"Célestin, amène-moi un film"
Le 09 septembre 2022 à 19:16:00 :
Je vote 2, pas question de faire confiance à la princesse.
Et on a donc une victoire de la 2), la sweet très certainement ce soir (90% sûr)
2) Confronter l’intru
-Allons, allons jeune homme, je ne suis que... »
Vous ne laissez pas l’homme terminer sa phrase que déjà la formulation de Souffle sort de votre propre bouche, mais ne faisant que reculer légèrement l’homme.
« Tiens donc. L’impression première que j’avais ne venait pas que de la maison. Mais je crains que vos petits tours ne me fassent pas grand effet, sombre larve...
-Il aime monologuer, profite-en. »
Vous poursuivez vos formulations en traçant rapidement dans le vide les Liens et la Souffrance. L’homme en face comprend rapidement, et fait un geste à son tour, son œil droit brillant d’un rouge sanglant.
Vous sentez quelque chose monter dans votre gorge, mélange étrange de nausée et de glaire, qui paralyse votre flot de parole. Vous vous sentez déglutir, avant de cracher sur le sol une bouillie grisâtre. Alors que vous relever la tête, vous êtes saisi à la gorge par l’homme, qui vous soulève sans peine du sol d’une seule main.
« Allons bon, restons calmes, voulez-vous ? Je suis sûr que vous avez beaucoup de choses intéressantes à me raconter, ou du moins pas assez misérables pour justifier votre mort dès maintenant. »
A ces mots, il vous fracasse votre visage contre le sol, avant de s’essuyer les mains de contentement.
L’homme vous tourne le dos, et en ce qui semble instant, vous ouvrez votre sac et vous vous saisissez du pistolet à silex. Vous armez le chien, et commencez à appuyer sur la queue de détente, quand...
« Tu crois que je ne te vois pas ? »
La tête de l’homme se tourne étrangement à 180°, vous fixant monstrueusement. De son œil creux, vous sentez émerger un profond sentiment de suffisance, et surtout de mépris infini envers ce que le vide fixe : vous.
« Un joujou tiré de la carcasse putride de l’Arsenal. Tu penses m’abattre avec ça ? Crétin fini. Tu es bien plus con que tu ne le laissais supposer, et ce n’était déjà pas fameux. Alors, qu’est-ce que tu vas faire ? Tirer ? J’aurais déjà esquivé. Mais je suis curieux de savoir où un être aussi petit, insignifiant que toi, a pu... »
Vous tirez. Le temps semble se ralentir. Votre hallucination grimace, et vous sentez le brouillard noir s’agiter au-dessous de vous. Vous entendez au loin comme le tintement d’une pièce.
-Je n’en reviens pas. Tu me fais dépendre de ce salopard ? Tu as le culot de m’humilier, moi ? »
Vous vous sentez incroyablement lourd. Vous vous écrasez littéralement de vous-même contre le sol.
« Tu crois que tu as une chance contre moi ? Tu crois que tu es quelque chose espèce de sombre merde ? »
Le brouillard noirâtre autour de vous commence à s’effacer tandis que l’homme s’approche de vous.
« Bordel, tu te prends pour quoi ? T’es quoi face à un Dieu, petite merde ? »
L’homme vous donne un grand coup de pied dans les côtes, vous coupant le souffle, puis pose son pied sur votre tête et appuie encore plus.
« Je suis le Dédaigneux, sous-merde. Je suis un Dieu. Et t’as cru m’abattre avec quoi, une relique tiré d’un salopard mort depuis des millénaires ? T’as cru avoir une chance ? T’as cru pouvoir t’opposer à moi quand je suis venu ? Tu aurais dû courir dans les jupons de la salope qui t’a engendré espèce de colossal enfant de putain.
Le Dédaigneux se recule et vous redonne un coup de pied, toujours sous la pression écrasante. Quelque chose d’humide vient se coller dans vos cheveux : un crachat.
« Alors ? Qu’est-ce que tu as à répondre ?
Une rage sourde monte en vous. Mais aussi de la tristesse. Un sentiment d’impuissance.
[LE FIEL ROUGE VOUS REGARDE]
[LA DEMOISELLE AUX CORDES VOUS REGARDE]
[LA ROYALE CARCASSE VOUS REGARDE]
[LA ROYALE CARCASSE VOUS PREND EN PITIE]
« Allez-vous-en ! Merde, ce salopard avait dit que...
[LA DEMOISELLE AUX CORDES DETOURNE LE REGARD][LE FIEL ROUGE DETOURNE LE REGARD]
[LA ROYALE CARCASSE PARVIENT A SE MAINTENIR]
[LA ROYALE CARCASSE VOUS DIT QUELQUE CHOSE]
« Pauvre Célestin. Relâche-le, Bâtard.
-Va te faire foutre, t’as aucun pouvoir ici. Et bientôt plus du tout.
-Tu penses vraiment ? Ha ha ha. »
Vous sentez le Dédaigneux hésiter, et par la même la pression se relâcher quelque peu.
« Tu crois que je ne sais pas ce que vous manigancez ?
-Grâce à vos petits tours, je suis de plus en plus puissant. Tu crois que c’est un hasard ?
-Exactement. Tu crois que tu as été amené ici pour rien ? Enfin amené, envoyé comme un esclave.
-Silence ! Qu’est-ce que tu veux dire espèce de salopard manipulateur ?
-Rien, rien. Je me demande juste pourquoi tu es ici au lieu d’un simple serviteur de ton maître... je veux dire collaborateur. Et le mien aussi par ailleurs.
-Ce monstre. Regarde-le le retourner. »
Vous entendez un murmure dans le brouillard noir qui revient vers vous.
La Royale Carcasse ricane de nouveau.
« Alors, petit bâtard ? Que comptes-tu faire ? Obéir pour des broutilles ?
-Tss. Et pourquoi t’intéresser à lui, toi, le fils de pute en chef ?
Vous sentez la pression se relâcher complètement, et le Dédaigneux commencer à repartir.
« Ne crois que tes petites manipulations fonctionnent le monstre, je choisis simplement de vérifier tes dires.
Et le Bâtard disparaît.
« Qu’est-ce que... qu’est-ce qu’il vient de se passer ?
-Un éminent travail d’équipe. La demoiselle retenue ici ainsi que toi-même, mon bon ami, avec un léger appui de ma part, ont repoussé ensemble le terrible Bâtard.
-Fais semblant de ne pas comprendre d’où il sort.
-Vous... vous êtes qui ? Et d’où vous parlez ?
-Je suis ton meilleur ami. Et je crains de ne pouvoir parler plus longtemps car le tour s’amenuise. Nous nous recroiserons, j’en suis certain. »
[LA ROYALE CARCASSE PLEURE]
[LA DEMOISELLE AUX CORDES VOUS REGARDE]
[LE FIEL ROUGE VOUS REGARDE]
[LA DEMOISELLE AUX CORDES SANGLOTTE CONFUSEMENT]
[LE FIEL ROUGE HURLE CONTRE LE DEDAIGNEUX]
[LE FIEL ROUGE VOUS PRESSE DE TROUVER VENGEANCE]
« Il se passe quelque chose de leur côté aussi. Tout à l’heure [ils] ont été expulsé sans leur avis. Ce n’est pas normal, les formules ne sont pas là. Et il faut déplacer le tableau. Monsieur Lessol comprendra. »
[LA DEMOISELLE AUX CORDES VOUS OBSERVE ATTENTIVEMENT]
[LA DEMOISELLE AUX CORDES PLEURE DE MALAISE]
[LE FIEL ROUGE VOIT LA BRUME]
[LE FIEL ROUGE SOURIT]
Vous redescendez dans la cave, et le tableau s’y trouve encore, intouché.
« Tu es accompagné cette fois Célestin. Le feu, les pleurs et l’inconnu. »
[LE FIEL ROUGE SOURIT]
[LA DEMOISELLE AUX CORDES SE DRAPE DANS LE CHAGRIN]
[LA ROYALE CARCASSE NE PRETE PAS ATTENTION]
« Messeigneurs auraient-ils la bonté de me libérer ? Non ? Et toi Célestin ?
Vous réfléchissez à comment déplacer le tableau, votre esprit perturbé par les hématomes subis.
La mélodie se dérègle. Le joueur de flûte oublie le rat sourd à ses appels, qui ronge l’orchestre. Le rat, suprême menteur, s’amuse de la piètre tentative de changement ; il convoite après tout son passé glorieux. Sa victoire est le Retour Originel.
1) Demander à votre grand-père de vous transporter, vous et le tableau, pour le cacher chez vous
2) Demander à Florien Touraine de le garder pour vous
3) Demander au Poète de le garder pour vous
4) Le refourguer à Gustave, qui vous donnera sûrement un bon prix pour un tableau contenant une entité semi-divine
Je vote 1, Gustave le revendrait, pépé le revendrait, poète / tourraine sont pas de confiance pour gzrder un batard et Ekrivin risque de pas résister a la tentation de la libérer
On sait que Pépé est de confiance, et ne risquerait jamais de libérer un batard même s'il risque de vouloir détruire le tableau
Bien, nous sommes ravis de voir que nous ayons réussi à repousser l'homme, le Dédaigneux donc, sans passer du côté Obscur. Heureusement que notre ami était là
Au niveau du vote, il nous faut quelqu'un qui ne sera pas susceptible de céder à la tentation de la libérer, qui ne détruira pas le tableau, qui ne le vendra pas, et qui ne nous la mettra pas à l'envers d'une quelconque façon. Et comme les kheys l'ont dit, notre grand-père est sûrement la personne la plus apte à remplir tous ces critères. Vote 1
Le 09 septembre 2022 à 23:06:09 :
Je vote 1, Gustave le revendrait, pépé le revendrait
( au cas ou vous auriez pas vu que je suis un débile mental incapable de faire une phrase correcte, prenez pas en compte le morceau de phrase ou je dit que pépé le revendrait )
Il est où le choix permettant à Avortin de garder le tableau ? Suffit qu'il l'enfouisse sous une centaine de bolenbwa et il n'y aura aucun risque. Puis il serait content d'avoir une jolie dame à qui parler
Choix 1 du coup, en dépit de la crise cardiaque que pépé va avoir quand on va lui demander de garder cette chose
ma meuf appelait son ex "la poutre" et dans les débuts qu'on était ensemble, elle avait dans son téléphone une vidéo ou il soulevait une table de camping avec sa bite pendant leurs vacances
du coup je peux te dire que je suis toujours derrière elle, car je sais que si ça se termine entre nous, le soir même elle l'appelle et elle écarte les pattes
faut être solide pour être un couple, si on est fragile mieux vaut rester seul!!!!
le souci que j'ai rencontré est simple : ma meuf a trouvé notre relation géniale au début, car on faisait plein de trucs, plein de sorties, j'étais à ses petits soins, et quand elle comparait la relation avec son ex elle me disait, croyant me faire plaisir 'mon ex c'était un con, il s'intéressait à rien, on faisait jamais rien, c'était juste une histoire de cul en fait"
c'est elle qui l'a tej mais c'est parce qu'il l'a fait cocu. Le mec il avait une bite à la place du cerveau et les filles se font avoir comme des connes
Données du topic
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- DSKronos
- Date de création
- 20 juillet 2022 à 18:31:53
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