Je regarde les 3 MEILLEURS FILMS FRANCAIS les mieux notés par années depuis 10 ans
Un p'tit truc en plus (2024)
Une Excellente comédie qui mérite amplement son succès. D'ors et déjà un grand classique du cinéma Français de genre et même tout court d'ailleurs. Drôle, émouvant - j'ai eu plusieurs fois les larmes aux yeux, familial, rafraichissant, très bien interprété. Sa plus grande réussite et pas des moindres réside sans doute dans le fait de porter un regard juste sur le handicap sans jamais tomber ni dans le pathos, ni dans la moquerie, ni dans la facilité. C'était ce que je redoutais le plus.
Quang au réalisateur Arthus, il a eu la bonne idée de proposer que l'on attribue l'oscar du meilleur second rôle à tous les handicapés qui ont joué dans le film, ce serait amplement mérité et ça permettrait de casser les codes
Note senscritique : 6,6/10
Ma note : 7,5/10
- As Bestas
- Mustang
- Amour
Le 08 octobre 2024 à 02:29:04 :
Regarde :
- As Bestas
- Mustang
- Amour
As Bestas et Amour je voulais mais c'est pas 100% Français. Je privilégie les films 100% Français mais après tout c'est débile tu as raison !
ok pour ces deux là
Je vais voir "Le comte de Monte Cristo" au cinéma tout à l'heure
je ferai donc mon retour ce soir (ou demain) si flemme
Mustang (2015)
Niché dans une bourgade pourtant paisible de Turquie, 5 sœurs orphelines vont s'armer de solidarité pour faire face l'asservissement patriarcal et ultra conservateur imposé par leur oncle et leur grand-mère. Mais alors qu'elles sont toutes dans l'âge émancipatoire de l'adolescence leur désir d'indépendance et de s'affirmer va bientôt devoir se confronter au mariage forcé
C'est un sujet récurrent dans les films Indiens (surtout d'époque), et il suit la même ligne directive bien que le film vient d'une contrée moins lointaine de la notre. Ici, l'oncle décrète la loi martiale au domicile et la demeure prend des allures de prison dorée. Plus le droit d'aller à l'école - de sortir sans de rares autorisations - Plus de téléphones ou d'ordinateurs - Interdiction de flirter et de nouer des relations amicales etc ... Contraintes à la privation, elles vont faire feu de tout bois pour défier l'autorité de manière subtile et vivre des brides de vie d'une enfance perdue. Leur Oncle est un mur englué dans ses principes, dénué de toutes émotions et de sentiments d'affection. La Grand-mère et les tantes font preuves de plus d'humanité mais restent de manière inconsciente totalement endoctrinées par ce concept de tradition ancestrale et coercitive. Leur destinée ne dépend donc que d'elles-mêmes.
Chacune d'entre elles connaîtra d'ailleurs un sort différent, mais tout au long du film c'est la benjamine (voix off du film et protagoniste par la force des choses) qui va le plus se draper de courage et faire émerger sa personnalité
Pour ma part, étant habitué à ce genre de films, il aura évidemment une symbolique moins forte. Mais je peux comprendre que le message de ce film puisse toucher en plein cœur surtout que la religion est également l'une des causes de ce patriarcat d'une époque révolue
PS : C'est un film Germano-franco-turco-qatarien mais la vérité c'est qu'il n'a rien de Français hormis l'argent issu des productions et l'une des scénaristes qui est de chez nous !
Note Senscritique : 7,6/10
Ma note : 5,75/10
Mustang (2015)
Niché dans une bourgade pourtant paisible de Turquie, 5 sœurs orphelines vont s'armer de solidarité pour faire face l'asservissement patriarcal et ultra conservateur imposé par leur oncle et leur grand-mère. Mais alors qu'elles sont toutes dans l'âge émancipatoire de l'adolescence leur désir d'indépendance et de s'affirmer va bientôt devoir se confronter au mariage forcé
C'est un sujet récurrent dans les films Indiens (surtout d'époque), et il suit la même ligne directive bien que le film vient d'une contrée moins lointaine de la notre. Ici, l'oncle décrète la loi martiale au domicile et la demeure prend des allures de prison dorée. Plus le droit d'aller à l'école - de sortir sans de rares autorisations - Plus de téléphones ou d'ordinateurs - Interdiction de flirter et de nouer des relations amicales etc ... Contraintes à la privation, elles vont faire feu de tout bois pour défier l'autorité de manière subtile et vivre des brides de vie d'une enfance perdue. Leur Oncle est un mur englué dans ses principes, dénué de toutes émotions et de sentiments d'affection. La Grand-mère et les tantes font preuves de plus d'humanité mais restent de manière inconsciente totalement endoctrinées par ce concept de tradition ancestrale et coercitive. Leur destinée ne dépend donc que d'elles-mêmes.
Chacune d'entre elles connaîtra d'ailleurs un sort différent, mais tout au long du film c'est la benjamine (voix off du film et protagoniste par la force des choses) qui va le plus se draper de courage et faire émerger sa personnalité
Pour ma part, étant habitué à ce genre de films, il aura évidemment une symbolique moins forte. Mais je peux comprendre que le message de ce film puisse toucher en plein cœur surtout que la religion est également l'une des causes de ce patriarcat d'une époque révolue
PS : C'est un film Germano-franco-turco-qatarien mais la vérité c'est qu'il n'a rien de Français hormis l'argent issu des productions et l'une des scénaristes qui est de chez nous !
Note Senscritique : 7,6/10
Ma note : 5,75/10
Mustang (2015)
Niché dans une bourgade pourtant paisible de Turquie, 5 sœurs orphelines vont s'armer de solidarité pour faire face l'asservissement patriarcal et ultra conservateur imposé par leur oncle et leur grand-mère. Mais alors qu'elles sont toutes dans l'âge émancipatoire de l'adolescence leur désir d'indépendance et de s'affirmer va bientôt devoir se confronter au mariage forcé
C'est un sujet récurrent dans les films Indiens (surtout d'époque), et il suit la même ligne directive bien que le film vient d'une contrée moins lointaine de la notre. Ici, l'oncle décrète la loi martiale au domicile et la demeure prend des allures de prison dorée. Plus le droit d'aller à l'école - de sortir sans de rares autorisations - Plus de téléphones ou d'ordinateurs - Interdiction de flirter et de nouer des relations amicales etc ... Contraintes à la privation, elles vont faire feu de tout bois pour défier l'autorité de manière subtile et vivre des brides de vie d'une enfance perdue. Leur Oncle est un mur englué dans ses principes, dénué de toutes émotions et de sentiments d'affection. La Grand-mère et les tantes font preuves de plus d'humanité mais restent de manière inconsciente totalement endoctrinées par ce concept de tradition ancestrale et coercitive. Leur destinée ne dépend donc que d'elles-mêmes.
Chacune d'entre elles connaîtra d'ailleurs un sort différent, mais tout au long du film c'est la benjamine (voix off du film et protagoniste par la force des choses) qui va le plus se draper de courage et faire émerger sa personnalité
Pour ma part, étant habitué à ce genre de films, il aura évidemment une symbolique moins forte. Mais je peux comprendre que le message de ce film puisse toucher en plein cœur surtout que la religion est également l'une des causes de ce patriarcat d'une époque révolue
PS : C'est un film Germano-franco-turco-qatarien mais la vérité c'est qu'il n'a rien de Français hormis l'argent issu des productions et l'une des scénaristes qui est de chez nous !
Note Senscritique : 7,6/10
Ma note : 5,75/10
Pupille (2018)
Pupille est un film choral aux allures de docu-fiction qui présente de la manière la plus réaliste possible et sous 5 arcs narratifs différents l'interminable démarche d'adoption.
Le personnage central, un nouveau-né rejeté par sa mère à la naissance, va mettre en corrélation plusieurs travailleurs sociaux (Gilles Lellouche - Sandrine Kiberlain - Elodie Bouchez et Clothilde Mollet) qui vont œuvrer tous ensemble de manière directe ou indirecte à son bien être pour lui trouver une famille (Elodie Bouchez)
La réalisatrice tient vraiment à nous montrer l'envers du décor dans tout son processus.
- L'accouchement non désiré et le rejet de la mère envers son chérubin qui bénéficie malgré tout d'une écoute attentive des assistants sociaux avec cette possibilité de rétractation de deux mois.
- Les sempiternelles démarches des candidats à l'adoption qui trainent en longueur sur des années.
- Ou bien encore l'intimité des professionnels du métier qui se saignent pour trouver la meilleure issue possible en faisant en sorte que l'enfant ne manque pas d'amour.
Tout cela est évidemment romancé mais le désir de viser le plus juste possible se ressent. On est donc dans une mise en scène épurée, avec des acteurs - tous bons et crédibles à différents niveaux (mention spéciale à Gilles Lellouche et Sandrine Kiberlain au top comme souvent) - il n'y a jamais cette envie d'exagération comme dans la plupart des films c'est ce qui lui confère cet aspect Docu-Fiction évoqué plus haut. Le sujet a été finement travaillé en amont et on ressort avec les idées plus claires sur la façon dont cela se passe. En somme, "Pupille" est un film d'utilité publique qui fait honneur au cinéma Français
Note Senscritique : 7,3/10
Ma note : 6,5/10
Pupille (2018)
Pupille est un film choral aux allures de docu-fiction qui présente de la manière la plus réaliste possible et sous 5 arcs narratifs différents l'interminable démarche d'adoption.
Le personnage central, un nouveau-né rejeté par sa mère à la naissance, va mettre en corrélation plusieurs travailleurs sociaux (Gilles Lellouche - Sandrine Kiberlain - Elodie Bouchez et Clothilde Mollet) qui vont œuvrer tous ensemble de manière directe ou indirecte à son bien être pour lui trouver une famille (Elodie Bouchez)
La réalisatrice tient vraiment à nous montrer l'envers du décor dans tout son processus.
- L'accouchement non désiré et le rejet de la mère envers son chérubin qui bénéficie malgré tout d'une écoute attentive des assistants sociaux avec cette possibilité de rétractation de deux mois.
- Les sempiternelles démarches des candidats à l'adoption qui trainent en longueur sur des années.
- Ou bien encore l'intimité des professionnels du métier qui se saignent pour trouver la meilleure issue possible en faisant en sorte que l'enfant ne manque pas d'amour.
Tout cela est évidemment romancé mais le désir de viser le plus juste possible se ressent. On est donc dans une mise en scène épurée, avec des acteurs - tous bons et crédibles à différents niveaux (mention spéciale à Gilles Lellouche et Sandrine Kiberlain au top comme souvent) - il n'y a jamais cette envie d'exagération comme dans la plupart des films c'est ce qui lui confère cet aspect Docu-Fiction évoqué plus haut. Le sujet a été finement travaillé en amont et on ressort avec les idées plus claires sur la façon dont cela se passe. En somme, "Pupille" est un film d'utilité publique qui fait honneur au cinéma Français
Note Senscritique : 7,3/10
Ma note : 6,5/10
Mustang (2015)
Niché dans une bourgade pourtant paisible de Turquie, 5 sœurs orphelines vont s'armer de solidarité pour faire face l'asservissement patriarcal et ultra conservateur imposé par leur oncle et leur grand-mère. Mais alors qu'elles sont toutes dans l'âge émancipatoire de l'adolescence leur désir d'indépendance et de s'affirmer va bientôt devoir se confronter au mariage forcé
C'est un sujet récurrent dans les films Indiens (surtout d'époque), et il suit la même ligne directive bien que le film vient d'une contrée moins lointaine de la notre. Ici, l'oncle décrète la loi martiale au domicile et la demeure prend des allures de prison dorée. Plus le droit d'aller à l'école - de sortir sans de rares autorisations - Plus de téléphones ou d'ordinateurs - Interdiction de flirter et de nouer des relations amicales etc ... Contraintes à la privation, elles vont faire feu de tout bois pour défier l'autorité de manière subtile et vivre des brides de vie d'une enfance perdue. Leur Oncle est un mur englué dans ses principes, dénué de toutes émotions et de sentiments d'affection. La Grand-mère et les tantes font preuves de plus d'humanité mais restent de manière inconsciente totalement endoctrinées par ce concept de tradition ancestrale et coercitive. Leur destinée ne dépend donc que d'elles-mêmes.
Chacune d'entre elles connaîtra d'ailleurs un sort différent, mais tout au long du film c'est la benjamine (voix off du film et protagoniste par la force des choses) qui va le plus se draper de courage et faire émerger sa personnalité
Pour ma part, étant habitué à ce genre de films, il aura évidemment une symbolique moins forte. Mais je peux comprendre que le message de ce film puisse toucher en plein cœur surtout que la religion est également l'une des causes de ce patriarcat d'une époque révolue
PS : C'est un film Germano-franco-turco-qatarien mais la vérité c'est qu'il n'a rien de Français hormis l'argent issu des productions et l'une des scénaristes qui est de chez nous !
Note Senscritique : 7,6/10
Ma note : 5,75/10
Pupille (2018)
Pupille est un film choral aux allures de docu-fiction qui présente de la manière la plus réaliste possible et sous 5 arcs narratifs différents l'interminable démarche d'adoption.
Le personnage central, un nouveau-né rejeté par sa mère à la naissance, va mettre en corrélation plusieurs travailleurs sociaux (Gilles Lellouche - Sandrine Kiberlain - Elodie Bouchez et Clothilde Mollet) qui vont œuvrer tous ensemble de manière directe ou indirecte à son bien être pour lui trouver une famille (Elodie Bouchez)
La réalisatrice tient vraiment à nous montrer l'envers du décor dans tout son processus.
L'accouchement non désiré et le rejet de la mère envers son chérubin qui bénéficie malgré tout d'une écoute attentive des assistants sociaux avec cette possibilité de rétractation de deux mois.
Les sempiternelles démarches des candidats à l'adoption qui trainent en longueur sur des années.
Ou bien encore l'intimité des professionnels du métier qui se saignent pour trouver la meilleure issue possible en faisant en sorte que l'enfant ne manque pas d'amour.
Tout cela est évidemment romancé mais le désir de viser le plus juste possible se ressent. On est donc dans une mise en scène épurée, avec des acteurs - tous bons et crédibles à différents niveaux (mention spéciale à Gilles Lellouche et Sandrine Kiberlain au top comme souvent) - il n'y a jamais cette envie d'exagération comme dans la plupart des films c'est ce qui lui confère cet aspect Docu-Fiction évoqué plus haut. Le sujet a été finement travaillé en amont et on ressort avec les idées plus claires sur la façon dont cela se passe. En somme, "Pupille" est un film d'utilité publique qui fait honneur au cinéma Français
Note Senscritique : 7,3/10
Ma note : 6,5/10
Illusions perdues (2021)
J'ai tenu 1H15 sur les 2H30 donc exceptionnellement il n'y aura pas de critique complète. Le film en soi est pas trop mal, ça semble être une satire du journalisme, des critiques, des auteurs et plus globalement de tout ce paraître de la bourgeoisie Parisienne
Mais devoir me taper tout du long une voix off qui m'est insupportable me conter tous les faits et gestes des acteurs en recontextualisant chaque scènes au poil de cul près, c'en est trop moi. Idées de génies pour certains sans doute, mais personnellement ça me sort totalement du film.
Note Senscritique : 7,4/10
Ma Note : 5/10
Adieu les cons (2020)
Porté par un désir toujours aussi fiévreux dans sa quête d'originalité et de fantaisie, Dupontel livre avec "Adieu les cons" un récit fait de péripéties abracadabrantesques à mi-chemin entre l'absurde et l'émotion qui peine parfois à trouver le bon ton.
Il faut dire que je ne suis pas un amoureux inconditionnel des comédies dramatiques colorés d'un univers réaliste mais flanqué d'un scénario et d'une mise en scène trop excessive pour être un tant soit peu envisageable.
Par ce titre résolument évocateur, il tance subtilement certains effets pernicieux du monde actuel. La coiffeuse incarnée par la délicieuse Virginie Efira, est atteinte d'une maladie incurable et dégénérative à cause de ... ses sprays. Dupontel lui est un informaticien de génie mais il se voit refuser le poste rêvée en se faisant doubler par des jeunes diplômés sans compétences sous prétexte du jeunisme. L'aveugle campé par Nicolas Marié, se remémore le temps d'une virée en voiture ses souvenirs citadins d'autrefois ou tout paraissait plus beau. La police apparait sous pilote automatique agissant de manière arbitraire et sans réflexion etc ...
Malgré des facilités scénaristiques frôlant l'amateurisme et des personnages calfeutrés dans leur fonction primaire sans jamais en sortir. Il n'en reste pas moins des effluves de douceurs et de merveilles
déployés par cette bande son qui rappelle les valses musettes des cabarets populaires d'un monde aujourd'hui malheureusement révolu
Note senscritique : 6,9/10
Ma note : 5,75/10
Le 12 octobre 2024 à 13:01:09 :
Le 12 octobre 2024 à 08:54:18 :
A Partir de maintenant je vais élargir aux Classiques du cinéma Français de toutes époques confondues ... Tout en continuant à privilégier malgré tout les films modernes et actuels
Sauver ou périr (2018)
Franck Pasquier, jeune sapeur papier de 28 ans, a le feu sacré pour son métier. Il a rejoint la brigade dans le but de se sentir fort, sûr de lui et pour protéger les autres . Seulement, un drame lors d'un intervention va faire de lui un grand brûlé et mettre ainsi un terme définitif à sa carrière et à ses rêves.
Frédéric Tellier retrace son parcours du combattant pour retrouver peu à peu un semblant de vie normale. On s'éloigne donc de la vie de caserne pour donner la part belle à ces accidentés de la vie qui, dans une fraction de secondes, perdent tout ce qu'ils ont bâti depuis toujours.
Les premières minutes sont hésitantes et on est jamais aux premières loges du quotidien des soldats du feu. J'avais comme la sensation que le cinéaste voulait vite se démunir de cette partie là du film pour se consacrer autour de ses idées prégnantes : La bravoure - La reconstruction - L'introspection - L'acceptation. Le corps de métier de Pompier donne l'impression de servir de prétexte facile pour amener ses thématiques.
Pierre Niney est d'ailleurs en deux temps, lui aussi ne m'a fait forte impression durant le premier quart du film. Je le trouvais un peu effacé, manquant d'impact et d'identité dans un rôle qui en demandait à mon sens. Anaïs Demoustier joue elle de manière régulière et appréciable. Son visage de minet et son attitude ne collait pas au personnage. Cependant après le premier climax, il parvient à livrer une performance remarquable en démontrant toute l'étendue de son talent, lui qui on le rappelle, est issu de la troupe de la comédie Française. C'est notamment sa performance qui amène du sel à un récrit qui prend enfin toute sa mesure.
A plusieurs reprises je me suis glissé dans sa peau et je me demandais "Aurais je eu le courage de me reconstruire et de sourire à nouveau à la vie après un tel traumatisme ?" J'en suis pas certains. C'est un film qui bouleverse de raison tout en évitant la pleurniche facile. On échappe malheureusement (ou heureusement en fonction du point de vue) pas pour autant à l'image d'Epinal de la vie de couple et au scénario qui de facto, est cousu de fil blanc. C'est un "défaut" du film ... mais qui donne du Beaume au coeur.
Un des autres aspects qui m'a touché c'est les petites victoires qui paraissent insignifiantes voire risibles pour n'importe quel quidam, mais pour Franck ce sont des pas de géants. Si on devait faire un bref résumé de la vie, ces séquences magnifiquement écrites et interprétées en seraient la parfaite illustration
Note Senscritique : 6,7/10
Ma note : 6,75/10
Données du topic
- Auteur
- AamirKhan
- Date de création
- 31 août 2023 à 15:35:58
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