"Célestin, amène-moi un film"
Les kheys, j'ai été occupé à faire le marlou hier soir et a rencontré un politicien local aujourd'hui, mais je prends la soirée pour faire la SWEET 
Le 01 septembre 2022 à 17:57:16 :
Mais merde je suis même reste plus longtemps au taff pour finir le chapitre 2
Vote 1 of course
Ah putain ça fait plaisir ça 
Le 01 septembre 2022 à 21:52:19 DSKronos a écrit :
Je vais pas arriver à faire la sweet ce soir les kheys, des italiens gueulent à côté de moi pendant que j'essaie d'écrire
C'est pas grave khey 
prends ton temps, tant que tu n'abandonnes pas la fic
Le 01 septembre 2022 à 21:52:19 :
Je vais pas arriver à faire la sweet ce soir les kheys, des italiens gueulent à côté de moi pendant que j'essaie d'écrire
Tkt prends ton temps 
Le 01 septembre 2022 à 21:52:19 :
Je vais pas arriver à faire la sweet ce soir les kheys, des italiens gueulent à côté de moi pendant que j'essaie d'écrire
Ahi si t'es en italie kheyou attends toi à ce que soit ça tous les jours, les italiens ne parlent pas ils hurlent .gif ":)")
Cimer les kheys pour votre patience
Je suis pas en Italie mais la plupart de mon cercle de fréquentation, y compris mon colloc, sont des Italiens 
Je me suis barré à l'Est et je suis dans un dortoir commun qui a été bâti pendant la guerre froide
Ca donne beaucoup d'inspiration 
Le 02 septembre 2022 à 17:27:12 DSKronos a écrit :
Cimer les kheys pour votre patienceJe suis pas en Italie mais la plupart de mon cercle de fréquentation, y compris mon colloc, sont des Italiens
Je me suis barré à l'Est et je suis dans un dortoir commun qui a été bâti pendant la guerre froide
Ca donne beaucoup d'inspiration
Profite bien khey c'est le principal 
Ton public saura attendre ton retour 
CHAPITRE 3
1) Vous concentrer sur la Lettre
Le Livre s’ouvre, et vous le lisez les deux changements. Le premier est au début du Livre. 
Les Autres regardent. Ils veillent sur une prison qu’ils transforment en une Cour, pour leurs jeux et leur règne. Ils sont nos Dieux, ils sont nous-mêmes.
Vous l’avez déjà lu, mais s’ensuit à présent autre chose 
:
Les Servants sont à leur côté, les premiers traîtres à jamais fidèles à présent. Ils jouent au Jeu de leurs Maîtres sans comprendre. Ils peuplent, au loin, si loin, les Cours immenses qui sont parfois si petites.
L’Humanité est un terrain de jeu. Les Autres regardent. Ils acquièrent leur pièce par le désir. Ils tentent, coercent, ou ordonnent, et les Marqués s’agitent jusqu’à devenir Damnés pantins. Chaque pièce perdue est un drame, chaque pièce obtenue un festival, car dans l’immensité, les joueurs ne peuvent intervenir eux-mêmes. 
Celui qui obtiendra la victoire, obtiendra le monde. Leur défaite, réelle, est néanmoins collective. Leur défaite, est notre victoire. L’arbitre ne cherche qu’à garder le cours du jeu. Les traîtres à le faire basculer en un sens ou un autre.
Vous devez le terminez. 
Plus bas, un nouveau paragraphe.
La Purulence. Maître de la Chair, Architecte du Dégoût, la Multitude Stupide. Ce qui forge la meilleure des prisons, qui étend le grand esclavagisme, qui restreint les sens et qui engendre la laideur. Ce qui cultive le jardin, ce qui diversifie la création, ce qui engendre toutes les bêtes et ce qui façonne la beauté primaire. Ce qui nous saisit dès notre naissance pour nous dégénérer à notre mort, qui se propage sans cesse dans la morne création et qui crée sans cesse. La Graine est son symbole. Vous l'avez vue. Son symbole est la Graine. Son domaine est la Cour des Immondices ; vous y êtes presque rentré. 
Le livre se tourne, et les pages floutées qui séparent le début de l’ouvrage de votre photo se révèlent. Ici, vous voyez une photo de Victor 
, surplombé de l’appellation peu flatteuse de « Traître à la Gloutonnerie Arriviste ». Plus loin, vous voyez Clara 
, qui elle se voit octroyée de « Traîtresse Hypocrite ». Enfin, vous voyez une photo de votre Grand-Père 
, qui lui se voit surnommé d’un « Fidèle à l’amour traître ».
« C’est quoi ce livre ? Et qu’est-ce que ça veut dire tout ça ? Plus ça avance plus ça devient bizarre et compliqué. 
-C’est le propre de la vérité. Quelque chose de vrai a besoin de beaucoup de détails. 
-Ben non, si je dis que le ciel est bleu, c’est simple et vrai. 
-Ah bon ? Pourtant le ciel n’est pas bleu. C’est simplement la couleur la plus renvoyée. Sans compter que lorsqu’il y a un nuage, le ciel n’est plus bleu. Ou même lorsque la nuit tombe. La vraie formulation de la vérité serait que la couleur perçue du ciel sans élément extérieur, par temps dégagé et de jour, est bleu. Beaucoup plus compliqué d’un coup, pas vrai ? 
-Bon euh d’accord. Mais quand même tout ça est compliqué. Entre Bâtards, Servants et je ne sais quoi... 
-Bon, maintenant, qu’est-ce que tu vas faire ? 
-Ben j’ai un peu de temps avant le rendez-vous avec le Poète, donc je pense que je vais rendre visite à Lionel et Monsieur Lessol. 
»
Et de ce fait, vous allez visiter votre professeur et votre... collègue à défaut d’un meilleur terme.
Vous trouvez Monsieur Lessol dans son lit, en train de lire le journal, avec toujours ses deux doigts arrachés, mais couverts d’un épais bandage. Lorsqu’il vous voit arrivé, il vous jette un sourire triste.
« Monsieur Chancla, je suis heureux de voir que vous ne comptez pas dans le rang des victimes... 
-Euh oui... Comment vous allez Monsieur ? 
-Bien, bien. 
»
Il pousse un long soupir.
« Monsieur Chancla, nous n’allons pas discuter de ce qui s’est passé à l’hôpital, car je pense que vous savez quelque chose n’est-ce pas ? 
-Oui... 
-Bien, une autre fois. Mais concernant ce qu’il s’est passé chez moi, je vous demanderai bien entendu d’éviter d’en parler. J’ai promis de... »
Il s’arrête, hésitant.
« Ce n’est pas qu’il ne te fait pas confiance. Il a juste d’autres engagements et il pèse le pour et le contre. 
-J’ai promis de... surveiller ce qui se trouve dans cette cave. Le tableau, vous devez peut-être ne pas vous en souvenir. C’est à cet effet que j’ai acquis cette maison, qui se révèle bel et bien hanté au final. 
-Mais, c’est quoi ce tableau ? 
»
Monsieur Lessol vous lance un regard dur.
« Le mal, Monsieur Chancla. Le mal. 
»
Et vous voyez Monsieur Lessol se terrer dans un long silence, avant de reprendre.
« Si cela ne vous embête pas, Monsieur Chancla, et j’ai à vrai dire un peu honte de vous le demander, pourriez-vous... veiller sur le tableau en mon absence ? Je vous demande simplement de passer de temps à autres dans ma maison, vous en avez les clés à présent...
-Oui bien sûr.
-Merci, Monsieur Chancla, vous me sauvez la vie deux fois. »
Vous discutez encore de banalités avec Monsieur Lessol avant de quitter votre professeur pour rejoindre Lionel.
« Oh Célestin. 
-Sa-salut. Comment tu vas ? Pas sûr que t'aies le droit de fumer mais bon...
-Pas très bien. Mais bon, toi et Lenny êtes vivants au moins...
-Pour Simon je...
-Non. Personne n’aurait rien pu faire. Ma faute de vous avoir embarqué comme ça. Ma faute de ne pas avoir tout prévu. Si j’avais abattu ce fils de pute tout de suite, alors peut-être que... »
Lionel s’arrête, détourne le regard, et reprend, avec une colère froide.
« Faut qu’on les stoppe, tous ces fils de putes Célestin. Faut qu’on trouve un moyen. Les entités, les contractants, ceux qui tirent les ficelles... Faut qu’on change le monde. 
-Il a raison, mais pas dans le sens qu’il pense.
-Maintenant laisse-moi, je dois réfléchir à comment faire... Mais merci d’être passé. Je sais ce que je te dois. A cause de moi, t’aurais pu mourir. Jamais plus. »
Vous quittez la pièce, un peu secoué, et tombez nez à nez sur Carl.
« Célestin ? Qu’est-ce que tu fais là ? 
-Oh Carl, et toi ?
-Non, déjà, ça va mieux ? T’étais passé dans les pommes à l’hôpital, enfin l’autre. Qu’est-ce que tu faisais là-bas d’ailleurs ? 
-Et toi ? 
»
Un long silence entre vous deux s’ensuit.
« J’essayais d’attraper le tueur.
-Nous aussi. On était plein d’étudiants. On était. Putain, Célestin c’était chaud. T’as vu le tueur pas vrai toi ? 
-Euh oui ? 
-Nous on était contre des tarés en bas. Des mecs véners. Et j’ai vu des trucs... 
»
Vous voyez Carl se prendre la tête entre les mains et commencez à rire nerveusement.
« Des crânes éclatés. Des tentacules putain Célestin. Et des flammes, rouges, qui poursuivaient les mercenaires et les brûlaient. Et eux en face ils tiraient. Michael a failli y passer, une balle l’a frôlé et a miraculeusement atterri dans le mur. Pavel est mort Célestin, mort. Il a fallu trois balles pour l’abattre. Xavier y est passé aussi. Clark est dans un état critique, on sait pas s’il va survivre. 
»
Il continue à rire plus fort.
« J’étais venu avec Pauline, Célestin. Pauline. 
-Oh.
-On voulait réessayer quelque chose. Et du coup on est allé là-bas ensemble. Putain. 
-Elle est... ?
-Je sais pas putain. Ils refusent que je la voie. Elle est ici normalement. Saloperie de clinique privée de merde. 
-Attends, c’est pas un hôpital ici ? 
-Non, c’est une clinique de LS CORP. Ces salopards putain. Bonne nouvelle pour toi, Valentin s’en est sorti sans une égratignure. Une chance de cocu : il est littéralement passé entre les balles. 
-Vraiment bizarre. 
»
Vous entendez du raffut au loin.
« Je vais bien ! Lâchez-moi ! 
-Pauline ? Pauline ! 
»
Carl disparaît, vous laissant seul.
Simon, Pavel, Xavier. Morts. Clark dans une situation critique. Des vies dévastées. Pourquoi ? Comment ?
« Je suis désolée Célestin. Si j’avais été plus forte, j’aurais pu... 
-Non. C’est pas de votre faute. C’est la leur. 
»
Vous quittez l’hôpital, laissant derrière vous les regrets d’individus si variés, pour rejoindre le Poète.
« D’autres regrets...
-Hein ?
-Je n’apprécie pas le traître regrettant sa trahison, mais je crois que j’ai pitié de lui. Tu n’as pas à te méfier de lui, Célestin. Mais essaie d’en apprendre beaucoup. »
Vous sonnez à l’interphone, rentrez, et vous rendez jusqu’à la porte où vous attend un vieillard en antique tenue. Il vous regarde d’un air las, avec une néanmoins vous le sentez dans ses gestes, une pointe d’excitation.
« Bonjour, Monsieur Chancla, rentrez, je vous en prie. 
»
L’intérieur est parfaitement archaïque. Aucune ampoule n’éclaire la pièce, mais des chandelles. Les décorations sont passées de mode si bien qu’elles pourraient appartenir à un musée. Vous vous croieriez plus au Château de Versailles qu’à Issou. Vous vous installez dans un confortable fauteuil, style Louis XVI, mais ça vous n’en savez rien. Le Poète s’installe en face de vous, en servant devant vous une tasse de thé. 
« Coupons court, je suis le Poète de toutes les Désuétudes, un Bâtard surveillant, et un collègue de la Sorcière Futile, que vous connaissez il me semble. 
-Je... hein... quoi ? 
»
Il fait un geste de la main pour vous interrompre.
« Ce charabia signifie que je suis un demi-dieu au service du Sigle tout comme votre amie Clara. 
-Attendez, vous êtes un Bâtard au service du Sigle ? Je croyais que...
-Tous les Bâtards ne sont pas les mêmes. Et si vous vous demandez en quelle occasion je pus tout à la fois vous observez la fois précédente, et être à présent devant vous, il se trouve que les Bâtards se trouvant dans les Cours ont cette capacité partagée avec les Autres. 
-Woah, vous êtes la personne la plus claire que j’ai rencontrée jusqu’à maintenant. 
-Hé ! 
-Mais pourquoi vous servez le Sigle ? Les Dents, elles, avaient pas l’air de le servir...
-Les Dents étaient un Grand Bâtard, un des ambitieux qui pensa pouvoir détruire l’équilibre naturel de façon directe. Un des plus puissants de tous les Bâtards. Je n’aurais jamais je pense la possibilité d’atteindre sa pleine puissance, tout comme la Sorcière. Elle et moi sommes plutôt... des serviteurs du monde tel qu’il est. Vous avez pu entendre, via la Voix du Monde, l’évocation de règles à respecter, n’est-il pas ? 
-Euh oui. Vous en savez vraiment beaucoup. 
-Nous y viendrons. Je préfère gagner votre confiance, Monsieur Chancla, avant de vous expliquer mes motifs. Ces règles tiennent le monde. Elles empêchent le contrôle de notre monde matériel par l’une des entités, mais surtout évite la destruction du monde. Nous œuvrons pour le monde, Monsieur Chancla.
-Il dit la vérité. Mais ça ne veut pas dire que ce soit bien. Pense que c’est ce monde qui permet aux Dents d’exister.
-Eh beh...
-Oui. Vous ne le savez peut-être pas, mais les Bâtards ignorent leur passé. Nous savons que nous avons été humains, mais le monde nous a oublié et nous nous sommes oubliés nous-mêmes.
-Toujours un prix à payer. 
-C’est ce que les Dents disaient.
-Je suppose que malgré leur puissance, les Grands Bâtards restent des Bâtards. Mais, voyez-vous, je ne suis pas entièrement dévolu à cette règle. Il se trouve... que je me souviens de certaines choses. Que quelque chose me tient. D’avant ma bâtardise. Et parmi ces souvenirs, je me souviens d’entendre la Voix du Monde. D’entendre s’agiter au-dessus de moi toutes ces entités invisibles qui semblent s’amuser à tourmenter les mortels... J’ai l’impression d’avoir été vous, ou plutôt comme vous.
-Qu’est-ce que...
-Ce n’est pas tout, Monsieur Chancla. J’ai l’impression que ma bâtardise est une erreur. Que j’ai commis quelque chose que je n’aurais pas dû. Je veux savoir mon passé, Monsieur Chancla, pour le rectifier. Et je pense que vous en êtes la Clé. »
Les Dents avaient dit la même chose. La Clé.
« Je vous propose, Monsieur Chancla, une collaboration pleine et entière. J’ai beaucoup de connaissances, du fait de mon statut, et de possibilités. De pouvoir. Tout ce que je désire, c’est apprendre quelque chose de vous. Comment cela se fait-il que vous entendiez cette voix comme je l’ai entendue jadis ? C’est cela que je veux savoir. Qu’en dîtes-vous ?
-C’est trop tard pour lui, mais je te laisse le choix. Il est honnête. 
»
Il cherche. Le chemin est pour lui terminé, si bien qu’il veut remonter en arrière pour y trouver ses propres traces. Il regrette sa trahison sans la connaître. Vous êtes son espoir pour le moment ; il vous haïra de jalousie quand il comprendra.
1) Accepter et lui parler du Livre
2) Accepter et lui parler de l’Hallucination 
3) Accepter et lui parler du Livre ET de l’Hallucination
4) Le tester en lui parlant de la Princesse des Ombres 
5) Refuser toute collaboration 
La première partie de la fic a été supp
Je repost tout en ici en captures
Le 03 septembre 2022 à 00:54:16 :
Une partie a été supprimée par big brother
Yep, j'ai vu, j'ai repost en captures, seul truc que je peux faire, Glados me prévient même pas des suppressions en mp
Je pense qu'on a rien à perdre a y aller franco je vote la 3 on a apparemment aucun risque avec le poète
Données du topic
- Auteur
- DSKronos
- Date de création
- 20 juillet 2022 à 18:31:53
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