
Je vous laisse choisir mon prochain film

un prophete ?

Le 06 novembre 2024 à 00:10:43 :

Le 05 novembre 2024 à 20:09:16 :
Je vous laisse choisir mon prochain film

un prophete ?

Je l'ai toujours pas vu celui-là ...

Allez va pour un Prophète dans mes 3 prochains films !

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Je ne prend plus les recommandations maintenant

The Substance (2024)

The Substance est une sorte de film masala bien plus américain que Français doté d'une combinaison d'épices différentes le rendant de ce fait inclassable. Mais on peut toutefois le scinder en trois parties bien distinctes

La première d'entre elles - celle que j'ai préféré - donne le là d'entre de jeu : Ce que l'on s'apprête à voir sera une dissidence aux films orthodoxaux que l'on regarde d'habitude. On y voit des plans mobiles ou en focale fixe qui prennent toute la longueur de la pièce et qui sont affublés d'éléments de décors immaculés aux couleurs bien définies. La ressemblance avec Wes Anderson et encore plus Stanley Kubrick est plus que palpable. Les zooms sur les aliments, les objets et les visages pullulent et s'opposent ainsi aux prises de vues mentionnées plus haut.

On y voit une jeune quinquagénaire (Demi Moore - qui livre une prestation monumentale digne d'un Oscar. L'aura t-elle ? ) resplendissante animer des cours de Fitness pour la télévision nationale. Malheureusement, dans une société patriarcale ou le paraître et l'esthétisme du corps sont des instruments de contrôle qui priment avant tout le reste, elle n'a plus sa place. Renvoyée sans ménagement à cause de ce plafond de verre, cette ancienne gloire du cinéma vit là un second traumatisme. Mais un sérum révolutionnaire lui promettant de retrouver sa beauté d'antan va alors tout changer.

C'est en l'injectant que débute le second acte. Marguerite Qualley devient la version jeune et parfaite de Demi une semaine sur deux. Seulement, il y a un cycle hebdomadaire a respecter pour changer de corps, si le délai n'est pas respecté cela entraîne des conséquences corporelles irréversibles pour l'une comme pour l'autre. C'est ce qui va se passer. Marguerite va vouloir trop profiter de sa nouvelle beauté au détriment de Demi qui va en subir les conséquences physiques et s'enlaidir. Jusqu'au jour ou la haine qu'elle aura pour sa version jeune sera si grande qu'elle décidera de mettre un terme à l'expérience

Débute alors le derniers tiers, le plus mauvais des trois. Le film bascule alors dans une sorte de thriller morbide de science-fiction se concluant en film de série Z. Ca devient le grand n'importe quoi et on a juste envie que ça se termine. J'étais parti pour mettre un 7 puis peu à peu la note à baisser au fil du temps pour se terminer en 4. C'est à l'image du film qui s'ouvre par une proposition très alléchante mais échoue finalement dans son entreprise.

Note Senscritique : 7,2/10
Ma Note : 4/10

Le 09 novembre 2024 à 03:59:48 :
The Substance (2024)

The Substance est une sorte de film masala bien plus américain que Français doté d'une combinaison d'épices différentes le rendant de ce fait inclassable. Mais on peut toutefois le scinder en trois parties bien distinctes

La première d'entre elles - celle que j'ai préféré - donne le là d'entre de jeu : Ce que l'on s'apprête à voir sera une dissidence aux films orthodoxaux que l'on regarde d'habitude. On y voit des plans mobiles ou en focale fixe qui prennent toute la longueur de la pièce et qui sont affublés d'éléments de décors immaculés aux couleurs bien définies. La ressemblance avec Wes Anderson et encore plus Stanley Kubrick est plus que palpable. Les zooms sur les aliments, les objets et les visages pullulent et s'opposent ainsi aux prises de vues mentionnées plus haut.

On y voit une jeune quinquagénaire (Demi Moore - qui livre une prestation monumentale digne d'un Oscar. L'aura t-elle ? ) resplendissante animer des cours de Fitness pour la télévision nationale. Malheureusement, dans une société patriarcale ou le paraître et l'esthétisme du corps sont des instruments de contrôle qui priment avant tout le reste, elle n'a plus sa place. Renvoyée sans ménagement à cause de ce plafond de verre, cette ancienne gloire du cinéma vit là un second traumatisme. Mais un sérum révolutionnaire lui promettant de retrouver sa beauté d'antan va alors tout changer.

C'est en l'injectant que débute le second acte. Marguerite Qualley devient la version jeune et parfaite de Demi une semaine sur deux. Seulement, il y a un cycle hebdomadaire a respecter pour changer de corps, si le délai n'est pas respecté cela entraîne des conséquences corporelles irréversibles pour l'une comme pour l'autre. C'est ce qui va se passer. Marguerite va vouloir trop profiter de sa nouvelle beauté au détriment de Demi qui va en subir les conséquences physiques et s'enlaidir. Jusqu'au jour ou la haine qu'elle aura pour sa version jeune sera si grande qu'elle décidera de mettre un terme à l'expérience

Débute alors le derniers tiers, le plus mauvais des trois. Le film bascule alors dans une sorte de thriller morbide de science-fiction se concluant en film de série Z. Ca devient le grand n'importe quoi et on a juste envie que ça se termine. J'étais parti pour mettre un 7 puis peu à peu la note à baisser au fil du temps pour se terminer en 4. C'est à l'image du film qui s'ouvre par une proposition très alléchante mais échoue finalement dans son entreprise.

Note Senscritique : 7,2/10
Ma Note : 4/10

Vu ta sous liste de film indien la note m'étonne pas

Le 09 novembre 2024 à 05:43:21 :

Le 09 novembre 2024 à 03:59:48 :
The Substance (2024)

The Substance est une sorte de film masala bien plus américain que Français doté d'une combinaison d'épices différentes le rendant de ce fait inclassable. Mais on peut toutefois le scinder en trois parties bien distinctes

La première d'entre elles - celle que j'ai préféré - donne le là d'entre de jeu : Ce que l'on s'apprête à voir sera une dissidence aux films orthodoxaux que l'on regarde d'habitude. On y voit des plans mobiles ou en focale fixe qui prennent toute la longueur de la pièce et qui sont affublés d'éléments de décors immaculés aux couleurs bien définies. La ressemblance avec Wes Anderson et encore plus Stanley Kubrick est plus que palpable. Les zooms sur les aliments, les objets et les visages pullulent et s'opposent ainsi aux prises de vues mentionnées plus haut.

On y voit une jeune quinquagénaire (Demi Moore - qui livre une prestation monumentale digne d'un Oscar. L'aura t-elle ? ) resplendissante animer des cours de Fitness pour la télévision nationale. Malheureusement, dans une société patriarcale ou le paraître et l'esthétisme du corps sont des instruments de contrôle qui priment avant tout le reste, elle n'a plus sa place. Renvoyée sans ménagement à cause de ce plafond de verre, cette ancienne gloire du cinéma vit là un second traumatisme. Mais un sérum révolutionnaire lui promettant de retrouver sa beauté d'antan va alors tout changer.

C'est en l'injectant que débute le second acte. Marguerite Qualley devient la version jeune et parfaite de Demi une semaine sur deux. Seulement, il y a un cycle hebdomadaire a respecter pour changer de corps, si le délai n'est pas respecté cela entraîne des conséquences corporelles irréversibles pour l'une comme pour l'autre. C'est ce qui va se passer. Marguerite va vouloir trop profiter de sa nouvelle beauté au détriment de Demi qui va en subir les conséquences physiques et s'enlaidir. Jusqu'au jour ou la haine qu'elle aura pour sa version jeune sera si grande qu'elle décidera de mettre un terme à l'expérience

Débute alors le derniers tiers, le plus mauvais des trois. Le film bascule alors dans une sorte de thriller morbide de science-fiction se concluant en film de série Z. Ca devient le grand n'importe quoi et on a juste envie que ça se termine. J'étais parti pour mettre un 7 puis peu à peu la note à baisser au fil du temps pour se terminer en 4. C'est à l'image du film qui s'ouvre par une proposition très alléchante mais échoue finalement dans son entreprise.

Note Senscritique : 7,2/10
Ma Note : 4/10

Vu ta sous liste de film indien la note m'étonne pas

Ayaaa

Le Grand bain (2018)

Ca va, c'était assez sympathique. A voir une fois par contre

Note Senscritique : 6,9/10
Ma note : 6,25/10

Le Grand bain (2018)

Ca va, c'était assez sympathique. A voir une fois par contre

Note Senscritique : 6,9/10
Ma note : 6,25/10