[RISITAS] Le combat d'un Célestin pour devenir yes-life
Cependant, c'est un chapitre un peu particulier, vraiment. J'ai tenté une narration qui prête à plus de...spéculations
Comme d'hab, je vous répondrai à tous après, par contre je peux déjà vous dire pour tout ceux qui demandent sur le topic et en mp que pour les insta de Élo et Nad je balancerai rien, vraiment désolé mes kheys
Vous comprenez bien ma réticence à lever leur anonymat que ce soit pour mon cas personnel ou leur vie à elles, et puis vu comment ça tourne sur ce forum ....
Je sais que la plupart d'entre vous n'avez pas de mauvaises intentions mais je ne peux prendre ce risque, pour les raisons que je vous ai dit et d'autres encore
Mais réfléchissez-y, finalement, garder en tête l'image que vous vous êtes fait d'elle est sûrement mieux que voir vos rêves incarnés dans une réalité qui ne vous conviendra finalement peut être pas autant
Le 28 juin 2018 à 15:31:25 DroiteDValeurs a écrit :
Le 27 juin 2018 à 23:02:21 OeufALaCoque a écrit :
Je reste un peu dans les nuages. Je ne dois. Pas. M’attacher.N'ayant pas encore trouvé le Feu sacré je vais avoir besoin d'une explication OeufALaCoque .
Tu fait de la merde si tu te projette/ attache trop vite?
Plus vite tu te projettes / attaches, plus tu risques de subir des désillusions et celles-ci seront particulièrement violentes
Pour ça qu'il faut essayer de se détacher, de n'en avoir rien à foutre
Le 28 juin 2018 à 00:48:53 twinklecloud a écrit :
La technologie de la douche cest décalotter ou pas?
Jamais eu besoin perso
( De toute façon j'aime pas être décalotté en général... )
Chapitre 18 – Prémonition, désillusion, et dernier échec
Je suis allongé sur le dos dans mon lit. Je viens de finir de manger.
Je fixe le blanc immaculé du plafond, mon regard se perdant dans le vague
Je repense à cette première semaine de vacances, qui est passées aussi vite que mes célestines années d’errance sont passées lentement.
Je repense à ce que vient de me dire cette fille à la chevelure blonde et au parfum enivrant
Je repense à ses mots, chuchotés à mon oreille
Les kheys, sincèrement, vous n’avez jamais eu cette sensation que quelque chose va se produire ?
Que votre vie ne sera plus la même à la fin de la journée, lorsque vous vous coucherez dans votre lit ?
Qu’un changement profond et imminent va s’opérer en vous aux cours des prochaines heures ?
Les kheys. J’ai eu cette sensation. Je l’ai dans mon lit, en ce jour solaire de canicule.
Je l’ai eu bordel, cette putain de sensation que j’ai recherché depuis toujours. Et elle s’est avérée vraie.
Une vérité que j’avais attendue si longtemps…
Soupir continuel à la persistance inégalable
Expiration dépitée, encore
Flottement évasif
Souvenirs
Premier jour de vacances à Majorque, août 2015
-Bon je reviens ce soir Papa, je vais à la plage avec des gens que j’ai rencontrés
-Ca marche, j’ai vu des minettes très jolies tu devrais foncer fils
-A-arrête haha, t-t’es relou j’ai p-pas besoin de c-conseils h-ha-haha
-C’est qu’il est comme son père, un vrai tombeur
-M-maman tu vas pas t’y mettre a-aussi
-Me mettre à quoi ?
-… Laisse t-tomber
-Rentre pas après 20h pour qu’on mange hein !
-O-oui pas de s-soucis Papa, ciao
-Salut mon petit Œuf
-Allez champion, fais les tomber
-
Bon, enfin tranquille. Je me rends à la plage. Je me perds un peu en cherchant le groupe, puis je finis par les apercevoir. Ils sont assis tous les trois sur des serviettes, et jouent aux cartes
-S-salut
-Ah tu es venu ! Comment c’est ton prénom déjà ?
-OeufBrouillle
-D’acc, moi c’est Megan donc, et voici Maël et Justine, me dit-elle en me montrant respectivement le type et la fille assez jeune
-Salut
-Coucou
-On jouait aux cartes, le jeu du menteur tu connais ?
-O-oui j-j’adore
-Cool viens avec nous alors
Elle s’écarte pour me faire de la place. Les quinze secondes que durent le temps pour qu’elle me fasse de l’espace, que je m’assoie et me prépare, je détaille les trois individus qui m’entourent
L’autre fille, Justine est vraiment mignonne. Cheveux blonds, yeux bleus, sourire craquant et fossettes Elle est néanmoins assez maigre, mais surtout, fais vraiment assez jeune. Elle m’a tout l’air de ces filles timides au premier abord mais qui deviennent inarrêtables une fois qu’on les connaît et qu’elles commencent à parler
Le type, Maël, a la tête du déconneur par excellence Cheveux bruns aux reflets blonds (sûrement une teinture) coupés courts, un sourire goguenard lorsqu’il rit, sinon c’est un rictus malicieux qu’affiche son visage en permanence. Un t-shirt écarlate, et un short très froissé dont les plis sillonnent l’étoffe couleur ivoire
Enfin, Megan. Ses cheveux blonds platine tombent en cascade sur ses épaules, tandis que son visage au teint hâlé se tourne vers le mien Des iris au bleu marin me sondent invisiblement alors que je parcours les courbes affolantes de son corps semblant tout droit sorti d’un logiciel de retouche photo. Elle n’est pas si grande mais semble avoir des jambes à n’en plus finir, qui se terminent chacune par un petit pied vernis de rouge Elle semble assez gentille, mais sans plus. Le genre de personne à être sympa de temps en temps mais souvent blasée voire énervante par moment, mais à qui on ne dit rien malgré tout parce qu’elle est diablement belle. Une espèce bien détestée sur le forum d’ailleurs
Nous jouons. Au début je dois reconnaître que c’est bizarre, parce que comme d’habitude je suis un peu malaisant
Je transpire aussi, et les cartes sont gondolées après un passage de quelques minutes dans mes mains, mais ils ne disent rien
Bordel heureusement que je me suis mis torse nu, sinon ça aurait été mon t shirt entier qui aurait changé de couleur sous la transpiration
Au cours de la partie, j’apprends que Megan à mon âge, seize ans, ( ) et vit dans le sud
Maël vit près de Lyon et a quatorze (presque quinze apparemment) ans, même s’il fait seize aussi. Apparemment il a une copine de seize ans justement, et ne cesse d’en parler, un peu comme un trophée à lui
Même s’il est sympa, je ne peux m’empêcher d’avoir un sentiment fugace d’énervement à son encontre. Pourquoi lui à quatorze ans arrive à pécho sans problèmes et s’intégrer dans n’importe quel groupe, sans se poser la moindre question, quand moi je galère encore à être sociable et rencontrer des gens malgré mes efforts ?!
Enfin bon, la dernière, Justine habite à Bordeaux, et a… TREIZE ANS, ça explique pourquoi elle faisait aussi jeune
Ces trois-là se sont rencontrés au bord de la piscine vu qu’ils étaient les seuls jeunes de la résidence de vacances, et ce à peine quelques heures avant que je vienne (pendant que je jouais au poker avec Franck en fait )
-Et toi OeufBrouille, t’as quel âge ?
-Seize ans
-Ah enfin quelqu’un du même âge, s’exclame Megan en semblant soudain m’écouter avec beaucoup plus d’attention
-Haha c’est le d-d-destin h-haha
-Je ne crois pas au destin mais on pourra faire une exception aujourd’hui alors !
Nous jouons tout l’après-midi sous un soleil brûlant.
-Bon je vais rentrer les amis, je vais manger avec mon père !
-Moi aussi je dois rentrer manger avec ma famille en fait
-Okay on a qu’à rentrer ensemble alors ! Ciao Maël, Salut Justine !
J’ai réussi mon coup ça y est on est seuls
On entame une conversation. Depuis que je lui ai dit avoir seize ans on dirait qu’elle m’aime plus qu’au début, allez savoir pourquoi
Je l’écoute me parler de sa passion pour la danse, de sa vie en général, en feignant un intérêt profond pour tout ça
Lorsqu’on arrive devant, l’hôtel, petit moment de silence
Je me dis que je dois tenter le coup, mais avant que j’ai pu faire quoi que ce soit…
-Bon je vais manger salut OeufBrouille, on se revoit plus tard
-
Bon tant pis. Elle a l’air de bien m’aimer. Il reste presque deux semaines pour la pécho, ça va le faire
Ca c’est ce que je me disais au début
Je m’allonge dans mon lit après manger…
Soupir continuel à la persistance inégalable
Expiration dépitée, encore
Flottement évasif
Souvenirs
Je repense encore et encore à la rapidité avec laquelle elle m’a soufflé ces mots.
A l’expression d’hébétude que j’ai sûrement affichée.
A ses yeux bleus me sondant de manière immuable pendant de longues secondes.
Le soir même, après manger…
-Hey garçon
Je fais volte-face.
-Franck !
-Ca va bonhomme ? Je t’ai pas vu de la journée héhé
-J’étais à la p-plage avec des amis et votre, euh t-ta f-fille
-J’ai bien vu héhé, j’ai remarqué une petite blonde toute mignonne héhé
-Ah oui c’est vraie qu’elle est j-jolie, elle s’appelle Justine d’ailleurs, m-mais…
-Mais quoi héhé, fonce mon garçon
-C’est pas v-vraiment elle qui m’intéresse et puis elle a t-treize ans
-Oh l’amour n’a pas d’âge héhé, mais attend une seconde… comment ça ce n’est pas ELLE qui t’intéresse
-
-
Son visage est devenu grave…
Soupir continuel à la persistance inégalable
Expiration dépitée, encore
Flottement évasif
Souvenirs
Je me lève de mon li.
Je me coiffe. Change de jean. Enfile mes chaussures neuves. Me parfume.
Respire.
Inspire.
Ce soir, c’est le soi.
Je n’oublie pas toutes les erreurs que j’ai faites.
Je n’oublie pas les leçons que j’en ai tiré.
Le visage de Franck est toujours aussi grave, presque peiné
-Euh, c’est-à-dire q-q-que…
-Ne me dis pas que tu es intéressé par ma FILLE mon petit ŒufBrouille ?!
-E-euh non pas d-du t-tout en fait c’est j-juste q-que...
-
-Bon s-si c’est vrai je la trouve t-très jolie d-désolé je…
-Ne t’excuse pas
-
Puis soudain, il éclate de rire :
-Ohoh, je suis tellement désolé pour toi mon garçon ! Héhéhéhéhé tellement désolé ouhouhou
-H-hein mais p-pourquoi ?
-T’as pas flashé sur la bonne, c’est vrai que Mgena est très jolie, mais désolé de gâcher tes espoirs héhéhé…
- ?
-… elle est lesbienne ohoho j’en ai mal aux côtes !
-L-lesbienne ?
-Oui héhéhé, elle me l’a dit il y a deux ans, on est assez proches mine de rien, et ça ne me dérange pas du tout… Le seul truc qui me désolé c’est de savoir qu’elle pourrait rencontrer une fille aussi chiante que sa mère hohoho
-
-Ouhouh tu me fais vraiment trop rire OeufBrouille, je vais aller dormir
Il s’en va en riant comme un fou, sa bedaine le déséquilibrant presque à chaque rire, s’essuyant ses yeux rieurs de sa manche.
Il s’en va me laissant ici, devant les marches de l’hôtel, pantois
Soupir continuel à la persistance inégalable
Expiration dépitée, encore
Flottement évasif
Souvenirs
J’ouvre la porte et je descends dans le hall de l’hôtel. Le petit groupe est là.
La fille aux cheveux d’or aussi. Ses prunelles scintillent toujours autant.
Respire.
J’expire.
Le soir même, je revois Justine, Maël et Megan. On se baigne à minuit dans la mer. Megan me parle toujours autant mais je ne feins plus de l’écouter. Elle n’y prête même pas attention et continue de me raconter sa vie et ses rêves C’est dingue comme on peut perdre de l’intérêt pour une meuf dès lors qu’on sait qu’on a quasi aucune chance. Justine, la plus jeune, semble un peu piquée de jalousie
Les jours suivants, je joue un peu avec Franck au poker. On perd, et on gagne, puis au final, j’aurai remporté quelques 800 euros. L’argent de C n’aura pas été dilapidé inutilement tout compte fait
Plus les jours passent, plus Justine me regarde avec insistance. Maël lui, continue à nous parler de sa meuf et à lâcher des blagues un peu lourdes
Je rigole bien avec lui quand même. Megan reste de plus en plus souvent sur le bord de la piscine ou sur la plage sur son téléphone.
Je remarque que même quand je dis n’importe quoi Justine rigole. Elle serait intéressée ? Non, franchement, treize ans c’est trop jeune pour moi-même si elle est mignonne
Et puis elle vient surtout beaucoup me parler quand je suis avec Megan, comme si elle voulait que je lui donne mon attention à elle, et pas à Megan
Ce phénomène de l’attraction des autres filles augmentée lorsqu’une fille de valeur « supérieure » nous valide, pourtant bien connu, je l’ignorais encore
Soupir unique et fugace
Expiration satisfaite, enfin
Flottement évasif
Souvenirs
Je les rejoins et nous avançons.
Elle se place à mes côtés, un sourire à peine perceptible aux coins des lèvres.
Moi, je le perçois.
Il ne reste que quelques jours de vacances. Lors de ma dernière partie de poker en ligne en compagnie Franck, je me rends compte que je suis devenu vraiment assez bon.
-Franck ?
-Ne me dis pas que t’es encore sur ma fille héhé
-N-non, n’importe q-quoi
-Héhé d’accord, tu veux savoir quoi alors ?
-C-comment… comment…
-Comment quoi, accouche bonhomme héhé
-Comment vous avez r-rencontré votre f-femme à l’époque ?
-Ho. Une question dont la réponse détaillée prendrait beaucoup trop de temps. Disons simplement, que… je l’ai rencontré dans la rue.
-D-dans la r-rue ? C-comment c’est possible ?
-Et bien je n’avais pas beaucoup de succès avec les femmes au quotidien héhé. Mais j’avais plus de couilles que les autres types pour sûr héhé Alors un jour en me rendant au boulot, je l’ai croisée, et je suis tombé amoureux en un regard Elle était magnifique.... Je me suis dit que si je ne faisais rien, je le regretterais toute ma vie Alors j’y suis allé Puis ça a marché Puis on s’est marié Puis on a divorcé héhé ! La vie mon garçon, une belle arnaque héhé, le mariage, c’est fini pour moi !
-Ah ouais…
-Oui héhé, bon allez mon garçon, je vais piquer une tête !
Franck ne le savait pas, mais il venait d’instiller l’avant-dernier élément manquant, nécessaire à mon éveil. C’est comme si, au fond de moi, j’avais depuis un moment la Flamme , qui s’était répandu dans tout mon corps, mais toujours chancelante
Et bien, on pourrait dire que Franck venait de poser un bidon d’essence à côté
Il ne manquait plus qu’à balancer cette essence pour m’embraser. Et me faire agir
L’avant dernier jour, je suis dans la piscine annexe avec Maël et Justine. Megan n’est pas là.
-Bon je vais y aller les amis, je sors en ville avec mes parents ce soir, salut, dit Maël
Je me retrouve seul avec Justine
On rigole pas mal, mais au bout d’un moment je me raidis lorsqu’elle commence à me dire :
-Tu aimes bien Megan ?
-M-megan, mais euh pas d-du tout elle est lesbienne en p-plus
-Lesbienne ? N’importe quoi
-S-si c’est même son p-père qui me l’a dit
-Vraiment ?
Elle semble réjouie. Je me raidis un peu plus…
-Alors je ne comprends pas…
-Quoi ?
-Bah tu sais bien…
-…
Elle s’approche alors de moi en souriant et s’agrippe à mon dos comme un têtard
J’essaye de me libérer mais rien à faire elle est fermement accrochée, et rigole tandis que je me débat
Sa tête se rapproche de la mienne et je commence à flipper
Je ne sais pas ce que j’ai mais les seules filles que j’ai l’impression d’attirer c’est les plus jeunes J’ai omis de l’écrire dans le risitas mais six mois avant ça, une fille de douze ans avait de manière hyper malaisante essayé aussi de me faire comprendre que je lui plaisais Franchement j’étais vraiment pas très beau à l’époque (toujours pas d’ailleurs mais on va dire que c’est déjà largement mieux) mais j’attirais ces filles-enfants malgré tout Cette fille elle s’appelait aussi Megan d’ailleurs, coïncidence ?
Enfin bon je commence à flipper que Justine se fasse des idées alors je me démène pour la décrocher, éclaboussant ses yeux avec l’eau de la piscine et tentant de la noyer pour la décrocher, mais elle était coriace cette tétarde
Bordel quand j’y pense on pourrait en faire une fable, le phasme et le têtard
Je réussis finalement, et je m’enfuis. Il ne me restait qu’un jour à tenir de toute façon
Dernier soupir
Respiration apaisée
Flottement sucré
Souvenirs ambrés
Nous sommes enfin au spectacle.
Je lui propose de s’isoler derrière la petite cabane, et elle accepte.
Nous sommes face à face, et je donne sens à ses questions.
Je fais mes adieux à Franck. Je ne l’oublierai jamais, ce mec était en or franchement
Puis je fais une accolade à Maël, et serre Megan dans mes bras
Je fais une bise furtive à Justine, plus de peur que de mal
Je rentre, encore une fois, toujours, constamment, seul
La Flamme était là depuis le type du magasin, le bidon d’essence déposé par Franck aussi, mais personne pour le déverser
Alors je bade, encore, toujours, encore et toujours, seul
Seul est le mot qui me hante
Seul, je crois que je le resterais toute ma vie. Mais j’avais si tort. Il me fallait tenir encore très peu de temps, à l’échelle d’une vie du moins
Tiens bon petit Œuf, le salut est proche
La vraie vie aussi
Soupir invisible.
Air vivifiant.
Flottement orgasmique
Souvenirs accomplis
Ce soir, c’est le soir.
Toutes ces années de solitude et d’échecs, éteintes
Cette pression sociale envahissante, annihilée
Ces vacances auront été les vacances du salut
Je la regarde, dans la chaleur de l’île où nous résidons le temps de ces quelques jours d’extase
Ils avaient raison tous ces anonymes
Ils avaient tellement raison que j’y crois à peine
Cela arrive quand on s’y attend le moins, j’aurai dû les écouter
Mais qu’importe
Ma réponse sonne juste pour elle
C’est le moment
Respire.
Vis.
Soupir ultime.
Soupir
Sou
S
Cette narration de dingue
Tu nous a régalés avec ces 3 posts
Alors comme ça on attire les enfants de 12 ans, je signal gouv quand même
Encore un excellent épisode, le changement de style en jouant plus sur les émotions c'est bien vu. Sweet !
Données du topic
- Auteur
- OeufBrouille1
- Date de création
- 18 avril 2018 à 11:00:26
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