Cette mort atroce
Ahi c'est meritax quand meme
Pourquoi ne pas envoyer une corde avec une camera ou un petit robot ou autre choses jsp mais bordel tu ne saute pas dans crevasse super etroite putain
la vérité, c'est qu'à partir du moment où il s'est glissé dans cette faille, il était déjà condamné. son corps a commencé à se retourner contre lui, le sang s'est accumulé dans sa tête, les poumons comprimés sous la pression de son propre poids inversé, chaque souffle devenant une torture lente. l’oxygène a commencé à manquer, son cerveau privé d'air, ses organes internes commençant à faillir les uns après les autres, petit à petit.
les secouristes ont essayé, bien sûr, mais c’était une illusion de secours. tout le monde savait, au fond, que c’était un cadavre en devenir. il devait sentir la pierre froide contre sa peau, l’obscurité complète, le silence absolu, sauf le battement sourd de son cœur qui s'affaiblissait à chaque seconde. il a probablement senti la panique le submerger, l’impuissance totale. et puis il y a eu ce moment où il a compris que personne ne pouvait plus rien faire pour lui. son corps était devenu une prison, une tombe. il était là , tête en bas, seul, à attendre l’inévitable.
ils ont laissé la grotte se refermer sur lui, comme une sorte de cercueil naturel, un monument morbide à sa propre erreur. son corps est toujours là , quelque part dans cette obscurité froide, figé dans la roche pour l’éternité. pas de retour possible, pas de dernier souffle paisible, juste l'angoisse pure, jusqu'à ce que tout s’arrête.
Le 10 septembre 2024 Ă 20:58:12 :
la vérité, c'est qu'à partir du moment où il s'est glissé dans cette faille, il était déjà condamné. son corps a commencé à se retourner contre lui, le sang s'est accumulé dans sa tête, les poumons comprimés sous la pression de son propre poids inversé, chaque souffle devenant une torture lente. l’oxygène a commencé à manquer, son cerveau privé d'air, ses organes internes commençant à faillir les uns après les autres, petit à petit.les secouristes ont essayé, bien sûr, mais c’était une illusion de secours. tout le monde savait, au fond, que c’était un cadavre en devenir. il devait sentir la pierre froide contre sa peau, l’obscurité complète, le silence absolu, sauf le battement sourd de son cœur qui s'affaiblissait à chaque seconde. il a probablement senti la panique le submerger, l’impuissance totale. et puis il y a eu ce moment où il a compris que personne ne pouvait plus rien faire pour lui. son corps était devenu une prison, une tombe. il était là , tête en bas, seul, à attendre l’inévitable.
ils ont laissé la grotte se refermer sur lui, comme une sorte de cercueil naturel, un monument morbide à sa propre erreur. son corps est toujours là , quelque part dans cette obscurité froide, figé dans la roche pour l’éternité. pas de retour possible, pas de dernier souffle paisible, juste l'angoisse pure, jusqu'à ce que tout s’arrête.
Tout ça parce qu'il s'est dit "Tiens, si j'allais me glisser dans ce trou à rat sans rien savoir la tête la première ? Qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?"
Le 10 septembre 2024 Ă 20:58:12 :
la vérité, c'est qu'à partir du moment où il s'est glissé dans cette faille, il était déjà condamné. son corps a commencé à se retourner contre lui, le sang s'est accumulé dans sa tête, les poumons comprimés sous la pression de son propre poids inversé, chaque souffle devenant une torture lente. l’oxygène a commencé à manquer, son cerveau privé d'air, ses organes internes commençant à faillir les uns après les autres, petit à petit.les secouristes ont essayé, bien sûr, mais c’était une illusion de secours. tout le monde savait, au fond, que c’était un cadavre en devenir. il devait sentir la pierre froide contre sa peau, l’obscurité complète, le silence absolu, sauf le battement sourd de son cœur qui s'affaiblissait à chaque seconde. il a probablement senti la panique le submerger, l’impuissance totale. et puis il y a eu ce moment où il a compris que personne ne pouvait plus rien faire pour lui. son corps était devenu une prison, une tombe. il était là , tête en bas, seul, à attendre l’inévitable.
ils ont laissé la grotte se refermer sur lui, comme une sorte de cercueil naturel, un monument morbide à sa propre erreur. son corps est toujours là , quelque part dans cette obscurité froide, figé dans la roche pour l’éternité. pas de retour possible, pas de dernier souffle paisible, juste l'angoisse pure, jusqu'à ce que tout s’arrête.
Bien Ă©crit khey, ton texte m'a fait imaginer l'angoisse qu'on peut ressentir dans une telle situation
Données du topic
- Auteur
- audio-technica
- Date de création
- 12 mars 2018 Ă 22:10:14
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