[RISITAS] Un célestin à Istanbul

Génial ce RISITAS l'op

ça me rend triste de penser à mon erasmus en Espagne qui à été annulé à cause du Covid

Le 01 septembre 2021 à 21:36:05 :
Suite demain les kheys
A l'approche de la rentrée, le temps va me manquer

t'es en turquie pour la rentree?

Le 01 septembre 2021 à 21:51:26 :

Le 01 septembre 2021 à 21:36:05 :

t'es en turquie pour la rentree?

Nan mon khey

Le 01 septembre 2021 à 22:56:07 :

Le 01 septembre 2021 à 21:51:26 :

Le 01 septembre 2021 à 21:36:05 :

t'es en turquie pour la rentree?

Nan mon khey

t'es en France avec yagmur

Bordel je pensais pas qu’un Risitas serait aussi prenant.

Au début j’ai juste été intrigué parce que les aventures se passent à Istanbul. Vu le nombre de pages du topic, je me disais que l’histoire serait déjà déjà terminée quand j’arriverais à la fin du topic mais on dirait que c’est loin d’être fini et que la Turquie te réserve encore des surprises.

Tu fais chier l’OP maintenant j’attends la sweet avec impatience.

https://1fichier.com/?4x0eqhbckjft9ppgy15b

Ton risitas, vu que tu t'es pas fait beaucoup 410 et que tu balises bien à chaque fois on a un truc assez propre, lien du topax
qui parle du script https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-67560193-1-0-1-0-mon-alternative-a-risific.htm

CHAPITRE 74 : Les larmes coulent encore

Franchement les kheys, je ne sais pas si j’ai réussi à vous le faire sentir à travers les quelques lignes que je vous ai écrites plus haut, mais le départ de Jo nous a vraiment tous chamboulé. En fait, je dois quand même ajouter quelque chose : bien que la « réconciliation » s’était faite avec Fritz, ce dernier semblait moins concerné que Furkan et moi, je crois qu’il n’avait pas digéré l’affaire avec Aminata et qu’il avait encore des vues malsaines sur elle, et le départ de Jo était comme un soulagement. Je n’ai rien dit sur le coup –l’ambiance était déjà assez plombée comme ça- et je me suis contenté de passer du temps avec Furkan, qui arrivait au moins à me changer les idées, mais je lui ai partagé mes craintes, quand même
-J’ai peur que Fritz fasse des carabistouilles avec Aminata
-Pfff ouais je sais, quand il a les co*illes pleines, celui-là…
-Ce ne serait pas propre vis-à-vis de Jo
-Après, Jo ne sera jamais au courant, fondamentalement
-Ouais ‘fin c’est pas une raison, avec tout ce qu’on a vécu ensemble et tout…
-Ouais, je sais, ce ne serait pas cool, faut vraiment qu’on lui change les idées, et les tiennes aussi un peu, non ? Turkissou, tu tires la tête comme pas possible depuis l’aéroport
-Pourquoi, à ton avis…
-Ecoute, khey, viens, on va se changer les idées, show must go on, tu sais ? Aller, balance mon téléphone, j’appelle Ali, Deniz, Burak, on se fait un basket et soirée chez moi ce soir, posés comme des sultans
-Ouais vas-y, mais ne compte pas sur moi pour mettre l’ambiance

J’avais toujours eu un grand respect pour Furkan mais là, ça dépassait tout ce que je pensais ; il était tout aussi mal que moi, mais il prenait les choses en main pour qu’on ne s’enfonce pas tous les deux dans la tristesse et la dépression, quel khey en or cela dit, le jour-même, les gars n’étaient pas dispo, alors on s’est prévus ça pour le lendemain. Fritz devait rattraper ses glando*illes à répétition à l’université et il avait donc décidé de se noyer dans le taff à la bibliothèque. Quant à moi… je refusais, après le départ de Jo, à me morfondre tout seul dans mon petit appartement, je devais trouver quelque chose à faire. J’ai évidemment pensé à Yağmur, mais elle ne connaissait pas trop Jo, et je sentais que j’avais besoin de vider mon sac et peut-être de pleurer, et je ne voulais pas le faire devant elle trop tôt pour passer pour une fi*tte devant elle, alors j’ai trouvé la meilleure option, là où je n’avais plus rien à perdre.
-Tu fais quelque chose ce soir ?
-Oho, toi tu n’es pas bien à cause du départ de Jo
-Eh ouais, et je me tourne vers toi quand je vais mal, tu es flattée j’espère ?
-Je suis chez toi dans 45 minutes

Alors, sur le coup, c’est un choix qui m’a paru logique, mais en attendant Tutku, je me souviens très bien m’être assis sur mon lit en attendant que le temps passe. 10 minutes avant qu’elle n’arrive, je me suis décidé à me lever pour faire un petit quelque chose à manger, quand même, et je ne me sentais même pas trop mal vis-à-vis d’Yagmur. De toute façon, à l’heure où j’avais messagé Tutku, je ne pensais absolument pas que ça allait déraper, de toute façon, je n’avais pas le matos et surtout, j’avais clairement pas la tête à ça, je voulais juste parler et ne pas passer une soirée seul à déambuler dans les rues d’Istanbul
Tutku est arrivée à l’heure et on a commencé à manger ensemble, en discutant un peu de tout et de rien, et le sujet de Jo est très rapidement arrivé sur la table. Une fois encore, Tutku s’est montrée formidable, comme elle l’était souvent comme amie, et même de manière générale dans les relations humaines. Au bout d’un moment, j’ai pleuré comme une madeleine, et elle m’a pris contre elle. Elle a posé ses mains sur mon visage et m’a caressé comme une maman essaie de consoler son enfant b*rdel c’est bizarre de le dire comme ça mais c’était un peu l’image quoi, bon cela dit la métaphore va s’arrêter là parce que l’étape suivante a été de nous coucher sur lui en mettant ma tête sur sa poitrine, ce qui ne semblait pas lui déplaire, et moi non plus enfin bref, peu importe, j’étais mal et je lui ai dit à quel point je me sentais petit, faible et ridicule en pleurant devant elle comme ça, mais elle ne cessait de me répéter que ça ne faisait rien pour elle et qu’elle aimait prendre soin de moi comme elle le faisait, ça lui « rappelait la belle époque », et là j’ai senti à cette phrase que ça commençait à déraper. On s’était assis sur le lit, et on faisait quelque chose qu’on faisait souvent avant, à savoir se caresser mutuellement les avant-bras, ce qui provoque de succulents petits frissons dans le dos… et une montée sérieuse de la tension se*uelle, très clairement. La nuit était tombée, on était un peu dans le noir, et les caresses de Tutku descendait de plus en plus, de mon bras à ma main, de ma main à ma cuisse, de ma cuisse à… vous-savez-quoi. J’étais tellement stone et mal en point que je n’ai pas réagi sur le coup puis, dans mon silence le plus total, Tutku a commencé à embrasser mes bras, puis mes abdos, puis elle a ouvert mon pantalon et elle est descendue…
…
Jusqu’à ce que je l’arrête.

-Tutkum, je n’ai pas la tête à ça, vraiment
-Ca tombe bien, ce n’est pas ta tête que je vise là
-Pff, franchement, Tutku…
-Tu t’en veux pour ta petite copine ? T’inquiète, elle n’en saura rien, de toute façon c’est innocent, on sait que ça n’ira pas plus loin, non ?
-Oui mais bon…
-Aller, laisse-moi faire, je sais que tu aimes ça, elle me remercierait de t’avoir réconforté

J’ai presque rigolé face à cette conversation hallucinante, et au final, sans même rouspéter et sans rien dire, je me suis laissé faire… j’ai essayé de fermer les yeux et de ne pas prendre trop de plaisir, pour ne pas trop culpabiliser le lendemain, mais la brave Tutku faisait ça tellement bien qu’en c’en était difficile de résister au plaisir… bref, au final, nous avons dormi ensemble sans qu’il ne se passe rien de plus, c’était une petite fierté pour moi, mais en m’endormant je me disais quand même que tout n’était pas réglé avec elle