Topic du Glauque
Le 20 avril 2021 à 17:58:04 :
L’anencéphale de VichyLe 6 janvier 1897, une jeune fille de seize ans accouche à la maternité de Vichy d'un enfant qui ne survit que quelques minutes. Il est hermaphrodite et frappé d'une anomalie exceptionnelle : l'absence de cerveau et de cervelet, ou anencéphalie.
En effet, l’anencéphalie est caractérisée par l’absence de crâne et d'encéphale (cerveau, cervelet et tronc cérébral) chez le fœtus ou le nouveau-né.
À la place subsiste une masse de tissus rougeâtre dans laquelle on trouve souvent des restes méningés ou des neurones.
De nos jours, la fréquence de l'anencéphalie est de 0,5 pour 1 000 naissances.
Cette anomalie peut se détecter dès la 13e semaine de grossesse, par échographie. Si une interruption volontaire de grossesse n'a pu être pratiquée, le nouveau-né, néanmoins pourvu d'une face et d'yeux, a des mouvements lents et stéréotypés de la tête et des membres. Il a parfois des réflexes.
Les anencéphales meurent habituellement au bout de quelques jours.Photos:
J'ignorais que ça existait, c'est terrifiant.
Le 02 juillet 2019 à 05:50:32 :
L'histoire d'Annelise est vraiment impressionante et flippante, surtout à 4:20 de l'enregistrement https://www.youtube.com/watch?v=EijAlyJXacIC'est une des seules fois où je penche plus sur la religion que la science, car même malade ces cris me semblent inhumains.
ça donne envie de croire au démons et tout le reste
Au début pareil, puis en faite tu te rends compte que y'a pas mal de maladie qui font des troubles de la personnalités. Sachant qu'elle était croyante et qu'elle connaissait tout ce 'lore', c'était pas compliqué pour elle d'avoir une personnalité qui pensait vraiment être posséder et qui à pris le dessus d'elle. Je dis pas que c'est ça, je dis juste que ce pencher directement dans la religion pour expliqué un problème est pas la meilleur chose à faire.
Le jour ou quelqu'un qui ne connait absolument pas de près ou de loin la religion subit quelque chose du même sort, alors la oui déja faudrait commencer à creuser un peu plus et être ouvert d'esprit. La ça a beau être terrifiant, je pense que ça reste tout à fait explicable
Le tueur du Zodiac. 
Le 26 mai 2021 à 15:02:54 :
Le tueur du Zodiac.
déja évoqué!
Le 26 mai 2021 à 15:02:54 :
Le tueur du Zodiac.
merci de Ta contribution!
Le 16 janvier 2019 à 00:12:43 :
Le 15 janvier 2019 à 22:53:31 Kongstrong a écrit :
Une grand mère et son cercueuil
Un gars sur youtube déterre sa grand-mère qui est enterrée depuis 45 ans, ouvre un cercueil, puis l'embrasse sur la bouche.
https://www.youtube.com/watch?v=eyV-cVYzLlM&list=PLm9E-60SPlOZJIJ5BsBhp9lx4mhlpjxzu&index=10
ouai euuuh
je clique pas.
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Putain 
Je me suis dis que youtube étaient abusifs sur les strike, donc forcément ça allait être très soft
En fait non, on voit très bien, sans aucune censure
Le 27 mai 2021 à 01:46:12 :
Le 16 janvier 2019 à 00:12:43 :
Le 15 janvier 2019 à 22:53:31 Kongstrong a écrit :
Un gars sur youtube déterre sa grand-mère qui est enterrée depuis 45 ans, ouvre un cercueil, puis l'embrasse sur la bouche.
https://www.youtube.com/watch?v=eyV-cVYzLlM&list=PLm9E-60SPlOZJIJ5BsBhp9lx4mhlpjxzu&index=10
ouai euuuh
je clique pas.
Putain
Je me suis dis que youtube étaient abusifs sur les strike, donc forcément ça allait être très soft
En fait non, on voit très bien, sans aucune censure
Sacré topic
John Earl Baughman
John Earl Baughman (du 4 octobre 1941 au 31 mai 2000) était un meurtrier américain et un tueur en série présumé . Ancien policier, Baughman a été acquitté du meurtre d'un ami proche et de sa première femme, avant de finalement tuer sa deuxième femme lors de vacances à Antigua-et-Barbuda. Après avoir été condamné à mort pour son meurtre, il s'est pendu en prison en 2000, alors qu'il était toujours dans le quartier des condamnés à mort .
John Baughman est né dans l'Illinois et a grandi à Chicago. Son père, Bill Baughman, travaillait sur le chemin de fer et était originaire de Clinton, dans l'Illinois. Sa mère, Letha Smith Baughman, était une comptable devenue orpheline alors qu'elle était jeune enfant et dont le premier enfant, un homme, est mort en bas âge. Baughman était le seul autre fils de ses parents, ayant deux sœurs aînées. Baughman s'est porté volontaire pour deux tournées au Vietnam en tant que fantassin de la Marine. Plus tard, il est devenu un homme lourd et avait toujours porté des lunettes à monture épaisse, ce qui lui a valu le surnom de «Bouteilles». Il a déjà servi comme agent de police à Homewood . Il épousa sa femme Gertrude, surnommée «Trudy», le 17 juillet 1964; ensemble, ils eurent trois filles. Au cours de ces années, Baughman a travaillé comme agent de sécurité, a effectué des travaux d'électricité pour une entreprise inconnue et a finalement travaillé chez Honeywell. Malgré ses références, il a été décrit comme un homme plutôt contrôlant
Meurtres Sgt. Dean Pence Le 26 juillet 1970, le Sgt. Dean Pence, un policier de Flossmoor , a été retrouvé assassiné près du Prestwick Country Club dans le comté de Will . Il avait été abattu avec un revolver de calibre .38. Ami de longue date de Baughman, alors âgé de 28 ans, il a été tué par le premier pour avoir eu une liaison présumée avec la femme de John, Gertrude. Bien qu'il soit devenu le principal suspect, avec même une arrestation et un retour à Joliet , le grand jury du comté de Will a refusé de l'inculper et Baughman a été autorisé à ne pas être inculpé. Trudy Baughman En 1984, Trudy et John inspectaient certains équipements dans leur garage de Matteson . Selon Baughman, sa femme a soudainement trébuché sur une cuisinière, qui a enflammé de l'essence et l'a incendiée. Paniquée, Gertrude a commencé à s'agiter, se blessant apparemment à la gorge. Cependant, un examen par le coroner a prouvé que l'histoire était fausse, car l'autopsie a révélé que Trudy avait d'abord été étranglée puis brûlée. Trudy avait récemment dit à Baughman qu'elle voulait divorcer. Malgré la scène de meurtre évidente, au cours de son procès en 1985, Baughman, qui a affirmé que la mort de sa femme était accidentelle, a été acquitté par le juge du comté de Cook pour meurtre. Il a été, une fois de plus, libéré. En 1988, l'avocat de Baughman, Fred Aprati, a été "condamné par un tribunal fédéral pour avoir payé des pots-de-vin à la police du shérif du comté de Cook". C'était le témoignage d'un coroner du comté qui n'avait pas examiné le corps de Trudy - et non du coroner en chef, qui avait examiné son corps - qui avait jeté le doute sur le cas de l'accusation. Valérie Baughman Des années se sont écoulées après la mort suspecte de sa première femme et, bien avant la mort de Trudy, Baughman avait pris sa retraite de la police et travaillait maintenant comme vendeur pour la société Honeywell . Un soir, il a assisté à un bal des célibataires, où il a rencontré une femme deux fois divorcée nommée Valérie. Elle était une représentante dynamique du service à la clientèle pour 3M , pour qui elle avait travaillé pendant 22 ans, et avait quatre enfants adultes. Ils ont pris goût l'un à l'autre et en février 1991, le couple s'est marié. Valerie était au courant du passé de John, mais croyait aux affirmations selon lesquelles il était innocent, en contraste frappant avec l'un de ses enfants. En 1995, le couple est parti en vacances à St. John's à Antigua-et-Barbuda, s'inscrivant au Royal Antiguan Hotel. Fait intéressant, les employés ont déclaré plus tard que Baughman avait demandé une chambre pour deux pour les trois premières nuits, mais seulement une chambre pour une personne pour la dernière. Le 27 mai, John a emmené sa femme sur le toit de l'hôtel de 8 étages, où il l'a repoussée. La chute a écrasé tous les os du corps de Valérie, la tuant instantanément. Selon des témoins, Baughman n'a fait aucune tentative pour l'empêcher de tomber. Procès, condamnation et mort Immédiatement après, Baughman a été arrêté et détenu sans caution dans la prison de Sa Majesté. Au cours de l'enquête, il a expliqué que sa femme était tombée accidentellement alors qu'ils se jetaient des lettres d'amour. Le coroner a cependant déclaré qu'elle avait été poussée à mort. Lors de son procès, Baughman a été cité comme disant qu'il aimait beaucoup sa femme, mais cela n'a pas dissuadé le jury, dont le vote unanime l'a reconnu coupable de meurtre. Condamné à mort, Baughman a été escorté hors de prison, où les Antiguais le maudissaient et applaudissaient pour sa mort éventuelle, sans faire de déclaration finale. Son avocat, Gerald Watt, a accusé le tribunal de partialité en faveur du procureur et a annoncé qu'il faisait appel de la décision. Le 31 mai 2000, peu de temps après le rejet de son appel final, Baughman s'est suicidé dans la prison d'Antigua en se pendant par un drap aux barreaux de la fenêtre de sa cellule.
Robledo Puch
Carlos Eduardo Robledo Puch (né le 22 janvier 1952), également connu sous le nom de The Angel of Death et The Black Angel , est un tueur en série argentin . Il a été reconnu coupable de onze meurtres , une tentative de meurtre , dix-sept vols , complice d'un viol et d'une tentative de viol , un chef d'accusation d' abus sexuels , deux enlèvements et deux vols.
En 1956, alors que Robledo Puch avait quatre ans, ses parents ont déménagé la famille à Borges Street, Olivos, Buenos Aires , où ils ont loué un appartement au premier étage au-dessus d'une quincaillerie. Robledo Puch venait d'une famille ouvrière et était un enfant timide.
Activité criminelle Le 15 mars 1971, Robledo Puch et son complice, Jorge Antonio Ibañez, ont dévalisé la discothèque Enamor , volant 350 000 pesos . Avant de s'enfuir, Robledo Puch, à l'aide d'un pistolet Ruby , a tué le propriétaire de la discothèque et le veilleur de nuit pendant leur sommeil. Le 9 mai 1971 à 4 heures du matin, Robledo Puch et Ibañez ont fait irruption dans un magasin de pièces détachées Mercedes Benz à Vicente López . Dans l'une des chambres, ils ont trouvé un couple avec leur nouveau-né. Robledo Puch a tiré et tué l'homme et a tiré sur la femme, qui n'a été blessée que par balle. Ibañez a tenté de violer la femme blessée. La femme a survécu à l'épreuve et a témoigné plus tard au procès. Avant de s'enfuir avec 400 000 pesos, Robledo Puch a tiré sur le berceau où le nouveau-né pleurait, mais il l'a raté. Le 24 mai 1971, les deux criminels ont tué un veilleur de nuit dans un supermarché. Le 13 juin 1971, Ibañez a violé une jeune fille de 16 ans sur la banquette arrière d'une voiture volée, après quoi Robledo Puch a tué l'adolescente en lui tirant dessus cinq fois. Le 24 juin 1971, ils se sont rendus au même endroit et ont répété le crime - Ibañez a tenté de violer une femme de 23 ans, que Robledo Puch a ensuite exécutée en tirant sept fois. Le 5 août 1971, Ibañez est mort dans un accident de voiture. Robledo Puch conduisait et s'est enfui indemne de la scène. Le 15 novembre 1971, Robledo Puch et son nouveau complice, Héctor Somoza, ont pris d'assaut un supermarché de Boulogne et, à l'aide d'un pistolet Astra de calibre .32 qu'ils avaient obtenu quelques jours auparavant lors du vol d'un arsenal, ont criblé la scène de balles. Entre le 17 novembre 1971 et le 24 novembre 1971, ils se sont introduits par effraction dans deux concessions automobiles et ont assassiné les gardiens, volant plus d'un million de pesos. Arrêter Le 1er février 1972, Robledo Puch et Somoza ont fait irruption dans une quincaillerie. Ils ont tué le gardien et ont essayé d'ouvrir le coffre-fort avec les clés qu'ils avaient obtenues de son corps. Ils n'ont pas pu le faire et, prétendument dans un état de confusion au cours duquel Robledo Puch aurait été surpris par quelque chose, il a tiré sur Somoza et l'a tué. Afin d'empêcher ou d'empêcher l'identification du corps par les enquêteurs de la police, il a pris un chalumeau et a brûlé le visage de son complice décédé. Après avoir ouvert le coffre-fort avec le même chalumeau, il a pris l'argent qu'il y avait trouvé et a fui les lieux. Il a été arrêté le 4 février 1972, après que sa carte d'identité ait été retrouvée dans la poche du pantalon de Somoza. Il venait d'avoir 20 ans.
Procès, réclusion et aujourd'hui Il a été jugé en 1980 et condamné à la réclusion à perpétuité , la peine maximale en Argentine , à purger dans la prison de haute sécurité de Sierra Chica, près de la ville d' Olavarria . Les derniers mots qu'il a prononcés devant le tribunal ont été "C'était un cirque romain. J'ai été jugé et condamné à l'avance". Une partie du contenu du dossier d'un psychiatre qui l'a examiné, présenté au procès, se lit comme suit: "Robledo Puch vient d'un foyer légitime et complet, absent de circonstances hygiéniques et morales défavorables." "Il n'y avait pas non plus de contraintes économiques d'importance, de revers de fortune, d'abandon du foyer, de manque de travail, de malheur personnel, de maladie, de conflits affectifs, de surpeuplement ou de promiscuité." En juillet 2000, il est devenu admissible à la libération conditionnelle; il n'a cependant pas présenté de pétition. Le 27 mai 2008, Robledo Puch a présenté une requête en libération conditionnelle. Le juge qui a examiné sa requête lui a refusé la libération conditionnelle, considérant qu'il constituait toujours une menace pour la société. En novembre 2013, il a demandé la révision de sa peine ou, à défaut, son exécution par injection létale alors que la peine de mort n'était pas légale en Argentine. La Cour suprême de justice a rejeté à la fois la demande de révision et la demande d'exécution, cette dernière étant illégale. Le 27 mars 2015, la Cour suprême de justice a rejeté un recours formé par Robledo Puch contre la décision judiciaire susmentionnée par laquelle il s'était vu refuser la libération conditionnelle. En 2020, Robledo Puch a passé plus de 48 ans en prison, faisant de lui le plus ancien prisonnier d'Argentine. En 2018, un film basé sur Robledo Puch appelé El Angel , réalisé par Luis Ortega et avec Lorenzo Ferro, est sorti.
Javier Hernán Pino
Javier Hernán Pino (né en 1990) est un tueur en série argentin . Entre février et octobre 2015, il s'est lié d'amitié et a amené cinq personnes à lui faire confiance, avant de leur tirer une balle dans la tête avec un pistolet silencieux et de leur voler leurs affaires. Pour ses crimes, il a été condamné à trois chefs d’ emprisonnement à perpétuité , qu’il purge actuellement à la prison de Coronda dans la province de Santa Fe .
Meurtres Le modus operandi de Javier Pino était de se lier d'amitié avec une victime appropriée, et en gagnant leur confiance, il a profité de leurs gardes abaissés pour les assaillir et leur tirer dessus avec son pistolet Taurus silencieux de 9 mm. Le premier à être assassiné est le marchand chinois Ni Qi Fu, âgé de 40 ans, à Buenos Aires . Il a reçu 8 balles au total à la tête, à l'abdomen et au bras gauche, décédant des suites de ses blessures le 16 février 2015. Au cours des deux mois suivants, Pino a noué une amitié avec la masseuse Claudia Sosa, âgée de 38 ans, qu'il a aidée à déménager à Buenos Aires. Le 8 avril, il a été invité dans son appartement au 1545 rue Tucúman, où il a procédé à lui tirer une balle dans le cou, tuant Sosa sur place. Après avoir tué Sosa, il a volé un ordinateur, un téléphone portable et 1 900 pesos avant de quitter la zone. Pino frappait deux fois de plus avant sa capture: le 13 juillet, lorsqu'il a assassiné un employé de la station-service de 28 ans, Ariel Fernando Ríos à El Galpón , et la deuxième fois le 16 octobre, lorsqu'il a assassiné ses frères et sœurs Agustina (28 ans) et Javier Ponisio. (25) à Rosario .
Arrestation, procès et emprisonnement Quelques jours après avoir assassiné les frères et sœurs Ponisio, Pino a été arrêté à Frías, Santiago del Estero . Les enquêteurs avaient de loin lié trois des meurtres (Ríos et les Ponisios), et Pino a été reconnu coupable de ces trois dans un premier temps, recevant deux peines d'emprisonnement à vie. Environ quatre ans plus tard, en utilisant le système d'identification balistique automatisé (SAIB), la police de Buenos Aires a comparé les enveloppes d'obus abandonnées pour tous les matches à travers le pays, ce qui s'est avéré correspondre à ceux utilisés dans les meurtres d'El Galpón et de Rosario. Pino a également été accusé d'avoir tué Fu et Sosa, avec des preuves supplémentaires dans ce dernier cas, car des preuves ADN trouvées sur une tasse de café ont été découvertes comme étant celles de Pino. Il a été traduit en justice devant les tribunaux de Buenos Aires, en présence de quatre procureurs des trois villes dans lesquelles les crimes ont été commis. Dans les médias, des comparaisons ont été établies avec le tristement célèbre tueur en série argentin Robledo Puch , en raison des circonstances similaires de leurs crimes. Il a été reconnu coupable des deux meurtres et a été condamné à une troisième peine d'emprisonnement à perpétuité. Pino purge actuellement sa peine à la prison de Coronda dans la province de Santa Fe.
Yiya Murano
María de las Mercedes Bernardina Bolla Aponte de Murano (20 mai 1930 - 26 avril 2014), mieux connue sous le nom de Yiya Murano, et également appelée Poisoner de Monserrat était un tueur en série argentin et un escroc. Reconnue coupable de trois meurtres, elle a été emprisonnée pendant 16 ans avant d'être envoyée dans un établissement de soins pour personnes âgées pour y purger le reste de sa peine, en raison de son âge avancé.
Meurtres Nilda Gamba, une voisine de Murano est décédée le 10 février 1979. Le 19 février, l'amie de Murano, Leila Chicha Formisano de Ayala, est décédée. Murano devait de l'argent aux deux femmes et les deux corps présentaient des signes d' empoisonnement au cyanure . Le 24 mars 1979, la cousine de Murano, Carmen Zulema del Giorgio de Venturini, est tombée et est décédée dans les escaliers d'un immeuble de la rue Hipólito Yrigoyen, où elle habitait. La mort de Zulema a été initialement attribuée à un arrêt cardiaque . La fille de Zulema a découvert qu'un billet à ordre d'une valeur de 20 millions de pesos argentins manquait dans les affaires de sa mère. Le portier de l'immeuble a déclaré que Murano était arrivé pour une visite avec un mystérieux paquet (qui a été découvert plus tard pour contenir des masas finas ) , et avait demandé en passant une copie des clés des clés de l'appartement de Zulema, en disant: "J'ai besoin de son carnet pour l'avertir. les proches". Murano entra dans l'appartement de sa cousine et sortit rapidement, portant des papiers et un pot. Elle se plaignit bruyamment: "Mon Dieu, c'est mon troisième ami à mourir en peu de temps!" Au cours de l'autopsie, les examinateurs ont découvert du cyanure dans le corps de Zulema. Les enquêteurs ont découvert le poison dans le pot mentionné par le portier et dans les masas finas .
Le 27 avril 1979, la police a arrêté Murano à son domicile de Mexico Street. En 1980, elle a été retrouvée inconsciente dans la prison où elle était détenue; plus tard, ils ont enlevé l'un des poumons de Murano. Murano a été condamné en 1985, lors du procès des juntes . Elle a insisté sur son innocence en disant: «Je n'ai jamais invité personne à manger». Murano a été libéré de prison après 16 ans. On a appris qu'elle avait envoyé aux juges qui lui avaient remis une boîte de chocolats en guise de remerciement. Médias L'écrivain argentin Marisa Grinstein a inclus Murano dans son livre Mujeres Asesinas (Killer Women). En 2006 , un épisode de la série télévisée Canal 13 du même nom présentait une reconstitution des crimes de Murano. À la fin de l'épisode, la vraie Yiya Murano est apparue et a proclamé son innocence, citant des preuves. La deuxième saison de Mujeres Asesinas , l'adaptation mexicaine de la série, a présenté un épisode basé sur Murano intitulé «Tita Garza, Swindler», avec Patricia Reyes Spindola .
Francisco Antonio Laureana
Francisco Antonio Laureana ( 1952-27 février 1975) était un jeune argentin tué par la police de Buenos Aires , qui le croyait être un violeur et un tueur en série appelé le satyre de San Isidro , qui pendant une période de six mois - à partir de 1974 et 1975 - a violé 15 femmes, dont il a assassiné 13. Il a tué la plupart des victimes les mercredis et jeudis vers 18 heures.
Crimes La police a reconstitué les événements sur la base de ce qu'ils croyaient être une série de meurtres et du profil psychologique du meurtrier. Francisco Laureana, 22 ans, avait été stagiaire dans une école catholique de la ville de Corrientes, dans le nord de l'Argentine. La police a affirmé que Laureana avait fui Corrientes parce qu'il avait violé et pendu une religieuse dans les escaliers de l'école. En juillet 1974, il s'installe dans la ville de San Isidro (au nord du Grand Buenos Aires ), où il travaille comme artisan dans la vente de cerceaux, bracelets et colliers. Il a épousé une femme qui avait trois enfants. Avant d'aller travailler, il disait à sa femme: "Ne laissez pas les enfants dehors car il y a beaucoup de dégénérés." Presque tous les mercredis et jeudis, vers 6 heures du soir, une femme ou une fille a disparu dans la ville. Leurs corps ont été retrouvés peu de temps après dans des terrains vagues, avec des signes de viol et de meurtre sauvagement. Certaines victimes ont été étranglées et d'autres ont été abattues avec un revolver de calibre .32. Les victimes étaient principalement des femmes qui prenaient un bain de soleil dans des villas voisines ou qui attendaient aux arrêts de bus. Le «satyre» volait toujours quelque chose à ses victimes, comme des bagues, des bracelets, des chaînes, etc., qu'il gardait comme trophées dans une botte chez lui. Parfois, il retournait sur les lieux du crime des semaines plus tard pour revivre l'expérience. En raison du modus operandi répété , Osvaldo Raffo, expert de la police et de la médecine légale, pensait que la mort pouvait être l'œuvre d'un seul individu. Après avoir commis l'un de ses homicides, un témoin a vu l'agresseur s'enfuir sur le toit d'une maison, mais on lui a tiré dessus avec une arme à feu. Ledit témoin était indemne et était essentiel pour faire une identification du suspect qui a commencé à circuler dans la ville.
Mort Le jeudi 27 février 1975, une fillette de huit ans a vu Francisco Laureana et a pensé qu'il ressemblait au tueur en série. Après en avoir parlé à sa mère, la femme a fait semblant d'appeler son mari mais en a informé les autorités. Laureana passa, sourit et continua. La police l'a retrouvé à quelques rues de là et, comme ses caractéristiques étaient similaires à celles de l'identikit, ils ont approché le suspect, lui demandant de les accompagner pour un interrogatoire. Selon le rapport de police, Laureana a ensuite pris une arme dans son sac à bandoulière et a commencé à tirer sur les policiers, déclenchant une fusillade dans laquelle il a reçu une balle dans l'épaule. Laureana, gravement blessée, s'est échappée, se cachant de la police dans un poulailler près d'un manoir. Cependant, un chien a «marqué» la cachette de Laureana à son propriétaire, incitant la police à s'approcher du poulailler et à poivrer Laureana avec des balles. Les autorités ont regretté de l'avoir tué, car elles voulaient l'interroger sur les motifs de son meurtre. Deux poules ont été retrouvées mortes dans le poulailler (on ne sait pas si la police ou Laureana avec ses pulsions violentes les ont tuées). Quand sa femme a été informée, elle a dit: "Il doit y avoir eu une erreur. Mon mari n'aurait pas pu faire tout cela. C'était un bon père, un bon mari et un artisan qui aimait ce qu'il faisait." Comme le tueur était un fétichiste, bon nombre de ses crimes ont été résolus lorsque la police a trouvé la botte dans laquelle les objets des victimes étaient cachés, ainsi que des armes à feu. Le cas de Francisco Antonio Laureana, l'un des meurtriers les plus prolifiques de l'histoire argentine, est passé relativement inaperçu en raison du climat politique complexe sous le gouvernement d' Isabel Perón .
Cayetano Santos Godino
Cayetano Santos Godino (31 octobre 1896 - 15 novembre 1944), également connu sous le nom de "El Petiso Orejudo" ("The Big-Eared Midget"), était un tueur en série argentin qui a terrorisé Buenos Aires à l'âge de 16 ans. au début du 20e siècle, il était responsable du meurtre de quatre enfants, de la tentative de meurtre de sept autres enfants et de sept chefs d' incendie criminel .
Godino est né à Buenos Aires, en Argentine, l'un des huit garçons. Son père et sa mère, Fiore Godino et Lucia Ruffo, étaient alcooliques et abusifs. Le père de Godino a contracté la syphilis avant la naissance de Godino, ce qui a causé à Godino de graves problèmes de santé infantile.
Premiers signes de mauvaise gestion sociale Dès son enfance, Godino a tué des chats et des oiseaux et a aimé jouer avec le feu. Son comportement violent et son manque d'intérêt pour l'éducation l'ont poussé à passer d'une école à l'autre. En 1904, alors qu'il avait sept ans, Godino a battu Miguel de Paoli, deux ans, et l'a jeté dans un fossé. Un fonctionnaire voisin l'a vu et a conduit les enfants au poste de police, où leurs mères les ont récupérés quelques heures plus tard. Un an plus tard, en 1905, Godino a battu Ana Neri, une enfant de son quartier, avec une pierre. Un policier est intervenu, mais Godino a été libéré de prison en raison de son jeune âge. En 1906, Godino a tué Maria Rosa Face (trois ans). Ce qui serait le premier meurtre de Godino est passé inaperçu et ne sera découvert que des années plus tard, lorsqu'il a avoué lui-même à la police. Il a dit qu'en 1906, il avait emmené une fille d'environ trois ans dans un terrain vague de la rue Rio de Janeiro, où il avait tenté de l'étrangler. Puis il l'a enterrée vivante dans un fossé, qu'il a recouvert de canettes. Les autorités, après avoir appris ce crime, ont déménagé sur le site, mais ont constaté qu'une maison à deux étages avait été construite. Cependant, une plainte de personne disparue datée du 29 mars 1906 contre une fillette de trois ans nommée Maria Rosa Face a été déposée au 10e poste de police. La fille disparue n'a jamais été retrouvée. À l'âge de 10 ans, les parents de Godino ont découvert sa masturbation compulsive . Ne sachant que faire de lui, sa mère a dit à la police, ce qui lui a valu une peine d'emprisonnement de deux mois car la masturbation était illégale à l'époque. Crime en série Le 17 janvier 1912, Godino a mis le feu à un entrepôt de la rue Corrientes. Lorsqu'il a été arrêté, il a déclaré à la police: "J'aime voir les pompiers travailler. C'est agréable de voir comment ils tombent dans le feu." Le 26 janvier 1912, Arturo Laurona, 13 ans, a été retrouvé mort dans une maison abandonnée. Un mois et demi plus tard, le 7 mars 1912, Godino a mis le feu à la robe de Reyna Vainicoff, 5 ans, qui ne s'est pas rétablie et est décédée quelques jours plus tard. Fin septembre 1912, il incendia une gare. Le feu a été éteint sans dommage important. Le 8 novembre 1912, il a tenté d'étouffer Roberto Russo, 8 ans. Il a été arrêté et accusé de tentative de meurtre, mais a été libéré jusqu'au procès. Le 16 novembre 1912, il a agressé une fillette de trois ans, Carmen Ghittoni, qui a subi des blessures mineures avant qu'un policier n'intervienne et que Godino ne s'enfuie. Le 20 novembre 1912, il a kidnappé Carolina Neolener, âgée de deux ans, qui a crié et a été sauvée par un voisin. Plus tard dans le même mois, il a mis le feu à deux grands hangars, mais les incendies ont été rapidement éteints. Le 3 décembre 1912, Godino a vu le garçon de 3 ans Jesualdo Giordano jouer à l'extérieur de sa maison et lui a proposé d'acheter des bonbons pour le convaincre de l'accompagner. Fournissant quelques bonbons puis offrant plus, Godino a emmené Giordano dans une maison de campagne. Lorsqu'ils furent à l'intérieur, il le jeta au sol et essaya en vain de l'étouffer avec sa ceinture. Puis il a coupé sa ceinture et a attaché ses mains et ses jambes. Il a commencé à le battre et a envisagé de lui marteler la tête. Il a quitté la maison à la recherche d'un clou et a vu le père de Giordano, à qui il a dit qu'il ne savait pas où était l'enfant. Il est ensuite rentré dans la maison avec le clou. Il l'a enfoncé dans le côté du crâne de Giordano et a caché le cadavre. Le corps a été retrouvé par le père quelques minutes plus tard. A 20h00, Godino est allé dans la veillée et a touché le crâne où il avait fixé l'ongle. À 5 h 30 le 4 décembre 1912, il a été arrêté par la police, avouant ses crimes.
Geôle Le 4 janvier 1913, il entra dans une maison de correction , où il tenta de tuer certains des détenus. Parce que les rapports médicaux l'ont déclaré fou, le juge a mis fin à l'affaire et lui a ordonné de rester dans la maison de correction. Le 12 novembre 1915, un appel fut approuvé le condamnant à être incarcéré le 20 novembre. Le 28 mars 1923, Godino a été transféré au pénitencier d' Ushuaia . Tout au long de 1933, il passa quelque temps à l'hôpital pour avoir été battu par des détenus après avoir tué deux de leurs chats de compagnie. À partir de 1935, il est toujours malade et ne reçoit aucun visiteur jusqu'à sa mort le 15 novembre 1944 dans des circonstances suspectes.
Florencio Roque Fernández
Florencio Roque Fernández (1935–1968) était un tueur en série argentin qui, dans les années 1950, a assassiné une quinzaine de femmes dans sa ville natale de Monteros. Populairement connu comme le vampire argentin et le vampire de fenêtre , faisant référence à son modus operandi.
Florencio Fernández était mentalement malade, souffrant d'illusions et d'hallucinations qui lui faisaient croire fermement qu'il était un vampire (il était peut-être schizophrène), en plus d'avoir une attirance sexuelle pour le sang. Dès son plus jeune âge, il a commencé à vivre dans la rue parce que sa famille l'a abandonné. Au moment de son arrestation, il vivait dans une grotte adjacente à la communauté, souffrant de photophobie .
Mode opératoire Il a traqué sa victime pendant plusieurs jours, s'est assuré qu'elle était seule à la maison et profitant des sources chaudes ou des nuits d'été, lorsque les résidents laissaient leurs fenêtres ouvertes pendant la nuit, il est entré dans la maison par elles. Pendant que sa victime dormait, Fernández l'a battue. Ensuite, il mordait le corps, atteignant parfois pour disséquer la trachée et la carotide, et reflétait ainsi le stéréotype de celui-ci qu'il buvait le sang de ses victimes. Ensuite, il a laissé la victime saigner à mort, si elle n'était pas déjà décédée. Appréhension, emprisonnement et mort Fernández a été arrêté le 14 février 1960 à l'âge de 25 ans; dans l'enquête policière, que la presse a qualifiée de "pittoresque", puisqu'elle a pris la grotte où vivait le meurtrier. Fernández n'a pas résisté à l'arrestation, jusqu'à ce que la police le fasse sortir de la grotte au soleil. Il fut déclaré fou et interné dans un établissement psychiatrique, où il mourut de causes naturelles quelques années plus tard.
Marcelo Alejandro Antelo
Marcelo Alejandro Antelo (né 1988), connu sous le nom The San La Muerte tueur , est un argentin tueur en série , responsable des meurtres d'au moins quatre personnes dans le Flores quartier à Buenos Aires entre Février et Août 2010. Prétendument les engageant au nom du saint païen San La Muerte, il a été condamné à la réclusion à perpétuité pour ses crimes.
Jeunesse Marcelo Antelo, souvent appelé «Marcelito», a grandi dans une maison instable - sa grand-mère était alcoolique, ainsi que son père Alberto, également toxicomane. Sa mère l'a fréquemment battu et l'a finalement expulsé de la maison parce que le jeune Antelo était également fortement accro à la pâte de cocaïne . Abandonné par ses parents, il part vivre chez un oncle qu'il aimait beaucoup, mais l'homme mourut bientôt dans une agression, laissant le petit Antelo seul et sans défense. Entre 17 et 19 ans, il est entré dans plusieurs centres de réadaptation pour sa toxicomanie, mais tous ont échoué. À 20 ans, il a été expulsé par sa petite amie enceinte Brenda après qu'elle en ait eu assez qu'il la traite mal. Isolé et sans abri, la toxicomanie d'Antelo s'est aggravée alors qu'il parcourait le complexe de logements sociaux Rivadavia dans le quartier de Flores . Il a fini par rejoindre une église nommée "God in Force Church", où il s'est engagé dans des prières et des activités de culte pour mettre fin à ses habitudes, mais, encore une fois, il a échoué. Comme il se battait fréquemment avec des trafiquants de drogue, Antelo a fini par perdre un de ses reins lors d'une fusillade.
Crimes Le 21 février 2010, Antelo a lancé son attaque, tirant Jorge Díaz dans les jambes lors d'une tentative de vol. Díaz a survécu et Antelo a été reconnu coupable de vol et de tentative de meurtre, mais n'a été libéré que peu de temps après. Lors de ses attaques ultérieures, il a frappé la nuit, alors que la visibilité était faible et qu'il ne pouvait pas être vu. Rodrigo Ezcurra Étudiant en philosophie de 27 ans, qui a également étudié le droit et qui a déjà occupé un emploi dans un tribunal, Ezcurra était un toxicomane qui vivait avec son père Horacio à Palerme . Aspirant à changer sa vie après un long voyage à travers le Mexique , Ezcurra avait commencé une thérapie pour traiter sa dépendance deux mois avant son meurtre. Mais le 11 avril 2010, vers 2 heures du matin, il tombe sur « The Kindergarten Boys » dans une ruelle, une bande de jeunes mineurs dirigée par Antelo. Ils voulaient lui voler ses biens, et malgré avoir cédé à leurs demandes, il a été touché à la poitrine par Antelo, mourant sur le coup. Le vélo et le téléphone portable d'Ezcurra ont ensuite été volés par les auteurs, qui, à leur insu, ont été vus par plusieurs témoins et même enregistrés par un seul. Attaque contre Darío Romero Le 24 juin, Antelo a décidé d'attaquer Darío Romero, un homme qui vivait avec lui. En parcourant le quartier, il est tombé sur Romero, qui prévoyait de jouer au football dans un terrain voisin. Antelo a crié son nom et lui a immédiatement tiré dans la main avec un fusil de chasse. Romero a survécu et Antelo a été arrêté et reconnu coupable d'avoir causé des blessures graves. Encore une fois, il a été libéré après un certain temps. Jorge Mansilla Le 8 août 2010, Antelo voulait se venger de Jorge Héctor Mansilla, un ancien colocataire qui l'avait expulsé à cause de sa toxicomanie. Antelo a sonné à la porte, et quand Mansilla a répondu, il a été rapidement tué. Quelques heures plus tard, Antelo a tiré sur le mécanicien Mario Jorge Quiero, après avoir tenté de recouvrer une dette pour un arrangement raté concernant la voiture d'un ami. Quiero a cependant réussi à s'échapper, Antelo ayant abandonné l'idée de l'achever. Pablo Zaniuk et Marcelo Cabrera Quelques jours plus tard, le 15 août, Antelo croise deux amis, Pablo Zaniuk et Marcelo Cabrera. À l'aide de ses armes, il a tiré sur Zaniuk au visage avant de tuer Cabrera, lui tirant au total neuf balles dans le corps. Victimes présumées Initialement, Antelo devait être poursuivi pour un cinquième meurtre, celui d'un homme du nom de Santos Valeroso Vargas, mais n'a pas été condamné dans son cas. De plus, il est soupçonné, mais jamais inculpé, des meurtres du clochard Pablo Villa et d'un jeune homme non identifié connu simplement sous le nom de « El Diablo », qui ont tous deux été abattus et leurs corps ont ensuite été brûlés. Il est possible qu'Antelo ait également commis d'autres meurtres dans la région. Procès et condamnation Vers la fin du mois, Antelo a été capturé par la police et jeté en prison. Son procès a commencé le 6 août 2012 et bien que seules les familles des victimes étaient présentes, certains proches à l'extérieur avaient rassemblé une foule encourageant une condamnation et lançant des insultes à Antelo, distribuant même des tracts le qualifiant de meurtrier. Pendant ce temps, Antelo lui-même a nié toute responsabilité dans les meurtres, accusant la police d'avoir " posé " un pistolet 9 mm dans sa maison afin d'avoir un bouc émissaire pour les crimes non résolus. Il a également nié croire en un saint païen. Cependant, le jury n'a pas été convaincu, car il y avait beaucoup de preuves contredisant ses affirmations, y compris une expertise balistique et des témoignages. Le juge, Federico Salvá, l'a condamné à la réclusion à perpétuité, ce qui n'a suscité aucune réaction émotionnelle d'Antelo.
Bowraville murders
Les meurtres de Bowraville est le nom donné à trois décès survenus en cinq mois de septembre 1990 à février 1991 à Bowraville, en Nouvelle-Galles du Sud , en Australie . Les trois victimes étaient autochtones et les trois victimes ont disparu après des parties dans la communauté autochtone à Bowraville, dans une région connue sous le nom de Mission. Un ouvrier local, considéré par la police comme le principal suspect, a été inculpé de deux des meurtres, mais a été acquitté à l'issue de procès en 1994 et 2006. Le 13 septembre 2018, la Cour d'appel pénale de la Nouvelle-Galles du Sud a décidé que l'homme pouvait ne pas être rejugé pour les meurtres. Le 22 mars 2019, la Haute Cour d'Australie a rejeté une demande du procureur général de la Nouvelle-Galles du Sud visant à faire appel de cette décision.
Victimes La première victime, Colleen Walker, 16 ans, vivait à Sawtell et se trouvait à Bowraville, dans la région de la côte nord de la Nouvelle-Galles du Sud, pour rendre visite à des parents. Elle a été vue vivante pour la dernière fois lors d'une fête dans la communauté autochtone de The Mission, le 13 septembre 1990. Elle a été vue s'éloignant d'un groupe de personnes lors de la fête et le lendemain, sa famille a signalé à la police qu'elle avait disparu. Bien que la famille ait cru que quelque chose de terrible s'était produit, le rapport de la personne disparue n'a pas été pris au sérieux par la police; aucune équipe de recherche n'a été formée et aucune action policière officielle n'a été entreprise. Le corps de Walker n'a pas été retrouvé, bien que des articles de ses vêtements aient été retrouvés plus tard alourdis par des rochers dans la rivière Nambucca . Le 4 octobre 1990, la cousine de Walker, Evelyn Greenup, âgée de quatre ans, a disparu après une fête chez sa grand-mère. Elle a été vue pour la dernière fois par sa mère alors qu'elle était couchée pendant la nuit. Le lendemain matin, elle était partie de son lit. Sa grand-mère s'est souvenue plus tard de l'avoir entendue crier dans la nuit, mais n'y avait pas beaucoup pensé à l'époque. Le 27 avril 1991, les restes squelettiques de Greenup ont été retrouvés dans la brousse près de Congarinni Road. Une autopsie n'a pas pu déterminer de manière concluante la cause du décès, mais a noté qu'une blessure au crâne était "compatible avec une pénétration forcée par un instrument tranchant". Le 31 janvier 1991, Clinton Speedy-Duroux, 16 ans, a disparu après une fête à The Mission. Il était connu pour la dernière fois qu'il était resté avec sa petite amie dans une caravane vicomte jaune utilisée par le suspect dans la matinée du 1er février. Le 18 février, ses restes ont été découverts dans la brousse près de Congarinni Road, à environ sept kilomètres de Bowraville. Une taie d'oreiller de la caravane se trouvait sous ses vêtements.
Enquête Les meurtres ont eu lieu dans la ville rurale de Bowraville . Plusieurs similitudes entre les disparitions qui ont amené la police à croire qu'elles étaient commises par le même meurtrier: Tout s'est déroulé dans le court laps de temps de cinq mois. Les trois victimes étaient autochtones. Les autopsies des deux corps retrouvés indiquent que les deux ont subi un traumatisme crânien. Les trois victimes ont disparu après des fêtes dans la communauté autochtone de Bowraville, dans une zone connue sous le nom de Mission. Essais Le 8 avril 1991, un ouvrier local de Bowraville âgé de 25 ans a été arrêté pour le meurtre de Speedy-Duroux. Il était bien connu dans la communauté autochtone de Bowraville et assistait souvent aux fêtes à The Mission. Le 16 octobre 1991, alors qu'il était libéré sous caution en attendant son procès, l'homme a été arrêté et inculpé du meurtre de Greenup. Confronté à une affaire circonstancielle, il a été acquitté du meurtre de Speedy-Duroux par un jury de la Cour suprême le 18 février 1994, troisième anniversaire de la découverte du corps de Speedy-Duroux. Après l'acquittement, les procureurs n'ont pas procédé au procès contre lui pour le meurtre de Greenup. En 1997, le commissaire de police de la Nouvelle-Galles du Sud , Peter Ryan, a mis sur pied le groupe de travail Ancud pour poursuivre l'enquête sur les meurtres non résolus. Le 9 février 2004, le coroner de NSW John Abernethy a rouvert les enquêtes sur la mort de Greenup et la mort présumée de Walker. Le 10 septembre 2004, il a recommandé que l'homme soit à nouveau inculpé du meurtre de Greenup. En conséquence, il a été de nouveau inculpé, cette fois pour le meurtre de Greenup. Le procès s'est déroulé en février 2006. L'accusation a produit deux prétendus aveux qu'il avait faits, mais il a été acquitté le 3 mars 2006. Conséquences Les meurtres et le fait que personne n'a été reconnu coupable de ces crimes sont une source de douleur et d'amertume dans la communauté autochtone de Bowraville. Après l'acquittement en 2006, le ministre de la police de Nouvelle-Galles du Sud a porté la récompense à 250 000 $ pour les informations ayant conduit à la condamnation des personnes responsables des meurtres. La récompense précédente était de 100 000 $, et ce n'était que pour les informations liées à la disparition de Walker. En 2006, des modifications ont été apportées à la législation sur la double incrimination en Nouvelle-Galles du Sud, ouvrant la voie au nouveau procès de toute personne acquittée d'une peine à perpétuité si «des preuves nouvelles et convaincantes» étaient découvertes. En octobre 2011, la famille de Walker a trouvé des os dans la brousse près de Macksville, en Nouvelle-Galles du Sud , mais des tests médico-légaux ont indiqué qu'il s'agissait de restes d'animaux. Demande de nouveau procès En 2016, l'inspecteur-détective à la tête de l'enquête a présenté une soumission au procureur général de la Nouvelle-Galles du Sud pour demander un nouveau procès sur la base de nouvelles preuves. Le même mois, le suspect a déclaré qu'il ne s'opposait pas nécessairement à un nouveau procès. En mai, les familles des victimes et leurs partisans ont organisé une marche de protestation appelant à un changement législatif du bâtiment du Parlement de Nouvelle-Galles du Sud. Le 9 février 2017, la police a déposé une accusation de meurtre contre le suspect et le procureur général de la Nouvelle-Galles du Sud a saisi la Cour d'appel pénale de la Nouvelle-Galles du Sud pour un nouveau procès. La requête du procureur général a été entendue par la cour d'appel pénale à compter du 29 novembre 2017. Le procureur général a dû identifier des éléments de preuve "nouveaux et convaincants" pour faire annuler l'acquittement de l'homme et obtenir une ordonnance de réexamen. Le 13 septembre 2018, le tribunal a rejeté la demande, concluant qu'aucune des preuves n'était "nouvelle et convaincante" et qu'il ne pouvait donc pas être rejugé pour les meurtres. Le tribunal a conclu que la plupart des éléments de preuve invoqués n'étaient pas «frais», car ils pouvaient être présentés ou présentés avant le procès antérieur de l'homme pour le meurtre de Greenup. Le 22 mars 2019, la Haute Cour d'Australie a rejeté une demande d' autorisation spéciale du procureur général de faire appel de la décision de la Court of Criminal Appeal, concluant qu'il n'y avait aucune raison de douter du bien-fondé de cette décision. La campagne pour un nouveau procès se poursuit. Médias En 2013, les familles des victimes ont travaillé avec la cinéaste d'Eualeyai / Kamillaroi Larissa Behrendt sur Innocence Betrayed , un film documentaire détaillant l'expérience des familles et des communautés autochtones en quête de justice. Le film a été sélectionné pour un Walkley Award et un Australian Human Rights Award en 2014 et a remporté un UTS Human Rights Award . Dan Box, journaliste spécialisé dans The Australian , a animé un podcast sur la criminalité australienne en 5 parties qui détaille les meurtres, publié en mai 2016, appelé Bowraville . Box a également publié un livre du même nom en juillet 2019.
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
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