[Risitas] Un khey au lycée

Le 30 décembre 2018 à 19:28:36 Canabistouille a écrit :

Le 30 décembre 2018 à 19:33:32 Incoming_Ban a écrit :

Le 30 décembre 2018 à 19:28:36 Canabistouille a écrit :

T'es srx ? tu viens et tu postes juste ça ?

Le 30 décembre 2018 à 19:36:29 Ecnonem a écrit :

Le 30 décembre 2018 à 19:28:36 Canabistouille a écrit :

Sweet dans 5 minutes les frustrés

-Partie XII-

Le moment venu était arrivé.

Le moment que nous attendions tous.

Ce samedi 11 février 2017, qui allait me transformer à jamais.

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Nous nous donnions rendez vous vers 18h avec Sophie comme prévu dans un petit bar du 15eme arrondissement, très sympa.

Nos retrouvailles m’angoissaient davantage que lors de notre premier rendez-vous, trois mois auparavant.
J’appréhendais un peu, en essayant tout de même de me rassurer en me disant que si elle m’avait précisé « qu’elle avait l’appartement pour elle », c’est qu’il y avait bien une raison à cela.

J’avais bien évidemment prévu pas une mais deux capotes, hors de question de recommencer l’irréparable, qui avait causé un des plus gros malaises de ma vie et qui avait engendré une frustration désastreuse.
J’ai vraiment mal vécu cet « échec ».
Faire sa première fois était pour moi l’étape transitoire entre l’adolescence et le monde adulte.

Je sentais en plus que Sophie était vraiment la bonne personne, l'élue de mon coeur, même si je ne l’avais vu que deux fois (la première fois sur la plage, et une deuxième fois lors de notre rendez-vous en Novembre, où je n’avais pas de quoi me protéger), nous avions beaucoup communiqué d’Aout a Novembre.
Nous avions ensuite eu une phase d’éloignement où je pensais que tout était fini, jusqu’à ce message au Nouvel An.

C’était une fille élégante, charmante et jolie (7,5/10, mais totalement mon style de fille).

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J’arrivais avant elle au bar. Il y avait peu de monde, j’étais assis seul à une table.

Un groupe de jeunes étudiants attablé sur la table d'à côté me fixait.

Je commençais à me sentir mal, une multitude de questions jaillirent en moi.

Et si elle m’avait posé un lapin?

Je m’en remettrai difficilement, j’attendais ce jour comme un enfant attend Noël, je me sentais enfin prêt à planter ma carotte.

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Après quelques minutes de panique à ruminer, je reçu un message.

C’était Sophie.

« Désolé j’ai eu un empêchement »

Bordel, ça y est, c'est terminé avant d'avoir commencé. Je finirai mage noir de toute façon, telle est ma destinée.

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« J’arrive dans 5 minutes ».

Doux Jesus, ça y est, la machine était lancée.

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Le groupe d’étudiant qui me fixait toujours me mettait vraiment mal à l’aise, je sentais des regards moqueurs.

Je me faisais peut être des films après tout...

C’est alors que je la vis arriver au loin.

Elle était MA-GNI-FI-QUE.

Sa tenue vestimentaire ressemblait à peu près à ça:

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Elle entra dans le bar, quelque peu essoufflée et me regarda en souriant.
En arrivant à ma table elle rigola; avant de s’exclamer:

-Pourquoi t’as un peigne dans les cheveux? C'est une nouvelle mode?

-Pa-pardon?

-T'as un peigne coincé dans tes cheveux, c'est normal?

En me recoiffant, ma main s'arrêta en effet sur un objet en plastique...

J’avais fait le trajet avec un peigne dans les cheveux depuis chez moi sans m’en rendre compte...
Mes cheveux sont des épis de maïs, ce qui fait que j’ai besoin de me peigner assez longuement pour ressembler à quelque chose, c’est un bordel pas possible la haut.
Le peigne était emmêlé entre deux épis.

Sûrement un des trucs les plus improbables qui m’est arrivé jusqu'à maintenant (vous imaginez bien la scène).

Je comprenais enfin pourquoi les étudiants se moquaient de moi depuis une bonne dizaine de minutes...

Passons cet épisode rocambolesque.
Elle s’asseyait en face de moi, et commanda à boire.
On discuta de tout et de rien, mais cette fois c’était intéressant. J’arrivai a m’imprégner dans la discussion, je buvais ses paroles. Je me plongeai dans son regard, il n’y avait pas de blancs dans la discussion, quand je voyais qu’elle s’essoufflait (la discussion hein), je changeai de sujet.

Elle me disait que ses études lui plaisait mais sans plus, elle majorait certaines matières; mais pensai se réorienter l’année suivante, en psycho...

Je me confiais sur mes craintes des études supérieures, elle qui y était déjà (pour rappel, on a le même âge, mais elle a sauté une classe).

La discussion devint de plus en plus torride au fur et à mesure que la nuit tombait. Je faisais des sous-entendus, tandis qu’elle me faisait du pied sous la table. En sentant l’excitation grandissante, je décide de prendre les devants:

-On sort dehors?

-Une petite balade s’impose?

-On est pas loin de la Seine, pourquoi pas.

Je paye l’addition (autant vous dire que je me souviens plutôt bien de la note) en bon gentleman que je suis.

Je savais qu’il y avait une récompense au bout du chemin, je voulais que tout soit parfait.

On marche quelques minutes dans le froid hivernal, avant de finalement s’asseoir sur un banc, non loin de la Seine.

Cette fois-ci, on ne dit rien, le silence prit le relais.

Je posai mon bras derrière elle, tandis qu’elle mit sa tête sur mon épaule.

Je me sens bien, je ressens à nouveau cette connexion presque magnétique, comme au premier jour, sur cette plage.

On forme un petit couple, bien que rien ne soit officialisé.

On se regarde un long moment, avant de s’embrasser, une fois, deux fois, jusqu’à se rouler de belles grosses pelles bien passionnelles.

La tension monte.

-on rentre à l’appartement?

-

...

On se dirige alors, main dans la main vers l’appartement vide de son oncle, où nous avions, il y a quelques mois, failli franchir le cap.

Nous y arrivions enfin, il devait être 21h.

Je me rappelle parfaitement de cet endroit, chaque tableau, tapis, et même le film Titanic m’avait hanté un petit moment...

On a mangé des pâtes ce soir-là, et elle a eu la bonne idée, en fouillant dans les tiroirs d’y trouver un colorant alimentaire bleu turquoise.
Nous avons donc déguster des pâtes bleues devant la télé.
On a regardé « Black Swan » avec Nathalie Portman (ma 10/10 ultime).

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On était sous la même couverture grise que la dernière fois, avec une bouteille de Jack posée sur la table basse.
Sur les conseils de Nico, expert dans la matière, j’avais un peu bu pour me décontracter, mais sans excès, de manière à ne pas avoir de problème avec mon pont-levis lors de l’acte.

Certaines scènes du film étaient « creepy », Sophie en profita pour bien se coller à moi. J’avais à nouveau mon bras derrière son dos.
Au fur et à mesure, je baissai ma main vers son fessier.

Une fois l’objectif atteint; je commence à le tâter comme il faut, je découvre peu à peu son corps.

Elle est a ma gauche, les jambes posées au travers des miennes, sa tête sur mon torse.
J’ai mon bras gauche sur son c*l tandis que mon bras droit caresse ses cheveux bruns légèrement ondulés.
Elle a des mains baladeuses, et descend peu à peu vers ma troisième jambe qui commence peu à peu à se mettre au garde à vous.

La tension sexuelle est à son paroxysme.

Je commence à l’embrasser, tout en continuant de tâter son fessier.

Elle se met sur moi, avec ses deux mains sur ma nuque, tout en continuant de m’embrasser.
C'est si beau...

Je sens qu’il est temps de passer aux préliminaires.

Elle prend les devants, en descendant sa main sur mon entrejambe.

Elle ouvre la braguette de mon jean, et me l’enlève, je me retrouve en caleçon.

Elle m’embrasse de nouveau, puis me regarde droit dans les yeux.

Je lis dans son regard qu’elle attend mon approbation pour passer aux choses sérieuses, on rentre dans une situation de soumis/dominant.
Ça m’excite d’autant plus.

Je répond par un hochement de tête accompagné d’un sourire taquin.

Elle m’enlève cette fois-ci mon caleçon, et contemple ma verge.
Elle alterne son regard entre ma troisième jambe et mes yeux.

C’est assez gênant comme moment m, c’est la première fois que je me met a nu devant quelqu’un.

Elle se met soudain au travail.

Bordel, c’est incroyable.

...

Sincèrement, je trouve que ce n’est pas sûr-côté du tout, c’était un pur kiffe.
Je voyais qu’elle n’était pas spécialement à l’aise, c’était sa première fois aussi (on en avait longtemps parlé), mais voulait vraiment me combler, elle y mettait du coeur, et ça se ressentait.
Elle y mettait corps et âme et manipulait si bien mon engin que je failli lâcher la sauce au bout de deux minutes.

J’étais le roi du monde.

Elle continua un moment jusqu’à ce que je lui dise:

-Bon, on échange?

Elle lâcha un petit sourire affirmatif.

Je n’avais jamais fait de cuni, ma seule source d’expérience était le porno ainsi qu’une série de tuto rocambolesques trouvés sur le web (jvc notamment, car oui, j’ai usé des conseils de ce forum connu pour être peuplé par de purs alphas bien expérimentés)

Je descends progressivement et lui enlève sa jupe.

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Surprise, elle portait une culotte noire à dentelle.

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Bordel j’étais excité comme un poux, j'en pouvais plus.

Je me mets à l’acte.

C’est humide, mais je ne ressens pas d’odeur particulière contrairement aux nombreux témoignages de kheys.

J’essaye de naviguer là-dedans avec ma langue, tout en essayant de faire des tours avec.

Elle me tient la tête avec ses deux mains.

C’est clairement elle qui me domine, je suis rentré dans son petit jeux.

Je lève les yeux de temps en temps, elle a l’air d’apprécier le moment.

Ça commence à faire long, mais son plaisir passe avant le mien, n’oubliez pas que je suis son petit soumis, c’est elle qui mène la danse.

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Elle me fait enfin signe, et j’arrête.

C’est alors que je regarde mon engin, toujours bien droit, sauf qu’il est rougeâtre.

Bordel je suis en train de saigner?!

-Ah, c’est mon rouge à lèvres ça!

Bordel, j'ai bien cru qu'elle avait touché une veine et que j'étais en train de perdre mon sang...

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Ça me mît encore plus la trique.

Elle me regarde longtemps dans les yeux, toujours avec un regard coquin qui me faisait voir des étoiles.

-T’es sorti couvert cette fois?

-J’en ai même deux.

-De toute façon j’ai une boîte entière qui t’attendait dans la salle de bain.

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Le 30 décembre 2018 à 19:42:32 Canabistouille a écrit :

Le 30 décembre 2018 à 19:33:32 Incoming_Ban a écrit :

Le 30 décembre 2018 à 19:28:36 Canabistouille a écrit :

T'es srx ? tu viens et tu postes juste ça ?

Le 30 décembre 2018 à 19:36:29 Ecnonem a écrit :

Le 30 décembre 2018 à 19:28:36 Canabistouille a écrit :

Sweet dans 5 minutes les frustrés

"Il y a 7 minutes"

-SWEET-

J’enfile la capote sacrée que Nico m’avait donné trois mois plus tôt, la capote qui m’avait accompagné tous les jours, toujours prête pour le grand jour.

Enfin, elle allait faire son baptême.

On change de pièce, et nous nous retrouvons sur un lit double (sûrement celui de son oncle d’ailleurs). Elle me tire sur le lit, toute excitée.
Elle enlève son haut, laissant apparaître une paire de seins, pas trop petit, ni trop grosse, juste à mon goût.
J'ai jamais eu aussi chaud de ma vie.

C’est un élément qui m’avait longtemps fait peur, j’ai été sexuellement éduqué au porno comme toute ma génération, qui avons eu accès à ces contenus dès le début de notre adolescence. J’avais donc essayé au maximum de faire la différence entre ce que je voyais à travers l’écran, des poupées toutes plastifiés, mais qui m’avaient accompagné toute mon adolescence et la réalité.
J’avais peur d’être déçu par la réalité.
Mais non, le spectacle auquel j’assistais me plaisait particulièrement!

Je suis sur elle, en position missionnaire, sur le lit double.

On se regarde longuement.

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Ça y est, l’accomplissement d’une adolescence est sur le point d’arriver.

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Dans quelques secondes, j’allais devenir un homme, un vrai.

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Rien ne pouvait cette fois être un obstacle entre nous deux.

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« C’est parti »

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J’insère mon engin dans le sien.

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BORDEL, ÇA Y EST.

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Ce sentiment de puissance est indescriptible.

C’est un réel accomplissement dans ma vie, une étape franchie, j'étais différent d'il y a quelques secondes.

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Je commence par des vas et viens timides, avant de finalement continuer avec des coups de reins de plus en plus accentués et précis, en l'honneur du bon Manu.
Elle me met clairement en confiance, je ne la remercierait jamais assez, sachant que c’était sa première fois aussi, je ne sais d’où elle tenait cette aisance.

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On change de position à chaque fois que je me sens venir.

Elle est toujours dans une position dominante, mais je sens qu’elle serait pas contre que je me « rebelle ».
Alors qu’elle est encore au-dessus de moi, je la retourne énergiquement, sans prévenir.

Elle lâche un petit gémissement.

Elle se met d’elle-même en position levrette, ce ui me permet de contempler son magnifique fessier.

Range ta b*te Célestin, je te vois derrière ton écran

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Doux Jesus c’est si beau.

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Rebelote, j’insère de nouveau mon engin.

Bordel c’est incroyablement bon.

Je suis tout à fait confiant sur ce que je fais. L’adrénaline prend le dessus, je ne me contrôle plus entièrement.

Je lui prends les cheveux et les tire légèrement en arrière.

Elle me stoppe au bout d'un moment, ça lui fait un peu mal.
Je suis gêné, mes pulsions avaient pris le dessus, j’avais eu un élan d’animosité.

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On s’embrasse de nouveau.

Elle me couche sur le lit, et revient au-dessus de moi, en me chevauchant.

Elle est littéralement allongée sur moi, en me mordant le cou.

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S’en est trop, je commence à monter.

Bordel.

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Je lâche le fluide divin, après une bonne dizaine de minutes de joie.

C’est incroyable comme sensation.

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Je me rappelle m'être dit pendant l'orgasme: "Après avoir connu ça, je peux crever, j'en ai plus rien à f*utre".

C'est le cas de le dire.
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Elle me regarde, satisfaite.

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On s’embrasse un long moment, elle venait de combler tous mes manques, toutes mes angoisses avaient disparus, j’étais libre et serein, mais surtout satisfait et j'avais un sentiment d'accomplissement. Je méritais ce qu'il venait de m'arriver, la gente féminine m'avait fait beaucoup de mal, mes efforts et mes souffrances étaient enfin récompensés.

La première fois est très souvent la pire, mais pour moi, ce fut la meilleure partie de jambe en l’air de ma vie.

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On s’allonge sur le lit, l’un à côté de l’autre, je ressens son souffle chaud sur ma peau, j'avais besoin de cette proximité corporelle.

On refait l’amour deux fois, moins intensément, avant que la fatigue prenne le dessus.
C’était épuisant mine de rien...

Elle n’a pas jouit ce soir-la, mais m’assure avoir pris son pied, ce qui me rassura. Je m'en étais pas trop mal sorti.

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C'est la première fois que je me réveillait sobre avec une fille à mes côtés, dans le même lit. Je la regardai, alors qu'elle dormait toujours. J'avais clairement visé haut. C'était une bombe cette fille.

On mangea le petit déjeuner à l'anglaise, œufs et bacon au menu, cuisinés par mes soins.

Cependant, il était temps de se séparer.
Je la quitte le matin, par un long baiser fougueux.
Elle est si spéciale cette fille, avec qui j’avais partagé la plus belle nuit de la vie du 11 au 12 février 2017...

Je descendis, tout joyeux, avec cette musique dans les oreilles: https://www.youtube.com/watch?v=7JJfJgyHYwU
Petite musique de fragile qui me rappelle que de bons souvenirs

Me voilà comblé.

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J’avais un sentiment de réussite, et j’avais acquis une confiance en soi assez remarquable, j’avais presque un sentiment de supériorité.

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J'avais franchi le cap.

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Me voici devenu homme.

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Petit Cana est devenu Grand.

ma troisième jambe qui commence peu à peu à se mettre au garde à vous.

Putain le sticker qui m'a fait hurler de rire

J'écoute toujours de la musique en lisant des Risitas, et à la phrase "J’insère mon engin dans le sien", il y a cette musique qui s'est lancée : https://www.youtube.com/watch?v=x4VTwWz2tj4
La synchronisation était super classe bordel

Félicitations mon petit grand Cana

Enfin ! Super sweet chef

J'avoue avoir eu une demi molle