Peut on se sortir de la dépression ?

J'ai déjà essayé
C'est vrai ça fait du bien sûr le moment

Mais après j'ai la flemme et aucune force de continuer à le faire tous les jours

En quoi ça me rassure que potentiellement plus de gens ont un TDAH ? Ça change pas grand chose a ma vie

Et sinon je précise que je n'utilise pas tiktok

l'auteur, un conseil, si tu es vraiment dépressif , tu ne trouveras aucune réponse satisfaisante sur un forum de JV.

Tu vas juste t'engloutir en ruminant sur le moindre imbécile qui va troller.

Suis les traitements (y compris alternatifs si ça peut changer quelques chose mais attention) et surtout vois des médecins et thérapeutes.

La dépression ça peut être long et terrible mais c'est pas une fatalité.

Le 17 mai 2023 à 01:30:39 :
En quoi ça me rassure que potentiellement plus de gens ont un TDAH ? Ça change pas grand chose a ma vie

Et sinon je précise que je n'utilise pas tiktok

Éviter de trop culpabiliser.

Le 17 mai 2023 à 01:28:11 :
Le first a tort
Je peux dépenser 600 e/mois dans la bouffe

alors trouve toi une autre chose simple qui te fait sentir heureux les rares fois que tu l'aies

Les personnes dépressives que j'ai pu observer avaient ces symptômes :
- Ressasse anormalement souvent le passé, parle de trucs qu'elles ont mal vécu parfois 25 ans plus tôt.
- Perte de poids (10kg par an).
- Grosse influence de la météo, le soleil aide pas mal, l'hiver est terrible.
- Distraction anormale.
- Irritabilité anormale, la personne devient désagréable, comme si elle cherchait la mauvaise ambiance.
- Troubles du sommeil grave.
- Refus de prendre son traitement.
- Insensibilité à ta propre souffrance, tu lui dis que tu as mal au ventre, elle va te culpabiliser, y compris si ça fait des mois que tu l'aides et que tu l'écoutes se plaindre de trucs qui datent de 25 ans. Si tu lui annonces que tu as le cancer elle va osef. Ou trouver un moyen d'orienter la conversation sur elle.
- Insatisfaction constante.
- Aucune patience.
- Se met en danger, parfois volontairement pour attirer l'attention.
- Perte d'appétit, jusqu'à ne plus manger.
- Mauvaise hygiène, ne se brosse plus les dents.
- Oublie des trucs très souvent, mais te fera culpabiliser si tu oublies quelque chose.
- Toxicité générale, tu n'as plus envie de l'approcher.
- Te reproche un manque de soutien alors que tu la soutiens et que ça t'épuise depuis des mois.
- Parle de la mort, s'intéresse au sujet, films, livres, nécrologie, parle souvent de cimetière, de ses dernières volontés.
- Se répète très souvent, car la personne va parler d'elle à tout le monde et oublier à qui elle a donné certains détails, si tu lui fais remarquer elle pète les plombs, à toi d'écouter son discours.
- Coupe la parole de façon agaçante pour parler du sujet de son choix, en réalité son déficit d'attention l'empêche de t'écouter, toute phrase de plus de 15 mots n'est pas ou mal comprise, parfois tu veux dire un truc gentil et la personne y voit un truc méchant.
- Monte des plans foireux, du genre elle va faire exprès de provoquer une situation pour te culpabiliser.
- Maniaquerie.
- Vit dans le passé, donc oublie le présent, toute l'aide que tu lui apportes compte comme nulle, comme si son cerveau ne pouvait plus rien retenir.
- S'éloigne de ses amis, famille, se force à aller aux repas quand on l'invite.
- Compare sa vie constamment à celle des autres en ne voyant que le négatif.
- Rabat-joie.
- Incapacité à faire le moindre effort.
- Tendance à chercher la douleur physique (sport anormalement rude, continue à bosser avec un pied blessé, etc).
- S'inquiète de se qu'on pense d'elle pour des bêtises, anxiété.
- Mauvaise perception des bruits, une porte qui claque et elle va aller voir comme si c'était un bruit anormal, un avion passe elle va regarder par la fenêtre d'une façon surjouée.
- Incapacité au bonheur tout simplement, le positif est tout de suite nié, il peut se passer une journée avec uniquement des bonnes nouvelles, à la moindre contrariété c'est la crise.

C'est triste à dire mais je pense qu'il vaut mieux s'en éloigner, si la personne suit un traitement et que rien ne change elle est perdue, j'ai un QI de 135, c'est à dire des capacités cognitives hors du commun, et pourtant je n'ai pas pu aider une connaissance dépressive, ça s'est mal terminé et j'avoue que j'en étais soulagé pour lui et pour moi. Je pense que ça vient d'un problème mental, quelque chose dans le cerveau qui pète ou une maladie cachée, tumeur ou que sais-je. Car j'ai connu des vieux qui avaient Alzheimer et j'ai noté des grosses similitudes.

Dépression sévère et chronique, j'ai réussi avec quelques moyens très "simples" (mais difficile quand on est au fond du trou je le reconnais) :

- s'en aller le plus loin possible des gens toxiques (parents etc)
- travailler
- manger correctement
- faire un peu d'exercice

Mais en ce moment je vais moins bien, je fais plus vraiment tout ça, mais j'avais tenu environ 6 mois/1 an

Le 17 mai 2023 à 01:32:24 :
Les personnes dépressives que j'ai pu observer avaient ces symptômes :
- Ressasse anormalement souvent le passé, parle de trucs qu'elles ont mal vécu parfois 25 ans plus tôt.
- Perte de poids (10kg par an).
- Grosse influence de la météo, le soleil aide pas mal, l'hiver est terrible.
- Distraction anormale.
- Irritabilité anormale, la personne devient désagréable, comme si elle cherchait la mauvaise ambiance.
- Troubles du sommeil grave.
- Refus de prendre son traitement.
- Insensibilité à ta propre souffrance, tu lui dis que tu as mal au ventre, elle va te culpabiliser, y compris si ça fait des mois que tu l'aides et que tu l'écoutes se plaindre de trucs qui datent de 25 ans. Si tu lui annonces que tu as le cancer elle va osef. Ou trouver un moyen d'orienter la conversation sur elle.
- Insatisfaction constante.
- Aucune patience.
- Se met en danger, parfois volontairement pour attirer l'attention.
- Perte d'appétit, jusqu'à ne plus manger.
- Mauvaise hygiène, ne se brosse plus les dents.
- Oublie des trucs très souvent, mais te fera culpabiliser si tu oublies quelque chose.
- Toxicité générale, tu n'as plus envie de l'approcher.
- Te reproche un manque de soutien alors que tu la soutiens et que ça t'épuise depuis des mois.
- Parle de la mort, s'intéresse au sujet, films, livres, nécrologie, parle souvent de cimetière, de ses dernières volontés.
- Se répète très souvent, car la personne va parler d'elle à tout le monde et oublier à qui elle a donné certains détails, si tu lui fais remarquer elle pète les plombs, à toi d'écouter son discours.
- Coupe la parole de façon agaçante pour parler du sujet de son choix, en réalité son déficit d'attention l'empêche de t'écouter, toute phrase de plus de 15 mots n'est pas ou mal comprise, parfois tu veux dire un truc gentil et la personne y voit un truc méchant.
- Monte des plans foireux, du genre elle va faire exprès de provoquer une situation pour te culpabiliser.
- Maniaquerie.
- Vit dans le passé, donc oublie le présent, toute l'aide que tu lui apportes compte comme nulle, comme si son cerveau ne pouvait plus rien retenir.
- S'éloigne de ses amis, famille, se force à aller aux repas quand on l'invite.
- Compare sa vie constamment à celle des autres en ne voyant que le négatif.
- Rabat-joie.
- Incapacité à faire le moindre effort.
- Tendance à chercher la douleur physique (sport anormalement rude, continue à bosser avec un pied blessé, etc).
- S'inquiète de se qu'on pense d'elle pour des bêtises, anxiété.
- Mauvaise perception des bruits, une porte qui claque et elle va aller voir comme si c'était un bruit anormal, un avion passe elle va regarder par la fenêtre d'une façon surjouée.
- Incapacité au bonheur tout simplement, le positif est tout de suite nié, il peut se passer une journée avec uniquement des bonnes nouvelles, à la moindre contrariété c'est la crise.

C'est triste à dire mais je pense qu'il vaut mieux s'en éloigner, si la personne suit un traitement et que rien ne change elle est perdue, j'ai un QI de 135, c'est à dire des capacités cognitives hors du commun, et pourtant je n'ai pas pu aider une connaissance dépressive, ça s'est mal terminé et j'avoue que j'en étais soulagé pour lui et pour moi. Je pense que ça vient d'un problème mental, quelque chose dans le cerveau qui pète ou une maladie cachée, tumeur ou que sais-je. Car j'ai connu des vieux qui avaient Alzheimer et j'ai noté des grosses similitudes.

Jamais vu un tel concentré de bêtise.

Le 17 mai 2023 à 00:59:37 :
Des kheys anciens dépressifs qui s'en sont sorti ?
Et svp qql qui a été en dépression au moins 6mois-1 an

Oui. Après est-ce que c'était vraiment de la dépression ? Je sais pas trop. Mais ça a duré longtemps et j'en chialais.
Je ne voulais pas me séparer de certaines habitudes et comportements réconfortants mais très toxiques, et j'ai gâché de nombreuses années. Un jour, ya pas si longtemps, j'ai subi l'insulte en russe de trop sur cs:go, et il est devenu impossible de fuir mentalement l'évidence.

Certaines pensées sont comme des claques. Elles arrivent régulièrement dans ma gueule et me font mal. "Je vais mourir un jour", "Il y a un contrôle de maths lundi et je n'ai rien fait", "Je suis en retard pour ma déclaration d'impôt", "je suis gros et moche, je dois absolument faire quelque chose pour arrêter d'être gros et moche", "je suis incapable de gérer ma vie", "c'est le bordel chez moi, ça pue", "il y a une réunion importante au bureau et les données que j'ai compilé vont déplaire", "ça va faire 7 ans que j'ai pas baisé, et vu comme c'est parti, il va rien se passer cette année non plus", "Je suis sûr que tout le monde me déteste".

Ces pensées angoissantes, j'ai trouvé une stratégie (complètement perdante même à moyen terme) qui permettait de les calmer très vite sur le court terme : m'immerger dans les jeux vidéo. Depuis que je suis petit je fais ça. Et les jeux compétitifs/massivement multijoueurs ont en plus rajouté un sentiment d'accomplissement factice avec le grind (alors que franchement, à quoi ça sert d'être global élite ? J'ai été global élite, personne n'a voulu devenir mon ami pour ça et personne ne m'a sucé).

Evidemment, le fait d'abandonner la vraie vie pour passer des milliers d'heures sur des jeux à la con, ça ne faisait que renforcer toutes mes très bonnes raison de crever d'angoisse. Mon surpoids qui augmentait, mon cercle amical qui se limitait à de vagues potes, une maison dégueulasse, une incapacité à gérer la moindre tâche administrative... Et évidemment, pas de meuf... Et le temps qui passe. La trentaine...

Alors j'ai vu mon temps pourrir lentement dans le bac à légumes de la vie. J'ai tenté de lutter. De me mettre au sport et au changement d'alimentation (discipline que j'avais jamais réussi à tenir). J'ai une femme de ménage qui vient toutes les deux semaines parce que j'ai assez de thunes pour la payer (vraiment une bénédiction). Mais ça n'a pas vraiment changé ma vie et j'étais toujours désespéré à ne pas voir d'issue et à me voir négativement, comme une grosse merde incapable de plaire aux gens et en particulier aux meufs.

Sauf que j'en suis arrivé à un point où les pensées-claques étaient tellement omniprésentes qu'il était impossible de penser à autre chose. Le jeu vidéo ne me calmait plus. Au contraire, je tapais des crises de nerf ridicules sur cs parce que les gens y sont simplement horribles et rendent les autres horribles aussi.

Le cercle vicieux s'est tout simplement brisé tout seul, le système n'était pas stable. Alors j'ai abandonné purement et simplement le jeu vidéo, en quelques mois. Je ne supporte plus d'y jouer. C'est très bizarre, je n'avais jamais ressenti ça. C'est comme si l'addiction s'était complètement envolé. Je n'y pense plus. Je n'ai plus envie de faire ça en rentrant.
Et depuis ma vie s'est massivement améliorée. Je rencontre plein de monde, je me sens aimé, apprécié pour ce que je vaux vraiment. J'ai regagné de la confiance, j'arrive à m'aimer. J'ai une maison propre, je peux inviter des gens à n'importe quel moment. Et je sais maintenant que je vais rencontrer quelqu'un qui va partager ma vie. J'en ai la certitude.

Le 17 mai 2023 à 01:16:54 :

Le 17 mai 2023 à 01:14:58 :

Le 17 mai 2023 à 01:14:04 :

Le 17 mai 2023 à 01:10:56 :
Perso je ne crois pas dans la dépression clinique.
Pour moi tout est une question de circonstances souvent difficile à changer donc non ce n’est pas facile d’en sortir.
Imagine que tu as:
- bonne bouffe
- bonne routine. Lever tôt, etc.
- entretien physique, fitness et muscu.
- travail
- cercle social
- hobbies divers.

Ce que je viens de citer à mes yeux c’est le minimum pour ne pas sombrer dans cette société.
Être dans un hôpital bourré de médocs, c’est une escroquerie.
Beaucoup de gens dépressifs ont simplement des circonstances merdiques et ont besoin d’aide.

Dépression = ralentissement moteur et psychologique

En gros tu demandes à des gens qui sont INCAPABLES de faire ce que tu viens de citer de se bouger le cul et de les faire, ça ne fonctionne pas en fait. Ils sont victimes pas coupables de la situation

Chez un dépressif sévère/chronique, bien manger et faire du sport ça ne changera strictement rien

ça va quand même l'aider à aller mieux, faut pas non plus dire des conneries
Et je suis dépressif

En 4 mois de traitement, mon AD a absolument tout fait. Alors que ça fait 10 ans que j'essaye d'en sortir et j'ai tout essayé, de la muscu aux compléments, tout tout tout

bonne chance pour le sevrage clé

Le 17 mai 2023 à 01:37:47 :

Le 17 mai 2023 à 01:32:24 :
Les personnes dépressives que j'ai pu observer avaient ces symptômes :
- Ressasse anormalement souvent le passé, parle de trucs qu'elles ont mal vécu parfois 25 ans plus tôt.
- Perte de poids (10kg par an).
- Grosse influence de la météo, le soleil aide pas mal, l'hiver est terrible.
- Distraction anormale.
- Irritabilité anormale, la personne devient désagréable, comme si elle cherchait la mauvaise ambiance.
- Troubles du sommeil grave.
- Refus de prendre son traitement.
- Insensibilité à ta propre souffrance, tu lui dis que tu as mal au ventre, elle va te culpabiliser, y compris si ça fait des mois que tu l'aides et que tu l'écoutes se plaindre de trucs qui datent de 25 ans. Si tu lui annonces que tu as le cancer elle va osef. Ou trouver un moyen d'orienter la conversation sur elle.
- Insatisfaction constante.
- Aucune patience.
- Se met en danger, parfois volontairement pour attirer l'attention.
- Perte d'appétit, jusqu'à ne plus manger.
- Mauvaise hygiène, ne se brosse plus les dents.
- Oublie des trucs très souvent, mais te fera culpabiliser si tu oublies quelque chose.
- Toxicité générale, tu n'as plus envie de l'approcher.
- Te reproche un manque de soutien alors que tu la soutiens et que ça t'épuise depuis des mois.
- Parle de la mort, s'intéresse au sujet, films, livres, nécrologie, parle souvent de cimetière, de ses dernières volontés.
- Se répète très souvent, car la personne va parler d'elle à tout le monde et oublier à qui elle a donné certains détails, si tu lui fais remarquer elle pète les plombs, à toi d'écouter son discours.
- Coupe la parole de façon agaçante pour parler du sujet de son choix, en réalité son déficit d'attention l'empêche de t'écouter, toute phrase de plus de 15 mots n'est pas ou mal comprise, parfois tu veux dire un truc gentil et la personne y voit un truc méchant.
- Monte des plans foireux, du genre elle va faire exprès de provoquer une situation pour te culpabiliser.
- Maniaquerie.
- Vit dans le passé, donc oublie le présent, toute l'aide que tu lui apportes compte comme nulle, comme si son cerveau ne pouvait plus rien retenir.
- S'éloigne de ses amis, famille, se force à aller aux repas quand on l'invite.
- Compare sa vie constamment à celle des autres en ne voyant que le négatif.
- Rabat-joie.
- Incapacité à faire le moindre effort.
- Tendance à chercher la douleur physique (sport anormalement rude, continue à bosser avec un pied blessé, etc).
- S'inquiète de se qu'on pense d'elle pour des bêtises, anxiété.
- Mauvaise perception des bruits, une porte qui claque et elle va aller voir comme si c'était un bruit anormal, un avion passe elle va regarder par la fenêtre d'une façon surjouée.
- Incapacité au bonheur tout simplement, le positif est tout de suite nié, il peut se passer une journée avec uniquement des bonnes nouvelles, à la moindre contrariété c'est la crise.

C'est triste à dire mais je pense qu'il vaut mieux s'en éloigner, si la personne suit un traitement et que rien ne change elle est perdue, j'ai un QI de 135, c'est à dire des capacités cognitives hors du commun, et pourtant je n'ai pas pu aider une connaissance dépressive, ça s'est mal terminé et j'avoue que j'en étais soulagé pour lui et pour moi. Je pense que ça vient d'un problème mental, quelque chose dans le cerveau qui pète ou une maladie cachée, tumeur ou que sais-je. Car j'ai connu des vieux qui avaient Alzheimer et j'ai noté des grosses similitudes.

Jamais vu un tel concentré de bêtise.

Le pire c'est qu'il a du se faire chier à l'écrire sa iste à la con

C'est triste à dire mais je pense qu'il vaut mieux s'en éloigner, si la personne suit un traitement et que rien ne change elle est perdue, j'ai un QI de 135, c'est à dire des capacités cognitives hors du commun, et pourtant je n'ai pas pu aider une connaissance dépressive, ça s'est mal terminé et j'avoue que j'en étais soulagé pour lui et pour moi. Je pense que ça vient d'un problème mental, quelque chose dans le cerveau qui pète ou une maladie cachée, tumeur ou que sais-je. Car j'ai connu des vieux qui avaient Alzheimer et j'ai noté des grosses similitudes.

Jamais vu un tel concentré de bêtise.

Le pire c'est qu'il a du se faire chier à l'écrire sa iste à la con

Le pire c'est qu'il a raison, c'est le stade final d'une dépression sévère et chronique et encore

Le 17 mai 2023 à 01:42:44 :
La charte recommande de rester poli

T'as rencontré un dépressif et t'en fait une généralité avec des critère qui soi disant concernent tous les dépressif.

Avec ton QI soi disant sur développé tu devrais réfléchir un peu plus