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Elle invite son mec et son amant le même soir, le premier tue le deuxième

Supprimé

Première fois que j'ai les larmes aux yeux en lisant un article :snif:
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Tout devait réussir à Charles et à Paolina. Mais rien n’est allé comme prévu. En janvier 2017, le jeune avocat a poignardé son rival, qu’il a découvert dans le lit conjugal. Le jeune homme a été condamné vendredi à dix-huit ans de prison pour meurtre.

C’est bête à dire, mais le regard a mis un peu de temps à s’habituer. Ce trentenaire à la peau claire, aux traits fins, aux longues mains soignées, au dos très droit, qui répond au prénom de Charles et décline la profession d’avocat, se tient bien à l’intérieur de la cage de verre de la cour d’assises de Paris. Pas devant. Ni en face. Ni à côté.

Dans la nuit du 4 au 5 janvier 2017, Charles Sievers a planté un couteau de cuisine dans le thorax de son rival, François, qu’il venait de découvrir chez lui, avec sa compagne, nu. La lame de vingt centimètres a transpercé le cœur et le poumon.

Charles Sievers a retiré le couteau, l’a posé sur le bar de la cuisine, est sorti en titubant de l’immeuble et s’est effondré au milieu de la chaussée, rue Sainte-Anne, à Paris, le tee-shirt et les mains ensanglantées. Au cycliste qui s’est approché, il a demandé son portable pour se dénoncer à la police. Sa victime, François, avait 22 ans. Il était normalien, chercheur, et venait de démarrer une thèse sur les protéines transmembranaires.

Charles Sievers se présente. Un père ancien magistrat, devenu avocat pénaliste. « J’ai fait du droit public, c’était une façon de me démarquer de lui. » Une mère professeure de français, issue de la vieille aristocratie. « Du côté de ma mère, on pourrait remonter jusqu’aux croisades. » Trois sœurs, dont une magistrate. L’ombre d’un frère cadet décédé sous ses yeux à l’âge de 1 an, quand son landau a été percuté par un camion alors qu’ils allaient, avec sa mère, chercher sa sœur aînée à l’école.

De sa détention, depuis presque trois ans, il dit : « Je ne vais pas me lancer dans une diatribe contre l’administration pénitentiaire, ce n’est pas le sujet ici. » Il la lance quand même, omet de préciser qu’il avait demandé en vain sa remise en liberté au bout de deux ans et conclut : « Ce qui a été le plus constructif pour moi, ça a été de m’engager dans un troisième cycle de droit de l’environnement. J’attends le retour de mon directeur de thèse. »

Il se définit : « Je suis quelqu’un d’assez sentimental et romantique. D’assez testostéroné aussi. » Quand le président de la cour d’assises, Jean-Marc Lavergne, lui demande si la fidélité est « importante » pour lui, il juge sa question « pertinente ». « La fidélité, c’est une sorte de métaprincipe, répond-il. Le plus important est de ne pas faire mal à l’autre inutilement en lui mettant sous le nez ses infidélités. »

Enfants de bonne famille

Eric Sievers, le père, prend la cour à témoin. « Mon fils aurait dû être là ! », lance-t-il en pointant du doigt le banc des avocats en robe, des deux côtés de la barre. Le 5 janvier 2017, il a été réveillé à 3 heures du matin par un appel du père de Paolina B., la compagne de Charles. « Il m’a parlé d’une bagarre, d’un couteau. Il m’a dit : “Ton fils va avoir besoin de toi.” Le monde s’est effondré. »

Les deux familles se connaissent depuis plus de vingt ans. Avant de s’installer à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), celle de Paolina habitait à une rue d’écart de celle de Charles Sievers, dans le quartier des Chartrons, à Bordeaux. Paolina et ses sœurs fréquentaient la même école que les enfants Sievers, la sœur aînée de Charles était la baby-sitter de la cadette de Paolina. A l’époque, Charles ne les aimait pas trop. « Elles cassaient mes Lego et faisaient couler du sucre sur mes affaires », se souvient-il.

Leurs familles se retrouvaient aussi au Cap-Ferret (Gironde), où elles possèdent chacune une résidence secondaire et un bateau. Le père de Charles avait appris à naviguer à celui de Paolina, ils étaient même partis une fois en croisière ensemble en Grèce.

Les parents avaient vu d’un bon œil la relation amoureuse d’un été qui s’était nouée entre leurs enfants devenus étudiants, puis leurs retrouvailles, quelques années plus tard, alors qu’ils étaient l’un et l’autre à l’aube de leur vie professionnelle.

Dulce, la mère de Paolina, une ex-mannequin d’origine mexicaine, trouvait que Charles était « beau garçon ». Il avait « le profil du gendre idéal » pour son père, un riche homme d’affaires. « Elle est jolie, instable et pétillante comme les bulles de champagne », disait-on de Paolina chez les Sievers. La relation se conforte, la jeune femme est invitée au mariage « de la cousine Maud » et présentée aux grands-parents maternels de Charles, « même si, explique sa mère, dans ma famille, on préfère rencontrer les personnes quand elles ont une bague de fiançailles au doigt ».

Charles vit et travaille déjà à Paris. Paolina, recrutée sur recommandation de son père dans un cabinet d’expertise comptable, s’y installe à son tour, dans un trois-pièces coquet du 2e arrondissement. Ses parents paient une moitié du loyer, Charles s’acquitte de l’autre. Il a 31 ans, elle en a 26. Ils sont beaux, aisés, souvent bronzés, Charles plaît aux filles, Paolina enchante les garçons. Ils avancent dans la vie avec cet air de « savoir voyager mieux que les autres », dirait la Zazie de Raymond Queneau.

Amoureux insatisfaits

Charles a appris la prudence. Sa première copine l’a quitté après être tombée sur un fichier, dans son ordinateur, qui tenait la liste de ses conquêtes, détaillait le type de rapports sexuels qu’ils avaient eus et évaluait leurs qualités respectives.

Quand il rentre au domicile, il supprime l’application Tinder de son téléphone. Paolina ne ferme pas toujours le sien, sur lequel s’affichent les SMS sexy qu’elle aime envoyer aux hommes. Son compte Facebook s’enrichit chaque jour de nouveaux « amis », elle rit quand Charles s’énerve en voyant la photo coquine qu’elle a adressée à minuit à son prof d’équitation. Elle lui promet que c’est un jeu, il tait les siens, ils s’aiment, se blessent, se réconcilient, Charles menace de la quitter, elle le rassure, il l’ennuie, ils s’épient, se retrouvent au lit, se déchirent à nouveau, se mentent autant qu’ils se jurent de se dire la vérité.

Les mois passent. Charles attend le bon moment pour lui offrir le solitaire qu’il lui a acheté en guise de bague de fiançailles. Le moment ne vient pas. Ils ne sont pas vraiment heureux, tout juste insatisfaits – « J’aimerais bien qu’on prenne un peu plus de profondeur d’âme », écrit-il à Paolina. Mais la profondeur, c’est barbant. Charles se met à la boxe française, Paolina s’échappe dès qu’elle peut pour aller monter Too Much, son cheval de compétition, hébergé dans un haras de la banlieue parisienne.

« Mon taux d’hypothèque sentimentale dépassait ma capacité de remboursement » Charles Sievers à l’expertise psychiatrique

Dans l’affaire, il y a aussi Matilda. Moins piquante mais plus brillante que sa sœur aînée, Paolina. Normalienne, elle commence une thèse de recherche en génétique. A l’automne 2016, elle invite ses amis thésards dans un bar pour son anniversaire. Parmi eux, il y a François, rencontré à l’ENS, avec lequel elle a eu « un léger rapprochement », comme elle dit. L’histoire n’est pas allée plus loin, mais il en reste quelque chose.

Charles s’éclipse tôt, il est fatigué. Paolina ne rentre pas dormir chez eux et ne répond plus à ses SMS. Matilda enrage quand elle apprend que sa sœur a fini la nuit chez François. « Tu es folle. Tu détruis tout. On ne trompe pas comme ça quelqu’un sans conséquences. Tu es toxique. » Elle plaint beaucoup Charles. Paolina, elle, s’amuse et découche à nouveau. « Tu me manques gravement de respect. Fais gaffe », lui écrit Charles. « Je t’aime sincèrement », lui répond-elle.

« Le crime passionnel se plaide bien »

Devant l’experte psychiatre Isabelle Teillet, il résumera plus tard d’une phrase ce moment où il découvre la liaison de Paolina et de François : « Mon taux d’hypothèque sentimentale dépassait ma capacité de remboursement. »

Il décide de la quitter, chacun part passer les fêtes de Noël dans sa famille. Matilda alerte ses parents, qui tentent de raisonner leur aînée et la conjurent de reprendre sa relation avec « Charlie », comme ils l’appellent. Le couple se retrouve début janvier à Paris. Charles harcèle Paolina, elle lui promet de ne plus voir François, il se saisit de son téléphone dès qu’elle part sous la douche, traque son compte Facebook, voit qu’elle lui ment, lui intime l’ordre de rompre. Le 4 janvier, elle n’est pas chez eux quand il rentre. Elle prétend avoir une soirée « avec des collègues de travail » et part retrouver François. Il fourre dans son sac trois caleçons, des chaussettes, des chemises et l’écrin contenant la bague de fiançailles et part dormir chez une tante en banlieue parisienne.

Les dizaines de SMS qu’ils échangent ce soir-là figurent au dossier d’instruction. « Reviens ! », textote Paolina quand elle trouve l’appartement vide. « Arrête de me mentir !, répond-il.

– Je ne te mens pas.

– Allez, t’es libre. Profites-en. Mais je te demande de pas l’amener à la maison tant que mes affaires y sont.

– T’es parano ! »

A 22 h 06, Paolina écrit à François : « J’ai envie de te retrouver. » A 22 h 30, elle écrit à Charles : « Je t’attends. » Puis à François : « Préviens-moi quand tu sors du métro. » A Charles : « Tu me fais mal inutilement. Bonne nuit. A demain. » Un dernier appel de Charles restera sans réponse.

Il est minuit, Charles Sievers prend le RER à Arcueil, descend à Châtelet, marche jusqu’à la rue Rameau. Voit la lumière dans le salon au troisième étage. Entre dans l’appartement. Pose son sac à côté du petit sapin de Noël décoré de boules blanches et rouges sur le bar de la cuisine. Aperçoit le visage et l’épaule nue de Paolina, sortie précipitamment de la chambre.

« Cette douleur que j’avais, cette douleur… Elle sort d’un coup », dit-il. Il saisit le plus grand couteau de cuisine dans le présentoir posé à côté du micro-ondes, écarte Paolina qui vient vers lui. « Ne rentre pas ! », supplie-t-elle. Il bondit sur le lit. François crie : « Qu’est-ce que tu fais ? » Charles Sievers écarte les bras que le jeune homme a levés pour se protéger et lui enfonce la lame dans le cœur. « Je vais passer le reste de ma vie en prison, je m’en fous », lance-t-il à Paolina avant de partir. Aux voisins de l’immeuble chez qui elle se précipite pour alerter les secours, Paolina assure qu’il a dit aussi : « C’est un crime passionnel, ça se plaide bien aux assises. » Il le dément.

Pendant l’enquête, un texte a été retrouvé dans l’ordinateur de Charles Sievers. Un essai de fiction qu’il avait écrit en 2012. « Quand je suis sorti de prison, je suis allé chez elle. Je voulais être sûr qu’elle avait quelqu’un. Je sonne, je sens monter en moi un mélange d’abattement et de rage. J’ai envie de partir mais je veux voir son visage pour mourir moins con, ou moins cocu. J’entends des pas, je comprends que c’est un mec. La porte s’ouvre. Je lui saute dessus et je l’étrangle de toutes mes forces. J’ai tué Stef. Il paraît que le crime passionnel se plaide bien. »

« C’était lunaire »

Devant la cour d’assises, les parents, les sœurs et les amis de Charles viennent dire tout le mal qu’ils pensent de Paolina. « Une bimbo », siffle le père. « Une princesse, capricieuse, mondaine, narcissique, superficielle », assurent les autres. Dulce, la mère de Paolina, affirme désormais que « Charles Sievers ne [lui] faisait pas bonne impression. Sarcastique, cynique, misogyne, lâche, égoïste ». Matilda s’accuse pour défendre sa sœur et dit qu’elle ne pensait pas du tout ce qu’elle a écrit sur elle. « J’étais en colère. J’étais vexée. C’est tout. » Charles Sievers, lui, accable son ex-compagne, pleure sur lui et récite du Stendhal. « Julien Sorel, c’est moi. Mathilde, c’est Paolina », a-t-il confié à la psychiatre.

Paolina s’est constituée partie civile contre celui qu’elle appelle « Charles Sievers » ou « Monsieur Sievers ». Les voisins de l’immeuble – styliste, avocat, photographe de mode – se souviennent de ses propos le soir du meurtre. « Elle disait que sa vie amoureuse était un désastre et se demandait comment elle allait faire maintenant. C’était lunaire », témoigne l’un d’eux. A l’avocate générale, Sylvie Kachaner, qui lui demande si elle éprouve une part de responsabilité morale dans le drame, Paolina répond : « Non. » Elle nuance : « Après, je me suis dit que j’aurais dû attendre. » La psychiatre résume : « Cette histoire catastrophique est celle de deux gamins tordus, coacteurs dans une relation pervertie. »

Entre ces deux « gamins tordus », il y avait François. François qui croyait que Paolina n’était plus en couple. A son ami Oscar, il avait confié, la veille de sa mort, ses « remords que Paolina ait quitté son ex pour lui ». A Paolina, il exprimait sa gêne vis-à-vis de Matilda et sa volonté de ne pas la blesser. Il s’inquiétait aussi de l’impatience de son amie : « Je ne suis pas là pour remplacer du jour au lendemain ton ancien copain et la place qu’il prenait. Excuse-moi si je prends trop de temps », lui écrivait-il.

« Nous ne sommes pas dans la vengeance »

Pendant cinq jours, sa famille a assisté en silence aux débats. Elle vit en Bretagne, son père est médecin des hôpitaux, sa mère médecin du travail. François était le troisième de leurs cinq enfants. Jeudi 10 octobre, leur fils, tué à 22 ans, est enfin apparu autrement que dans un rapport d’autopsie ou comme un simple prénom prononcé par Charles Sievers et Paolina B.

Ses amis thésards, doctorants en biologie, ont évoqué « la simplicité, la bienveillance » du « premier de promo », du « chercheur de génie » qu’ils surnommaient en riant « le Moine ». « L’humanité pourrait se constituer partie civile pour les pertes que représente la mort de François dans la recherche », a dit l’un d’eux. « Il serait capable de convaincre un scientifique qu’il était un ange. Voilà », a observé un autre.

Ses parents ont raconté à leur tour le fils « profond, fidèle, humble dans la réussite », qui aimait les livres, la Grèce antique, jouait de la clarinette, participait à une activité d’aumônerie et n’aurait jamais manqué une fête de famille. « Quand l’école m’a remis son diplôme de normalien, je me suis senti indigne de le recevoir », a dit son père. « Nous avons des valeurs chrétiennes, nous essayons de les vivre. François nous manque. La justice n’a pas les moyens de nous le rendre. Nous ne sommes pas dans la vengeance », a-t-il ajouté.

Le président a repris leurs mots, en les détachant lentement pour mieux les faire résonner dans la salle d’audience. « Ce qui était important, pour François, c’était donc la sincérité, la délicatesse, la profondeur, l’authenticité. » Paolina B. a sangloté fort sur son banc. Charles Sievers a baissé la tête. Le miroir est cruel.

Charles Sievers a été condamné vendredi 11 octobre à dix-huit ans de réclusion criminelle.

J'ai commencé à lire puis j'ai scrollé, mais c'est beaucoup trop long :rire:

Le 12 octobre 2019 à 16:36:18 Denmarked2 a écrit :
J'ai commencé à lire puis j'ai scrollé, mais c'est beaucoup trop long :rire:

Résumé: une Vanessa trompe son mec, elle commence à draguer un timide normalien de 22 ans, qui ignore tout de la situation. Un soir, elle invite le normalien mais parle aussi à son mec. Le mec ce ramène et plante le normalien qui meurt sur le coup.

Toutes des mamans

J'ai tout lut, et c'est bien triste

Le 12 octobre 2019 à 16:39:23 C_ancor_moa a écrit :
J'ai tout lut, et c'est bien triste

Vraiment j'ai l'habitude d'être ému, surtout devant un article du Monde, mais là jsuis tout triste pour le khey François. Qu'il repose en paix

Tous des dégénérés. Bon voyage éternel en Enfer à tous ces égarés :ok:
La principale ordure de l'histoire est toujours en liberté alors qu'elle a détruit 2 vies. Terrible.

Le 12 octobre 2019 à 16:42:32 DaveLepard a écrit :
Tous des dégénérés. Bon voyage éternel en Enfer à tous ces égarés :ok:

Charles va passer 18 ans à l'ombre mais bordel Paolina qui est pas inquiétée ca rend fou

Le 12 octobre 2019 à 16:45:03 RemcoDieuVivant a écrit :
La principale ordure de l'histoire est toujours en liberté alors qu'elle a détruit 2 vies. Terrible.

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484264625-risitas-this.png

Le 12 octobre 2019 à 16:36:18 Denmarked2 a écrit :
J'ai commencé à lire puis j'ai scrollé, mais c'est beaucoup trop long :rire:

Pareil

Bien sûr elle ne sera pas inquiétée. Le privilège de la femme n'est plus à démontré.
Crime passionnel normalement il devrait pas prendre autant, mais bon c'est la France, si t'est une chance violeurs tueur maxi 5-10 ans, sinon tu prend tarif...

Le 12 octobre 2019 à 16:45:08 ChanclaFiscale a écrit :

Le 12 octobre 2019 à 16:42:32 DaveLepard a écrit :
Tous des dégénérés. Bon voyage éternel en Enfer à tous ces égarés :ok:

Charles va passer 18 ans à l'ombre mais bordel Paolina qui est pas inquiétée ca rend fou

Elle le sera dans un siècle tout au plus cette saloperie aux jambes écartées.

Paola cette chaudasse

Charles ce malade

Sa première copine l’a quitté après être tombée sur un fichier, dans son ordinateur, qui tenait la liste de ses conquêtes, détaillait le type de rapports sexuels qu’ils avaient eus et évaluait leurs qualités respectives.

Le 12 octobre 2019 à 16:48:24 ForGond a écrit :
Bien sûr elle ne sera pas inquiétée. Le privilège de la femme n'est plus à démontré.

C'est surtout qu'elle a été une connasse en trompant mais qu'elle n'a rien fait de mal du point de vue de la loi. C'est con à dire mais le mec n'avait qu'à rester mesuré et pas foutre son avenir en l'air pour une fille qui apparemment ne valait pas le coup.

Le 12 octobre 2019 à 16:48:24 ForGond a écrit :
Bien sûr elle ne sera pas inquiétée. Le privilège de la femme n'est plus à démontré.

Pénalement je sais pas ce qu'on aurait pu qualifier en même temps... J'espère qu'elle se prendra un coup de karma

Le 12 octobre 2019 à 16:49:17 MBDTC1 a écrit :
Crime passionnel normalement il devrait pas prendre autant, mais bon c'est la France, si t'est une chance violeurs tueur maxi 5-10 ans, sinon tu prend tarif...

5-10 ans t'abuses, la plupart n'ont même pas ça.
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Le 12 octobre 2019 à 16:45:03 RemcoDieuVivant a écrit :
La principale ordure de l'histoire est toujours en liberté alors qu'elle a détruit 2 vies. Terrible.

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ChanclaFiscale
Date de création
12 octobre 2019 à 16:31:17
Date de suppression
3 mars 2023 à 16:33:00
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