C'est impossible, la dépression provient de causes réelles dont on ne peut rien, sinon on les aurait résolues avant.
La dépression survient quand un individu ne trouve plus de sens à sa vie car il n'a pas cultivé de passion, ou qu'on lui retire sa passion, par exemple il est impossible pour un mec accidenté et paraplégique de ne pas déprimer.
Il faut juste compenser par une autre passion mais si la cause de ta déprime est ta santé ou tes proches il n'y a rien à faire que souffrir.
C'est pareil quand tu as un proche qui déprime, tu auras beau essayer de l'aider ça ne servira à rien, hormis te peser et te faire petit à petit perdre ta positivité.
La dépression est une maladie car elle se répand comme telle, plus tu fréquentes des gens dépressifs et plus tu le deviens. Or quand c'est un proche qui est dépressif tu ne vas pas le laisser crever en silence mais tenter de l'aider, c'est ainsi que la dépression passe les générations.
Elle survient souvent chez les femmes vers 50-60 ans quand elles réalisent qu'elles vont un jour mourir et qu'elles n'ont pas eu la vie qu'elles voulaient OU qu'elles ont tout et qu'elles restent insatisfaites.
C'est un moyen qu'à trouvé la nature pour limiter la population. Plus tu fais des trucs excitants dans ta vie et plus tu risques de déprimer un jour.
L'astuce est d'apprendre à ne rien désirer et apprécier le moment présent, mais si tu es en phase dépressive c'est déjà trop tard. Des médocs peuvent t'aider si on te force à les prendre car souvent les dépressifs refusent le traitement en voyant ça comme une faiblesse, alors qu'ils ont réellement un souci physique dans un cas sur deux.
Pour les autres ils sont condamnés, c'est triste mais il faut relativiser leur malheur, leur dépression vient du fait qu'ils ont tout simplement consumé leur vie, leur quota total d'émotion définit à la naissance, le corps vit toujours mais l'esprit se meurt.
A noter que la dépression conduit au déclin physique et précipite la mort.
Il n'existe aucun traitement hormis être BG ou riche, mais il faut garder en tête qu'il est préférable de souffrir que d'être faussement heureux.
