[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?

Le 23 juin 2023 à 13:19:20 :
Bas alors l'OP tu respires toujours ?
On arrive pour te réveiller

ben je fait la sweet demain, comme d'habitude. tout les samedi.

Le 23 juin 2023 à 14:39:26 :

Le 23 juin 2023 à 13:19:20 :
Bas alors l'OP tu respires toujours ?
On arrive pour te réveiller

ben je fait la sweet demain, comme d'habitude. tout les samedi.

Ouais ouais

On sait que t'était sur clodonews.com

Le 23 juin 2023 à 14:40:42 :

Le 23 juin 2023 à 14:39:26 :

Le 23 juin 2023 à 13:19:20 :
Bas alors l'OP tu respires toujours ?
On arrive pour te réveiller

ben je fait la sweet demain, comme d'habitude. tout les samedi.

Ouais ouais

On sait que t'était sur clodonews.com

et c'était bien drôle.
là je vais continuer ma ville lego, donc je serais pas sur le PC.

Le 23 juin 2023 à 14:44:15 :

Le 23 juin 2023 à 14:40:42 :

Le 23 juin 2023 à 14:39:26 :

Le 23 juin 2023 à 13:19:20 :
Bas alors l'OP tu respires toujours ?
On arrive pour te réveiller

ben je fait la sweet demain, comme d'habitude. tout les samedi.

Ouais ouais

On sait que t'était sur clodonews.com

et c'était bien drôle.
là je vais continuer ma ville lego, donc je serais pas sur le PC.

https://ideas.lego.com/projects/b5ca0cbd-0552-4b85-b4da-43f86fe08108

A)ll
B)llll
C)ll
D)ll
E)lll

La B et la E gagnent !

On a toujours pas baisé LouiseAnya ?

Prends ta malédiction Exumore.

Le 24 juin 2023 à 18:30:24 :
On a toujours pas baisé LouiseAnya ?

Prends ta malédiction Exumore.

Mais QUI se cache derrière ce pseudoent

Le 24 juin 2023 à 18:30:24 :
On a toujours pas baisé LouiseAnya ?

Prends ta malédiction Exumore.

Je refuse la malédiction, tu peux la garder.

« Et lorsque acculé au mur, ne vous opposez pas. Si, réduits au désespoir, ils viennent pour vaincre ou pour périr, évitez leur rencontre. Ne poussez pas un ennemi aux abois. À un ennemi encerclé vous devez ménager une issue et laisser une voie de sortie. »
Sun tzu

Mardi 30 Juin 2026
Arc 1 Chapitre 29
B et E : Manuel Pâtissier et Marion d’Aquitaine.

- Heu, je me disais que ce serait bien de faire l’interview du candidat sortant. Ça serais dommage de le rater.

- Donc Manuel Pâtissier. Qui d’autre ?

- la royaliste me semble intéressante. Elle est pas dans un clivage classique.

- Marion d’Aquitaine, donc. C’est noté. Vendredi, le lendemain de la publication du second article, on ira chez Joe-Maurice Mécontent. Et demain, on verra si on peut organiser un zoom avec tout le monde pour discuter de ton rencard avec l’autre pouffe.

- Vanessa de Médicis ?

- Oui. D’ailleurs, je pense qu’il serait temps qu’on enquête sur son passé.

- Boh …

- C’est une Médicis, il y a forcément quelque chose à creuser.

- Si tu veux …

Vous raccrochez.

Après un petit trajet en métro, vous revenez chez Jean.

Celui-ci vous attends devant la télé.

- Salut Célestin.

- Salut, comment tu vas ?

- Très bien. Les charges ne sont finalement pas retenues. J’aurais juste un stage de citoyenneté à faire, la semaine prochaine.

- Mais c’est magnifique ça !

- Par contre du coup, semaine prochaine, je serais pas beaucoup dispo.

- D’accord.

- Sinon, comment s’est passé ton rencard ?

- C’était pas un rencard, c’était un rendez-vous professionnel.

- Oui, oui …

- ça s’est transformé en rencard plus tard.

- AHA ! Je le savais.

- Elle nous a donc bien sous sa protection. Selon elle, le Globe est une des rares rédaction non corrompue, et elle a un crush sur moi. D’où la protection.

- Elle aurait pu avoir un crush sur ton Charles là, non ?

- Elle l’a jamais vu. Mais je pense qu’elle changerais effectivement d’avis si ça arrive.

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Mercredi Premier Juillet 2026 :

tun tund tin tun tin tund tind … tun tund tin tun tin tund tind

Vous ouvrez l’appel zoom, et voyez dans la caméra votre vieille tête déconfite. Dans le cadre, Gérard, Louise, Stéphane, Charles, Bob, Michel, et Magalax. Enfin, elle s’appelle pas comme ça, mas vous n’avez jamais su quel était son réel prénom.

- Bon. On va chacun débriefer des derniers jours. J’ai reçu des menaces de mort, mais ça c’est la routine. Vous autres, où en êtes-vous ?

- Le meurtre de Camille n’avance pas. Je n’ai aucun indice de plus, et la police refuse d’avancer sur l’affaire.

- Je … je peux voir de mon côté. J’ai un contact dans la police.

- Si tu peux m’obtenir quelques documents, je ne serais pas contre.

- Je vais voir ce que je peux faire.

- Charles ?

- De mon côté, j’ai réussi à entrer dans le labo de nos de espagnoles. Je crois y avoir vu de Lavergeture, mais je ne suis pas sûr. J’y retourne ce soir. Si quelqu’un veut m’accompagner …

- Non, ça ira.

- Très bien. Quant à toi, Célestin ?

- J’ai eu un rendez-vous avec Vanessa. Elle a besoin de l’aide de la rédaction pour accéder aux présidentielles.

- Oh ? Ben voyons. Et elle offre quoi en retour ?

- Sa protection. Elle nous a sauvé la vie, il y a deux jours, à mon ami Jean et moi, alors que nous étions poursuivis par des néo-nazes. Elle projette de la déployer sur tout la rédaction, mais pour ça elle ara besoin qu’on l’aide dans sa campagne. Elle veut qu’on l’aide à faire tomber tout les autres candidats.

Le silence fut d’or dans la conversation zoom. Gérard le brisa, se raclant la gorge.

- Heuhem … c’est de toute façon ce qu’on aurait fait, pas vrai Célestin ?

- Heu… O-oui, héhé …

- Nous bénéficions d’une protection, en échange de quoi nous faisons notre travail habituel. Je n’y vois aucun inconvénient. Des avis qui sont contre ?

Aucune réponse infirmative ne se fit entendre.

- Et bien c’est parfait. Néanmoins, il faut qu’elle sache que nous protéger nous ne suffira pas à la protéger elle. Stéphane !

- Oui patron ?

- Tu va enquêter sur cette Vanessa de Médicis. On sortira ses dossiers une fois que tout les autres seront à terre.

- Bien, patron.

- Bien. Tout le monde sait ce qu’il a à faire. Faites attention à vous, demain sera dangereux.

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Jeudi 2 Juillet 2026

Le lendemain matin, vous scrutiez les chaînes de télévisions, à la recherche d’une quelconque réaction de de Lavergeture. Il n’était nulle part. Ni sur les plateaux, ni sur les réseaux. Votre article était presque passé inaperçu, seul la chaîne M6U l’avait mentionné. Les gens étaient passé à autre chose, la hype était retombée.

« ça fera scandale vraiment au troisième article. Là, on mettra l’audio et la vidéo, plus personne ne pourra se voiler la face.  »

Vous finissiez votre bière, et partiez au lit, dormir.

« C’est presque comme si l’on avait étouffé l’affaire. Ça ne serait pas surprenant qu’il corrompe quelques agents de police.  »

Vendredi 3 Juillet 2026

- On a bidé. Maintenant on sera des malaises ambulants.

- Tu passes trop de temps sur ton forum bizarre. On rebondira. Comme le journal a toujours fait.

1 Avenue du Bout de la ville, Rungis. Louise se gare sur l’une des rares places libres. C’est un petit pavillon résidentiel de french dreamer. Le jardin à l’avant est occupé par une petite clio. Mais ce qui choque immédiatement, quand on arrive, c’est le jardin arrière.

En effet, s’y trouve, nonchalamment, le monster truck iconique du Film Mad Max Fury Road, Le Gigahorse.

- C’est quoi ce délire ? Qui possède ce genre de dinguerie ? À l’arrière de son jardin ?

- Quelqu’un de riche.

- Mais il est de gauche …

- Mais il est riche. Que veux-tu, c’est la fatalité de la vie.

- Mais …

- Il est juste fan du film, voilà tout.

- Moui. On va dire ça.

Louise sonne à la porte d’entrée. L’homme, âgé, vous ouvre, sourire aux lèvres.

- Ah, entrez, entrez. J’ai déjà offert un verre à vos collègues techniciens.

Vous pénétrez dans la maison, et Joe-Maurice vous fait asseoir dans un canapé de récup. Tout autour de vous, la maison est imprégnée de french dream. L’écran 4k, le bouddha sur l’étagère, les photos de vacances, ou des gosses aux murs… dénotant avec le monstre reposant dans le jardin, à l’arrière.

Après une courte présentation, les questions, la véritable partie intéressante, purent être posées.

- Avec votre présentation, Monsieur Mécontent, nous avons clairement compris que vous désirez le chaos total. L’absence de loi, de justice, de morale, toutes ces choses sont pour vous dépassées. Pourquoi autant de défiance envers l’ordre ?

- La loi, c’est la parure des esclaves.

- C’est à dire ?

- Et bien, quelle est la première valeur de notre devise nationale ?

- Liberté.

- Sommes-nous libres ?

- Oui, nous vivons dans un pays libre.

- Pourtant, chaque jour, nous vivons sous le joug de la loi. Chaque jour nous vivons dans la peur de la police. Dans la peur de l’état. Dans la peur du regard des autres, dans la peur de la critique. Or la peur paralyse l’esprit. Et nous sommes un peuple paralysé, face à son élite politique, face à son système, face aux autres, et face à nous-mêmes. Nous avons peur.

- Et vous proposez de libérer les gens de la peur, en les plongeant dans le chaos ?

- Oui. Nous avons tellement peur, que nous avons même peur d’avoir peur. La loi, l’ordre nous a rendu faibles, et peureux. Alors qu’on pensait se libérer par l’ordre, nous nous sommes en réalité enchaînés à son emprise, sur nos vies, sur nos âmes.https://image.noelshack.com/fichiers/2018/42/4/1539888721-image29.png

- Sur nos vies, vous allez un peu loin, non ?

- Non, au contraire. Un exemple tout simple. Dans une société de l’ordre comme la nôtre, il vous est impossible de vivre en autarcie. C’est illégal.

- Ah oui ?

- Vous ne pouvez pas résider sur le terrain que vous avez acheté, sans payer des taxes d’habitation, ou foncières.

- Alors, pourquoi ne pas simplement réformer le système d’approvisionnement des caisses de l’état ?

- Ce n’est qu’un exemple. Le problème est général. Il faut opérer un changement brutal et global, qui envoie à tout le monde le même message.

- Qui serait ?

- Vous êtes libres. Vous pouvez, faire absolument tout ce que vous désirez. Il n’y aura plus d’institution, pour vous courir après. Il n’y aura plus de tribunaux. Il n’y aura plus rien, que la liberté.

- …

- Vous avez conscience que ça risque de finir en purge ? Les gens ne sont pas adroits lorsqu’on leur offre la liberté. Pensez-vous que les français seront capables de se gérer tout seuls ?

- Ils seront libres. Ceux qui ne sauront pas l’être reformeront un gouvernement pour retourner dans la servitude, et ceux qui sont libres jouiront de leurs droits nouvellement acquis.

- Finalement, est-ce que les hommes libres ne seraient pas ce qu’on appelle ,dans la bonne société les racaille, les truands, et les hors-la-loi ? Est-ce que ceux qui vivent aujourd’hui dans l’illégalité, ne seraient pas ces fameux hommes libres ?

- Si. Parce que ce sont les hommes qui font la loi. Les hommes libres ne s’en soucient guère. Il se se drapent pas dans la loi, comme ses adeptes s’y enroule, comme ils s’enrouleraient dans les jupes de leurs mères. L’homme libre ne considère même pas la loi. Et ceux qui la considèrent, ne veulent que faire rentrer l’homme libre dans la même cage qu’eux, par pure jalousie.

- Certes. Mais concrètement, comment comptez-vous arriver à ce résultat ? Il faut bien dissoudre toutes les institutions en place ? Parlement, Sénat, Assemblée Nationale, et tout les ministères et commissions …

- Il faut d’abord dissoudre le bras armé de ces institutions. S’il n’y a plus personne pour faire appliquer la répression, alors il n’y a plus de répression. Le reste tombera en lambeaux de soit même.

- Donc votre première action serait de dissoudre toutes les forces armées et de l’ordre. Et ensuite ?

- Ensuite on déclare tout Homme libre de toutes lois. Que la liberté sera le maître mot du pays. Et que jamais, au grand jamais, il ne pourra plus se faire de loi emprisonnant la population comme c’est à présent.

- C’est très idéaliste.

- Oui. Mais c’est réalisable.

- Le monstre de destruction massive dans votre jardin,vous comptez l’utiliser pour ça ?

- Le GigaHorse ? Non, je suis juste un des plus grands fan du film.

- très bien.

- Une dernière question, avant de clore l’interview ; qui est-ce que vous craignez le plus dans cette campagne ?

- Michelle Anchois.

- Pourquoi elle ?

- à ma connaissance, c’est la seule crédible, et sans casseroles au cul.

- Très bien. Je vous remercie pour cette interview.

- C’est moi.

Vous ressortez de chez Joe-Maurice Mécontent.

- On est d’accord qu’il va l’utiliser, soit pour prendre d’assaut une institution, soit en prévisions des temps de chaos qui arriveront s’ils est élu ?

- Clairement, oui.

- Ah, tu vois.

- C’est bien la première fois que tu aurais raison.

Lundi 6 Juillet 2026

Vous aviez passé le week-end à végéter chez Jean. Les temps troubles du covid vous ramenaient en arrière de 6 ans. Presque un mini-confinement. Enfin, arriva le lundi tant attendu. Votre article fit la une de tout les journaux, les JT, et un tollé monstre sur les réseaux sociaux. Ça y est. Vous aviez enfin descendu votre premier homme politicien.

Mais, comme à son habitude, le premier intéressé, de Lavergeture, était absent de tout les plateaux. Vous éteignez la télévision. Une notification fit vibrer votre téléphone. Un message, de Louise.

« Bravo ! T’as réussi à en descendre un ! Un premier géant à terre, plus que 11 ! ça te dirais qu’on fête ça ensemble tous les deux ?  »

« Qu’est-ce que ça veut dire ? Elle aussi elle me veut ?  »

Avant que vous ne puissiez répondre, Anaïs rentra, sa journée finie. Elle se changea, pour une jupe très (trop) courte, et un chemisier aux boutons tiraillées par la pression mammaire.

Elle s’assit sur votre cuisse, et commença à vous caresser, et à vous murmurer dans l’oreille d’une voie suave.

- Jean n’est pas là …

- N-non, i-il est en stage de citoyenneté comme tu le sais …

Sa main glissa sur votre bedaine, puis en-dessous.

- On a déjà la demi-molle ? Tu as du attendre ce moment aussi fort que moi …

- Je, heu, c’est un peu de l’inceste, non ?

- Nous ne sommes que cousins …

Le téléphone que vous aviez toujours en main, sonna. Charles. Vous décrochez, sans repousser Anaïs.

- Allo ?

- Salut, ça va beau gosse ?

- Heu, héhé, ouais, bien bien…

- Dit-moi, il a fait un tollé ton article là. T’es célèbre.

- Héhé, oui.

- ça te dirait qu’on fête ça ensemble, entre hommes ?

Vous marquez un instant de pause. Dans le microphone, une voie autoritaire semble parler à Charles.

- Alors, tu viens, beau gosse ? Ecoutes, je t’envoie l’adresse, viens … équipé. Et rappelle toi : viens seul. Tu me rappelle quand t’as pris ta décision.

Le téléphone se coupa.

- Je savais pas que ton collègue était aussi en crush sur toi.

- Moi non plus …

Vous guettez le message de Charles. Il arrive, vous l’ouvrez.

« 6 Rue Henri Barbusse ».

- C’est grave Célestin ?

A) rester avec Anaïs
B) rejoindre Louise
C) Rejoindre Charles.

Dangerosité : Rouge

Nombre de morts : 11

Récap

Statistiques heures de votes ( un seul vote possible si j’ai bien fait le bouzin. )
https://strawpoll.com/polls/PKgl3B88anp