[Risitas] Un khey au lycée
Le 20 décembre 2018 à 19:05:53 shadern a écrit :
Le 19 décembre 2018 à 21:01:07 c_de_gaulle a écrit :
Le 19 décembre 2018 à 20:50:05 datgus a écrit :
Le 19 décembre 2018 à 20:15:39 Canabistouille a écrit :
Le 19 décembre 2018 à 20:04:56 Kermitissou a écrit :
À quand la sweet ?Content que tu sois de retour kheyou
Je suis en pleine période d’examens, c’est le bordel dans ma tête, j’espère poster vendredi.
Allez plutôt voir le Risitas de Sasukhey, il a refait surface
Ou stp?
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-56873438-1-0-1-0-risitas-un-pucix-deter-face-aux-bgs-yes-life.htm
Par contre t'en as pour un moment à lireTu t'y es remis d'ailleurs khey ? LEs dernières sweets valent clairement le détour !
Nope mais je l'ai re fav pour quand je me ferais chier
Le 21 décembre 2018 à 14:16:23 Jaredgoff a écrit :
sweet avant fermeture du forum
C'est fake la fermeture du forumm, ça fait 10 ans qu'ils en parlent
-Partie XI-
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Je reçu dans la foulée du décompte un flot de messages identiques “Bonne année!”.
''Parmis ces messages, il y en avait un qui venait de Sophie.
Je l'ouvris en premier:
-Bonne Année Arthur! Je te souhaite de réussir ce que tu entreprends cette année, en espérant que tu puisses tenir tes résolutions!
Bon bah c’était déjà ça, elle n’avait pas totalement tourné la page.
-PS: Je serai sur Paris en début février. J’ai l’appartement pour moi.
Une belle année qui se profile.
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Le message de Sophie m’avait redonné espoir.
La mention “J’ai l’appartement pour moi” voulait tout dire.
J’allais franchir le cap, à une date fixée.
Il me restait à compter les jours, rien ne pouvait se mettre dans mon chemin vers le dépucelage planifié mi-février.
Cependant, il me restait une bonne quarantaine de jours avant de me dépuceler.
...
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Mi-Janvier, je faisais mon premier concert de musique avec mon petit groupe de musique. On faisait la première partie d’un autre groupe de la ville, mais c’était déjà impressionnant de monter sur scène devant quelques centaines de personnes, sur la place de la Mairie!
Je fais des trucs assez sympa, on s’en sort bien.
C’est la dernière musique revisitée en jazz qu’on a joué ce soir-là: https://www.youtube.com/watch?v=6oQnDbhrCgU
Puis à la fin, au dernier morceau, j’ai une vision.
La dernière fois que j’étais allé voir un concert sur cette même place de la Mairie, c’était pour voir Camille.
Elle qui n’était plus de notre monde depuis un an…
Je commençai à avoir chaud, mais j’essayai de rester concentré au maximum, c’était le dernier morceau, il fallait finir en beauté.
Il y avait dans la foule mes parents, la bande , mes potes de lycée, mais aussi des gens du lycée.
Même mon prof de Physique (celui du théâtre) qui était au bar et qui nous regardait du coin de l’œil.
Je ne pouvais pas me foirer. J’ai donc concentré toute la force qu’il me rester pour ne pas perdre le rythme, faire ce que j’avais à faire, et le faire bien, jusqu’au bout.
Je fini par un coup de cymbale (crash). Grand silence.
Le temps se fige
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Puis les applaudissement arrivent. Cette fierté dans les yeux des proches, c’est une des meilleures choses que j’ai pu expérimenté.
Voir mon père gueuler dans la foule “Ça c’est mon fils!”...
On fini cette soirée en beauté en se bourrant à la bière (avec mes potes hein, pas mes parents). Il me semble avoir vomi sur une boîte aux lettres ce soir-là d’ailleurs, je m’en souviens plus bien…
...
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Bref, après ce début d’année mouvementé, ma vie redevint monotone et fade.
Je ne sortais même plus le samedi soir, mon seule créneau disponible de la semaine, par flemme et fatigue, j'avais un rythme de vie assez intense, je manquais de sommeil.
Je réalisai que chaque jour qui passait me rapprochait du moment fatidique redouté par tous les lycéens: le choix de l’avenir.
Malgré le fait que j’ai fait un bac scientifique, je n’ai jamais été intéressé par les sciences “dures”.
J’étais passionné par l’histoire et l’anglais essentiellement, ce qui correspondait plutôt bien à Sciences Po, d’où ma préparation au concours.
Le concours était en février. Je ne me prenais pas trop la tête avec ça, je partais déjà sur un échec.
J’avais bien conscience que Sciences Po était une des écoles les plus prestigieuses et inaccessibles qu’il puisse exister. Vous imaginez bien que pour le lycéen lambda que j’étais, je n’avais qu’une chance minime d’intégrer cet institut "élitiste".
Je me suis longtemps dit qu’il fallait que je me donne à fond et que je pouvais y arriver. Mais d’un autre côté, je ne ne voulais pas mettre ma scolarité en péril, au risque d’avoir un dossier vraiment pas fou.
J’ai donc préféré trouver le juste milieu et ne pas y aller en “all-in”, espérer un coup de chance au concours.
...
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Ce mois de Janvier fut marqué par un évènement (en dehors du concert).
On avait un cours de Section Européenne qui avait sauté, ce qui nous faisait un trou dans notre emploi du temps de 4h (avec l’heure et demi laissée par la cantine).
On décida donc d’aller au cinéma avec Pierre et Jeanne voir le film “La Mécanique de l'ombre”.
Bref, tout se passe bien, on mange au McDo, avant de se rediriger vers le lycée pour reprendre les cours de l’après-midi.
C’est alors, qu’à environ 3 minutes de marche du lycée, une bande de 8 types débarquent en face.
Je n’y fais pas attention au début, jusqu’à ce qu’on arrive à leur hauteur.
Un des huit vient direct au contact avec Pierre, le premier sur son chemin.
Je ne comprenais pas ce qu’il se passait.
Ils se sont mis en ligne, en nous bloquant la route, ils nous encerclèrent ensuite, pour pas qu’on se taille en courant. Un des huit avait une batte. Ils avaient à peu près notre âge, peut être un an de moins, mais 3 fois plus que nous...
-Bordel, il se passe quoi là?!
J’avais pas réalisé qu’il me parlait.
Il vient alors au corps à corps, pour me fouiller les poches.
Par réflexe, je le repousse, hors de question qu’un inconnu me touche comme ça.
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-EH TU VEUX QUE JE T’ENC*LE EN FAIT!
-Nan sans façon, laissez nous passer maintenant.
(Ma voix tremblait en vrai).
-VIENS EN 1v1, JE TE SOULÈVE TA M*RE.
Je pense que j’avais largement mes chances de le mettre à mes pieds, mais j’étais tellement surpris par ce qu’il se passait, que je n’osais pas réagir.
En plus d’être en 2v8 (Jeanne n’allait pas se battre), un des leur avait une batte, et on était jamais à l’abri d’une lame cachée dans une poche. J’avais lu tellement de faits divers là-dessus que je ne voulais pas prendre le risque de mettre ma vie en péril par honneur ou je ne sais quel autre motif.
J’avais heureusement dans ma poche mon vieux téléphone LG l80 qui me servait à l’époque de MP3.
Mon téléphone, qui avait déjà un peu plus de valeur était dans la poche intérieure de mon blouson.
Je leur montre donc mon MP3, et ils me lâchent un rire de mépris, comme si j’avais sorti une antiquité.
Cette humiliation.
Il s’attendait à voir des Iphones à foison, et me voilà à leur présenter sur un plateau d’argent un vieux téléphone (avec en bonus un écran bien cassé).
Ils prennent de force le téléphone de Pierre qui commençait à sérieusement s’agiter.
-Je vais vous déglinguer bordel!
-Toi t’as de la chance qu’on frappe pas les filles! On a de l’honneur!
-De l’honneur! Vous venez racketter à 8 bordel! Allez à l’école dans votre vie!
-Merci pour ton téléphone pauvre merde!
Ils partent en rigolant. J’ai jamais été aussi énervé de ma vie.
Pierre avait lui aussi envie de tout casser. C’était un mélange de frustration et de haine. On s’était fait humilier comme jamais auparavant.
-On peut pas laisser faire ça gros!
-Ouais, ils vont sûrement s’en prendre à d’autre derrière nous…
-Faut prévenir les autres et agir. Hors de question que je rentre sans mon téléphone ce soir!
-Et tu comptes faire comment pour récupérer ton téléphone gros?
-Par la force. On monte une équipe et on va régler ça comme il se doit.
-SWEET 1-
On rentre donc de lycée en courant, à la recherche de gars déter pour faire justice. Le temps est contre nous.
Les premiers à se joindre à l’équipe sont Brice et Nico, toujours prêts à se battre, tels de purs alphas.
Paul est un peu en retrait, il n’est pas trop dans ce délire là.
Je croise Brandon et deux autres potes chances dans les couloirs
-Eh gros, t’as pas l’air bien, il se passe quoi?
-On vient de se faire racketter par huit mecs, ils sont pas loin, on va régler ça.
Il échange un bref regard à ses potes.
Ça m’étonnait assez, Brandon était certes physiquement impressionnant, il avait un cœur de bisounours. Mais je pense que son esprit de justice passait avant tout. C’était un mec droit dans ses baskets.
On était donc 7, Brice, Nico, Pierre, Brandon, ses deux potes et moi.
A la grille, Roméo et quelques-uns de ses potes dont Alfie (le type du manoir en Seconde) nous virent ressortir pour aller rattraper la bande qui nous avait racketter.
-Eh vous faites quoi les puceaux? Ça sèche les cours?
-Vas ch*er, on va régler des comptes.
Ils nous regardent, intrigués
-Vous allez vous tapper avec d’autres types? Genre sérieusement?
.
On continue à se diriger, toujours à 7 vers la rue où nous nous étions fait racketter quelques minutes auparavant.
-Bon vas-y, on vient assister au spectacle.
...
On se retrouve donc, une petite dizaine, à essayer de rattraper les 8 gars qui nous avait agressé. Un certaine “solidarité intralycéenne” se créé.
Il n’y avait qu’une rue suffisamment longue, on ne pouvait pas les louper.
(Cliquez pour plus de précision: )
.
On se sépara en deux groupes, un qui les contourne, et l’autre groupe qui les suis par derrière. Un peu comme la technique de chasse qu'utilisent les lions.
Je suis le groupe qui les suis, avec Nico, Brandon et ses deux potes.
L’autre groupe est composé de Brice, Pierre et de Roméo avec ses potes ( quatre il me semble), doivent aller plus vite pour les contourner.
On voit un mec en seconde (que je connaissais de vue), les larmes aux yeux, il vient de se faire voler son téléphone lui aussi.
Bordel, j’ai jamais eu autant la rage
-T’inquiète pas, on va régler ça.
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On commence à courir en direction des 8 mecs, qu’on aperçoit au loin.
Bingo.
Le plan de base est qu’on les interpelle par derrière, qu'on les attirent vers nous, et que le groupe de Pierre intervienne par derrière, pour les empêcher de fuir.
En 8 contre 5, ils risquent de toujours être en confiance, mais ils ne s’attendent pas à voir le groupe de Pierre débarquer derrière eux. On les encerclerait, et reprendrons nos téléphones de force s’il le faut (je doute qu’ils veuillent en découdre alors qu’ils sont en infériorité numérique).
Le plan se passe plus ou moins comme prévu, mon groupe arrive à la hauteur des 8 gars.
Ils se retournent
C’est le mec virulent qui reprend la parole.
-Tu veux quoi encore toi sale m*rde?!
Il se dirige vers moi, ses potes suivent derrière.
Il est presque au corps à corps.
Il colle son front contre le mien, et écarte les bras, pour "me monter sa supériorité".
Cette fois, s'en est trop, j'allais pas me faire humilier une deuxième fois, devant mes potes en plus.
Je déverse, contre toute attente, toute ma rage et ma frustration accumulées, dans un bon coup poing dans son abdomen, sans prévenir.
Je suis moi-même étonné par ce que je venais de faire. Je ne savais pas me battre, mais je venais de mettre un gars surement plus expérimenté que moi en position fœtale, il a le souffle coupé et peine à respirer.
Sauf, qu'à ma surprise, il se redresse plutôt rapidement.
Il m'agrippe le bras et m'enchaîne un bon coup de pied au niveau des côtes.
C’est à mon tour d’avoir le souffle coupé, c’était d’une violence extrême.
Je vois, en relevant ma tête, Nico faire un plaquage au type, en le mettant sol.
Il commence à lui mettre des coups à la tête.
C’est un bordel monstre, les 7 potes du gars commencent à débarquer à sa rescousse, toujours un avec sa batte de baseball.
Brandon et ses deux potes se joignent au combat, c’est des machines de guerre ces gars là, des renois d’1m90 pour 85 kg…
Ça fait plaisir de les avoir de mon côté
Le soucis, c’est qu’on est en infériorité numérique et qu’ils ont une batte, on essaye de se battre au corps à corps, mais le gars à la batte nous menace bien comme il faut, on est pas serein, on sait pas jusqu'où ils sont prêts à aller.
A tout moment je me prends un coup sur la tête, je fini comme Stephen Hawkins…
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Ils prennent le dessus, même sur Brandon et ses deux potes.
Je ne sais pas comment, mais je me retrouve au sol, avec du sang qui coule de mon nez…
C’était l’apocalypse.
Mais j’étais épris d’une rage immense, je voulais tous les frapper de toutes mes forces. J’étais possédé et j'avais du mal à contrôler mes émotions et en l’occurrence, ma rage.
-SWEET 2-
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Je me lève.
C’est à ce moment que je réalise que je lui mets une bonne tête, et que j’ai une condition physique supérieure à la sienne.
Il devait faire 1m75.
Le soucis, c’est qu’il devait avoir l’habitude de se battre vu le coup qu’il m’avait infligé, et il avait ses potes en back-up, au cas où, je n’avais aucune garantie qu’on allait réellement faire un 1v1…
Les autres se tappent toujours à côté, même si les 8 prennent l’avantage. VS
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On se met en position de combat avec mon adversaire, il est sur ses appuis, il maitrise clairement.
J’essaye de l’imiter, mais il est plus vif et énergétique que moi.
Il arrive à me chopper le bras alors que j’essaye de lui infliger un autre coup de poing.
Il enchaine avec une clé de bras, je suis clairement sa p*te…
Mais par je ne sais qu’elle moyen, j’arrive à m’en défaire, et je lui mets un coup de boule, assez violent pour que j’en garde une belle bosse dans les jours qui suivirent.
Il était désemparé, et se tenait la tête entre les mains.
J'avais tapé fort, dans tous les sens du terme.
.
J’en profite pour lui mettre un low-kick, puis je le fais tomber au sol.
Je me rue sur lui, encore fou de rage, mais un de ses potes, celui à la batte intervient et me frappe au dos.
(Pas fort, mais suffisant pour me faire tituber un moment).
Je me mets en PLS, en espérant qu’on vienne à ma rescousse.
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Le miracle arriva. Le groupe de Pierre arriva enfin.
On était une petite quinzaine, à les encercler.
Pierre, qui était rouge comme un poivron approcha d’un des mecs.
C’était une simple baffe, rien de bien méchant, mais tellement humiliant.
Il affichait un petit regard satisfait
.
Il enchaine un des 8 gars qui n’avait rien demandé, et commence à le frapper alors qu'il est encore au sol.
Il sait que les autres ne pourront pas intervenir, au risque de se prendre 15 gars sur la g*eule.
-C’est tout ce que tu mérites fils de p*te!
Les 8 commencent à paniquer sérieusement, ils se retrouvaient en quelques dizaines de secondes en infériorité numérique.
Je remarque alors qu’un des leurs, le plus petit d'entre eux, a un sac à dos, et qu’il essaye tant bien que mal de fuir avec.
Le gars à la batte fait de grands mouvements menaçants, mais n’a plus l’intention de s’en servir au vu des représailles.
On leur met des gros coups de pression, ils sont encerclés.
-WESH, LAISSEZ NOUS PARTIR LA!
Le gars était assez amoché.
-ON L’A PLUS? VAS-Y LAISSE NOUS PASSER LA!
-RENDS MON PUT*IN DE TÉLÉPHONE OU JE TE CASSE LES OS FILS DE P*TE!
Je n’avais jamais vu Pierre dans cet état auparavant, une vrai bombe à retardement.
C’était une rue assez peu passante, mais il y avait eu quelques témoins, je ne voulais pas finir au poste.
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-Rends lui son téléphone, et on en parle plus!
A contre-coeur, le mec demande au petit avec son sac à dos de sortir le téléphone de Pierre.
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Nico va vers le petit, lui arrache tout le sac des mains et regarde ce qu’il y a dedans.
-Eh bah, la chasse a été bonne à ce que je vois!
-RENDS NOUS LE SAC FILS DE P*TE
(Vous remarquerez que les mamans ont pris cher dans cette sweet, mais c'était la seule insulte qui sortait de leurs bouches).
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-Je crois que t’es pas en mesure de négocier fils de p*te.
On les laisse finalement partir, mais sans le sac.
P*tain, je suis heureux bordel. Je viens de déverser toute la frustration que j’avais en moi.
Ils m’avaient un peu amochés, mais ça restait assez superficiel. J’étais le plus mal en point, mais je l’avais cherché, je ne regrettais pas.
Seule la bosse due à mon coup de boule resta quelques jours, ainsi qu’une légère douleur au niveau des cotes.
Je décide de sécher les deux heures de cours qui m’attendaient pour me débarbouiller.
Ce jour-là, Roméo est remonté dans mon estime, on s’était battu l’un avec l’autre cette fois, et pas l’un contre l’autre, comme en Seconde.
Je ne sais plus comment j’ai justifié ces deux heures d’absence et la bosse sur mon front, mais je ne regrette en rien ce qu'il s'est passé cet après-midi.
Nico a redistribué les téléphones qui avaient été volés à leurs propriétaires, dont le Seconde qu’on avait croisé avant de se battre.
Il a déposé le reste devant le commissariat (il ne voulait pas s’expliquer sur comment il avait trouvé un sac rempli d’une dizaine de téléphone…).
...
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Le reste du mois de Janvier passa sans trop d’encombres.
La bagarre nous avait donné une réputation de “bad boys” qui me plaisait assez.
J’avais agi en Alpha (sur la fin), et j’étais fier de m’être battu comme il fallait, une fois dans ma vie, même si ce n’était pas prudent, je ne regrette pas.
Après la pluie, le beau temps.
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Le temps de devenir un Homme arriva à grands pas.
Le rendez-vous avec Sophie était fixé.
Ce jour arriva enfin, j’avais donné rendez-vous à Sophie dans le même bar où l’on s’était retrouvé quelques mois auparavant, après ma prépa Sciences Po.
C’était le moment.
Le moment tant attendu.
Le paroxysme de mes années lycée.
Depuis quand tu fais de la musique?
Données du topic
- Auteur
- Canabistouille
- Date de création
- 4 août 2018 à 17:49:08
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