[Risitas X] Eve & Célestin

[01:24:25] <Alpharamp>
Ayaaaaaaaaa
Capucine qui n'était clairement pas ready pour un tel gourdin de chair

[11:02:29] <Kirikou_sniper>
1 j'ai bandé
2 bordel la pauvre elle a faillit finir handicapée a vie

Y'aura vengeance

Sweet ce soir

CHAPITRE 16 - FAUX SEMBLANTS

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La forêt ne mentait jamais. C'est ce que c'était toujours dit Hector quand il s'y baladait. C'était encore plus en vrai un fusil à la main. Il se souvenait de sa première fois comme si c'était hier. Il devait avoir 9 ou 10 ans et au premier coup, il l'avait explosé la tête de la biche. Une sensation inégalable. Dès qu'il en ressentait le besoin , Hector savait qu'il avait cette issue, cette échappatoire qui l'éloignerait durant un temps du moins, de son quotidien et de ses démons. Dieu n'était jamais loin aussi mais, parfois, quelques balles valaient mieux que n'importe quelle prière.

Il avait repéré des traces de gibier au sol. Sûrement un sanglier au vu des empreintes marquées dans la terre encore imprégnée des giboulées de la semaine dernière. Hector se faufilait entre les troncs d'arbre comme on galoperait dans un champ paisible et verdoyant parce qu'on s'y sentait heureux.

Le pas assuré, il suivait les marques au sol de sa nouvelle proie qui allait bientôt avoir affaire à lui, ce n'était plus qu'une question de minutes. Un bruissement de feuillage frissonna, la bête ne devait plus être très loin. Plus que quelques pas et elle serait en joug, plus que quelques pas et elle serait à lui.

La proie à découvert, Hector pointa son arme sur elle mais ce ne fut pas un sanglier qui lui fit face mais un garçon, il devait pas dépasser les 13 ans au vu de sa silhouette encore androgyne, son visage de gamine et ses yeux grands comme des phares qui révélerait la nuit. L'enfant fut d'abord stupéfait par l'arme qui le pointait, comment imaginer qu'elle soit autre chose que factice. Il n'avait rien vu de tel à part dans les jeux vidéo de ses frères, alors un canon de cette trempe ne pouvait être réel. Puis bientôt ses sens se mirent en alerte comme si enfin son instinct de survie s'était enfin mit en route face à cette lourde figure menaçante de celui qui le mettait en joug, tenue de guerre et sac camouflage comme attirail. Mécaniquement le pauvre garçon leva les bras en l'air. On le visait toujours. son choc laissait place à une expression moins claire, comme de l'incompréhension. Pourquoi cet homme continuait-il a le viser avec cette arme faite pour tuer.

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Tu regardais d'un œil la énième rediffusion d'un des films préférés de ton père qui était évidemment de la partie. Il s'exclafait comme s'il le voyait pour la première fois , tu étais partagé entre la jalousie qu'il ait conservé son émerveillement d'enfant et par la pitié devant son immaturité devant un film objectivement médiocre. Eve s'installa dans le canapé tout près de toi. Elle faisait semblant de regarder le film quand elle ne jouait pas de son index avec une mèche rebelle de ses cheveux. Tu jetais régulièrement quelques coups d'oeil à ses mouvements. Parfois tu apercevais qu'elle te cherchait du regard aussi jusqu'à ce que vos yeux curieux ne se croisent. Vous pouffiez de rire. Elle se pencha alors vers toi.

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- Tu as apprécié mon petit cadeau ?

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Te chuchota t-elle à l'oreille.

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- T'aurais pu me le dire directement au lieu d'inventer cette histoire de colis.

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Lui dis-tu en continuant à faire semblant de regarder la boîte à images.

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- Ma surprise n'aurait pas eu autant d'effet.

- T'as promis quoi à Capucine pour qu'elle accepte

- Un magicien ne dévoile pas tous ses secrets

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Elle regarda vers ton bas ventre.

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- Visiblement elle a pas bien fait son travail...

- En fait ça a pas totalement marché...

- Comment ça ?

- Je suis pas un goujat je vais pas raconter mes coucheries en public

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Eve jouait des épaules.

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- Arrête vas-y raconte ! Raconte et je demande à Capu de te voir 3 fois par semaine.

- Ahah j'adore cette scène !

- ...

- ... Allez raconte !! Raconte ! Raconte.

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Elle posa sa cuisse niveau de la bosse de ton jean et poursuivait les supplications en la faisant remuer à chacun de ses mots. Chacun de ses accoups te retournait. Elle devait forcément la sentir cogner sous sa hanche. Alors pourquoi continuait elle ?

Tu regardais à côté de toi, tétanisé, ton père était toujours absorbé par son film. Il ne s'apercevait de rien. Mais il allait forcément tourner de l'oeil à un moment ou à un autre pour vous dire une anecdote de tournage, une anecdote que vous connaissiez par coeur évidemment. Eve continuait à frotter sa hanche contre ton entrejambe pour te faire cracher le morceau. Il y avait trop de signaux contraires qui te bousculaient pour pouvoir réfléchir correctement.

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- Allez raconte...

- Je me suis déshabillé et elle a commencé ses affaires...

- Elle t'a branlé ?

- ...

- Elle t'a branlé ou pas ?? Tu peux le dire c'est pas un gros mot !

- Moins fort ! Oui... Ça me faisait du bien mais pas suffisamment pour que je jouisse. Elle a tout tenté mais ça fonctionnait pas donc elle a commencé à lécher...

- C'est pas vrai!!! Elle t'a sucé !?

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Eve pressa sa hanche sous tes couilles. C'était de la torture.

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- Oui... Mais finalement elle s'est évanoui

- Comment ça !?

- Elle s'est étouffé et elle est tombée dans les pommes

- Oh la petite nature ! Elle qui m'a dit que t'avais été impuissant...

- Quoi moi impuissant alors qu'elle aurait pu tomber dans le coma à cause de ma chibre ! Et si elle t'a déjà tout raconté pourquoi t'insistes ?

- Je voulais avoir ta version des faits... C'est vrai qu'elle avait la voix drôlement enroué au téléphone... Mais ca m'étonne qu'elle est pas réussi à te faire éjaculer une bombe à sperme comme toi. T'es sûr que tu m'as tout dit ?

- Oui je t'assure....

- Célestin ?

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Insistait-elle en pressant toujours plus intensément sur ton entrejambe prêt à céder.

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- Je t'ai tout dit Eve... Maintenant arrête !

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Elle retira sa jambe et se leva du canapé. Elle s'aperçut qu'une partie de ses jambes étaient mouillés dans fluide visqueux, un regard sur ton entrejambe et elle comprit.

- Dégueux je savais que tu mentais. T'es pas impuissant, t'es précoce. Comment tu pourrais tenir avec Capucine...

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Se moqua-t-elle avant de partir.

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- Eve, tu regardes pas la fin du film ?

- ...

Le 23 août 2022 à 01:01:01 :
sweet

Sweet !

Bordel eve qui commence à faire des dinguerie :bavé:

Le 23 août 2022 à 15:37:55 :
Et dire que c'est autobiographique selon les dires de l'OP

Troll de l'auteur selon moi car si tel était le cas, le délai entre 2 chapitres ne serait pas aussi long.
16 chapitres en 2 mois et demi, ça commence à faire long

Sweet nonobstant

[00:22:55] <ISSOU-REDNECK>
un peu coute tout de même l'op, sinon, ça reste vachement bien, si tu peut sortir la sweet cette nuit, j'apelle caput'ent pour qu'elle te suce

Je vais essayer de faire des sweets plus courtes désormais. Des chapitres sur un post aussi. Le risitas finit au chapitre 20.

[08:40:00] <-Pikimi->
J'ai tout lu d'une traite, sweet

Cimer mon khey

[14:18:59] <Pqe17>
Sweet !

Bordel eve qui commence à faire des dinguerie :bavé:

Not ready

[15:37:55] <Bol2Glace8>
Et dire que c'est autobiographique selon les dires de l'OP

Ahii y'a quipoquo

[21:04:48] <1337_>

Le 23 août 2022 à 15:37:55 :
Et dire que c'est autobiographique selon les dires de l'OP

Troll de l'auteur selon moi car si tel était le cas, le délai entre 2 chapitres ne serait pas aussi long.
16 chapitres en 2 mois et demi, ça commence à faire long

Sweet nonobstant

Si ça tenait qu'à moi ce serait bouclé en une semaine juste j'ai pas le temps d'écrire. Mais je comprends que ça vous saoule que ça traine

[21:57:04] <lorken>
Suite

[02:44:15] <Vanex15>

Le 23 août 2022 à 01:01:01 :
sweet

Demain ça sort

Quand tu sus les mensonges de Capucine, ça t'enragea. Elle ne s'en sortirait pas si facilement à faire diffuser de fausses accusations sur ta personne.

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- Elle va au lac demain.

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Tu l'y attendrais de pied ferme.

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Il faisait frais comme un matin de fin d'hiver. Le soleil tapait assez intensément pour que tu te targuas d'une casquette Gap qui faisait 2 fois ta tête. Posé près de la berge, tu guettais l'horizon prêt à bondir. Ce n'était pas dans ta nature de rentrer dans la confrontation avec tes congénères. Tu préférais l'évitement. À quoi bon se fatiguer pour des gens qui n'en valaient pas la peine te répétais-tu comme un credo à chaque fois qu'on te faisait une réflexion, une crasse. Ça t'arrangeait bien, il valait mieux s'écraser quand on était un lâche depuis naissance. Mais pas cette fois. Sans que de savoir que tu avais une arme entre les jambes qui l'avait déjà fait taire suffisait à te donner assez d'aplomb pour l'affronter.

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- Si on prend cet hôtel, ça nous laissera bien plus d'argent pour les sorties

- Si on prend cet hôtel, on va finir découper un morceau surtout. Elles seront belles nos sorties...

- T'as peur de tout. Je sais même pas pourquoi on part avec toi. C'est pas tous les jours qu'on va à Marbella.

- J'y suis allée l'an dernier...

- Et en plus elle fait la blasée

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Ces pouffes continuaient à discuter alors que tu les observait au loin . Tu ne lachais pas Capucine du regard, d'un air que tu voulus menaçant et accusateur...

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- Euh les filles... il y'a quelqu'un là bas qui nous regarde bizarrement sur la colline.

- Mais qu'est-ce qu'il fait ici cet attardé ?

- C'est le cousin d'Eve ?

- Il me met mal à l'aise pas vous ?

- Ouais, ça se sent que c'est un mec bizarre.

- J'aurai un voisin comme ça je pourrais pas dormir de la nuit.

- Chut il arrive.

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Tu marchais d'un pas décidé vers elle, à la manière de Spartacus, fier comme un héros, craignant rien pas même ton destin.

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- Mais pourquoi il marche comme ça ? On dirait un poulet.

- Barrons-nous avant qu'il n'arrive.

- Trop tard il est trop prêt.

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Tu t'arrêtas devant elle, le torse bombé, le cou élancé à l'extrême. Tu pris une grande inspiration et... Tu restais muet.

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- (Merde je pensais qu'elle viendrait au lac tout seul... Je suis con aussi. Qui vient au lac seul ?)

- Pourquoi il bouge pas ?

- Il devient tout rouge.

- Eh oh cousin d'Eve, t'es sûr que ça va ?

- J'ai pas l'impression qu'il respire

- Et maintenant il tremble... Les filles ça me fait peur...

- Roh mais qu'il est con...

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Capucine te mit la main devant la bouche et t'éloigna du groupe.

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- Je reviens tout de suite les filles.

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Elle t'emmena derrière la cabane loin des regards indiscrets.

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- Eh l'attardé qu'est-ce que tu fais ici !? T'as pas d'autres choses à faire que de m'espionner. Va falloir arrêter hein, je te revois je te cogne, capiche ?

- Je t'espionne pas... Je... je viens régler mes comptes...

- Y'a rien à régler. Barre toi.

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Elle te prit ton plâtre comme pour te tirer loin d'ici.

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- A...attends. Pourquoi t'as dit à Eve que j'étais impuissant !?

- j'ai jamais dit ça.

- ...

- J'ai peut-être dit un truc comme ça mais il faut pas le prendre au mot

- Comment je dois le prendre alors ? Je te préviens, t'as intérêt à dire la vérité à Eve.

- Mais t'es malade !

- Dis lui !

- Eh l'attardé tu crois faire peur à qui ? Si t'as la libido d'un vieillard, c'est pas de ma faute.

- Je jouis parfaitement avec quelqu'un qui sait y faire.

- Qu'est-ce que t'insinues ?

- J'insinue que t'as des parpaings à la place des mains. Comment tu veux être excité par ça. Je plains tes ex...

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Elle s'offusqua.

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- Eh je t'ai fait une fleur le puceau. Il n'y a qu'une idiote comme moi pour accepter toucher à un zgueg si affreux. Non mais sérieux il est de traviole et il est difforme.

- Ça t'a pas empêché de le bouffer tout entier... C'est grave quand même. C'est toi qui branles comme un manchot, et c'est toi qui suces comme un bulldog mais tu m'accuses. Pas de ma faute si t'es un mauvais coup...

- Un mauvais coup !? Un mauvais coup !? Tu sais à qui tu parles ? Tu tiendrais pas 5 minutes avec moi sale merde !

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Capucine s'approcha les narines dilatées, les joues gonflés et les canines visibles par la remontée de ses lèvres qui l'a défigurait.

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- Tu branles mal ! Tu suces mal ! Assume.

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Rencheris-tu, incapable de lâcher du lest.

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- Ta gu*ule

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Elle était tellement proche de toi que ses expirations rageuses caressaient ta moustache.

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- T'es minable au pieu ! À chier !

- Je t'ai dit ta g...

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Tu l'embrassas instinctivement, plein d'hargne. Ça avait duré quelques secondes mais ça t'avait électrisé. Alors c'était ça qui te demandait durant tout ce temps. Elle te regarda plein d'incompréhension. Son souffle était haletant, sa poitrine se gonflait et se dégonflait à toute vitesse.

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- Tu me dégoûtes.

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Et elle te sauta dessus, prête à te continuer ce que tu avais initié.

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FIN DU CHAPITRE 16