REDPILL : Forum, politique, discours et infiltrations

Le 14 juin 2022 à 19:52:47 :
L'op a raison

Merci.

Le 14 juin 2022 à 21:05:53 :
Tu as complètement raison l’op.

Je sais, merci.

Très bon message l'OP.

Cependant la vérité se trouve quelque part. Donc politiquement il y en a forcément qui ont raison. Et l'allié de l'intelligence, c'est la nuance, on n'est pas tous une caricature comme celle que tu as décrite.

Le 14 juin 2022 à 23:56:28 :
Très bon message l'OP.

Cependant la vérité se trouve quelque part. Donc politiquement il y en a forcément qui ont raison. Et l'allié de l'intelligence, c'est la nuance, on n'est pas tous une caricature comme celle que tu as décrite.

J’ai pas prôné le relativisme.

Le 14 juin 2022 à 23:59:00 :
Ok le gaucho

T’as d’autres phrases préfabriquées que tu répètes à chaque interaction ?

Le 15 juin 2022 à 00:03:00 :

Le 14 juin 2022 à 23:59:00 :
Ok le gaucho

T’as d’autres phrases préfabriquées que tu répètes à chaque interaction ?

Ne pas saisir le sarcasme en 2k22

Soyez clairs : l’extrême-droite, dont la majorité d’entre vous se réclame, est une pure construction virtuelle. Le discours qu’elle porte entend non seulement légitimer l’ordre bourgeois mais aussi participer à la marginalisation de minorités comme la communauté musulmane. Celle-ci est poussée au repli et alimente alors d’autant plus les accusations de « communautarisme » voire de « séparatisme ». Pile, ils perdent; face, l’extrême-droite gagne. C’est une boucle médiatique, un cycle de diversions fondées sur des phénomènes marginaux et insignifiants, tous plus artificiels et ridicules les uns que les autres comme le « burkini » ou encore « les tenues islamiques » que l’on porterait prétendument à l’école.

1) Très peu de personnes se réclament d'extrême-droite pour la simple et bonne raison que c'est aujourd'hui une étiquette infamante pour ne pas dire un suicide politique.

2) Parler d'une extrême-droite n'a aucun sens, ce qui t'amène à faire des généralités grossières. Si on parle de l'extrême-droite au sens historique du terme alors on parle de l'antiparlementarisme et du royalisme. Toi qui as l'air d'avoir quelques notions marxistes, tu devrais savoir que la révolution française est considérée comme le produit ultime de la bourgeoisie CONTRE le système des privilèges que l'extrême-droite traditionnelle entend rétablir. Tu sais, ces privilèges qui empêchent la bourgeoisie d'avoir tous les pouvoirs avec des parlements surpuissants composés à 95% de bourgeois ? Dire dans ces conditions que "l'extrême-droite" entend légitimer l'ordre bourgeois, c'est fort de café.

3) Les liens entre l'actualité "insignifiante" et le Capital sont plus complexes que ce que tu veux nous faire croire. L'idée qu'on parle de tout tant qu'on ne parle pas de la répartition des richesses est immédiatement contredite par le simple constat qu'on associe souvent les deux. Lorsque le discours dit "de gauche" parle des minorités, il ne parle pas que du racisme mais également des conditions sociales miséreuses dans lesquelles ces minorités évoluent avec toute la street culture qui va avec. Inversement, lorsque le discours dit "de droite" parle de la majorité silencieuse, elle ne parle pas que du déclassement culturel mais également de cette France des provinces qui est privée de services publics en plus d'être écrasée par les taxes car les politiques se concentrent sur les banlieues. Dit autrement, la guerre des classes est aujourd'hui médiatisée entre les banlieues, la ruralité et les métropoles qui aspirent toute la richesse.

Soyez clairs : l’extrême-droite, dont la majorité d’entre vous se réclame, est une pure construction virtuelle. Le discours qu’elle porte entend non seulement légitimer l’ordre bourgeois mais aussi participer à la marginalisation de minorités comme la communauté musulmane. Celle-ci est poussée au repli et alimente alors d’autant plus les accusations de « communautarisme » voire de « séparatisme ». Pile, ils perdent; face, l’extrême-droite gagne. C’est une boucle médiatique, un cycle de diversions fondées sur des phénomènes marginaux et insignifiants, tous plus artificiels et ridicules les uns que les autres comme le « burkini » ou encore « les tenues islamiques » que l’on porterait prétendument à l’école.

1) Très peu de personnes se réclament d'extrême-droite pour la simple et bonne raison que c'est aujourd'hui une étiquette infamante pour ne pas dire un suicide politique.

2) Parler d'une extrême-droite n'a aucun sens vu l'instrumentalisation du terme et son aspect protéiforme, ce qui t'amène à faire des généralités grossières. Si on parle de l'extrême-droite au sens historique du terme alors on parle de l'antiparlementarisme et du royalisme. Toi qui as l'air d'avoir quelques notions marxistes, tu devrais savoir que la révolution française est considérée comme le produit ultime de la bourgeoisie CONTRE le système des privilèges que l'extrême-droite traditionnelle entend rétablir. Tu sais, ces privilèges qui empêche la bourgeoisie d'avoir tous les pouvoirs avec des parlements surpuissants composés à 95% de bourgeois ? Dire dans ces conditions que "l'extrême-droite" entend légitimer l'ordre bourgeois, c'est fort de café.

3) Les liens entre l'actualité "insignifiante" et le Capital sont plus complexes que ce que tu veux nous faire croire. L'idée qu'on parle de tout tant qu'on ne parle pas de la répartition des richesses est immédiatement contredite par le simple constat qu'on associe souvent les deux. Lorsque le discours dit "de gauche" parle des minorités, il ne parle pas que du racisme mais également des conditions sociales miséreuses dans lesquelles ces minorités évoluent avec toute la street culture qui va avec. Inversement, lorsque le discours dit "de droite" parle de la majorité silencieuse, il ne parle pas que du déclassement culturel mais également de cette France des provinces qui est privée de services publics en plus d'être écrasée par les taxes car les politiques se concentrent sur les banlieues.

Dit autrement, la guerre des classes est aujourd'hui médiatisée entre les banlieues, la ruralité et les métropoles mondialisées qui aspirent toute la richesse plutôt qu'entre les ouvriers de l'usine et ses patrons. Le sujet n'est pas nié, il a simplement évolué. Bonjour à Christophe Guilly au passage.

Le 15 juin 2022 à 00:09:37 :

Soyez clairs : l’extrême-droite, dont la majorité d’entre vous se réclame, est une pure construction virtuelle. Le discours qu’elle porte entend non seulement légitimer l’ordre bourgeois mais aussi participer à la marginalisation de minorités comme la communauté musulmane. Celle-ci est poussée au repli et alimente alors d’autant plus les accusations de « communautarisme » voire de « séparatisme ». Pile, ils perdent; face, l’extrême-droite gagne. C’est une boucle médiatique, un cycle de diversions fondées sur des phénomènes marginaux et insignifiants, tous plus artificiels et ridicules les uns que les autres comme le « burkini » ou encore « les tenues islamiques » que l’on porterait prétendument à l’école.

1) Très peu de personnes se réclament d'extrême-droite pour la simple et bonne raison que c'est aujourd'hui une étiquette infamante pour ne pas dire un suicide politique.

2) Parler d'une extrême-droite n'a aucun sens, ce qui t'amène à faire des généralités grossières. Si on parle de l'extrême-droite au sens historique du terme alors on parle de l'antiparlementarisme et du royalisme. Toi qui as l'air d'avoir quelques notions marxistes, tu devrais savoir que la révolution française est considérée comme le produit ultime de la bourgeoisie CONTRE le système des privilèges que l'extrême-droite traditionnelle entend rétablir. Tu sais, ces privilèges qui empêchent la bourgeoisie d'avoir tous les pouvoirs avec des parlements surpuissants composés à 95% de bourgeois ? Dire dans ces conditions que "l'extrême-droite" entend légitimer l'ordre bourgeois, c'est fort de café.

3) Les liens entre l'actualité "insignifiante" et le Capital sont plus complexes que ce que tu veux nous faire croire. L'idée qu'on parle de tout tant qu'on ne parle pas de la répartition des richesses est immédiatement contredite par le simple constat qu'on associe souvent les deux. Lorsque le discours dit "de gauche" parle des minorités, il ne parle pas que du racisme mais également des conditions sociales miséreuses dans lesquelles ces minorités évoluent avec toute la street culture qui va avec. Inversement, lorsque le discours dit "de droite" parle de la majorité silencieuse, elle ne parle pas que du déclassement culturel mais également de cette France des provinces qui est privée de services publics en plus d'être écrasée par les taxes car les politiques se concentrent sur les banlieues. Dit autrement, la guerre des classes est aujourd'hui médiatisée entre les banlieues, la ruralité et les métropoles qui aspirent toute la richesse.

1) Je parle aux membres du forum. Le texte est clair à ce sujet. Tu es à côté de la plaque.

2) Ta compréhension de l’extrême-droite s’est visiblement arrêtée au début du 18ème siècle. Il serait bon de te mettre à jour. Aucun marxiste ne nie que la révolution française était une révolution bourgeoise. Aucun marxiste ne soutient « l’extrême-droite au sens historique » puisqu’elle n’était jamais qu’une force réactionnaire quand elle se dressait contre la révolution. À nouveau, tu es hors sujet.

3) Cool, et ? Ces discours sont de pures mystifications qui nuisent à la perspective d’une conscience de classe aboutie puisque derrière, il y a toujours des partis pris identitaires. La droite drague la « France périphériques » (concept stupide à bien des égards) parce qu’elle y voit un électorat blanc dont l’attention pourra être aisément portée sur des boucs émissaires comme les immigrés. La gauche et sa condescendance libérale délaisse la question social et la méthode matérialiste et dialectique pour mieux régurgiter des idées communes de sociologie sur « les privilèges » et « la place des racisés ». Rien de pertinent, rien de radical, rien de subversif, rien qui pourrait décoder efficacement les rapports de force.

1) Je parle aux membres du forum. Le texte est clair à ce sujet. Tu es à côté de la plaque.

Ma remarque les concernait également. Je vois assez de gens ici se défendre d'être racistes et d'être d'extrême-droite dès que des pro-LFI débarquent pour que tu ne viennes pas me faire ce coup là. C'est bien TOI qui es à côté de la plaque.

2) Ta compréhension de l’extrême-droite s’est visiblement arrêtée au début du 18ème siècle. Il serait bon de te mettre à jour. Aucun marxiste ne nie que la révolution française était une révolution bourgeoise. Aucun marxiste ne soutient « l’extrême-droite au sens historique » puisqu’elle n’était jamais qu’une force réactionnaire quand elle se dressait contre la révolution. À nouveau, tu es hors sujet.

Aucun hors-sujet de ma part, juste ton incapacité à refléter toute la profondeur du terme "extrême-droite" et l'utilisation erronée que tu en fais par conséquent. Il y a DES extrêmes-droites et quand on voit qu'un royalo-bonapartiste comme Zemmour fait 7% à la dernière présidentielle, on peut difficilement considérer comme éteinte l'extrême-droite traditionnelle. Clairement, TU as besoin d'une mise à jour.

Sinon je n'ai jamais dit qu'il fallait "soutenir" l'extrême-droite historique si tu étais marxiste. Homme de paille.

3) Cool, et ?

Et alors cela relativise ton discours qui, derrière ses airs pédants, est aussi biaisé que simpliste. L'économie et l'argent ne sont pas un totem à distinguer fondamentalement du reste du monde, les deux fonctionnent en corrélation et les deux doivent être abordés.

Le 13 juin 2022 à 16:44:01 :
La vraie redpill c'est que la démocratie est un système médiocre. Rien d'autre

Il faut une dictature éclairée par un leader ayant des intérêts nobles, ce qui s'en rapprochait le plus était la monarchie.

La système démocratique repose sur la même logique que de demander à des enfants ce qu'ils souhaitent : ils répondront des bonbons et la fin de l'école. Les parents sains représentent le leader éclairé, les parents soumis à leur gosse capricieux représentent nos politiques.

Voilà pourquoi autrefois il y avait un Roi. Il était le descendant de Dieu et pouvait appliquer les us et coutumes qu'on lui avait légué en étant parfaitement conseillé.