" L'avortement n'est pas un meurtre " " Mon corps mon choix "
Le 22 avril 2020 Ă 21:46:00 VegitoSuper a Ă©crit :
I. LES ARGUMENTS D'ORDRE BIOLOGIQUE1. « Ce n’est qu’un amas de cellules »
Deux objections à répondre à cet argument.
Premièrement, ce n’est pas parce que l’embryon, au tout début de son développement, n’a pas encore une apparence humaine, que cela lui enlève son humanité intrinsèque et son caractère vivant pour autant. Vous et moi sommes nous-mêmes des amas de cellules à notre échelle également. C’est simplement la définition de tout être vivant. Cela ne signifie pas que nous ne sommes pas humains ou que nous ne sommes pas vivants.
Deuxièmement, quand bien même on se baserait sur le critère de l'apparence et de la taille pour légitimer si un embryon est un être humain ou non, la comparaison à un amas de cellules ne serait possible uniquement dans les toutes premières semaines de la grossesse. A partir de 7 semaines de grossesse, les bras et les jambes sont déjà formés, les orteils et les doigts sont bien définis, la tête s'arrondit progressivement et le cou se redresse. A 10 semaines, les principaux organes et tissus sont formés.
Source : https://naitreetgrandir.com/fr/grossesse/trimestre1/fiche.aspx?doc=grossesse-developpement-foetus-embryonEn supposant que le critère de la forme humaine soit valable pour légitimer l’avortement, il faudrait dans ce cas-là que les partisans de l’avortement revoient la limite légale et l'abaissent largement en-dessous des 12 semaines conventionnelles.
Ce n'est pas que physiquement, il n'a rien dans le cerveau. Aucune information, aucun vécu.
2. « Ses organes ne sont pas formés en totalité »
Le degré de formation des organes est autre argument souvent utilisé par les pro-choix mais qui repose sur une interprétation purement arbitraire encore une fois. Certains vont exiger un cœur qui bat, d’autres vont exiger des poumons qui respirent (à titre d’exemple) pour légitimer le fait que l’embryon soit vivant ou non, etc.
Répondons donc brièvement à ces deux cas de figure (cela aurait pu être n’importe quel autre organe mais ceux-là sont les plus cités quand il s’agit de définir la vie intra utero).
Premièrement, les premiers battements du cœur apparaissent à partir de la 4ème semaine de grossesse (même source que ci-dessus), ce qui supposerait d’abaisser la limite légale d’avortement de 12 semaines à 4 semaines dans le cas où l’on considère que l’on commence à vivre lors des premiers battements de notre cœur.
Deuxièmement, le foetus n’utilise pas ses poumons pendant la grossesse tout simplement car il n’en a pas besoin, jusqu’à la naissance son apport d’oxygène est garanti par le placenta (qui contient à la fois le sang maternel et le sang du fœtus).
Source : https://www.allodocteurs.fr/grossesse-enfant/grossesse/foetus/comment-le-foetus-respire-dans-le-ventre-de-sa-maman_2084.htmlPour finir : tous les organes d’un bébé ne sont pas constitués de manière définitive non plus, même après la naissance. C’est le cas notamment des organes génitaux et du cerveau, qui continuront de se développer durant plusieurs années (le cerveau continue de se développer même à l’âge adulte).
Sources : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/a-l-age-adulte-une-partie-du-cerveau-continue-a-grandir_109495
http://sante.lefigaro.fr/article/comment-le-cerveau-grandit-avec-l-age/Le niveau de développement des organes n’est donc certainement pas un argument pertinent ni objectif.
3. « L’embryon est comparable à un spermatozoïde »
Version plus vulgaire : "Et quand tu te branles, c’est un génocide peut-être ?"
Blague à part, l’embryon est un organisme à part entière, issu de la fécondation d’un gamète femelle (l’ovule) par un gamète mâle (le spermatozoïde), et qui forme un tout. Le spermatozoïde est une cellule faisant partie de ce tout, mais ne constitue pas un organisme complet à lui seul. Le spermatozoïde seul sera incapable de se développer et de se reproduire, y compris avec l’apport des bons nutriments, à l’inverse de l’embryon. Tuer un spermatozoïde n’est pas tuer un être humain, car le spermatozoïde seul ne constitue pas un organisme à part entière. Un spermatozoïde ne donnera jamais un nouveau-né après 9 mois de développement, contrairement à un embryon.
Je ne prends même pas la peine de mettre de sources pour une réponse aussi évidente, tout ce que je dis là est vérifiable dans n’importe quel livre de SVT d’un collégien.
4. « Tant qu’il n’est pas viable, il n’est pas une personne »
Le critère de la viabilité consiste à définir le fœtus comme une personne à part entière à partir du moment où il serait en mesure de survivre indépendamment de sa mère. Or il existe des failles évidentes dans cet argument, car il revient à considérer l’indépendance physique potentielle comme une condition nécessaire de la personne.
Premièrement, il existe des personnes déjà existantes et qui sont dépendantes physiquement d’autrui pour continuer à vivre. C’est le cas par exemple des personnes dont la survie dépend d’une transplantation d’organes (greffe de cœur ou de rein par exemple). C’est le cas également des personnes âgées en fin de vie, qui sont supervisées en permanence par des centres hospitaliers, par des auxiliaires de vie, par des équipements médicaux particuliers. Seriez-vous prêt à assumer que ces gens-là ne sont pas des personnes à part entière uniquement car ils dépendent physiquement d’autrui pour survivre ? Ceux qui soutiennent que la viabilité constitue la frontière décisive à l’une des extrémités de la vie, doivent nous expliquer pourquoi il n’en va pas de même à l’autre extrémité.
Parce que le foetus n'a jamais vécu sans être viable.
Deuxièmement, ce critère constitue une frontière beaucoup trop instable et arbitraire. L’OMS fixe le seuil de viabilité du fœtus à 22 semaines d’aménorrhée (ou bien lorsqu'il dépasse 500 grammes).
Source : https://www.insee.fr/fr/mr/metadonnees/definition/c1394Or, certains nourrissons naissent plus tard sans être viables, tandis que d’autres parviennent à survivre malgré une naissance plus précoce. En raison des progrès de la médecine, la zone de survie potentielle ne cesse de reculer. Or il semble y avoir quelque chose d’arbitraire dans l’idée d’une frontière mouvante, car il nous faudrait alors déclarer : "L’année dernière, à ce même stade de développement, le fœtus n’aurait pas été une personne, mais puisque l’on a modernisé les équipements de l’unité de soins intensifs, il s’agit bien aujourd’hui d’une personne". Ceci n’est pas cohérent.
5. « Il ne devient une personne qu’à la naissance »
Selon ce critère, le passage du fœtus par le vagin lors de l’accouchement transformerait soudainement une « chose » contenue dans le corps de la mère, en un être humain complet détenteur de droits.
Supposons une expérience de pensée où le ventre de la mère enceinte serait transparent et où nous pourrions voir à travers celui-ci. Pourrions-nous continuer à dire qu’il ne s’agit que d’une chose ? Je ne pense pas, et encore moins lors des dernières étapes du développement.
Le problème d’une telle conception est donc qu’elle résulte dans le fait que le fœtus reste hors de notre vue, et non pas de l’avènement soudain d’une personne à l’instant précis de la naissance. Un tel point de vue est analogue à l’idée que la mort et la famine seraient moins graves quand elles ont lieu dans un pays éloigné et que nous en sommes moins conscients. On peut le penser, mais ça n'est pas objectivement acceptable.Enfin, la similitude entre les fœtus en fin de grossesse et les bébés prématurés, met à mal l’argument selon lequel la naissance correspondrait au stade d’apparition de la personne. Certains bébés prématurés survivent à un accouchement après 6 ou 7 mois de grossesse. Pourquoi eux seraient des personnes, et pas les autres bébés dans le ventre de leur mère à 8 mois par exemple ?
Parce qu'ils viennent de survivre à l'épreuve qui est appelé "accouchement".
6. « L’embryon est comparable à un parasite dépendant des ressources de sa mère ; elle a donc légitimement le droit de s’en débarrasser »
L’embryon est pourtant parfaitement différenciable d’un parasite, tout simplement car il appartient à l’espèce humaine. Or un parasite est, par définition, un organisme animal ou végétal qui se nourrit strictement aux dépens d’un organisme hôte d’une espèce différente, de façon permanente ou pendant une phase de son cycle vital.
Source : http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/parasite/58023On voit bien que cette définition ne peut pas s’appliquer à l’embryon, car il n’est pas issu d’une espèce différente mais bel et bien de la même espèce que sa mère (en l’occurrence l’espèce humaine).
Quant critère de la dépendance, qui stipule qu’il ne survit uniquement grâce aux ressources de sa mère (qui est d'ailleurs déjà partiellement traité dans le point n°4), cela est autant vrai pour un embryon que pour un bébé après sa naissance. Tout bébé est en effet dépendant des ressources d’autrui. Est-ce que l’on va considérer le très jeune bébé comme un "parasite" et pouvoir se débarrasser de lui, simplement sous prétexte qu’il est incapable de survivre seul ?
Le fait de savoir que sa survie dépend de nous devrait au contraire nous pousser à le protéger, et non pas à le laisser mourir.II. LES ARGUMENTS D'ORDRE PHILOSOPHIQUE
Autre exemple : on peut aussi dire que les enfants ne sont que des adultes potentiels. Or, légitimer l’avortement parce que l’embryon et le fœtus ne sont que des êtres humains potentiels, cela reviendrait à légitimer des crimes infanticides parce que des enfants ne sont que des adultes potentiels.
La notion de potentialité est en réalité inhérente à chaque individu, et elle ne peut pas constituer un motif de suppression de la vie.Ensuite, si on se place du point de vue biologique, il n’y a pas de rupture dans le développement à partir de la fécondation. Tout ce qui fait de vous la personne que vous êtes aujourd’hui était déjà contenu dans l’embryon d’un millimètre. Cet organisme humain, avec son ADN unique, reste le même depuis l’embryon jusqu’à la mort. Tout ce qui fait de l’humain un humain est contenu dans l’embryon dès la fécondation. La seule chose qui change étant le stade de développement, développement qui n’est en réalité jamais rompu, même après la naissance.
Aujourd’hui encore, même étant adulte, votre développement n’est pas fini. La vie n’est rien d’autre qu’un processus permanent de développement, sans discontinuités ni interruptions, de l’embryon jusqu’à la mort.9. « L’embryon ou le fœtus n’a aucune conscience »
Il faut bien comprendre que la conscience est un concept tellement flou d'un point de vue neurologique qu’il n’existe pas une seule et unique définition, il existe en réalité plusieurs concepts différents de la conscience.
(A titre d’exemple, même Larousse n’arrive pas à donner une seule et unique définition : http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/conscience/18331 )Ici, je vous ai trouvé deux articles qui expliquent les difficultés à trouver une même définition de la conscience, y compris pour la communauté scientifique elle-même ( http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-la-conscience-dans-une-impasse-31158.php et https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/cerveau-cerveau-conscience-localisee-scientifiques-harvard-65121/ )
Pour en revenir à notre argument : laquelle de ces définitions garde-t-on ? Est-ce qu'on se limite à la seule conscience d’un environnement extérieur (qui n’implique pas nécessairement une conscience de soi) ? Doit-on plutôt se limiter à la conscience d'exister et d'être en interaction avec le monde extérieur (conscience de soi) ? Est-ce qu'on définit la conscience d'un point de vue purement psychologique avec l'analyse des expériences passées et la capacité de l'individu à se projeter dans l'avenir ? Ou bien encore est-ce qu'on parle de conscience morale (discerner le bien et le mal) ?
Premièrement, dans tous les cas, vous voyez bien qu'il n'existe pas de définition unanime, simplement des degrés différents du niveau de conscience. Deuxièmement, il existe beaucoup d’être humains qui ne répondent à aucune de ces exigences : c’est le cas des très jeunes nourrissons, c’est le cas dans gens qui sont dans le coma, etc.Une recherche européenne à laquelle ont participé des chercheurs du CNRS et publiée le 18 avril 2013 montre que les nourrissons ont une conscience de leur environnement similaire aux adultes dès l’âge de 5 mois.
Sources : http://www.huffingtonpost.fr/2013/04/19/bebes-cinq-mois-conscience-similaire-adultes-selon-etude-americaine_n_3114684.html
https://www.livescience.com/28848-babies-have-consciousness.htmlAutrement dit, avant 5 mois, il n’y aucun mécanisme cérébral de perception d’un événement extérieur (on appelle aussi cela la signature neuronale de l’état de conscience, qui constitue un des stades les plus primitifs de la conscience). Ceux qui se fient donc à cette définition de la conscience (capacité à percevoir un événement extérieur) doivent donc défendre aussi l’infanticide jusqu’à 5 mois.
C'est pratiquement légal vu les peines que prennent les daronnes et tout le monde s'en fiche.
Mais continuez de vous battre contre l'ivg pendant que votre voisine congèle son troisième enfant.
Le 22 avril 2020 Ă 21:56:47 homme-poulet a Ă©crit :
Vive l'avortement !
C'est un peu ironique tout de mĂŞme
l'ivg n'est pas un meurtre, c'est un assassinat
Simone Veil en France
les bolchéviks en Russie
bref
des co religionnaires quoi
Le 22 avril 2020 Ă 21:55:52 Schranzeur a Ă©crit :
Non pas payant
S'il l'avortement Ă©tait payant cela changerait beaucoup de chose ...
Bref comme dis l'autre plus haut, on devrait pas avoir le droit Ă l'avortement Ă tout va.
Les pro avortements votre message il veut juste dire : "Je suis un lambda qui n'a pas les couilles de prendre sa vie en main et d'offrir une belle vie à ma progéniture, j'ai un travail de b​ouse en CDI et je vais prendre un crédit immobilier, mais si tu ne veux pas accepter un enfant de moi tu es une grosse h​appiste qui avorte".
Non en fait, vous n'avez juste pas l’étoffe des alpha, derrières vos belles phrase placées en terrasse avec un petit verre de vin, vous essayez à tout prix de retourner l'esprit de jeunes femmes influençables pour combler votre manque de couille.
La vérité c'est qu'un Alpha, il voyage, il fait de la thune, il prend une meuf qui n'a pas tourné, il s'installe dans un endroit sympa, il lui fait un gosse, quand le moment est venu.
Vous ĂŞtes des french dreamer en puissance les pro avortements, des faibles.
Le 22 avril 2020 Ă 21:57:35 LesMaquisards a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:56:47 homme-poulet a Ă©crit :
Vive l'avortement !C'est un peu ironique tout de mĂŞme
Oui
Le 22 avril 2020 Ă 21:52:20 LePennec a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:42:16 WilsonCastor a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:38:01 LePennec a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:31:03 WilsonCastor a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:26:47 LePennec a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:21:08 WilsonCastor a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 20:04:01 LePennec a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 20:02:03 SeraphinPanlion a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 20:00:24 LePennec a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 19:57:27 BanParDesIncels a Ă©crit :
C'est pas des personnes donc osef
+ on a déjà assez de pauvre qui font des gosses sans avoir de tunes et qui coûte cher.Quelqu'un de déjà né >>>> quelqu'un de pas né
Quelle est la différence entre un bébé de 9 mois encore dans le ventre et un nouveau né d'à peine 1 min ?
Argument fallacieux.
Ce ne sont pas les bébés de 9mois de grossesses qui sont avortés.
Mais en droit, une personne n'a de droit que si elle est néeEn droit or c'est justement avec le droit que je suis en désaccord c'est un non argument ça
La différence est qu'un individu est né, l'autre non.
J'ajouterai que tu évites soigneusement d'aborder le fait que ce ne sont pas les bébés de 9mois de grossesses qui sont avortésAucune différence entre un fœtus de 9 mois ou 2 semaines, son existence est là peu importe sa forme
Et pour le droit français on retient la naissance mais en Asie c'est la fécondation donc non c'est pas un argument
Si, il y a une énorme différence dans la compléxité physiologies de ces êtres. Le nier est soit de la mauvaise foi, soit un maqnue de connaissance sur le sujet. A moins que tu ne considères toutes les formes de vie comme égales
Oui comme un athlete a énormément de différences avec un trisomique né sans bras, sans jambes et avec un rein non fonctionnel et pourtant les 2 sont des être humains
Le trisomique de ton exemple est né au bout de 9 mois de développement. Pas le foetus de 7 semaines
Et non, il y a bien plus de différence de compléxité entre un foetus de 7 semaines et qu'un bébé de 9 mois de grossesse qu'un nouveau né et un adulte. Dire l'inverse est un manque de connaissance sur le sujet.
Le 22 avril 2020 Ă 21:47:54 MG-ULTRA a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:43:45 Ankseram a Ă©crit :
j'arrive dans le débats sans avoir lus la totalité de message , beaucoup long pour pas grands chose au final vue que le débats tourne en ronds depuis bien longtemps ^^je donne mon avis ,à vous de voirs si vous êtes d'accord ou non.
Selon moi l'avortement n'est pas un meurt a proprement dis vue que certe le corps/système de l'enfant est en création. bien qu'on arrête sa fabrication avons nous une preuve que l'enfant souffre en cas d'avortement ? car c'est bien beau de dire au parent( femme bien souvent) des chose qui la poussent a le gardé mais je pense que les concerné on déjà réfléchie a la question.
puis si il ne souffre pas , il n'as aucun souvenir et dans le corps de sa mère il n'as "rien connue" donc il ne connais pas la vie. il n'as rien perdu mais rien gagner non plus.
Pas mal de personne pensent comme toi mais même si selon vous l'embryon n'est pas encore un humain à proprement parlé et qu'il ne souffre pas, vous empêcher comme une vie que vous avez engendré par négligence de voir la vie et ce comportement est égoïste, capricieux et (selon moi) immoral.
Pourquoi ne pas simplement se protéger.
je ne suis ni pour ni contre l'avortement , chaque personne a ces raison de les faire. bonne ou mauvaise c'est pas nous d'en juger mais comme tu dis " vous empêcher comme une vie que vous avez engendré " oui sauf que beaucoup ne sont ni prêt a élevé un enfant , d'autre n'en mérite pas (mais ça c'est a voir avec le temps violence sur mineur toussa toussa) et d'autre n'en sont pas responsable (viole) et selon moi dans le premier cas bah c'est a cause du faite que la génération actuelle et futur pense a leur plaisir sexuel plus qu'au conséquence futur.
il y as un autre points au quel faut pensée : la surpopulation humaine et en lien directe avec ce sujet selon moi mais sans l'avortement bah la population humaine serai beaucoup plus élevé que actuellement et ça c'est bien plus important selon moi que de décide de rompre la création de vie humaine
Le 22 avril 2020 Ă 19:57:27 BanParDesIncels a Ă©crit :
C'est pas des personnes donc osef
+ on a déjà assez de pauvre qui font des gosses sans avoir de tunes et qui coûte cher.
Alors quoi, il faudrait avorter la moitié du forum avec cette logique eugéniste ?
Le 22 avril 2020 Ă 22:03:25 El_Logio a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 19:46:35 LePennec a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 19:44:21 DoraBora a Ă©crit :
En quoi ça serait un meurtre ?La vrai question, c'est en quoi c'est mal de tuer un être humain ?
Argument n°1''' : "La femme est maître de son corps donc elle a le droit d'avorter".
Cet argument du droit de la femme Ă disposer de son corps est l'argument principal de vois les hippies progressistes libertaires.
L'enfant en cours de formation dans le ventre de sa g​énitrice n'est pas un organe de la g​énitrice mais bien un être vivant à part entière, avec ses propres organes, son propre système nerveux, son propre ADN. C'est une entité génétique ua​ime. La femme n'a aucun droit sur un organisme humain qui n'est pas le sien et qu'elle ne fait qu'héberger.
Donc oui, une femme a le droit de faire ce qu'elle veut de son corps, mais certainement pas du corps de quelqu'un d'autre.
 Argument °2 : "Si l'enfant n'est pas désiré, il vaut mieux pour lui qu'il ne naisse jamais".
Argument très mauvais dans le fond, car qui sommes-nous pour pouvoir affirmer que tel ou tel enfant non-désiré sera obligatoirement malheureux ? Il n'existe aucun critère objectif qui permet de prévoir la vie future de l'enfant. Il existe des enfants non-désirés qui sont heureux et à l'inverse, il existe des enfants désirés qui sont malheureux. Personne ne peut prévoir quel sera le bonheur d’un enfant.
S’il est légitime de tuer un être humain parce qu’il risque d’être malheureux, alors il est aussi légitime de tuer ceux qui d'ores et déjà sont malheureux.
 Argument n°3 : "Et si la grossesse résulte d'un s​acre bleu ? ".
On ne remédie pas à une injustice en créant une injustice encore plus grave. L’enfant à naître est totalement innocent du crime de son père. Ce n’est donc pas à lui de payer.
De plus, cet enfant sera certes l’enfant d’un s​acre bleueur, mais il sera aussi l’enfant de la victime du s​acre bleu. Et on ne peut pas répondre à un traumatisme terrible (celui du s​acre bleu) par un autre traumatisme, celui de l’avortement.
Surtout, le cas du s​acre bleu est un exemple extrêmement particulier. On ne base pas une argumentation, et à plus forte raison, une loi, sur des cas particuliers. D'après les dernières études, moins de 5% des cas de s​acre bleus recensés aboutissent à une grossesse. Prétendre que le cas du s​acre bleu justifie l’avortement en général est donc une escroquerie intellectuelle.  Il est donc malhonnête de se servir de situations extrêmes pour banaliser l’avortement.
Dans le pire des cas, il existera toujours la possibilité pour la g​énitrice d'accoucher sous X et de mettre son enfant à adopter. Ca sera sans doute un traumatisme pour elle mais sans doute moins que si elle avait avorté, et au moins on donne une chance à l'enfant de vivre.
 ' Argument n°4 : " Et si l'enfant est handicapé ou victime de malformations durant la grossesse ?".
Si l’on admet que l’on peut éliminer tous les indésirés (les handicapés, le d​ynamiques, les malades mentaux), la société humaine se détruit. Si l’on n'admet pas la présence des autres avec leurs différences, la vie en société devient infernale. Face à un handicapé, quelle est la solution la plus humaine, le supprimer ou l’aider à mener la meilleure existence compte tenu de ses capacités ? L’enfant atteint d’une malformation est pourtant membre de l’espèce humaine. Si l’on l’élimine en raison de sa malformation, les dérives sont nombreuses et bientôt, on éliminera ceux qui n’ont pas la couleur de peau ou le sexe espéré (ce qui est déjà fait dans certains pays).
 Argument n'°5 : "C'est qu'un amas de cellule, ça n'est pas vivant".
En France, on peut avorter jusqu'à la 12ème semaine de grossesse (À noter que beaucoup de pays dans le monde l'autorisent avec un délai largement plus long). À 12 semaines de grossesse concrètement, il ne s'agit déjà plus d'un embryon mais bien d'un foetus.
À la 4ème semaine, le système nerveux de l'embryon se développe et son coeur commence à battre.
 À la 6ème semaine, l'embryon commence à bouger, les premiers signes d'activité cérébrale apparaissent et les organes vitaux sont déjà tous formés.
 À la 8ème semaine, il possède des bras, des jambes, un visage, un nez, des oreilles.
(Source : . Attention, il faut enlever 2 semaines à chaque fois sur le nombre de semaines affichées, car d'après la façon de calculer des médecins, la grossesse "effective" ne commence qu'après la 2ème semaine. C'est-à -dire que quand je parle de la 6ème semaine, sur leur site cela correspond à la semaine 8.
Donc non, l'embryon ou le foetus n'est pas qu'un "vulgaire amas de cellules" comme vous voulez nous le faire croire mais bel et bien un organisme humain doté d'organes et avec une activité cérébrale et cardiaque avérée, et ce très tôt après la fécondation, bien avant le délai légal pour avorter en France.
 Argument n°6 : "La contc​ommunautéption n'est pas efficace à 100%, le risque zéro n'existe pas".
C'est vrai. Mais à cela je répondrai simplement qu'il faut assumer ses actes. Chaque action a des conséquences, personne ne peut l'ignorer. Lorsque deux (jeunes) adultes font le choix de participer à une activité connue pour créer des bébés, ces adultes doivent en accepter la responsabilité. La contc​ommunautéption peut échouer. La meilleure planification peut rater. Mais la responsabilité ne doit pas être évitée au prix de la vie d’un enfant innocent.
 Argument n°7 : "Un foetus n'a pas de conscience et ne ressent aucune douleur donc l'avortement n'est pas une pratique grave".
Biologiquement, la vie ne se définit pas à partir du moment où l'individu est doté d'une conscience ou d'une perception de la douleur, mais bel et bien au moment de la "conception", c'est-à -dire au moment de la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde aboutissant à une cellule-oeuf comportant son propre bagage génétique. Dès cet instant, chaque cellule de l’embryon qui se développe contient le nombre exact de chromosomes, ainsi que tous les éléments génétiques qui distinguent le nouvel être humain de ses parents.
Ainsi, dès sa conception, le fœtus a une construction génétique qui le différentie des organes du corps de sa g​énitrice. Mettre fin à cette vie sous prétexte "qu'il n'a pas de conscience et/ou ne ressent pas encore la douleur" revient à supprimer un individu qui est génétiquement ua​ime. L'embryon qui se développe ne donnera jamais un arbre, un tétard ou un d​oggo, mais bien un être humain. C'est donc un embryon humain qu'on supprime. Il ne ressemble pas tout à fait à un être humain au cours des toutes premières semaines de son développement, mais cela ne fait pas de lui un "sous-humain" pour autant.
Pour prendre un dernier exemple un peu extrême, si la vie humaine se résumait ua​imement à avoir une conscience et ressentir la douleur, on pourrait dans ce cas-là supprimer les bébés nés depuis 2 jours (qui n'ont pas de conscience à cet âge-là ) d'une balle dans la tête en disant : "ils n'avaient pas de conscience et sont morts de manière instantanée sans ressentir la moindre douleur".
 Argument n°8 : "Si la vie de la g​énitrice est danger, l'avortement est justifié".
Peut-être un des seuls arguments qui paraît "audibles". Dans les cas où la vie de la g​énitrice est en danger, la majorité des personnes contre l’avortement sont d’accord avec le fait que la g​énitrice doive poursuivre tout traitement médical (par exemple, chimiothérapie) dont elle a besoin, même s’il y a la possibilité d’effets négatifs sur l’enfant. Si le bébé meurt au cours du traitement de la g​énitrice, c’est considéré un avortement involontaire (comme une fausse couche). Un avortement involontaire, du point de vue moral, n’est pas condamnable parce que l’intention n’est pas de tuer l’enfant à naître.
Mais on pratique dans ce cas une IMG et non une IVG
 Argument n°9 : "Si on interdit l'avortement, beaucoup de femmes continueront à avorter illégalement et à prendre des risques pour leur propre vie".
C'est vrai, mais au moins elles ne seront plus remboursées et seront considérées comme hors-la-loi. De nombreuses études statistiques (dont une réalisée au Canada notamment entre 1964 et 2005) montrent que la véritable cause de la réduction de la mortalité maternelle aux cours des années qui suivirent la légalisation de l'avortement a été la mise en œuvre générale de meilleurs soins médicaux et non la légalisation en elle-même.
 (Source : . L'article est en anglais mais compréhensible tout de même et toutes les références et études sont mentionnées en dessous).
 Argument n°10 : "Si on l'interdit en France, les gens iront le faire dans d'autres pays, donc cela revient au même".
Dans ce cas on légalise la prostitution infantile, parce que de toute façon ceux qui veulent vraiment se taper des gamines vont en Thaïlande (où ça se passe dans des conditions terribles) ?
Au-delà de ce parallèle un brin s​acre bleuent (c’est volontaire), une réalité : ce n’est pas parce qu’on peut faire quelque chose ailleurs qu’on doit pour autant l’autoriser chez nous. Prenons l’exemple, plus soft, de parents qui interdisent à leur enfant de se droguer. Sous prétexte que le gamin pourra très bien aller se piquer chez des amis, doivent-ils l’autoriser à le faire chez eux, et lui fournir en plus les seringues, la drogue, et le transport à l’hôpital à chaque overdose ?
Quand on pense que quelque chose est mauvais, peu importe que ça puisse être fait ailleurs : on se doit de l’interdire à ceux qui dépendent de nous. C’est ce que doivent faire (et font déjà ) certains parents. C’est ce que devraient faire des politiques.
 Argument n°11: "L'avortement permet de lutter contre la surpopulation".
C'est faux. En Europe, le déclin démographique est avéré et le taux de natalité est à un seuil très bas. Les prévisions montrent que la population vieillissante devra être remplacée par de nombreuses personnes immigrées dans les prochaines années à ce rythme-là , le nombre de décès dépassant le nombre de naissances. Cela soulève à la fois le problème de l'intégration et du repli identitaire. ). Le taux de fécondité, bien qu'ayant très légèrement augmenté de 2001 à 2014, reste à un niveau alarmant. Le nombre d’habitants peut donc être une force à la fois politique et à la fois économique pour une région ou un continent donné. Il faut encourager dans ce sens une juste ouverture à la vie, accompagnée d’une catéchèse (politique) sur la responsabilité de la famille, jusqu’au niveau politique.
 Argument n°12 : "L'avortement ne concerne pas les hommes".
Il est facile de penser que l’avortement ne touche que les femmes, mais en réalité l’avortement affecte aussi beaucoup d’hommes. Il y a des témoignages de conjoints qui auraient voulu garder leurs enfants, mais leurs partenaires n’ont pas voulu écouter. L’enfant à naître est lié au père et à la g​énitrice. Ce n’est pas tout seul que la g​énitrice a créé ce nouvel être humain, un enfant se conçoit à deux.
On reproche souvent à un homme de se barrer lorsque des problèmes importants surgissent dans le couple, mais quand il s'agit d'assumer un enfant qui a été créé à deux, il faudrait cette fois qu'il se barre réellement et laisse la g​énitrice décider toute seule ?
Le 22 avril 2020 Ă 22:03:25 El_Logio a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 19:46:35 LePennec a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 19:44:21 DoraBora a Ă©crit :
En quoi ça serait un meurtre ?La vrai question, c'est en quoi c'est mal de tuer un être humain ?
premier psychopathe
Le 22 avril 2020 Ă 21:52:13 LesMaquisards a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:36:36 powerstay a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:23:15 LesMaquisards a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:05:51 powerstay a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 20:53:47 FreeKippa a Ă©crit :
Bon sinon pour reprendre des arguments plus factuels en faveur des anti-IVG, qui permettent à la fois de comprendre la stade de développement d'un embryon/feotus jusqu'a la durée max d'avortement en France, mais également (tout aussi important) la législation sur l'avortement qui est encore plus honteuse dans certains pays d'Europe (coucou les rosbifs) voici les faits:En France: Avortement jusqu'a la 12eme semaine. Environ 3 mois => on quitte le stade d'embryon pour devenir un feotus (le fameux simple amas de cellule)
Tous les organes et les systèmes vitaux sont maintenant partiellement formés. Les extrémités se peaufinent aussi : les ongles commencent leur développement. Jusqu’alors, une partie de l’intestin grêle (les anses intestinales) surplombait le cordon ombilical. Tout cela est maintenant bien entré, à l’intérieur du ventre du foetus.
Dans le cerveau, les cellules nerveuses se multiplient. Elles se relient entre elles en créant de nombreuses synapses. On observe déjà certains réflexes archaïques. Par exemple : le foetus replie les doigts et les orteils si quelque chose touche la paume de sa main ou la plante de son pied. Le nouveau-né gardera ce réflexe quelque temps, puis il disparaîtra progressivement, tous comme les autres réflexes archaïques. Ces réflexes témoignent du bon développement neurologique du bébé.Bref, tous les organes + développement neuronal + ongles qui poussent meme. " May c comme un spermatozoide "
Maintenant passant aux Britishs et leurs moeurs encore plus diaboliques (ben oui c'est super ethnocentré de parler que de la France, et en tant que bon gauchiste progressiste on se sent citoyen du monde avant tout)
Autorisation d'avorter jusqu'a 24 semaines soit 6 MOIS.
Le système immunitaire produit maintenant des globules blancs. C’est grâce à eux que l’organisme est en mesure de lutter contre les maladies et les infections.
La peau du foetus s’épaissit et se colore légèrement, bien qu’elle soit encore assez transparente. On entrevoit toujours le sang dans les vaisseaux sanguins (capillaires).Sur la tête du foetus, de vrais cheveux ont commencé à pousser; ce n’est plus seulement du duvet. Sur les doigts, les ongles apparaissent maintenant plus distinctement.
Durant cette période, la prise de poids est importante. Il pèse maintenant plus de 630 g et il mesure 21 cm de la tête au coccyx. Dorénavant, le foetus remplit bien l’espace de l’utérus.
S’il devait naître à ce moment, soit 22 semaines après sa fécondation, le foetus pourrait survivre, mais il aurait besoin de soins ultra-spécialisés. À ce stade, il serait un très grand prématuré, car ses systèmes respiratoire et digestif ne sont pas encore matures
https://naitreetgrandir.com/fr/Grossesse/Trimestre2/Fiche.aspx?doc=grossesse-developpement-foetus-2e-trimestre#_Toc350508101
Dans certains pays, l'avortement est LEGAL alors que le feotus est VIABLE et pourrait survivre si accouchement prématuré.Ou alors si à la limite vous soutenez la règlement française stop nier que dans certains pays c'est un meutre, et que justement des françaises vont se faire avorter dans ces pays une fois le délai dépassé en France
Non mais stop, dans un passé pas si éloigné ,on abandonner des enfants sur le parvis des églises dans ce pays , et encore pour la version soft, la il a une chance de es en sortir si il arrive à passe la nuit glaciale sans crever. Et la je parle de tes arrières arrières grand mere qui faisait ça ai calme. C'est nouveau le concept de bisounours occidental comme quoi abandonner ou laisser crever un bébé c'est un crime impardonnable , rendez vous compte même laisser crever un bébé ça n'a rien d'inconvable. C'est honteux c'est un crevé coeur , c'est tabou mais ça reste parfois affreusement banal. Alors tuer un foetus laisser moi rire , faut arrêter la fragilité à un moment.
Soit, mais alors dans ce cas étendons ton raisonnement partout, autorisons le droit de tuer les animaux de compagnie comme cela se faisait il n'y a pas si longtemps, autorisons les violences conjugales etc... Je ne suis ni pro ou anti ivg et encore moins un ardent défenseur du droit des animaux et de la femme, mais ton raisonnement est fallacieux et justifie par l'existence (passé qui plus est ) des actes , et je ne puis ne pas m'indigner. D'autant plus en parlant d'infanticide dans une époque de grande misère, et où la mortalité infantile était effrayante. Et ne me dites pas que les exemples donnez plus hauts sont hors sujets.
On est d'accord , il faut placer des bornes , d'où le principe de la loi indispensable dans toute société. Simplement j'abonde dans les les extrême volontairement , car vous faites exactement la même chose dans le sens inverse avec le droit à la vie absolu, non c'est faux ce n'est pas un droit absolu, c'est un privilège qu'ils faut défendre à tout prix, en gardant le sens et les contraintes de la réalité. Et prouvez la dualité de votre pensez en repartant dans les extrêmes. Vous m'objectez qui si il es parfois legitime de laissez mourir, invalidant le droit a la vie , alors toute en es limités sont dépassées et le mettre devient banal et toute organisation collective et civilisé devient obsolète. Votre raisonment decoule de position morale douteuse et de principe absolu qu'il faut restrancire dans la réalité.
Alors que la logique voudrait que notre organisation se fasse en fonction de la réalité ce qui implique des compromis avec nos principe absolu.Par contre j'avais précisé que je ne suis point anti ou pro ( au sens où j'adhère philosophiquement et moralement ) à l'IVG. Pour en revenir à l'argument moral, il serait naïf de considérer que seul les anti sont plongés dans l'absolu, car l'avortement découle bien du libéralisme né au XVIII siècle étendu au domaine social, et il touche là , que l'on le veuille ou non, à l'une des choses les plus importantes en tant qu'espèce animal, la reproduction, et c'est bien quelque chose qui se rapproche le plus de la notion d'absolu. Cependant je suis en accord sur un point avec vous, la morale déontologique des anti ivg est une faiblesse de raisonnement( faiblesse nécessaire d'ailleurs) faiblesse car ils omettent les cas de misères sociales malheureusement encore présents en France, en plaçant donc le débat uniquement sur le champ de la moral, alors qu'il est éminemment matériel et social. C'est pour cela que je dis plus haut qu'il est malsain de revendiquer comme si cela constituait une quelconque victoire, car c'est le reflet de la misère, apparaissent donc les raisons morales et sociales évidentes à la lutte contre les causes de l'avortement, d'autres raisons sont présentes mais que je n'évoquerai pas car hors débat.
Bien entendu que le revendiquer comme une victoire est un biais. Seulement dans ce cas la victoire ce n'est pas le droit à l'avortement mais la possibilité légal d'avorter dans un cadre médicalisé sûr, sans condamnation moral qui impliquerai un rejet social. Puisse pour ma part il est évidemment que l'avortement n'apparaît pas au 18 même siècle mais a toujours existé sous divers forme dans toutes les sociétés. Précise ce que tu veut dire quand tu dis que l'avortement découle du libéralisme né au XVIII étendu au domaine social. Parce que même pour la legislation sur l'avortement on a des sources antédiluvienne,( terme adapté pour évoquer les source babylonienne ).
Le 22 avril 2020 Ă 22:01:19 Ankseram a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:47:54 MG-ULTRA a Ă©crit :
Le 22 avril 2020 Ă 21:43:45 Ankseram a Ă©crit :
j'arrive dans le débats sans avoir lus la totalité de message , beaucoup long pour pas grands chose au final vue que le débats tourne en ronds depuis bien longtemps ^^je donne mon avis ,à vous de voirs si vous êtes d'accord ou non.
Selon moi l'avortement n'est pas un meurt a proprement dis vue que certe le corps/système de l'enfant est en création. bien qu'on arrête sa fabrication avons nous une preuve que l'enfant souffre en cas d'avortement ? car c'est bien beau de dire au parent( femme bien souvent) des chose qui la poussent a le gardé mais je pense que les concerné on déjà réfléchie a la question.
puis si il ne souffre pas , il n'as aucun souvenir et dans le corps de sa mère il n'as "rien connue" donc il ne connais pas la vie. il n'as rien perdu mais rien gagner non plus.
Pas mal de personne pensent comme toi mais même si selon vous l'embryon n'est pas encore un humain à proprement parlé et qu'il ne souffre pas, vous empêcher comme une vie que vous avez engendré par négligence de voir la vie et ce comportement est égoïste, capricieux et (selon moi) immoral.
Pourquoi ne pas simplement se protéger.
je ne suis ni pour ni contre l'avortement , chaque personne a ces raison de les faire. bonne ou mauvaise c'est pas nous d'en juger mais comme tu dis " vous empêcher comme une vie que vous avez engendré " oui sauf que beaucoup ne sont ni prêt a élevé un enfant , d'autre n'en mérite pas (mais ça c'est a voir avec le temps violence sur mineur toussa toussa) et d'autre n'en sont pas responsable (viole) et selon moi dans le premier cas bah c'est a cause du faite que la génération actuelle et futur pense a leur plaisir sexuel plus qu'au conséquence futur.
il y as un autre points au quel faut pensée : la surpopulation humaine et en lien directe avec ce sujet selon moi mais sans l'avortement bah la population humaine serai beaucoup plus élevé que actuellement et ça c'est bien plus important selon moi que de décide de rompre la création de vie humaine
Je suis désolé mais l'avortement devrait être au moins payant et les exemples que tu as donner son exaspérant.
Une personne aussi négligente ne devrait même pas avoir des relation sexuel non protégé dans un premier cas.
et puis c'est surtout les gens comme ça qui se battent pour l'avortement : https://www.youtube.com/watch?v=8nhXQS5UUGQ
Données du topic
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- CarlosGone
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- 22 avril 2020 Ă 19:36:25
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