[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?
j'espère que vous passez de bonnes vacances pour ceux qui en ont, et bon courage aux cotisants. Mois je vous dits à dans 3 semaines, portez-vous bien.
Le 07 juillet 2023 à 12:00:59 :
Bon, je pars en vacances 3 semaines au portugal. je pense pas emmener mon PC, don il va y avoir une pause dans la fic. je tiens à préciser que vous avez toujours pas trouvé le tout petit indice qui se cache dans le récap.
j'espère que vous passez de bonnes vacances pour ceux qui en ont, et bon courage aux cotisants. Mois je vous dits à dans 3 semaines, portez-vous bien.
Profite bien
Le 07 juillet 2023 à 14:00:06 :
Bonnes vacances chez les Portos Exu
à dans trois semaines.
Le 07 juillet 2023 à 17:36:58 :
Le 07 juillet 2023 à 12:00:59 :
Bon, je pars en vacances 3 semaines au portugal. je pense pas emmener mon PC, don il va y avoir une pause dans la fic. je tiens à préciser que vous avez toujours pas trouvé le tout petit indice qui se cache dans le récap.
j'espère que vous passez de bonnes vacances pour ceux qui en ont, et bon courage aux cotisants. Mois je vous dits à dans 3 semaines, portez-vous bien.Profite bien
Bonne vacances khey profite
« J'ajoute à ces tableaux la peinture effroyable
De leur concorde impie, affreuse, inexorable,
Funeste aux gens de bien, aux riches, au sénat,
Et pour tout dire enfin, de leur triumvirat ; »
Cinna, I, 3, Corneille.
Arc 1 Chapitre 31
Mardi 7 Juillet 2026
C) On va récupérer Charles, mais on surprend de Lavergeture par derrière, mission infiltration.
- Déjà, on va pas te laisser y aller seul. Je pense que michel serait ravi d’être dans le coup aussi. Louise, t’en es ?
- Je suis pas journaliste d’investigation moi …
- Mais j’aimerais bien vous accompagner. Et que tu me laisse finir mes phrases.
- Entendu. J’appelle Michel. Départ à 8h30 grand max.
- Maman, tu pourrais nous laisser utiliser tes couteaux de cuisine ?
- Tant que tu me les ramènes propres et en bon état.
- On aurait pas pu passer à Marignan ? J’ai entendu que les armes étaient pas chers là-bas.
- Oui, ta vie aussi, elle n’y est pas cher. On aurait pu, mais si on veut partir à l’heure, c’est un peu juste. Et je suis pas sûr qu’on sache tous s’en servir.
- Tu comptes t’y prendre comment ? On y rentre, à la cool, et on vient récupérer notre collègue comme si on le récupérait de l’école ? Je suis pas sûr que ça soit aussi facile.
- Non. On va tenter de s’infiltrer. Charles est retenu au truc où on a découvert la drogue, et où on a vu no deux hispanique enlever un gamin, et déménager une supposé laboratoire.
- On avait exploré la bibliothèque. Et on sait qu’un passage secret y mène.
- Et par rapport à nos alliés ? L’autre pouffe avait pas dit qu’elle nous aiderait ? Qu’est-ce qu’elle fout là ?
- J’imagine qu’elle est sur le coup, mais qu’elle ne nous en a pas encore parlé.
- Attendez, vous avez parlé de passage secret ? C’est quel genre ?
- De manière générale, je t’ai jamais vu avec des fringues approprié pour l’action.
Quelques minutes plus tard, Michel arrive dans l’appartement. Vous montez dans la voiture de Bob, et l’expédition se met en route. À argentueil, vous tombez sur un quartier quasiment bouclé. Les trois pâtés de maison autour de l’entrée principale sont gardé par des hommes cagoulés, et probablement armés, bien que vous ne pouviez distinguer quoi que ce soit de suspect.
Vous garez les deux voitures plus loin, et cherchez l’entrée du souterrain, aux abords de la Seine. Vous la retrouvez. Elle n’est pas gardée, et vous vous y engagez.
- J’ai tout de même une question, Célestin. Au regard du déploiement quasi militaire dans le quartier, j’imagine que le patron doit être bien gardé, lui. On s’y prends comment ?
- J’imagine qu’il va bien falloir buter un ou deux types pour arriver à prendre Lavergeture par surprise.
- C’était sûr. Je t’avais dit qu’elle est trop sensible pour ce genre d’expédition.
- Je suis pas sensible ! Je veux juste pas avoir de sang sur les mains.
- La dernière fois que j’ai tué une mouche tu l’as emporté pour l’enterrer dans la pelouse de la rédac.
- Oui, parce que je respecte les être vivants. Tous autant qu’ils sont.
Vous arrivez à l’escalier de pierre, aucun garde en vue.
- C’est suspect. Trop suspect.
- On sait même pas où ils nous attend.
- Bah attends, je vais l’appeler.
- C’est complètement con. Jamais il va te le dire.
- Allez, c’est parti. Par contre, je suis censé être seul, donc vous la fermez.
Vous appelez Charles. C’est de Lavergeture qui décroche.
- Ramènes tes fesses, le merdeux, j’ai pas toute la semaine moi.
- Oui, ben j’aimerais juste savoir où vous m’attendez, dans que bâtiment, quelle pièce.
- à la cave, dans la salle principale. C’est simple, te rentres dans la cave, et c’est la première porte à droite. Une grande salle, avec un puits de lumière. Mais de toute façon, mes hommes devraient t’y guider.
- Ok, merci. C’était juste pour savoir.
Vous raccrochez.
- AAAAAYAAAAAA j’en ai vu des types pas malins, mais lui c’est vraiment pas une lumière ! Ahient !
- Et ben voilà, on sait où aller maintenant.
Vous remontez l’escalier et arrivez derrière la bibliothèque. Bob vous arrête.
- On doit d’abord s’assurer qu’il n’y a personne devant la bibliothèque. Ça m’étonnerais qu’il ne sache pas pour le passage secret.
Bob glissa une caméra digne des meilleures coloscopies, dans l’espace libre entre l’étagère pivotante et la fixe.
- Il y a deux gardes à l’extérieur de la bibliothèque, qui gardes l’entrée. Deux autres surveillent la porte de la cave, mais ne devraient pas poser problème si l’on reste dans la bibliothèque.
Michel vous montra la vue aérienne de la propriété, depuis goggle maps.
- Il va falloir contourner la cour par l’arrière, et essayer de trouver un accès à la cave. Par le rez-de-chaussé, ou un vasistas ouvert.
-Ok. Mais d’abord, on entre dans la bibliothèque.
Lentement, vous poussez la lourde étagère, en faisant le moins de bruit possible. Il reste toujours l’étage, d’où pourraient venir des hommes de mains, mais il semblerait qu’il ne s’y trouve personne. Discrètement, vos trois compagnons s’extirpent du passage.
Vous trouvez une fenêtre donnant sur l’arrière de la propriété, et l’ouvrez, contournez le bâtiments, et arrivez derrière celui de la cave. Le soleil projette des ombres sur les murs. Et vous jurez en avoir vu deux bouger.
Vous pointez en direction du mur en question. Deux silhouette, une masculine et une féminine évoluent sur le mur, comme plaqué entre deux feuilles de papiers.
- T’enregistres ? J’hallucine pas, on est d’accord ?
- C’est dans la boîte. Je les vois aussi.
- ça ne peut pas être une hallucination collective.
- Mais on n’a pas le temps de s’attarder dessus, malheureusement. Trouvons une entrée.
Le mois de juillet étant chaud, les fenêtres sont ouvertes, au rez-de-chaussée. À nouveau, Bob utilisa sa micro caméra, et à la première fenêtre ouverte, non gardée, le petit groupe s’introduit dans la propriété.
Vous étiez maintenant dans la gueule du loup. À chaque pas, la mort pouvait vous prendre. Chacun des murs de cette maison pouvait entendre vos pas, et chaque angle pouvait se changer en lame tranchante. Vous étiez à deux doigts de vous pisser dessus de stress.
- b-bboonn, en av-avant, hein.
- On cherche un escalier menant à la cave.
- Hueeeeue, o-ouais, f-faisant comme ça.
Votre progression est lente, et prudente. Vous évitez les aller et venus des hommes de main, et trouvez un escalier, menant vers les entrailles de la terre, qui avait été gardé quelques instants plus tôt. Louise se retint de pousser un cri d’horreur. Sur les marches, gisait le corps sans vie, sanguinolent d’un des gardes. Vous n’aviez rien entendu. Aucun bruits, aucun cris. Vous ne pouviez que constater.
- Quelqu’un d’autre est à l’oeuvre avec nous.
- Ou du moins, s’il ne l’est pas, nous, ça nous arrange bien.
Le petit groupe descend le sinistre escalier, vos semelles se teintant de rouge. En bas, deux autre gardes morts, de la même manière vous attendent, déversant leur sang sur le béton de la cave.
- Bon, maintenant on cherche leur pote.
- Il nous devrons bien une petite enquête après ça.
Au pied de l’escalier, vous découvrez stupéfait, Vanessa, et l’homme qui vous avait sauvé la vie, à vous et Jean.
- Chuuuuuttt, moins fort, ça doit encore grouiller de gardes ici.
Vous répétez, en chuchotant :
- Vanessa ? Et Vous, au fait, on sait pas comment vous vous appelez ?
- Oui bon et ben ? On a bien dit qu’on aiderait, non ?
- Mais on vous a pas vu entrer. On ne vous a même pas entendu marcher.
- Nous sommes des professionnels, nous. On vous avait vu faire le tour de la maison, on s’est dit que ça serait sympa de vous attendre ici.
- Mais … et le type mort dans l’escalier ? Ça va se voir non ?
- C’est bien pour ça qu’on devrait se dépêcher.
- Et sachez que vous nous ralentissez. Alors oui, on a oublié de vous dire qu’on s’en occuperais, mais on aurait préféré faire ce type de mission seuls.
- On sais même pas où il est, en plus.
- A-alors, si. Il est dans la salle principale, à droite de l’entrée de la cave.
Le petit groupe reprit sa progression, évitant soigneusement les gardes. Vous évitez une patrouille, en vous planquant dans un coin, et après leur passage, reprenez votre chemin.
- Ah merde, Jojo, j’ai oublié le chargeur.
- Ben va le chercher, je t’attends ici.
L’homme fait demi-tour, et se rapproche du groupe. Il suffit qu’il tourne au coin du couloir, pour vous voir.
- On n’a nulle part où se cacher. On est foutus.
- Mais non, on va juste le buter et c’est terminé.
Hector attendit l’homme, et d’un coup vif lui trancha la gorge.
Plusieurs coup de feu retentirent dans le couloir adjacent, sonnant l’alerte pour tout les autres gardes.
- ON ESSAYE DE TROUVER CHARLES !
Hector et Vanessa prennent la tête de la débandade, se chargeant des obstacles se dressant sur le chemin. Les coups de feu fusent dans les étroits couloirs de la bâtisse. Vous vous abritez, derrière les murs, dans les recoins des pièces, dans les seuils de portes. Les balles sifflent au-dessus de vos têtes, éclatent les plâtres en une poussière blanche. Vous enjambez les cadavres, ne vous souciant même plus de la dignité humaine, serrant fort votre couteau de cuisine.
Vous vous retournez, derrière vous, un homme de main massif, un couteau pointé vers vous. Dans un shot d’adrénaline, vous évitez la lame, et dégainez la vôtre. Vous la plantez dans le cou de votre opposant, la main tremblante.
C’est la première fois que vous faites ça. Que vous tuez. Vous avez l’impression de trancher de la viande crue. Mais encore vivante. Vous sentez la vie s’échapper de la plaie, couler le long du manche, puis de votre main. Les contractions ultimes du cou font bouger la lame.
Le temps se ralentit. Vous observez les yeux du presque mort. La surprise, le regret, la peur, vous y lisez un mélange de tout ça. En retirant le couteau, vous entendez les balles fuser autour de vous, vous les voyez même. Tout est ralenti. Vous réalisez à peine ce que vous venez de faire.
Vous revenez à la réalité. Tout cela n’avait durée qu’une paire de seconde.
Vous rejoignez vos compagnons, évitant les corps et les gisants.
Alors, les portes s’ouvrent. Un fumigène est lancé dans le couloir. Par derrière, on vous en envoie un similaire dans le dos. Des hommes sortent de la salle, masqués.
La tête lourde, vous ouvrez lentement les yeux. Vous êtes dans la salle principale. Une lumière perce, en plein milieu de celle-ci. En face de vous, de l’autre côté du puits de lumière, Charles, ligoté sur une chaise, l’oeil au beurre noir, et l’air abattu. À côté de lui, sa caméra.
Vous essayer de bouger. Vous êtes vous aussi, ligoté à une vieille chaise en bois. Vous jetez un regard autour de vous. Bob, Michel, Louise, Hector et Vanessa sont tous réveillés, et également ligotés.
De Lavergeture attrape la chaise de Vanessa.
- C’est une de tes manigances ? Tu es nouvelle toi, à la campagne pour la présidence. Quasiment une inconnue. Tu Pensais vraiment pouvoir régler les choses ainsi ?
- T’as cru t’allais obtenir une réponse comme ça ?
- Tu seras plus confortable au soleil je pense.
Le politicien traîna la chaise et Vanessa jusqu’au puits de lumière.
- Quoi ? C’est juste le soleil hein. Calmez-vous, c’est juste plus facile pour tout le monde.
De Lavergeture mit finalement Vanessa sous le soleil.
- Maintenant, tu vas tout m’avouer. Qu’est-ce que tu viens faire ici, avec ce journaleux de merde ?
- Lui et moi, Le Globe et mon équipe, sommes alliés, et on va tous vous détruire. Toi, les autres, et tout les pourris qui pensent avoir la mainmise sur ce pays. Vous irez mourir à Marignan.
- Et vous avez essayé de venir récupérer votre copain, sans passer par là où je voulais. Vous avez essayé de me le subtiliser.
De Lavergeture se retourna vers vous, et saisi une arme de poing, des mains d’un des nombreux gardes en cercle autour de la scène, pour la pointer sur vous.
- Et encore une fois, c’est toi qui est dans le coup.
Le canon de l’arme vint s’appuyer sur votre front. Vous veniez tout juste d’apprendre ce que c’est que de donner la mort, vous allez maintenant savoir ce que c’est que de la recevoir.
- Oh, j’aimerais me débarrasser de toi, et tes amis. Mais je ne peux pas. Pas encore. Le jeu de dupes doit continuer.
- Vanessa, on peut se barrer hein.
- Non. Pour l’instant, nous devons rester des gens normaux.
- De toute façon ça finira par se savoir.
- C’est fini ces messes basses ?https://image.noelshack.com/fichiers/2017/06/1486664995-bloggif-589cb3e81ebe5.png
- Oh c’est bon hein. Discute, là, tu le vois pas ?
Vexé, De Lavergeture tira une balle dans l’épaule d’Hector.
- ça t’apprendra le respect, p’tit con.
Il revint ensuite vers vous.
- Quant à toi, Il va falloir que tu apprennes que tu n’es pas au sommet de la chaîne alimentaire. Enfin. Je ne peux pas tous vous tuer, ça serait trop suspect, la population se douterais de quelque chose. Célestin.
- Je vais vous relâcher, toi et tes petits copains. Je pense que vous saurez faire profil bas, désormais. Mais, lui,Charles, si je me souviens bien, je ne peux pas.
Il a en sa possession des vidéos claires et nettes de ce qu’il se passe dans mon labo. Dans sa petite caméra. Ceci m’embête énormément. Je ne peux pas laisser partir les deux. Sinon, je passe pour quelqu’un qui ne sait pas sévir et éliminer les indésirables, comprends-tu ?
- Je vais donc demander au seul responsable de toute cette situation de m’aider à ce qu’on puisse tous s’en sortir, à l’amiable. Choisis. Ton collègue, ou les images ?
Vous jetez un coup d’oeil à Charles. Celui-ci vous fait signe qu’il à sur lui, une arme de poing, qui à passé on ne sait comment les fouilles.
- Célestin. Sache que quoi que tu choisisses, J’ai eu une belle et heureuse vie. Je ne te tiendrais aucunement responsable de ce qui suivra.
A) Sauver Charles
B) Sauver les images
C) On tente de s’échapper à nouveau.
Dangerosité : Violette.
Nombre de morts : 31
Données du topic
- Auteur
- exumorefic
- Date de création
- 16 avril 2023 à 20:39:32
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