" Sir, Sir, des gilets jaunes ! "
Le 07 décembre 2018 à 16:15:09 Elfamosoratata a écrit :
Avez vous déja vu, Aragorn, le palais blanc de l'Elysée, scintillant comme une flèche de nacre et d'argent, sa bannière flottante dans la brise du matin ? Avez-vous été rappelé chez vous, par le son retentissant des sières du premier mercredi du mois ?- J'ai vu le palais blanc.. il y a longtemps...
- Un jour, nos chemins nous y mèneront, et le porte parole pourra clamer très haut : « les seigneurs du prolétariat sont de retour ».
" Ils attendront son retour de la Picardie... mais il ne reviendra pas. "
Le 07 décembre 2018 à 15:01:32 Youtai a écrit :
Fils de l'Alsace et du Nord-Pas-de-Calais, mes frères ! Je lis dans vos yeux la même peur qui pourrait saisir mon coeur. Un jour peut venir où le courage des Gilets jaunes faillira, où nous abandonnerons nos amis et briserons tous liens, mais ce jour n'est pas arrivé. Ce serait l'heure des taxes, et des boutiques fracassées lorsque l’âge des hommes s'effondrera. Mais ce jour n'est pas arrivé ! Aujourd'hui, nous combattrons ! Pour tout ce qui est (trop) cher sur cette bonne terre, je vous ordonne de tenir, prolo de l'est !
Qui pour prendre un mégaphone et chauffer les manifestants avec ce discours avant la charge des CRS?
Le 07 décembre 2018 à 15:44:23 WhiteMustine a écrit :
-Ces arbres étaient mes amis-Macron, ce n'est pas digne d'un gaucho
-Wallah, venez mes petits amis , les rebeus vont entrer en guerre, il est probable que nous courrions a notre perte , la dernière marche des arbres
Putain de BORDEL DE MERDE JAY JAMAIS AUTANT HURLE QUE MAINTENANT
Je sais.. c'est injuste. C'est comme dans les grandes histoires, monsieur Prolon, celles qui importaient vraiment, celles où il y avait goulags et ténèbres. Parfois, on ne voulait pas connaître la fin.. car elle ne pouvait pas être heureuse. ( )
Comment la France pouvait-elle redevenir comme elle était après tout ce qui s'y était passé ? ( )... *au loin* VICTOIIIIRE ! A NOUS LA VICTOIIIIIRE !
Mais, en fin de compte, elle ne fait que passer cette tyrannie, même les ténèbres doivent passer ! ( )...
Une république nouvelle viendra et, lorsque les gilets jaunes brilleront, elle n'en sera que plus éclatant. ( )... *
C'était ces histoires dont on se souvenait et qui signifiaient tellement même lorsqu'on était trop prolétaires pour comprendre. Et je crois, monsieur Prolon, que je comprends... Je sais maintenant. Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner mais ils ne le faisaient pas, ils continuaient leur route parce qu'ils avaient foi en quelque chose.
Le 07 décembre 2018 à 15:56:42 MecHonnete a écrit :
Tout commença lorsque les grandes taxes furent forgées. Trois furent données aux CSP+, immortels, les plus sages et les plus respectables de tous les êtres, sept aux seigneurs fonctionnaires, grands branleurs et ponctionneurs de la République, et neuf, neuf taxes furent données à la race des prolos qui par dessus tout désiraient consommer sans travailler [...] Mais ils furent tous dupés, car une autre taxe fut forgée sur les terres de Luxembourg, dans les flammes du Parlement Européen. Martin Schulz le seigneur des ténèbres fiscales forgea en secret une maître taxe pour gouverner toutes les autres...
Bordel amerde
Le 07 décembre 2018 à 16:21:20 Biscuitage19 a écrit :
Je n'y arriverais pas Sam..Je sais.. c'est injuste. C'est comme dans les grandes histoires, monsieur Prolon, celles qui importaient vraiment, celles où il y avait goulags et ténèbres. Parfois, on ne voulait pas connaître la fin.. car elle ne pouvait pas être heureuse. ( )
Comment la France pouvait-elle redevenir comme elle était après tout ce qui s'y était passé ? ( )... *au loin* VICTOIIIIRE ! A NOUS LA VICTOIIIIIRE !
Mais, en fin de compte, elle ne fait que passer cette tyrannie, même les ténèbres doivent passer ! ( )...
Une république nouvelle viendra et, lorsque les gilets jaunes brilleront, elle n'en sera que plus éclatant. ( )... *C'était ces histoires dont on se souvenait et qui signifiaient tellement même lorsqu'on était trop prolétaires pour comprendre. Et je crois, monsieur Prolon, que je comprends... Je sais maintenant. Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner mais ils ne le faisaient pas, ils continuaient leur route parce qu'ils avaient foi en quelque chose.
Le 07 décembre 2018 à 16:20:34 DaftPunk2077 a écrit :
Le 07 décembre 2018 à 15:44:23 WhiteMustine a écrit :
-Ces arbres étaient mes amis-Macron, ce n'est pas digne d'un gaucho
-Wallah, venez mes petits amis , les rebeus vont entrer en guerre, il est probable que nous courrions a notre perte , la dernière marche des arbres
Putain de BORDEL DE MERDE JAY JAMAIS AUTANT HURLE QUE MAINTENANT
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- Membalekouye
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- 7 décembre 2018 à 14:52:26
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