[Risitas X] Eve & Célestin

[23:17:02] <SolutionFlnaIe>
Sweetent

Ça arrive je finis la stickerisation

Le 19 août 2022 à 23:37:46 :

[23:17:02] <SolutionFlnaIe>
Sweetent

Ça arrive je finis la stickerisation

SWEET

Les filles se rhabillaient. Capucine enfilait difficilement son jean, son corps était encore soumis aux spasmes qu'Eve lui avait provoqué par ses caresses.

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- On part sur 3 fois par semaine jusqu'à qu'il n'ait plus ses plâtres ?

- Qu'est-ce qui t'as fait croire que je marchais ?

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S'agaçait Capucine.

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- Je sais pas, peut-être le moment où t'as dit : "Oui Eve, c'est là ! Oui continue ! Je ferai tout ce que tu veux si tu continues ! "

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Imitait Eve taquine en étirant la dernière syllabe dans une simulation totale. Capucine grimaçait d'aigreur.

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- Tu m'as piégé.

- Si c'est un piège, ça te dérangerait que je recommence...

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Eve s'approchait, caressant Capucine encore sensible aux mains brûlantes de son amie.

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- Arrête ça !!! C'est bon j'accepte.

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Eve souriait satisfaite.

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- Mais tu me laisses la priorité sur tous les nouveaux BG du lycée.

- Ok.

- Et tu écris toutes mes dissertations de français jusqu'à la fin de l'année

- Pourquoi pas.

- Et donne moi ton fard à paupières aussi et ton porte feuille Gucci

- Pas de soucis !

- Mais tu vas accepter tout ce que je te demande !?

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S'étonnait-elle dégoûtée de ne pas faire plier Eve.

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- Je lui ai promis de l'aider comme je pouvais alors si c'est le prix à payer pour que tu le fasses, je le fais.

- Votre relation est drôlement bizarre... Bon... je veux bien branler une fois pour tester mais c'est la seule chose que j'accepte, s'il tenté d'aller plus loin ou quoi que ce soit d'autre, j'arrête tout, capiche ?

- Capiche Capute

- Je l'attends chez moi à 4 h et arrête de m'appeler comme ça.

_____________________

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Eve t'avait demandé de te rendre dans la résidence étudiante en périphérie de la ville récupérer tu ne sais quel colis qu'elle avait égaré. Tu n'avais tout saisi mais, étant en pleine phase de rabibochage vous étiez en plein réconciliation, décliner sa demande n'était pas une option. Le trajet semblait durer des heures le trajet, les transports en commun de la ville étaient déjà irréguliers hors période de vacances qu'il fallait bien attendre une éternité avant d'en prendre un en plein été.

La résidence avait des airs de petit village, elle s'étendait sur plusieurs centaines de mètres séparés en 4 blocs nommés par les saisons.

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- Je dois aller au bloc Printemps.

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C'était complètement con. La décoration du bloc printemps était bien moins fleurie que celle du bloc hiver dans lequel les immeubles suivaient la même architecture que ceux du bloc été. Tu évitais au moins l'aspect labyrinthique du bloc automne.

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- Troisième étage porte 36.

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Sur le chemin, tu croisas que des filles, sûrement de ton âge. Elles ressemblaient aux amies d'Eve, jolies mais cultivant toujours cet air désabusé de nana ayant tout vu, tout connu. Tu arrivais sur le pas de la porte.

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- Salut !

- Hey...

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Une petite blonde pimpante t'accueilit avec un grand sourire qui révélait toutes ses dents. Tu n'avais plus vu une expression aussi franche et démonstrative depuis bien longtemps.

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- Capucine il est là !

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Elle t'attrapa le bras et te fit entrer. Elle te pressa de t'asseoir sur le canapé de la pièce qui servait de salon. La pièce était dans un bordel sans nom, magasines découpés, matériels de coutures et bang ornaient le sol dont on ne voyait presque plus le parquet.

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- Tu veux boire quelque chose ?

- Euh... Non je viens juste récupérer le colis d'Eve... Je compte pas rester longtemps

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Elle contenait son rire.

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- Tu devrais vraiment boire quelque chose. Je te prépare un remontant ? On a même des softs.

- Je... Je bois pas.

- Qu'est-ce que tu fais Odette ?

- Mais rien j'accueille comme il se doit notre invité.

- Commence pas... Bon tu viens j'ai pas que ça à faire !?

- Ve... Venir où !?

- À ton avis l'attardé ? À l'intérieur de ma chambre. On va pas faire ça devant l'autre cruche.

- Moi ça me dérange pas

- ... Euh je...

- "euh... Je", eh l'attardé j'ai pas ton temps alors tu bouge ton gros cul et t'entres dans la chambre fissa... Je suis à deux doigts d'appeler ta cousine pour lui dire que c'est mort alors bouge toi !

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Tu suivais finalement ses invectives malgré ta réticente.

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- Profite

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Te dit Odelle toute émoustillée.

Capucine lui lança un regard noir avant de fermer la porte de la chambre. L'atmosphère était saturée d'une odeur de clope mêlée aux effluves de vodka. Sa chambre était mieux rangée que le salon, ça devait sûrement être elle qui était la plus structurée de la colloc. Il y'avait quelques trophées et médailles dans le coin de la chambre, des prix d'athlétisme. Ton oeil s'arrêta également sur le micro et la caméra professionnelle dirigée vers le lit et ses jeux de lumière tamisée qu'il y'avait au plafond.

Elle semblait tendue, faisait les cents pas en ramassant les quelques hauts qui traînaient au sol quand elle ne se donnait pas de la contenance en buvant quelques gorgées de sa bouteille de Jack Daniel's déjà bien entamée.

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- Tu préfères à main nue ou avec des gants ? Et commence pas à hésiter ça va m'énerver.

- Main nue... ?

- ...

- Mains nues.

- Ok

- ...

- ...

- T'attends quoi ?

- je sais pas...

- Enlève ton pantalon je vais pas te faire un dessin.

- Attends... Qu'est-ce qu'on est en train de faire là ?

- M'oblige pas à le dire s'il te plait, ça me dégoûte déjà rien que d'y penser

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C'était donc de cette façon qu'Eve comptait t'aider. Demander à une de ses amies de te branler. Ça t'étonnait qu'elle est eu l'audace de quémander une telle chose et que Capucine ait si peu d'amour propre pour accepter.

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- Tu préfères debout ou assis ?

- Assis.

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Elle approcha la poubelle vidée et la posa près de toi pendant que tu descendais ton pantalon.

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- La prochaine fois, si y'en a une, tu rases tout ton torse. Pas de Yeti chez moi. Je laisse passer pour cette fois.

- oui madame... Euh Capucine.

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Malgré ta gêne tu retiras finalement ton caleçon. Tu gardais un oeil sur Capucine, un choc certain la saisit quand tu fus enfin à moitié nue.

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- Comme quoi l'habit ne fait le moine...

- ...

Le 20 août 2022 à 01:58:45 :
Oh c'est quoi cette mini sweet l'op reviens ici tout de suite
Bon ben je reste bite à la main pour encore quelques jours alors

[04:01:02] <Vanex15>

Le 20 août 2022 à 01:58:45 :
Oh c'est quoi cette mini sweet l'op reviens ici tout de suite
Bon ben je reste bite à la main pour encore quelques jours alors

En fait pour tout vous dire j'avais écrit une très grosse sweet mais ça passait pas la limite des 16 000 caractères de JVC du coup je l'ai coupé en deux.

Là je stickerise et ça arrive

[10:08:28] <Kirikou_sniper>
Suite la torture putain c'est horrible

[09:59:14] <SugarWeather>
Bordel l'op vite la sweet

[09:05:59] <Tobec6363>
La sweet vitent

L'attente va (peut être) valoir le coup

Malgré ta gêne tu retiras finalement ton caleçon. Tu gardais un oeil sur Capucine, un choc certain la saisit quand tu fus enfin à moitié nue.

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- Comme quoi l'habit ne fait le moine...

- ...

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Elle saisit ton membre et commença de légers mouvements de vas et viens.

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- Allez détends-toi. T'es pas chez le médecin.

- Ouais... Je sais... Mais... T'as les mains froides... Ahah

- Elles vont très vite se réchauffer.

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Elle s'assit près de toi, et s'accrocha à ton épaule pour avoir une meilleure prise. Les sensations étaient plus agréables. Le sang commençait enfin à irriguer ton membre

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- Ça grossit encore...

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S'étonnait-elle. Elle accélérait le mouvement en diversifiant ses mouvements de poignets qu'elle voulait totale et assurée. C'était pour sûr une habituée.

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- J'ai pas l'impression que ça vient... Détends toi... Tu veux que je mette de la musique ?

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Tu acquiesçais. De la télécommande de la chaîne hifi elle alluma NRJ sans arrêter son entreprise.

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- C'est dingue, y'a rien qui se passe. Ta b*te n'est même pas totalement dure. T'es au max ?

- N...non... je t'assure que non...

- Tu vas pas me dire que t'as souvent l'occasion d'être avec des filles comme moi...

- ...

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Elle accéléra de plus en plus la cadence tandis qu'elles se concentraient d'avantage. Elle décomposait toujours plus ses mouvements pour décupler tes sensations, ce mouvement de bas en haut qu'elle faisait de la force de son poignet et la pression de son pouce sur un point sensible d'un des nerfs ramifiant ton gland commençaient à faire effet sur ton membre désormais totalement dressé.

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- Va falloir que j'y aille des 2 mains

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Moite, elle commençait son limage. Son biceps se contractait à chacun de ses vas et viens alors que son souffle s'accélerait au fur et à mesure. Transpirante elle enleva son haut qui dévoilait son soutien gorge dessinant les lignes de sa légère poitrine puis elle reprit. 5, 10, 15 minutes, elle continuait toujours plus intensément mais rien y faisait. Ça l'agacait.

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- Putain c'est quoi cette b*te de merde t'étais pas censé être en manque ?

- Je ... Je le suis, je me suis pas touché depuis des jours... On peut faire une pause je commence à avoir mal.

- Non

- S'il te plaît Capucine

- Je t'ai dit non ! C'est pas la bite hypertrophiée d'un puceau qui va me résister !

- ...

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Capucine tentait tout. Le changement de rythme, le ralentissement extrême, l'accélération infernale, la torsion, la technique du levier mais ça ne venait pas. La jouissance était encore bien loin.

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- Mais tu bandes comme un dingue en plus, ça veut dire que t'es excité mais pourquoi rien ne sort ! Ça fait 30 minutes qu'on ait dessus... C'est moi le problème ? Je te plais pas ?

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S'inquiètait Capucine.

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- Si... Enfin t'es très jolie... On y est presque je suis sûr.

- Oh et puis merde

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Elle s'accroupit devant toi et commença à lécher le sommet de ta colonne dressée. Elle te regardait dans les yeux, défiante. Tu sentais tes entrailles se contracter à chacun de ses coups de langue. Sans crier gare, elle goba ton membre et l'enfonça toujours plus profondément dans la gorge. Ses yeux s'écarquillaient un peu plus à chaque centimètre qu'elle s'engouffrait dans l'oesophage resserré jusqu'à que ce soit trop ardu pour elle de continuer. Alors, elle s'arrêta et se mit à alterner insertion et extraction de ton pénis dans sa bouche avec une force de succion incroyable et des contorsions de langue impossible. Elle accompagna cette chorégraphie rendement menée aux vas et viens de ses mains sur ta colonne baveuse alors que sa tête bougeait d'avant en arrière dans un mouvement hébété.

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- Je sens que ça vient quand je suis au fond.

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Lâchais-tu entre deux contractions.

Capucine leva les yeux vers toi d'étonnement. Elle extirpa ton poireau de sa gorge.

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- C'est vrai ?

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Dit-elle en crachant une chiée de salive.

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- Oui mais je pense pas que tu puisses tout entrer...

- Hein ?? Mais si, si...

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Tentait-elle de te rassurer malgré ses yeux muqueux.

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- Tu tournais de l'oeil.

- On va recommencer et j'irai jusqu'au fond. Et même si je commence à tourner de l'oeil on arrête pas tant que t'as pas jouis, d'accord ?

- Tu te donnes vraiment à fond...

- Conscience professionnelle.

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Capucine lécha ton gland pour l'appréhender. Elle y mettait tout ce qu'elle avait. Quand elle fut enfin prête elle le goba complétement avant d'en insérer d'avantage dans sa bouche, elle lâchait des cris proches de grognement d'une tonalité bien plus haute que sa voix normale. Tu sentais ton gland presser son palet puis passer sa glotte. Son visage se déforma pendant que sa bouche en o s'ouvrait à l'extrême. Elle fatiguait tu le voyais mais c'était une question d'honneur, elle n'abandonnerait pas. Par reflexe, quelques larmes s'échappaient de ses yeux grand ouverts alors que tu étais enfin de retour dans son oesophage si serré. Tu sentais son appareil buccal tenter de déglutir mais ta colonne de chair, l'empêchait. Ses compressions eurent le mérite d'augmenter la stimulation sur ton membre mais il t'en fallait d'avantage.

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- Va plus loin.

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Tu répétas ta demande mais elle ne bougeait pas et te regardait, éberluée.

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- Va plus loin je te dis !

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Elle tapotait l'arrière de sa tête comme pour t'indiquer quelque chose.

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- Je mets les mains là ?

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Elle acquiesça comme elle le pouvait. Tu mis alors ta main derrière sa tête et la fit basculer en avant, ton membre s'enfonçait toujours plus profondément alors que les sons de Capucine t'encourageaient.

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- Ça vient je le sens.

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Tu collas le plâtre de ton autre bras à l'arrière de son crâne pour y pousser les derniers centimètres quand tu sentis enfin la peau de tes couilles sur ses lèvres tu coincas sa tête contre tes deux plâtres et entrepris des mouvements de vas et viens tel un marteau piqueur. Les yeux de Capucine se plissèrent comme si c'était trop pour elle mais elle t'avait dit de continuer quoi qu'il advienne alors tu continuais. Sa divine gorge faisait des bruits de ventouses à chaque aller retour. Ta bite tapait plus intensément tu ne sais quelle partie de son anatomie alors que tous les muscles de sa bouche jusqu'à sa gorge épousait ta colonne de chair. Quelle sensation se fut ! Peut-être la meilleure de ta vie mais rien ne sortit de ton pénis, ou peut être ne l'avais-tu pas senti à cause de l'intense pression de sa gorge.

Tu poussas sa tête en arrière pour extirper ta bite. Ses yeux avaient virés au blanc, elle s'écroula au sol, gâteuse, alors que son corps frissonnait par saccade comme un ver.

Tu reprenais toi aussi tes esprits, en t'essuyant l'entrejambe avec un de ses pulls en cachemire.

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- Merci Capucine, j'espère que ça t'a plu aussi !

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Capucine, léthargique, semblait cligner des yeux. Tu pris ça pour un oui.
Tu te rhabillas en vitesse et sortis de la chambre.

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- Alors, c'était comment ?

- À retenter.

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FIN DU CHAPITRE 15

La sweet bordelent

J'ai bandé