La DRAGUE de RUE, qui a déjà tenté ?

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

Le 28 avril 2021 à 09:46:28 :
j'ai jamais abordé car trop peur du rejet, mais j'aimerais bien tenter
surtout que j'ai un physique attrayant (go muscu) donc je pense je pourrais avoir du succès

T'as un échec, et après ? Si tu passes ta vie dans la peur de l'échec tu ne fais pas grand chose.

Le 28 avril 2021 à 09:46:28 :
j'ai jamais abordé car trop peur du rejet, mais j'aimerais bien tenter
surtout que j'ai un physique attrayant (go muscu) donc je pense je pourrais avoir du succès

Le rejet se compense par le fait que t'as porté tes couilles. Ça fait pas si mal que ça en vérité.

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

Il ne s'agit pas tant d'aborder en série car si tout le monde le faisait, ce serait le chaos. On parle surtout de se créer + d'opportunités en étant célibataires en abordant de temps en temps des femmes qui sont bien notre style de manière purement spontanée.

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

La drague de rue est peut-être saturée sur Youtube mais j'ai jamais vu le moindre type (à part mon pote) la pratiquer dans ma ville.
Au contraire, j'ai l'impression que c'était une vraie mode en 2012-2016 et que Tinder a découragé beaucoup d'hommes.

Le 28 avril 2021 à 09:47:42 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:28 :
j'ai jamais abordé car trop peur du rejet, mais j'aimerais bien tenter
surtout que j'ai un physique attrayant (go muscu) donc je pense je pourrais avoir du succès

Le rejet se compense par le fait que t'as porté tes couilles. Ça fait pas si mal que ça en vérité.

Oui, rien de pire que la sensation du "j'aurais du..." comparée à "j'ai essayé et je suis fixé, je passe à autre chose"

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

Ce n’est plus l’âge d’or que c’était autrefois, mais en fait comme ça « drague » peu en soirée, l’assurance prise « dans la rue » s’exprime ailleurs.

Errer dans les rues c’est effectivement déplorable.

D’où vient la nymphe de ta signature ?

Le 28 avril 2021 à 09:48:37 :
La drague de rue ça n'existe pas, c'est du harcèlement.

PADANLARU

En tout cas trop peu de rentabilité dans la drague de rue.

Puis personnellement, bien qu'ayant un physique tout-à-fait attrayant, tout-à-fait beau, j'étais d'office éliminé par le standing des demoiselles que je souhaitais pécho.

Le 28 avril 2021 à 09:50:08 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

Ce n’est plus l’âge d’or que c’était autrefois, mais en fait comme ça « drague » peu en soirée, l’assurance prise « dans la rue » s’exprime ailleurs.

Errer dans les rues c’est effectivement déplorable.

D’où vient la nymphe de ta signature ?

C'est la meuf qui avait insulté Nicolas Bedos dans une émission littéraire.

Le 28 avril 2021 à 09:49:39 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

La drague de rue est peut-être saturée sur Youtube mais j'ai jamais vu le moindre type (à part mon pote) la pratiquer dans ma ville.
Au contraire, j'ai l'impression que c'était une vraie mode en 2012-2016 et que Tinder a découragé beaucoup d'hommes.

Je pratique surtout en Pologne maintenant, y a les applis de rencontre bien entendu mais pas de wesh. J'ai eu une copine super et d'autres plans incroyables.

Le 28 avril 2021 à 09:50:43 :
En tout cas trop peu de rentabilité dans la drague de rue.

Puis personnellement, bien qu'ayant un physique tout-à-fait attrayant, tout-à-fait beau, j'étais d'office éliminé par le standing des demoiselles que je souhaitais pécho.

Comment ça éliminé d'office ?
Elle te prenaient pour Casanova?

Le 28 avril 2021 à 09:50:43 :
En tout cas trop peu de rentabilité dans la drague de rue.

Puis personnellement, bien qu'ayant un physique tout-à-fait attrayant, tout-à-fait beau, j'étais d'office éliminé par le standing des demoiselles que je souhaitais pécho.

Le 28 avril 2021 à 09:50:43 :
En tout cas trop peu de rentabilité dans la drague de rue.

Puis personnellement, bien qu'ayant un physique tout-à-fait attrayant, tout-à-fait beau, j'étais d'office éliminé par le standing des demoiselles que je souhaitais pécho.

On ne fait pas ça pour le rentabilité (même un pur BG tchatcheur aura peu de résultats au final) mais pour le boost d'adrénaline et les bonnes surprises.

Le 28 avril 2021 à 09:49:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:47:42 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:28 :
j'ai jamais abordé car trop peur du rejet, mais j'aimerais bien tenter
surtout que j'ai un physique attrayant (go muscu) donc je pense je pourrais avoir du succès

Le rejet se compense par le fait que t'as porté tes couilles. Ça fait pas si mal que ça en vérité.

Oui, rien de pire que la sensation du "j'aurais du..." comparée à "j'ai essayé et je suis fixé, je passe à autre chose"

vrai

Déjà tenté ma copine actuelle c'est de la drague de rue justement

Ce qui est bien avec la drague de rue c'est que si ça marche bah forcément t'auras une femme qui te plait physiquement et tu rencontres des gens de tous horizons.

Le 28 avril 2021 à 09:49:10 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

Il ne s'agit pas tant d'aborder en série car si tout le monde le faisait, ce serait le chaos. On parle surtout de se créer + d'opportunités en étant célibataires en abordant de temps en temps des femmes qui sont bien notre style de manière purement spontanée.

Le soucis c'est que vous êtes pas les seuls, les kheys.

Vous n'êtes qu'une infime minorité parmi cette armada de blédards qui parlent et (embêtent même) les filles dans la rue. Je pense que trouver une fille qui te correspond physiquement et mentalement en abordant dans la rue c'est comme te poser au bord d'un étang avec ta canne à pêche, attendant la prise d'un requin-marteau.

Le 28 avril 2021 à 09:51:32 :

Le 28 avril 2021 à 09:49:39 :

Le 28 avril 2021 à 09:46:53 :

Le 28 avril 2021 à 09:41:38 :

Le 28 avril 2021 à 09:34:07 :
Je ne suis pas un QLF et je respecte les femmes donc je ne vais jamais m'abaisser à traquer un vagin sur pattes dans la rue sous prétexte que mon slip me démange.

Elles sont attirés par le mec qui ne la calcule pas voilà pourquoi la drague de rue est limite lourding pour la nana

N'oubliez pas qu'à l'époque, personne ne draguait dans la rue façon mâle ghrébin/Philogyne (c'est la même à mon sens). Les mecs qui le faisaient étaient des "marginaux", c'était déjà difficilement acceptable d'interrompre le chemin d'une demoiselle pour entamer une conversation.

Dans les œuvres classiques de la littérature française, la drague se déroule souvent dans des bars, évènements, soirées mondaines.

Aujourd'hui, une belle parisienne qui souhaite passer d'un point A à un point B (pour prendre l'expression d'une très chère amie à nous ) a véritablement souvent des mecs qui iront lui parler/l'aborder.

Je pense que le marché de la drague de rue est beaucoup trop saturé en plus d'être très rabaissant pour un homme (au moins du même niveau que les applis de rencontre). Se balader dans les rues tels un zombie en scrutant les trottoirs à la recherche d'un jolie visage, je trouve vraiment pas ça très saint (j'ai pratiqué ça).
C'est réellement dégradant, avec du recule j'ai l'impression d'avoir été un pur chien de la casse.

La drague de rue est peut-être saturée sur Youtube mais j'ai jamais vu le moindre type (à part mon pote) la pratiquer dans ma ville.
Au contraire, j'ai l'impression que c'était une vraie mode en 2012-2016 et que Tinder a découragé beaucoup d'hommes.

Je pratique surtout en Pologne maintenant, y a les applis de rencontre bien entendu mais pas de wesh. J'ai eu une copine super et d'autres plans incroyables.

J'imagine que ça doit être plus sain dans ces pays où le concept d'harcèlement n'a pas encore été importé. En France, il faut accepter que la meuf sera un peu sur la défensive.