Ici, on avoue une chose qu'on avouera jamais IRL
SuppriméJ'attend ma tune
Sans que ma mère le sache
Elle m'avait pris ma carte bancaire, mais je l'ai repris en cachette
et elle ne sait pas que j'ai mangé à Mcdo
Le 10 septembre 2018 à 18:01:27 Pauvreseul a écrit :
Je suis schizophrène je touche la aah depuis 6 ans maintenant , et j'ai eu des relations sexuelles avec mon cousin quand j avais 18 ans ' le seul truc qui me sauve un peu dans ma vie est ma beauté je suis un 7/10 facile
Toi aussi tu es schizophrène !
Ah et depuis le collège j'aime bien pratiquer la masturbation anale et j'ai même déjà reussis a cette époque a m'auto sucer la bite
j'ai +20 ans maintenant et j'y arrive plus , sûrement car j'ai pris du poids et grandi, le pire c'est que j'ai eux des douleurs de dos et du cous en essayant récemment
Le 10 septembre 2018 à 18:44:23 R1sit45 a écrit :
Il y a 2 mois, j'ai fais le nécessaire pour vendre mon âme au diable (Phrases a répéter etc) pour être riche
J'attend ma tune
Va voir le seigneur Jésus Christ bon sang tu es fou !
Risquer la damnation pour des trucs temporaire
Le 10 septembre 2018 à 11:22:06 iKize a écrit :
Le 28 juin 2018 à 18:27:58 Milik_99 a écrit :
Le 28 juin 2018 à 00:29:46 Maracas654 a écrit :
Bon, j'vais en lâcher une petite gentillette allez.Quand j'étais petit, j'passais 80% d'mon temps libre avec mon meilleur pote et sa sœur à traîner dans le lotissement.
Puis on était petits, et plein d'fois on a eu des passades très découverte de nos corps ensemble.Puis un jour : "Tiens j'te parie que t'arrives pas à te mettre une bille dans le cul"
Qui pop de nulpart d'mon meilleur pote.
S'en suit un jeu débile où on finit par vraiment faire le record de celui qui arrive le plus à se rentrer de billes. Puis pour asseoir sa suprématie, il décide de rentrer un calot
ça rentrait pas, alors il pousse d'un coup, et son visage devient blanc.
"Mec, j'crois que c'est allez trop loin"Moi et sa soeur on s'fout d'sa gueule, puis il rigole aussi, on décide d'arrêter, et on s'rend compte qu'il est impossible de s'retirer toutes les billes, y'en avait trois quatre par personnes
On panique, puis on s'met à pleurer. Ses parents arrivent, la soeur en pleurs "on va mourir, j'veux récupérer les billes ouin ouin"
Mon meilleur pote "J'voulais pas, pourquoi faut toujours que j'essaye des trucs de merde, je vais mourir mtn"
Moi "Putain ma mère va me tuer, les billes qu'elle m'a offert ce matin."Les parents "Attendez de quoi vous parlez, explique nous xxxx, calmez-vous, vous avez regardez un film d'horreur pendant qu'on était pas là, c'est ça ? C'est pas grave""
"No-... non, bah po-...pour voir on a essayé de se rentrer des billes dans les fesses et..."
Histoire qui repop parfois en famille sachant qu'on a passé 12 heures aux urgences devant des médecins qui étaient genre
"pourquoi ils sont là ? y'a pas l'air d'y avoir de blessures apparentes ?"
"De petites objets se situent dans leur rectum, apparemment des billes"
"Des-.. sainte mère de dieu, de mon temps on jouait pas comme ça avec"Putain j'ai explosé au bureau, j'ai du retenir mes rires mais bordel
Le 04 juillet 2018 à 20:05:00 IrvingFisher a écrit :
Mon enfance a été dictée par des comportements nocifs de mes parents, ou une mauvaise interprétation de ma part.
Depuis que je suis née, je n’ai eu qu’un seul ami, c’etait mon grand père, il est mort quand j’avais 6ans. Je n’ai, depuis, jamais été capable de construire une relation sociale ou amoureuse avec une personne. Je suis en permanence reclu.Mais allons de suite dans ce qui nous intéresse : j’ai grandis dans une atmosphère où mes parents semblaient être des pervers narcissique n’améliorant pas la situation, bien au contraire. En effet, j’ai toujours été un excellent élève, ça ne suffisait jamais. Je n’etais jamais assez bon. J’etais toujours et resterais un incapable pour mon père. De la 4ieme à la mort de ma grand mere, ma grand mère était la mère que j’avais l’impression de ne pas avoir, je me suis enfoncé dans un processus d’auto-destruction. Je refusais les interactions sociales, j’etais asocial. Je me rappelle les exercices en langue ou l’on devait parler de notre meilleurs amis. Un grand malaise m’envahissait et je parlais d’un mec que j’avais rencontré la vieille sur WoW et avec qui j’avais mumble. Ça devait mon meilleur ami le temps d’une journée.
J’en ai toujours les séquelles, impossible de créer une amitié solide, d’avoir une copine, de ne pas imiter l’attitude de mes parents. Depuis la mort de ma défunte grand-mere, certaines choses ont changés. Je me suis sorti de ce processus d’auto-destruction. Du moins en partie. Désormais c’est un processus de destruction. Je détruis tout. Mes « amis », les plans que j’ai, tout. Je suis victime de mon impuissance.
Je ne suis plus un excellent élève. Je continue de lire, de me documenter, mais j’ai lâcher les cours il y a 3mois. J’ai burn-out.
J’ai déjà dit à mes parents que je n’avais jamais souhaité être leur fils, ou même de vivre, que ma place je l’avais déjà perdu. J’ai des sœurs. Mes parents m’ont toujours mît en concurrence avec elles. Ça m’a détruit autant psychologiquement que physiquement. J’ai toujours été meilleur qu’elles partout. Mais pas assez. Mon père me disait que si c’était des garçons, j’aurai perdu...Ma vie est à, l’heure actuelle, comme un immeuble en feu. J’attend que quelqu’un vienne me sauver. En attendant cette personne, je regarde chaque soir la nuit, pour m’excuser au près des personnes que j’aimais.
Voilà, j’ai rien d’autre à dire.
Je te comprend khey en bonne partie
Petit j'étais un voleur, mythomane et avec des penchants maléfique.
J'ai aussi simulé des positions sexuelles avec mon frère.
Et avec un pote, une fois on s'est touché la bite (bite contre bite)
J'étais petit.
Je poste une seconde fois mais c'est important (pour moi , vis à vis de moi même car ça me définis pas mal)
J'avais envie de me tuer régulièrement , je me hais énormément, j'ai commencé par me donner des coups de poing et me taper la tête contre les murs chez moi
c'était il y a 2 ans a peine je dirais
J'ai 20 ans et je suis classé comme " dépressif " depuis le CM1 j'ai passé alors la plupart de ma vie sous dépression et ça ne s est jamais allez en s'arrangent Limite j'aurais la dépression a vie
Je pleure assez régulièrement avant de dormir ou sous la douche , quand les gens me disent " ca va ? " depuis assez récemment je leurs dit " non ça va pas " et je vais pas plus loin je leurs demande de pas insister
comment j'ai ou oublié de raconter ça a mon premier poste?
Une fois j'étais en soirée avec des potes dans la maison de l'un d'eux, on est tous resté dormir et moi j'étais dans le lit double avec celui sur qui je fantasmais, en plus il a le sommeil lourd, coup de bol
Je lui ai d'abord touché ses lèvres, puis son torse et enfin ses cuisses + queue. Et au final je l'ai sucé
Le lendemain putain il me demande s il ne bougeait pas trop en dormant, je hurlais de rire intérieurement
Bon allez petit truc.
Jusqu’à mes 25 piges j’ai vécu chez ma mère dans un pavillon de banlieue (le genre ancien quartier), avec un beau jardin, beaucoup de fleurs. Ca n’a jamais collé avec les voisins de gauche, pendant longtemps un vieux FN à la retraite mais qui bricolait que le domanchr matin. Puis depuis quelques années une famille avec des gamins et des parents qui hurlent.
Un jour on voit un lapin dans le jardin. Ça venait de ces voisins. Le truc bouffe les fleurs et évidemment passe entre les trous de la palissade donc seule solution en parler aux voisins. Qui disent que ce n’est pas leur problème de manière fort peu aimable. Le père récemment exclu de la baraque a offert trois lapins à ses filles restées avec la mère pour faire le papa cool mais ne s’en occupe pas, la mère en a rien à foutre et les filles sont trop petites pour avoir conscience des responsabilités.
Ma mère déjà dépressive fait une crise de nerfs sur ce lapin. Puis on avait déjà eu le problème avec le vieux FN qui s’en servait pour nous emmerder. J’avais beau le chasser il revenait. Ma mère voulait le buter mais ne voulait pas le toucher.
Un jour j’arrive à le coincer il était mort de peur, le mec qui lui courait après depuis des semaines avait enfin son occasion. Je l’ai chopé par le col et mis dans un carton troué puis dans un gros sac de boutique de fringues.
J’appelle la SPA qui me dit que 1- elle prend pas les animaux sauvages 2- si le propriétaire est identifié il faut le rendre. La police municipale s’en lave les mains, y compris quand on explique le problème de voisinage : rendre le lapin n’arrangerait rien.
Du coup je suis bien énervé par tout ce petit monde, ma mère comprise. Je prends le lapin dans son sac, le mets dans le coffre et part. Je vais au bord d’un cours d’eau dans un coin sauvage et je le largue dans un taillis. Ce con n’avait plus peur mais était complètement perdu. Je me suis cassé.
Ça m’a bien fait culpabiliser parce que je savais bien que le machin n’avait rien demandé à personne et subissait totalement. J’ai renfloué ma propre responsabilité sous la pression de ma mère, la bêtise des voisins (leurs deux autres lapins sont morts suite à de mauvais traitements) et l’incapacité des autorités à m´aider malgré une bonne volonté initiale. Mais j’ai jamais raconté ça. J’aurais tué le lapin ç’eut été pareil, il a du se faire avoir par un prédateur ou crever de froid à l’hiver suivant.
Données du topic
- Auteur
- GarudaEaque
- Date de création
- 27 juin 2018 à 21:12:50
- Date de suppression
- 27 juillet 2021 à 19:58:58
- Supprimé par
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