ANECDOTE ! La PIRE fois ou tu as fais CACA ?

Le 15 mai 2021 à 14:08:58 :
Mon ancien taff je commençais tôt et un jour j’étais arrivé très tôt, l’entreprise était encore fermé et je devais attendre environ 1h avant que le patron arrive

J’ai eu une envie soudaine et irrésistible de chier mais quelques chose d’incontrôlable, un volcan qui rentre en éruption.

J’ai tourner partout autour de l’entreprise et j’ai décidé de chier dans une benne à ordure d’une entreprise voisine, j’ai grimper l’échelle, je suis rentré dedans et en m’agrippant à l’échelle, j’ai lâcher ma plus belle bouse mi diarrhée mi solide

Et je me suis essuyer avec du plastique pour filmer les commandes

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAYAH !!!

En CE1, une sombre histoire ...

C’était un jour où il faisait bien bien chaud (chaleur du sud en plus et sans ombre)

On était à un espèce de concours sportifs inter-école et j’avais fait une course relais sur un sentier avec mon groupe

En revenant je n’avais envie que d’une seule chose: boire !
J’avais laisser ma gourde en plein soleil et quand je l’ai récupéré j’avais tellement soif que j’ai bus l’équivalent de la moitié de ma gourde en moins de 5 secondes

L’eau était chaude degueulasse, et après 20 minutes je me sens pas hyper bien, mon ventre gargouille, je transpire mais j’ai froid

Et là je me dis que si je fais un petit « prout » ça irai peut être mieux
C’était pire, à partir de là je savais qu’il fallait que j’aille faire caca

J’ai taper le sprint de ma vie jusqu’aux toilettes.
Une fois arriver je fonce vers la première porte devant moi et enlève mon jogging en deux en trois mouvements, la « cargaisons » a la limite du précipice

Pas le temps de poser mes fesses sur la cuvette que tout sort (et sans vergogne si vous voyez ce que je veux dire) j’étais en position chaise en train de me vider, en lévitation au dessus des WC, un rictus au coin des lèvres, le soulagement complet en 1/4 de secondes

Puis l’instant d’après j’ai voulus poser mon précieux fessier sur cette fameuse cuvette
Le problème c’est que dans la précipitation je suis rentrer dans les toilettes handicapés de l’école, ces toilettes qui par leur nom était complètement différentes des autres dans leur structure

En fait en m’asseyant j’ai pas sentis de cuvette parce que j’ai chier à côté des chiottes, par terre et qu’en voulant m’assoir je suis donc tombé dans ma m*rde

Ça a était un moment assez dur de traverser toute l’école pour aller voir ma maîtresse et lui expliquer la situation sous le regard de toutes les autres écoles du coin

Mais maintenant ça me fais énormément rire

C'était hyper gros et ça m'a fait sacrément mal au cul quand c'est sortie

Edit : ayaaa qui a up ? J'ai déjà poster sur ce topic

Une fois jai chié la chasse d'eau était cassée, des gens attendait pour aller au chiotte

Le mec qui est allé après moi est sortie direct des chiotte pour appeler la meuf chez qui on dormait du coup elle a vu ma merde et tout le monde savait que c'était moi

Le 15 mai 2021 à 00:12:28 :

Le 15 mai 2021 à 00:11:45 :

Le 15 mai 2021 à 00:09:12 :

Le 15 mai 2021 à 00:07:46 :
no fake?

Oui ...

dur

C était tout sauf dur, j aurais preferé d ailleurs

Ne dis pas ça tu ne sais pas de quoi tu parles malheureuse. Un caca de 3 jours tellement dur et coincé à 3cm du trou qui refuse de sortir et que t'es obligé d'aider à l'évacuation avec les doigts

Le 15 mai 2021 à 00:21:40 :
A l'armée, 15 jours au camp des garrigues, 1 WC pour 50. C'est simple je pouvais jamais y aller : soit occupée, soit quelque-chose à faire. Au bout de huit jours -> marche de nuit. Premier bosquet j'ai expulsé deux étrons de la taille d'un Airbus a380. J'ai jouis du cul, vraiment.

J’ai explosé de rire mais vraiment khey

Le 15 mai 2021 à 00:21:40 :
A l'armée, 15 jours au camp des garrigues, 1 WC pour 50. C'est simple je pouvais jamais y aller : soit occupée, soit quelque-chose à faire. Au bout de huit jours -> marche de nuit. Premier bosquet j'ai expulsé deux étrons de la taille d'un Airbus a380. J'ai jouis du cul, vraiment.

AAAAAAAYAH j'ai fait mes classes au camp des garrigues moi aussi, putain, j'm'étais fait une giga tendinite avant de partir pour la marche des 20 kilomètres, j'ai eu une énorme chiasse à ce moment là, qu'est-ce que j'étais content d'avoir été sur la touche car tout le monde était prêt avec le les treillis TNG, casques, coudières, genouillères, sacs F2, j'ai vraiment expulsé un paquet de chiasse dans les toilettes à la turc, j'imagine même pas au moment de partir dans les GBC, je me serais surement chié dessus devant toute la section

Le 15 mai 2021 à 01:16:06 :
À un repas de famille pendant mon adolescence, après deux semaines de constipation, j'avais le ventre blindé. C'est le genre de repas qui dure des plombes et moi j'avais mal au ventre tout le long je commençais à avoir des sueurs froides à rester assis comme ça.

Au milieu du plat principal n'en pouvant plus je m'absente pour aller aux chiottes, j'avais pas le choix je pouvais plus rien ingérer. Là je donne tout ce que j'ai genre vraiment, mais je me rend compte que c'est un putin de paquebot qu'est en train d'arriver et le pire c'est qu'il est extrêmement sec...

Le truc me déchire le fion et commence à bloquer un plein millieu alors que je pousse comme un malade tout en essayant de pas gémir de peur qu'on m'entende mais dans ma tête j'hurle de douleur je me retrouve bloqué avec une merde à moitiée dehors moitiée dedans qui me tue l'orifice, je sais pas quoi faire et j'imagine les invités se demandant ce que je fous depuis un quart d'heure.

J'en peux plus la douleur est intenable et je commence sérieusement à envisager de tirer la merde de mes propres mains... Au final je pousse comme si ma vie en dépendait en serrant les dents et poings à la limite de l'évanouissement, j'ai l'impression d'accoucher. Le truc sort finalement, y'a un peu de sang tout le long, je suis à bout de souffle mais en vie. Je prends une minute pour m'en remettre n'étant plus à ça près.

Et c'est là qu'arrive le pire dans cette histoire, ce qui fait que je m'en souviens comme si c'était hier. C'est des toilettes avec un mini lave mains et un miroir. Je me mets debout et quand je vois mon reflet je pige instantanément que je suis foutu pour un retour à table discret: en fait j'ai poussé tellement fort et longtemps que tout autour de mes yeux j'ai plein de vaisseaux sanguins qui ont ÉCLATÉS. Ça donne un truc hyper cheum et bien sûr très voyant... Pleins de petits points violets du haut des joues jusqu'au début du front... Jamais vu ça...

J'ai trouvé aucune excuses pour expliquer ça à mon retour à table j'ai juste dit la vérité en essayant de faire comme si c'était pas grand chose alors que je voyais bien du coin de l'œil les convives regarder mon visage de manière interloquée... Le reste c'est le blackout je crois que mon cerveau à effacé le reste de toute cette journée.

J’ai jamais autant rigoler de ma vie sur un topic jvc
Gg à tous les kheys qui ont participaient

J’habitais dans une vieille maison et mes parents ont tjs été d’une patience hors norme pour les travaux de rénovation. Mon père avait fait une saigné dans le sol pour passer des tuyaux alors le chiotte tenait debout sur le sol sans en être fixé et la chasse était morte, à l’ancienne on devait jeter un seau d’eau pour que tout s’évacue. Il y avait aussi du vieux lambris de plus de 30 ans pour habiller les cloisons qui sentait la pisse

Les travaux ont duré plus d’un an et j’en ai eu marre très rapidement alors je chiais dehors. A même le sol où dans une pelle de jardinage et je jetais la merde dans le champ à côté

Également à cette période mon père avait réimplanté de la pelouse partout mais c’était avant la pousse, il n’y avait que de la terre et idéalement je sortais chier les nuits d’hiver, creusais un trou et recouvrait le tout une fois la crotte déposée

Mon père a déjà marché dans ma merde

Et la pire c’est très certainement la fois où je m’étais trop retenu. J’allais chez un pote et je voulais couler un bronze tranquille chez lui. Seulement j’ai pris une douche avant d’y aller et celle ci a des vertues incroyable sur mon transit. Je n’ai jamais autant eu envie de chier que ce jour, j’ai pris la voiture rapidement mais j’ai pas pu me retenir et je me suis arrêté chier sur un chemin de campagne.
Ça a failli me coûter un accident car dans l’empressement j’ai oublié de tirer le frein à main et le terrain était pentu, la voiture a roulé sur 2m je dirais

100% nofake évidemment

+ déjà chié sur des bancs et des toboggans en soirée

Quand j’étais petit j’avais la hantise d’aller chier. Du coup j’avais développé un réflexe où je me retenais sans cesse… sauf qu’un jour alors que j’étais au foot, ça faisait plus de 5 jours que je n’avais pas été aux toilettes, j’ai fait une occlusion intestinale : pour ceux qui connaissent c’est similaire a d’énormes crampes d’estomac, puissance x1000. Je me suis effondré sur le terrain en plein match à la Eriksen : tout le monde s’est rué vers moi pour savoir comment j’allais etc. J’étais paralysé de douleur et ne pouvais même plus me redresser ou me lever. Personne ne comprenait d’où ça venait. Les pompiers sont arrivés et j’ai été embarqué en camion pour les urgences. Après des radios de l’estomac ils ont vite vu que j’avais des kilos et des kilos de merde colmatés dans mon bide, tout était bouché… ça aurait pu me détruire les intestins cette connerie.

Ils m’ont filé des médicaments et j’ai littéralement passé 1h aux chiottes pour chier sans discontinuer. Bilan de l’opération : - 3,5kg en avant après sur la balance. Oui oui 3,5kg de merde kéblo dans le bide alors que j’avais 8 ou 9 ans.

J'en ai un paquet Voici la premiere

Une fois, à Singapour, je sors en rencard avec une locale

Je lui fais le grand jeu, je l'envoie manger une raclette

Première erreur, là oú nous savourons un délice divins, les asiats ni vois qu'un fromage qui pue la mort

On passe malgré tout un agréable moment. Mais en sortant du restaurant, et alors que la soirée semble plutôt bien engagé, je commence à sentir une sensation familière dans mon bide...

La turbochiasse

Je m'empresse de lui demander de trouver des chiottes publiques, invoquant une envie de pisser

Miracle, elle en trouve. Je m'assoie et là, c'est le drame: rien ne sort

Je reste 15min sur le trone à prier tout les dieux. Elle me bombarde de message savoir ce que je fous

Au bout de 15min, je me resous à sortir pour sauver mon rencard

On continue de se promener, peut-être 1km. En façade, je suis serein, je l'écoute. Au fond de moi, c'est Stalingrad dans mon intestin grêle

S'en suis un petit pet sournois: c'est le signal, la croupe est pleine

Je lui dis que je dois retourner pisser en urgence. Le malaise est palpable: je pars en tendant de garder mon honneur, mais passer 5m, je me retrouve à trottiner en cow-boy pour ne pas souiller mon pantalon

Je cours, hagard. Errant dans une ville que je connais à peine. Courant tantôt à gauche, tantôt à droite, sans ne jamais perdre de vue mon objectif: des chiottes

Je me vois déjà en première page de Stomp, site singapourien à mi-chemin entre le journal et le forum de délation qui était très à la mode à l'époque, avec en titre "ce blanc se chie dessus"

Finalement, alors qu'une part de moi se résout à succomber aux appels du malin et à lâcher la purée, j'aperçois, à l'entrée d'un parking souterrain, le panneau du salut: c'était les chiottes

Je me rue sur la porte, la défonce d'un coup de pieds, le froc presque déjà descendu

Je me retrouve nez à nez avec trois 10/10 singapourienne en séance maquillage : c'était les chiottes des femmes

Le destin veut que les chiottes des hommes étaient juste à côté. Le destin veut également qu'un seul de ces chiottes n'étaient pas occupé et que je pu me soulager, permettant à mon honneur de vivre un jour de plus

L'anecdote étant qu'après 20min de péripétie, par 30 degrès et avec une humidité de 100%, je retrouvais ma compagne d'un soir transpirant tellement que, no fake, on avait l'illusion que j'avais plongé tête la première tout habillé dans la piscine

Passé cette soirée, de la fille je n'entendis plus jamais parler

Dans un autre registre, plus courte cette fois. J'avais 10-12 ans :

En camping, je dors dans la même tente que mes parents
Au petit matin, maman me réveille en me demandant si j’ai peter
Je lui répond que non, de me foutre la paix (c’est le cas de le dire) et je me tourne dans l’autre sens pour etre tranquille
En me tournant, je sens que mon duvet est leste
J’avais la pire gastro de ma vie. J’avais chie un bon kilo de merde liquide dans mon duvet, pendant mon sommeil

En Chine, en week-end dans la province du Fujian, ma copine et moi passâmes un agréable week-end à Quanzhou ... oú les exemplaires imprimés des normes sanitaires en vigueur ont servi de combustible pour allumer les barbecue. Cela ne pouvait que signifier qu'une chose...

... LA TURBOCHIASSE

Le lendemain, on se lève, près à prendre le train pour rentrer. On était dans un hotel grand luxe avec un SPA et tout ... Et un seul chiotte dans la chambre, c'est important pour la suite

Après le petit déjeuner, les vers des sables en gelés de la veille commencent à vouloir reprendre leur liberté. Je vais en premier tenter de purger le système, mais tel un diesel, et ce même en situation de crise, il me faut un moment pour démarrer

Je ne tarde pas à me faire expulser manu-militari par ma chère et tendre, elle même dans le besoin à un niveau critique

Ne pouvant tenir d'avantage, je me résolu à tout lacher CASH dans la poubelle de la suite

Une fois le méfait accompli et sous le regard hilare de ma promise, je tachai de dissimuler l'objet du crime en jetant le sac dans le chiotte et en tirant la chasse

Le sac resta à flot, au contraire de mon égo

J'eu pour projet de jeter le sac par la fenêtre mais je fut vite dissuadé par madame: chercher la seule chambre sans sac plastique permettrait de mettre la main aisément sur le coupable (et vu que c'était mon collègue qui avait réservé, on préférait éviter que la direction ne lui explique que j'aimais chier dans les poubelles)

Pour finir, il fut convenu qu'on emballerait le sac plein de merde dans un autre sac (le sac des chaussures de ma copine )

Pendant que je sortais nos affaires, ma copine s'occupa de décharger la "marchandise", traversa le hall bondé de l'hôtel et cacha l'horrible infamie dans un buisson, devant l'hôtel ... Et nous ne fîmes jamais inquiétés

La légende raconte que le sac se trouve toujours au même endroit et que, grâce aux bienfaits de cet engrais naturel, le buisson grandit dans des proportions gigantesques