La DRAGUE de RUE, qui a déjà tenté ?

Le 28 avril 2021 à 09:48:37 :
La drague de rue ça n'existe pas, c'est du harcèlement.

Oui. Tu viens parler à quelqu'un qui ne le veut pas à la base. Et tous ces 'échecs' que ces golios ne veulent pas assumer, la majorité des échanges, représentent une honte d'avoir dérangé quelqu'un avec lourdeur.
Faut vraiment être un adolescent en chaleur avec peu d'empathie pour faire ça, ou un psycho.

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Y a toujours eu des "hot spots" ou la drague était légitime : Jardins publics, cafés, bars, musées, lieux touristiques. Et puis non faut pas croire que nos ancêtres étaient si différents, y avait pas que les marginaux qui draguaient dans la rue. C'était peut-être moins sportif et théorisé en raison des tabous sociaux mais ça existait, et les bouquins de séduction existent depuis la nuit des temps. Lis par exemple "L'art d'aimer" d'Ovide où il donne une liste de tous les lieux publics à Rome où draguer, et c'est un bouquin qui date de l'ère augustéenne.

Le 28 avril 2021 à 09:59:28 :

Le 28 avril 2021 à 09:51:51 :

Le 28 avril 2021 à 09:50:43 :
En tout cas trop peu de rentabilité dans la drague de rue.

Puis personnellement, bien qu'ayant un physique tout-à-fait attrayant, tout-à-fait beau, j'étais d'office éliminé par le standing des demoiselles que je souhaitais pécho.

Comment ça éliminé d'office ?
Elle te prenaient pour Casanova?

Je suis à moitié kabyle, j'ai pas grandi à Paris et ça se voit (je ne m'exprime ni comme un banlieusard, ni comme un parisien, j'ai eu une éducation un peu spéciale mais des cassos de ma classe se foutaient de moi au Collège sous prétexte que je parlais "trop bien", d'une manière trop soutenu").
Pour les bobos parisiennes artistes/littéraires que je souhaitais pécho, c'était littéralement impossible.

J'ai été trop matrixé par le mentor de Soral période drague de rue "Laurent le kabyle" ainsi que par la fameuse perception de lutte des classes à travers la drague de rue, thèse qui était valable durant les années 80 peut-être... mais plus aujourd'hui.

Mais on a quasi aucunes informations sur Laurent le Kabyle?

Le 28 avril 2021 à 10:02:01 :

Le 28 avril 2021 à 09:48:37 :
La drague de rue ça n'existe pas, c'est du harcèlement.

Oui. Tu viens parler à quelqu'un qui ne le veut pas à la base. Et tous ces 'échecs' que ces golios ne veulent pas assumer, la majorité des échanges, représentent une honte d'avoir dérangé quelqu'un avec lourdeur.
Faut vraiment être un adolescent en chaleur avec peu d'empathie pour faire ça, ou un psycho.

avoir du temps à perdre surtout

Le 28 avril 2021 à 10:02:01 :

Le 28 avril 2021 à 09:48:37 :
La drague de rue ça n'existe pas, c'est du harcèlement.

Oui. Tu viens parler à quelqu'un qui ne le veut pas à la base. Et tous ces 'échecs' que ces golios ne veulent pas assumer, la majorité des échanges, représentent une honte d'avoir dérangé quelqu'un avec lourdeur.
Faut vraiment être un adolescent en chaleur avec peu d'empathie pour faire ça, ou un psycho.

ça se sent tellement que tu rages car tu es incapable de le faire. En plus, ce n'est pas à toi si c'est lourd ou pas comme pratique mais aux femmes. Et si certains continuent, c'est que parfois ça marche. Et ce ne sont pas forcément des profils de meufs faciles ou gogoles comme j'ai pu lire.

Le 28 avril 2021 à 09:59:43 :

Le 28 avril 2021 à 09:55:46 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

Je suis totalement d'accord avec toi khey, pour avoir pratiqué ça aussi je me suis senti comme un sous homme plus jamais. Les sites de rencontres j'ai lâché l affaire car la nana elle a une harem d'homme bêta prêt a tout lui donner pour avoir son attention.
Je pense les rencontres si ya doit se faire de façon totalement naturelle sans avoir prémédité ton geste. Ça arrive lorsque on s'y attend pas donc ça sert strictement à rien de forcé. Pour ma part je préfère rester seul garder ma fierté.

Il n'y a jamais aucun naturel dans un bain social, tout est mécanisme codifié. Qu'importe si on augmente ses chances de rencontres ou pas.

Lorsque je dis naturel je dis tu dois pas te dire aujourd'hui je vais sortir et roder la rue pour pécho un numéro.
Tu te prends pas la tête tu sors et si ça doit arrivé ça arrivera

Le 28 avril 2021 à 10:03:04 :

Le 28 avril 2021 à 09:59:28 :

Le 28 avril 2021 à 09:51:51 :

Le 28 avril 2021 à 09:50:43 :
En tout cas trop peu de rentabilité dans la drague de rue.

Puis personnellement, bien qu'ayant un physique tout-à-fait attrayant, tout-à-fait beau, j'étais d'office éliminé par le standing des demoiselles que je souhaitais pécho.

Comment ça éliminé d'office ?
Elle te prenaient pour Casanova?

Je suis à moitié kabyle, j'ai pas grandi à Paris et ça se voit (je ne m'exprime ni comme un banlieusard, ni comme un parisien, j'ai eu une éducation un peu spéciale mais des cassos de ma classe se foutaient de moi au Collège sous prétexte que je parlais "trop bien", d'une manière trop soutenu").
Pour les bobos parisiennes artistes/littéraires que je souhaitais pécho, c'était littéralement impossible.

J'ai été trop matrixé par le mentor de Soral période drague de rue "Laurent le kabyle" ainsi que par la fameuse perception de lutte des classes à travers la drague de rue, thèse qui était valable durant les années 80 peut-être... mais plus aujourd'hui.

Mais on a quasi aucunes informations sur Laurent le Kabyle?

Pas grand chose à part qu'il était super efficace en rue

Le 28 avril 2021 à 10:04:01 :

Le 28 avril 2021 à 09:59:43 :

Le 28 avril 2021 à 09:55:46 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

Je suis totalement d'accord avec toi khey, pour avoir pratiqué ça aussi je me suis senti comme un sous homme plus jamais. Les sites de rencontres j'ai lâché l affaire car la nana elle a une harem d'homme bêta prêt a tout lui donner pour avoir son attention.
Je pense les rencontres si ya doit se faire de façon totalement naturelle sans avoir prémédité ton geste. Ça arrive lorsque on s'y attend pas donc ça sert strictement à rien de forcé. Pour ma part je préfère rester seul garder ma fierté.

Il n'y a jamais aucun naturel dans un bain social, tout est mécanisme codifié. Qu'importe si on augmente ses chances de rencontres ou pas.

Lorsque je dis naturel je dis tu dois pas te dire aujourd'hui je vais sortir et roder la rue pour pécho un numéro.
Tu te prends pas la tête tu sors et si ça doit arrivé ça arrivera

C'est l'état d'esprit qui compte. Effectivement se dire aujourd'hui "je chope 10 numéros" pue la merde. C'est plutôt être habitué à sortir seul et de temps en temps, pouvoir engager la conversation avec une inconnue qui correspond à notre style et qu'importe ce qui arrive. Pouvoir aborder en bar ou ailleurs aussi.

Le 28 avril 2021 à 10:04:49 :
C'est quand même ultra malaisant dans la rue, ce que les coach en séduction vous montre pas c'est qu'ils se prennent 150 rateaux pour peut être 2 ou 3 filles qui vont accepter de discuter (et évidement ils vous montrent que celles qui acceptent).
Faut un minimum de contexte, genre une fille sur un banc à côté de nous, un groupe sur une terrasse... Mais arrêtez une fille dans la rue pour lui dire "hey je te trouve mignonne" putain jamais svp

Un type BG dans une petite ville c'est un ratio de 1 num/ 2 approches, voire plus si il force avec les filles en couple

Le 28 avril 2021 à 10:03:38 :

Le 28 avril 2021 à 10:02:01 :

Le 28 avril 2021 à 09:48:37 :
La drague de rue ça n'existe pas, c'est du harcèlement.

Oui. Tu viens parler à quelqu'un qui ne le veut pas à la base. Et tous ces 'échecs' que ces golios ne veulent pas assumer, la majorité des échanges, représentent une honte d'avoir dérangé quelqu'un avec lourdeur.
Faut vraiment être un adolescent en chaleur avec peu d'empathie pour faire ça, ou un psycho.

ça se sent tellement que tu rages car tu es incapable de le faire. En plus, ce n'est pas à toi si c'est lourd ou pas comme pratique mais aux femmes. Et si certains continuent, c'est que parfois ça marche. Et ce ne sont pas forcément des profils de meufs faciles ou gogoles comme j'ai pu lire.

J'ai abordé et j'ai pécho comme ça quand j'étais petit toto. Mais après j'ai bien compris l'impression que je laissais dans la majorité des cas.
Puis j'ai pu observer le ridicule de cette situation en live plusieurs fois, c'est tellement cringe la majorité du temps que c'est difficile à supporter.
Ce que tu as envie de voir comme de la rage et de la frustration c'est moi c'est simplement le retour du ridicule et de la lourdeur que tu ne veux pas assumer, et que tu essaies de motiver chez les autres.

Le 28 avril 2021 à 10:04:49 :
C'est quand même ultra malaisant dans la rue, ce que les coach en séduction vous montre pas c'est qu'ils se prennent 150 rateaux pour peut être 2 ou 3 filles qui vont accepter de discuter (et évidement ils vous montrent que celles qui acceptent).
Faut un minimum de contexte, genre une fille sur un banc à côté de nous, un groupe sur une terrasse... Mais arrêtez une fille dans la rue pour lui dire "hey je te trouve mignonne" putain jamais svp

Effectivement c'est lourd

Le 28 avril 2021 à 10:04:49 :
C'est quand même ultra malaisant dans la rue, ce que les coach en séduction vous montre pas c'est qu'ils se prennent 150 rateaux pour peut être 2 ou 3 filles qui vont accepter de discuter (et évidement ils vous montrent que celles qui acceptent).
Faut un minimum de contexte, genre une fille sur un banc à côté de nous, un groupe sur une terrasse... Mais arrêtez une fille dans la rue pour lui dire "hey je te trouve mignonne" putain jamais svp

Je fais un compliment sur le style perso, elles ont trop l'habitude de compliment sur leur physique. Bien entendu, faut soi-même savoir un minimum s'habiller sinon le compliment n'a pas de valeur.

Le 28 avril 2021 à 09:57:48 :

Le 28 avril 2021 à 09:55:46 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

Je suis totalement d'accord avec toi khey, pour avoir pratiqué ça aussi je me suis senti comme un sous homme plus jamais. Les sites de rencontres j'ai lâché l affaire car la nana elle a une harem d'homme bêta prêt a tout lui donner pour avoir son attention.
Je pense les rencontres si ya doit se faire de façon totalement naturelle sans avoir prémédité ton geste. Ça arrive lorsque on s'y attend pas donc ça sert strictement à rien de forcé. Pour ma part je préfère rester seul garder ma fierté.

J'espère que le miracle arrivera avant tes 40 ans dans ce cas.

Dire que c'est un miracle j'en sais rien... mais je pense comme lui et d'un côté je trouve qu'il y a du vrai dans ton message.

Notre génération est rempli de femmes superficielles, elles regardent ton réseau avant de regarder tes caractéristiques humaines liées à ta personnalité.

Il est donc effectivement difficile de trouver un moment où tu peux rencontrer ta copine d'une manière assez "naturelle". Quand j'avais des "potes" (avant de m'être décider de les trier car 99% d'entre eux sont néfastes et faux), je participais à des soirées et on ne se mélangeait pas vraiment. Les gens restaient avec ceux qu'ils connaissaient et toutes les jolies filles étaient casées.

Et on en parle pas trop mais notre génération est "matrixée" (parlons comme eux) par les fameuses phrases type : "mdddr c malaisant", "jsuis gênée",etc...

Donc oui, c'est dur.

Moi c'est assez radical, j'ai actuellement une copine, elle est étrangère et je me suis séparé d'elle physiquement (nous sommes donc en relation à distance). Si ça tient, c'est cool, je la rejoindrai sur le long-terme.
Si ça tient pas... bah tant-pis, j'attendrai ce miracle en France tout en préparant mon expatriation.
Je pense que si à 23 ans t'as toujours pas couché avec une femme française, ne te fais pas de bile... prépare-ton départ si au fond de toi, tu veux bâtir une famille.

Le 28 avril 2021 à 10:04:49 :
C'est quand même ultra malaisant dans la rue, ce que les coach en séduction vous montre pas c'est qu'ils se prennent 150 rateaux pour peut être 2 ou 3 filles qui vont accepter de discuter (et évidement ils vous montrent que celles qui acceptent).
Faut un minimum de contexte, genre une fille sur un banc à côté de nous, un groupe sur une terrasse... Mais arrêtez une fille dans la rue pour lui dire "hey je te trouve mignonne" putain jamais svp

Absolument

Le stakhanovisme en mode « je t’ai trouvée mignonne » c’est de la mendicité, les approches « créatives » c’est de l’arnaque. Il faut une occasion ou un contexte. Les génies de la séduction savent créer l’occasion ou le contexte, comme Casanova, qui pourrait déclencher un feu ou une bagarre pour créer l’occasion d’une rencontre, mais pour nous autres mortels, contentons-nous d’être assez curieux et ouvert pour comprendre ce qui se passe autour de nous

Le 28 avril 2021 à 10:07:35 :
Le soir en sortie de lieux festif donc je sais pas si ça compte vraiment, vu qu'on est dans une situation où les filles sont plus disposé à se faire draguer.

Oui voilà. Là tout le monde est dans le mood rencontre et tchatche.

Le 28 avril 2021 à 10:06:06 :

Le 28 avril 2021 à 10:04:49 :
C'est quand même ultra malaisant dans la rue, ce que les coach en séduction vous montre pas c'est qu'ils se prennent 150 rateaux pour peut être 2 ou 3 filles qui vont accepter de discuter (et évidement ils vous montrent que celles qui acceptent).
Faut un minimum de contexte, genre une fille sur un banc à côté de nous, un groupe sur une terrasse... Mais arrêtez une fille dans la rue pour lui dire "hey je te trouve mignonne" putain jamais svp

Un type BG dans une petite ville c'est un ratio de 1 num/ 2 approches, voire plus si il force avec les filles en couple

Non je dirais 1 numéro sur 4 approches en petite ville et 1 sur 3 en grande ville si vraiment c'est un BG tchatcheur. Et je dirais deux plans cul et deux flirts sur dix approches de ce que j'ai constaté.

Le 28 avril 2021 à 10:08:40 :

Le 28 avril 2021 à 10:07:35 :
Le soir en sortie de lieux festif donc je sais pas si ça compte vraiment, vu qu'on est dans une situation où les filles sont plus disposé à se faire draguer.

Oui voilà. Là tout le monde est dans le mood rencontre et tchatche.

Tout le monde est placé en hyperconcurrence surtout. Alors que face à face sans alcool en rue, pas de chichi, pas de mecs autour et on peut la charmer en live. Il m'est déjà arrivé d'avoir une faveur sexuelle rapidement par exemple.

Le 28 avril 2021 à 10:00:19 :

Le 28 avril 2021 à 09:59:28 :

Le 28 avril 2021 à 09:51:51 :

Le 28 avril 2021 à 09:50:43 :
En tout cas trop peu de rentabilité dans la drague de rue.

Puis personnellement, bien qu'ayant un physique tout-à-fait attrayant, tout-à-fait beau, j'étais d'office éliminé par le standing des demoiselles que je souhaitais pécho.

Comment ça éliminé d'office ?
Elle te prenaient pour Casanova?

Je suis à moitié kabyle, j'ai pas grandi à Paris et ça se voit (je ne m'exprime ni comme un banlieusard, ni comme un parisien, j'ai eu une éducation un peu spéciale mais des cassos de ma classe se foutaient de moi au Collège sous prétexte que je parlais "trop bien", d'une manière trop soutenu").
Pour les bobos parisiennes artistes/littéraires que je souhaitais pécho, c'était littéralement impossible.

J'ai été trop matrixé par le mentor de Soral période drague de rue "Laurent le kabyle" ainsi que par la fameuse perception de lutte des classes à travers la drague de rue, thèse qui était valable durant les années 80 peut-être... mais plus aujourd'hui.

Tes parents étaient de quel milieu socioprofessionnel ?
Le film Confession d'un dragueur qui a changé ta vie.

Père ex-cuisinier, mine de rien lui et ses frères dirigent plusieurs restaurants parisiens... mais mon père est tellement avare que j'ai grandi en ZEP et qu'on habite jusqu'à aujourd'hui dans un HLM.