Cette mort atroce
Le 12 mars 2018 à 23:05:05 JimmySeptFois a écrit :
Le 12 mars 2018 à 22:52:59 PassionCachalo a écrit :
Le 12 mars 2018 à 22:47:09 PereFillon a écrit :
Junko Furata les amis, je vois que certains ont cité la famoso japonaise.Voici son histoire : (prenez votre temps, c'est de wiki)
En novembre 1988, Hiroshi Miyano (宮野裕史, « Garçon A », qui avait alors 18 ans), Yuzuru Ogura (小倉譲, « Garçon B », alors 17 ans)1, Nobuharu Minato (湊伸治, « Garçon C », 16 ans à l'époque) et Yasushi Watanabe (渡邊恭史, « Garçon D », 17 ans) venant tous de Tokyo, enlevèrent Furuta, une jeune lycéenne (second year high school) étudiante dans la préfecture de Saitama à Misato, pendant 44 jours. Ils la gardèrent captive dans la maison appartenant aux parents de Nobuharu Minato.
Pour prévenir un éventuel avis de recherche, Miyano força Furuta à appeler ses parents et à leur faire croire à une fugue, prétendant qu'elle était avec un « ami », qu'il n'y avait aucun danger. Il la menaça également pour qu'elle se fasse passer auprès des parents chez qui ils se trouvaient pour la petite amie d'un des garçons. Mais quand ils comprirent que les parents n'appelleraient pas la police, il laissa tomber ce prétexte. Furuta essaya de s'échapper à plusieurs reprises, suppliant les parents plus d'une fois de l'aider, mais ils n'en firent rien, apparemment terrifiés par l'idée que Miyano pourrait leur faire payer. Celui-ci était à l'époque un petit chef Yakuza et il avait menacé d'utiliser ses contacts pour tuer quiconque interfèrerait.
Selon leurs déclarations et leur procès, chacun des quatre garçons l'a violée (au total plus de 400 fois par plus d'une centaine de personnes2), battue avec une barre en fer et des clubs de golf, introduit des objets inconnus comprenant une ampoule électrique brûlante dans son vagin qui a ensuite éclaté2, une barre de fer et une bouteille, des ciseaux et des brochettes de poulet rôti, l'a fait manger des cafards et boire sa propre urine, a inséré des pétards dans son anus et les a allumés ; ils ont forcé Furuta à se masturber, coupé ses tétons avec des pinces, ont mis des haltères sur son ventre, l'ont pendue au plafond et utilisé son corps comme punching ball, lui ont cloué des dizaines d'aiguilles à coudre dans les seins, ont frappé son visage sur le sol en ciment, l'ont mise dans un congélateur pendant des heures et l'ont brûlée avec des cigarettes, de la cire et des briquets (une des brûlures était une punition pour avoir essayé d'appeler la police). Au bout d'un moment, ses blessures étaient tellement graves que selon l'un des garçons, cela lui prenait plus d'une heure pour ramper en haut des escaliers afin d'utiliser les toilettes. Ils ont également mentionné que « probablement une centaine de personnes différentes » savaient que Furuta avait été emprisonnée là-bas, mais n'ont pas été clairs sur le fait que cela signifie qu'ils sont entrés dans la maison plusieurs fois pendant qu'elle était emprisonnée, ou qu'ils ont eux-mêmes abusé d'elle. Quand les garçons refusèrent de la laisser partir, elle les supplia à plusieurs occasions de « [la] tuer et d'en finir avec tout ça ».
Le 4 janvier 1989, se servant du prétexte d'avoir perdu à une partie de mah-jong, les quatre garçons la battirent avec une barre de fer, ont couvert d'un liquide combustible ses jambes, ses bras, son visage et son ventre, et l'ont mise en feu. Elle trouva la mort plus tard dans la journée. Les quatre garçons ont déclaré ne pas avoir remarqué à quel point elle était blessée, et qu'ils pensaient qu'elle ne faisait que se plaindre, qu'elle faisait semblant.
Les tueurs cachèrent son corps dans un bidon de 55 gallons avec du ciment ; les auteurs du crime placèrent le container dans un trou recouvert de terre à Koto, Tokyo.Et ils ont pas pris plus de 20 ans de tole
Donc la ces 4 types sont tranquillement en liberté
Le Japon qui perd instantanément sont statut d'havre de paix
horrible
Creepy pasta très connu de l’expérience Russe sur le sommeil
Durant la fin des années 1940, des chercheurs russes ont gardé cinq personnes éveillées pendant quinze jours en utilisant un gaz expérimental basé sur des stimulants. Ils étaient enfermés dans un environnement scellé afin de pouvoir contrôler leur consommation d’oxygène de manière à ce que le gaz ne les tue pas, étant donné qu’il était toxique à partir d’une concentration élevée. Cela a eu lieu avant l’invention des caméras en circuit fermé, ils n’avaient donc que des microphones et des fenêtres de verre épais d’une douzaine de centimètres en forme de hublot qui permettaient de les surveiller. La chambre était équipée de lits d’appoint sans literie, de l’eau courante et de toilettes, et contenait des livres et suffisamment de nourriture sèche pour qu’ils puissent tenir à cinq pendant plus d’un mois.
Les sujets de test étaient des prisonniers politiques jugés ennemis de l’État durant la Seconde Guerre Mondiale.
Tout s’est bien passé pendant les cinq premiers jours ; les sujets ne se plaignaient que rarement, car on leur avait promis qu’ils seraient libres s’ils acceptaient de subir le test et de ne pas dormir pendant trente jours (bien que la libération fût hors de question). Leurs conversations et leurs activités étaient surveillées, et on a pu noter qu’ils ne parlaient que d’incidents de plus en plus traumatisants dans leur passé, le ton de la conversation devenant beaucoup plus sombre après le quatrième jour.
Au bout de cinq jours, ils ont commencé à se plaindre à propos des circonstances et des événements qui les avaient menés là où ils se trouvaient et à montrer des signes de paranoïa sévère. Ils ont arrêté de se parler et, à la place, se sont mis à parler aux microphones ou aux miroirs sans tain des hublots. Curieusement, ils semblaient penser pouvoir gagner la confiance des expérimentateurs en se retournant contre leurs camarades, les autres sujets de test en captivité avec eux. Les chercheurs ont tout d’abord supposé qu’il s’agissait d’un effet du gaz…
Après neuf jours, le premier d’entre eux a commencé à crier. Il courait sur la longueur de la chambre en hurlant à pleins poumons pendant trois heures sans discontinuer, et a ensuite essayé de ne pas s’arrêter, mais il n’arrivait qu’à produire de temps à autre de petits couinements. Les chercheurs ont pensé qu’il s’était déchiré les cordes vocales. Le plus surprenant dans ce comportement, c’est la manière dont les autres sujets ont réagi… ou plutôt n’ont pas réagi. Ils ont continué à murmurer à l’attention des microphones jusqu’à la seconde où les cris ont commencé. Deux des captifs qui ne criaient pas ont alors désossé les livres, ont enduit toutes les pages avec leurs propres excréments et les ont collées sur le verre des hublots. Les cris se sont rapidement arrêtés.
Les murmures adressées aux micros également.
Trois jours se sont écoulés. Les chercheurs vérifiaient les micros chaque heure pour être sûrs qu’ils fonctionnaient, car ils pensaient qu’il était impossible que cinq personnes enfermées dans une pièce ne produisent aucun son. La consommation d’oxygène dans la chambre indiquait qu’ils devaient être tous les cinq en vie. En fait, elle correspondait à la quantité d’oxygène que cinq personnes consommeraient pendant un exercice physique extrêmement ardu. Le matin du quatorzième jour, les chercheurs ont fait quelque chose qu’ils avaient dit qu’ils ne feraient pas pour obtenir une réaction des captifs: ils ont utilisé l’interphone de la chambre, espérant provoquer une quelconque réponse des détenus. Ils avaient peur qu’ils soient morts ou dans un état végétatif.
Ils ont annoncé: « Nous allons ouvrir la chambre pour tester les microphones ; restez loin de la porte et allongez-vous sur le ventre par terre, ou vous serez abattus. Si vous respectez ces règles, l’un de vous gagnera sa liberté. »
À leur grande surprise, ils ont entendu une seule phrase prononcée d’une voix calme : « Nous ne voulons plus être libérés. »
Des débats ont éclaté entre les chercheurs et les forces militaires qui finançaient le projet. Comme il était impossible d’obtenir d’autres réponses en utilisant l’interphone, il a finalement été décidé que la porte de la chambre serait ouverte à minuit le quinzième jour.
La chambre a été vidée du gaz stimulant et remplie avec de l’air frais, et des voix provenant des micros ont immédiatement commencé à protester. Trois voix différentes ont commencé à supplier, comme s’il en allait de la vie de l’amour de leur vie, de remettre le gaz. La chambre a été ouverte et des soldats ont été envoyés à l’intérieur pour retrouver les sujets de test. Ils ont commencé à hurler plus fort que jamais, et les soldats ont rapidement fait de même lorsqu’ils ont vu ce qui était à l’intérieur. Quatre des cinq sujets étaient toujours vivants, bien que l’état dans lequel ils étaient ne fût pas qualifiable de « vivant ».
Les rations de nourriture des cinq jours précédents n’avaient pas été touchées. Il y avait des morceaux de chair des cuisses et du torse du sujet mort enfoncés dans le drain au centre de la chambre, le bouchant, et permettant à une dizaine de centimètres d'eau de s’accumuler sur le sol. La portion de cette eau qui était composée de sang n’a pas été déterminée. Les quatre sujets « survivants » avaient également de grandes portions de muscles et de peau arrachés de leur corps. La destruction de la chair et les os à l’air libre sur leurs doigts indiquaient que les blessures avaient été infligées à la main, et non avec les dents, comme les chercheurs l’avaient pensé au début. Des observations plus précises de la position et de l’angle des blessures ont montré que la plupart des blessures, si ce n’était toutes, avaient été infligées par eux-mêmes.
Les organes abdominaux sous la cage thoracique des quatre sujets avaient été retirés. Alors que le cœur, les poumons et le diaphragme étaient restés en place, la peau et la plupart des muscles attachés aux côtes avaient été arrachés, permettant de distinguer les poumons à travers les côtes. Tous les vaisseaux sanguins et les organes étaient intacts, ils avaient simplement été retirés et posés par terre, répartis autour des corps éviscérés, mais toujours vivants, des sujets. L’appareil digestif des quatre sujets pouvait être observé en fonctionnement, digérant de la nourriture. Il a été très vite clair qu’ils digéraient leur propre chair, qu’ils avaient arrachée et dévorée durant les jours précédents.
La plupart des soldats étaient des Russes d’un commando spécial affecté à l’installation, mais la plupart ont refusé de retourner dans la chambre pour en sortir les sujets test. Ces derniers continuaient de crier pour qu’on les laisse dans la chambre et suppliaient qu’on remette le gaz pour qu’ils ne s’endorment pas.
À la surprise de tout le monde, les sujets ont livré un combat violent lorsqu’on les a fait sortir. Un des soldats russes s’est fait déchirer la gorge et en est mort, un autre en est sorti gravement blessé, après s’être fait arraché les testicules et perforer une artère d’une de ses jambes par les dents d’un sujet. Cinq autres soldats ont perdu la vie si l’on compte ceux qui se sont suicidés dans les semaines suivant l’incident.
Pendant le combat, la rate de l’un des sujets vivants s’est rompue et il s’est vidé de son sang presque immédiatement. Les chercheurs médicaux ont tenté de l’endormir, mais cela s’est révélé inutile. On lui a injecté plus de dix fois la dose maximale pour un humain d’un dérivé de la morphine, et il continuait de se battre comme un animal enragé, brisant les côtes et les bras d’un des docteurs. On a pu constater que le cœur a continué à battre pendant deux minutes entières après que l’hémorragie l’ait amené à un point où son système vasculaire était rempli avec davantage d’air que de sang. Même après qu’il se soit arrêté, il a continué de crier pendant trois minutes, s’efforçant d’attaquer quiconque venait à portée et répétant continuellement le mot « PLUS », de plus en plus faiblement, jusqu’à ce qu’il soit réduit au silence.
Les trois sujets test survivants ont été immobilisés et transportés dans une installation médicale, les deux ayant leurs cordes vocales encore intactes continuant de supplier le retour du gaz pour rester éveillés…
Celui des trois ayant le plus de blessures a été emmené dans le seul bloc opératoire dont l’installation disposait. Durant la procédure devant le préparer pour le replacement de ses organes internes, il s’est révélé immunisé aux sédatifs qui lui ont été administrés dans le but de le mettre en condition pour l’intervention chirurgicale. Il se débattait furieusement contre ses liens lorsque le gaz anesthésiant a été apporté pour le mettre hors de combat. Il a réussi à déchirer la quasi-totalité d’un bandeau de cuir épais de dix centimètres attaché à un de ses poignets, même avec le poids d’un soldat de quatre-vingt-dix kilos qui essayait de maintenir ce poignet immobile. Une quantité juste supérieure à la normale a été nécessaire pour l’endormir, et à la seconde où ses paupières se sont fermées, son cœur s’est arrêté. Pendant l’autopsie du sujet test qui est mort sur la table d’opération, il a été révélé que son sang contenait trois fois la concentration normale d’oxygène. Les muscles qui étaient toujours attachés à son squelette étaient affreusement déchiquetés et il s’était brisé neuf os dans sa lutte pour ne pas être maîtrisé. La plupart à cause de la force que ses propres muscles avaient exercé sur eux.
Le second survivant avait été le premier du groupe à commencer à crier. Ses cordes vocales étant détruites, il était incapable de supplier ou de protester contre l’opération, et il n'a réagi qu’en secouant violemment la tête pour montrer sa désapprobation lorsque le gaz anesthésique a été amené près de lui. Il a secoué la tête pour faire oui lorsque quelqu'un a suggéré, à contrecœur, d’essayer l’opération sans anesthésie, et n’a pas réagi pendant les six heures qu’ont nécessité le replacement de ses organes abdominaux et la tentative de les recouvrir avec ce qu’il restait de peau. Le chirurgien présidant l’intervention n’arrêtait pas de répéter qu’il devrait être médicalement impossible pour le sujet d’être encore en vie. Une infirmière terrifiée qui assistait à l’opération a affirmé qu’elle avait vu la bouche du patient former un sourire plusieurs fois, à chaque fois que ses yeux croisaient les siens.
Lorsque la chirurgie a pris fin, le sujet a regardé le chirurgien et a commencé à siffler fortement, essayant de parler en se débattant. Supposant que ce devait être important, le chirurgien a demandé à ce qu’on lui apporte un crayon et un calepin afin que le patient puisse écrire son message. Il était simple. « Continuez à couper ».
Les deux autres sujets tests ont subi la même intervention, tous les deux sans anesthésie. Cependant, il a été nécessaire de leur injecter un paralysant pendant la durée de l’opération. Le chirurgien n'arrivait pas à effectuer la chirurgie pendant que les patients riaient continuellement. Une fois paralysés, les sujets pouvaient seulement suivre les médecins des yeux. Le paralysant a été éliminé de leur système après une période anormalement courte et ils ont rapidement essayé de s'échapper. Au moment où ils ont pu recommencer à parler, ils ont recommencé à demander le gaz stimulant. Les chercheurs ont essayé de leur demander pourquoi ils s'étaient infligé ces blessures, pourquoi ils avaient arraché leurs propres entrailles et pourquoi ils voulaient de nouveau le gaz.
La seule réponse qui a été donnée était: « Je dois rester éveillé ».
Les liens des trois sujets ont été renforcés et ils ont été replacés dans la chambre en attendant de savoir ce qu’on allait faire d’eux. Les chercheurs, faisant face à la colère des « bienfaiteurs » militaires à cause de leur incapacité à atteindre le but qu’ils leur avaient fixé, ont pensé à les euthanasier. L'officier commandant, un ancien agent du KGB, a, au contraire, vu du potentiel en eux, et a voulu voir ce qui se passerait si on les replongeait dans le gaz. Les chercheurs s'y sont formellement opposés, mais leurs objections ont été ignorées.
Afin de les préparer à être de nouveau scellés dans la chambre, les sujets ont été connectés à un moniteur électroencéphalographique, et leurs liens ont été renforcés pour un confinement à long terme. À la surprise générale, ils ont tous les trois arrêté de se débattre au moment où quelqu'un a laissé échapper qu'on allait les remettre dans le gaz. Il était évident qu'à ce moment, ils avaient énormément de mal à rester éveillés. Un des sujets qui pouvait parler fredonnait d'une voix forte et sans s'arrêter ; le sujet muet appuyait ses jambes de toutes ses forces, d’abord la droite, puis la gauche, puis de nouveau la droite, afin d’avoir quelque chose sur quoi se concentrer. Le dernier sujet gardait sa tête au-dessus de son oreiller et clignait des yeux rapidement. Ayant été le premier à avoir été relié à l’électroencéphalogramme, la plupart des chercheurs observaient ses ondes cérébrales avec surprise. Elles étaient normales la plupart du temps, mais affichaient parfois inexplicablement une simple ligne. C’était comme s'il subissait plusieurs morts cérébrales, avant que tout ne redevienne normal. Comme ils se concentraient sur le papier qui sortait du moniteur, seule une infirmière a vu ses paupières se fermer au moment où sa tête est retombée sur son oreiller. Ses ondes cérébrales se sont immédiatement muées en celles du sommeil profond, puis la ligne droite est apparue pour la dernière fois, alors que son cœur s’arrêtait.
Le seul sujet restant en état de parler s’est mis à crier pour être scellé immédiatement. Ses ondes cérébrales montraient les mêmes lignes droites que celui qui était mort après s’être endormi. Le commandant a donné l’ordre de sceller la chambre avec les deux sujets à l’intérieur, ainsi que trois chercheurs. Un des trois qui ont été nommés a immédiatement sorti son revolver et tiré une balle entre les deux yeux du commandant, puis a retourné son arme contre le sujet muet, lui faisant également sauter la cervelle.
Il a ensuite pointé son arme vers le sujet restant, toujours attaché au lit tandis que les membres restants de l’équipe médicale et de recherche fuyaient la pièce. « Je ne me laisserai pas enfermer là-dedans avec ces choses ! Pas avec vous ! a-t-il crié à l’homme attaché à la table. QU’EST-CE QUE VOUS ÊTES ? a-t-il demandé. Je dois le savoir ! »
Le sujet a souri.
« Est-ce que vous avez oublié si facilement ? a répondu le sujet. Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui est cachée dans chacune d’entre vous, suppliant d’être libérée à tout moment dans votre esprit animal. Nous sommes ce dont vous vous cachez toutes les nuits dans vos lits. Nous sommes ce que vous réduisez au silence et à la paralysie lorsque vous rejoignez le paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »
Le chercheur a marqué un arrêt. Puis il a visé le cœur du sujet et a fait feu. L’électroencéphalogramme a alors affiché une ligne droite, tandis que le sujet s’étranglait, laissant faiblement échapper quelques mots : « Si… près d’être… libre… »
Le 13 mars 2018 à 00:44:43 JimmySeptFois a écrit :
Creepy pasta très connu de l’expérience Russe sur le sommeilDurant la fin des années 1940, des chercheurs russes ont gardé cinq personnes éveillées pendant quinze jours en utilisant un gaz expérimental basé sur des stimulants. Ils étaient enfermés dans un environnement scellé afin de pouvoir contrôler leur consommation d’oxygène de manière à ce que le gaz ne les tue pas, étant donné qu’il était toxique à partir d’une concentration élevée. Cela a eu lieu avant l’invention des caméras en circuit fermé, ils n’avaient donc que des microphones et des fenêtres de verre épais d’une douzaine de centimètres en forme de hublot qui permettaient de les surveiller. La chambre était équipée de lits d’appoint sans literie, de l’eau courante et de toilettes, et contenait des livres et suffisamment de nourriture sèche pour qu’ils puissent tenir à cinq pendant plus d’un mois.
Les sujets de test étaient des prisonniers politiques jugés ennemis de l’État durant la Seconde Guerre Mondiale.
Tout s’est bien passé pendant les cinq premiers jours ; les sujets ne se plaignaient que rarement, car on leur avait promis qu’ils seraient libres s’ils acceptaient de subir le test et de ne pas dormir pendant trente jours (bien que la libération fût hors de question). Leurs conversations et leurs activités étaient surveillées, et on a pu noter qu’ils ne parlaient que d’incidents de plus en plus traumatisants dans leur passé, le ton de la conversation devenant beaucoup plus sombre après le quatrième jour.
Au bout de cinq jours, ils ont commencé à se plaindre à propos des circonstances et des événements qui les avaient menés là où ils se trouvaient et à montrer des signes de paranoïa sévère. Ils ont arrêté de se parler et, à la place, se sont mis à parler aux microphones ou aux miroirs sans tain des hublots. Curieusement, ils semblaient penser pouvoir gagner la confiance des expérimentateurs en se retournant contre leurs camarades, les autres sujets de test en captivité avec eux. Les chercheurs ont tout d’abord supposé qu’il s’agissait d’un effet du gaz…
Après neuf jours, le premier d’entre eux a commencé à crier. Il courait sur la longueur de la chambre en hurlant à pleins poumons pendant trois heures sans discontinuer, et a ensuite essayé de ne pas s’arrêter, mais il n’arrivait qu’à produire de temps à autre de petits couinements. Les chercheurs ont pensé qu’il s’était déchiré les cordes vocales. Le plus surprenant dans ce comportement, c’est la manière dont les autres sujets ont réagi… ou plutôt n’ont pas réagi. Ils ont continué à murmurer à l’attention des microphones jusqu’à la seconde où les cris ont commencé. Deux des captifs qui ne criaient pas ont alors désossé les livres, ont enduit toutes les pages avec leurs propres excréments et les ont collées sur le verre des hublots. Les cris se sont rapidement arrêtés.
Les murmures adressées aux micros également.
Trois jours se sont écoulés. Les chercheurs vérifiaient les micros chaque heure pour être sûrs qu’ils fonctionnaient, car ils pensaient qu’il était impossible que cinq personnes enfermées dans une pièce ne produisent aucun son. La consommation d’oxygène dans la chambre indiquait qu’ils devaient être tous les cinq en vie. En fait, elle correspondait à la quantité d’oxygène que cinq personnes consommeraient pendant un exercice physique extrêmement ardu. Le matin du quatorzième jour, les chercheurs ont fait quelque chose qu’ils avaient dit qu’ils ne feraient pas pour obtenir une réaction des captifs: ils ont utilisé l’interphone de la chambre, espérant provoquer une quelconque réponse des détenus. Ils avaient peur qu’ils soient morts ou dans un état végétatif.
Ils ont annoncé: « Nous allons ouvrir la chambre pour tester les microphones ; restez loin de la porte et allongez-vous sur le ventre par terre, ou vous serez abattus. Si vous respectez ces règles, l’un de vous gagnera sa liberté. »
À leur grande surprise, ils ont entendu une seule phrase prononcée d’une voix calme : « Nous ne voulons plus être libérés. »
Des débats ont éclaté entre les chercheurs et les forces militaires qui finançaient le projet. Comme il était impossible d’obtenir d’autres réponses en utilisant l’interphone, il a finalement été décidé que la porte de la chambre serait ouverte à minuit le quinzième jour.
La chambre a été vidée du gaz stimulant et remplie avec de l’air frais, et des voix provenant des micros ont immédiatement commencé à protester. Trois voix différentes ont commencé à supplier, comme s’il en allait de la vie de l’amour de leur vie, de remettre le gaz. La chambre a été ouverte et des soldats ont été envoyés à l’intérieur pour retrouver les sujets de test. Ils ont commencé à hurler plus fort que jamais, et les soldats ont rapidement fait de même lorsqu’ils ont vu ce qui était à l’intérieur. Quatre des cinq sujets étaient toujours vivants, bien que l’état dans lequel ils étaient ne fût pas qualifiable de « vivant ».
Les rations de nourriture des cinq jours précédents n’avaient pas été touchées. Il y avait des morceaux de chair des cuisses et du torse du sujet mort enfoncés dans le drain au centre de la chambre, le bouchant, et permettant à une dizaine de centimètres d'eau de s’accumuler sur le sol. La portion de cette eau qui était composée de sang n’a pas été déterminée. Les quatre sujets « survivants » avaient également de grandes portions de muscles et de peau arrachés de leur corps. La destruction de la chair et les os à l’air libre sur leurs doigts indiquaient que les blessures avaient été infligées à la main, et non avec les dents, comme les chercheurs l’avaient pensé au début. Des observations plus précises de la position et de l’angle des blessures ont montré que la plupart des blessures, si ce n’était toutes, avaient été infligées par eux-mêmes.
Les organes abdominaux sous la cage thoracique des quatre sujets avaient été retirés. Alors que le cœur, les poumons et le diaphragme étaient restés en place, la peau et la plupart des muscles attachés aux côtes avaient été arrachés, permettant de distinguer les poumons à travers les côtes. Tous les vaisseaux sanguins et les organes étaient intacts, ils avaient simplement été retirés et posés par terre, répartis autour des corps éviscérés, mais toujours vivants, des sujets. L’appareil digestif des quatre sujets pouvait être observé en fonctionnement, digérant de la nourriture. Il a été très vite clair qu’ils digéraient leur propre chair, qu’ils avaient arrachée et dévorée durant les jours précédents.
La plupart des soldats étaient des Russes d’un commando spécial affecté à l’installation, mais la plupart ont refusé de retourner dans la chambre pour en sortir les sujets test. Ces derniers continuaient de crier pour qu’on les laisse dans la chambre et suppliaient qu’on remette le gaz pour qu’ils ne s’endorment pas.
À la surprise de tout le monde, les sujets ont livré un combat violent lorsqu’on les a fait sortir. Un des soldats russes s’est fait déchirer la gorge et en est mort, un autre en est sorti gravement blessé, après s’être fait arraché les testicules et perforer une artère d’une de ses jambes par les dents d’un sujet. Cinq autres soldats ont perdu la vie si l’on compte ceux qui se sont suicidés dans les semaines suivant l’incident.
Pendant le combat, la rate de l’un des sujets vivants s’est rompue et il s’est vidé de son sang presque immédiatement. Les chercheurs médicaux ont tenté de l’endormir, mais cela s’est révélé inutile. On lui a injecté plus de dix fois la dose maximale pour un humain d’un dérivé de la morphine, et il continuait de se battre comme un animal enragé, brisant les côtes et les bras d’un des docteurs. On a pu constater que le cœur a continué à battre pendant deux minutes entières après que l’hémorragie l’ait amené à un point où son système vasculaire était rempli avec davantage d’air que de sang. Même après qu’il se soit arrêté, il a continué de crier pendant trois minutes, s’efforçant d’attaquer quiconque venait à portée et répétant continuellement le mot « PLUS », de plus en plus faiblement, jusqu’à ce qu’il soit réduit au silence.
Les trois sujets test survivants ont été immobilisés et transportés dans une installation médicale, les deux ayant leurs cordes vocales encore intactes continuant de supplier le retour du gaz pour rester éveillés…
Celui des trois ayant le plus de blessures a été emmené dans le seul bloc opératoire dont l’installation disposait. Durant la procédure devant le préparer pour le replacement de ses organes internes, il s’est révélé immunisé aux sédatifs qui lui ont été administrés dans le but de le mettre en condition pour l’intervention chirurgicale. Il se débattait furieusement contre ses liens lorsque le gaz anesthésiant a été apporté pour le mettre hors de combat. Il a réussi à déchirer la quasi-totalité d’un bandeau de cuir épais de dix centimètres attaché à un de ses poignets, même avec le poids d’un soldat de quatre-vingt-dix kilos qui essayait de maintenir ce poignet immobile. Une quantité juste supérieure à la normale a été nécessaire pour l’endormir, et à la seconde où ses paupières se sont fermées, son cœur s’est arrêté. Pendant l’autopsie du sujet test qui est mort sur la table d’opération, il a été révélé que son sang contenait trois fois la concentration normale d’oxygène. Les muscles qui étaient toujours attachés à son squelette étaient affreusement déchiquetés et il s’était brisé neuf os dans sa lutte pour ne pas être maîtrisé. La plupart à cause de la force que ses propres muscles avaient exercé sur eux.
Le second survivant avait été le premier du groupe à commencer à crier. Ses cordes vocales étant détruites, il était incapable de supplier ou de protester contre l’opération, et il n'a réagi qu’en secouant violemment la tête pour montrer sa désapprobation lorsque le gaz anesthésique a été amené près de lui. Il a secoué la tête pour faire oui lorsque quelqu'un a suggéré, à contrecœur, d’essayer l’opération sans anesthésie, et n’a pas réagi pendant les six heures qu’ont nécessité le replacement de ses organes abdominaux et la tentative de les recouvrir avec ce qu’il restait de peau. Le chirurgien présidant l’intervention n’arrêtait pas de répéter qu’il devrait être médicalement impossible pour le sujet d’être encore en vie. Une infirmière terrifiée qui assistait à l’opération a affirmé qu’elle avait vu la bouche du patient former un sourire plusieurs fois, à chaque fois que ses yeux croisaient les siens.
Lorsque la chirurgie a pris fin, le sujet a regardé le chirurgien et a commencé à siffler fortement, essayant de parler en se débattant. Supposant que ce devait être important, le chirurgien a demandé à ce qu’on lui apporte un crayon et un calepin afin que le patient puisse écrire son message. Il était simple. « Continuez à couper ».
Les deux autres sujets tests ont subi la même intervention, tous les deux sans anesthésie. Cependant, il a été nécessaire de leur injecter un paralysant pendant la durée de l’opération. Le chirurgien n'arrivait pas à effectuer la chirurgie pendant que les patients riaient continuellement. Une fois paralysés, les sujets pouvaient seulement suivre les médecins des yeux. Le paralysant a été éliminé de leur système après une période anormalement courte et ils ont rapidement essayé de s'échapper. Au moment où ils ont pu recommencer à parler, ils ont recommencé à demander le gaz stimulant. Les chercheurs ont essayé de leur demander pourquoi ils s'étaient infligé ces blessures, pourquoi ils avaient arraché leurs propres entrailles et pourquoi ils voulaient de nouveau le gaz.
La seule réponse qui a été donnée était: « Je dois rester éveillé ».
Les liens des trois sujets ont été renforcés et ils ont été replacés dans la chambre en attendant de savoir ce qu’on allait faire d’eux. Les chercheurs, faisant face à la colère des « bienfaiteurs » militaires à cause de leur incapacité à atteindre le but qu’ils leur avaient fixé, ont pensé à les euthanasier. L'officier commandant, un ancien agent du KGB, a, au contraire, vu du potentiel en eux, et a voulu voir ce qui se passerait si on les replongeait dans le gaz. Les chercheurs s'y sont formellement opposés, mais leurs objections ont été ignorées.
Afin de les préparer à être de nouveau scellés dans la chambre, les sujets ont été connectés à un moniteur électroencéphalographique, et leurs liens ont été renforcés pour un confinement à long terme. À la surprise générale, ils ont tous les trois arrêté de se débattre au moment où quelqu'un a laissé échapper qu'on allait les remettre dans le gaz. Il était évident qu'à ce moment, ils avaient énormément de mal à rester éveillés. Un des sujets qui pouvait parler fredonnait d'une voix forte et sans s'arrêter ; le sujet muet appuyait ses jambes de toutes ses forces, d’abord la droite, puis la gauche, puis de nouveau la droite, afin d’avoir quelque chose sur quoi se concentrer. Le dernier sujet gardait sa tête au-dessus de son oreiller et clignait des yeux rapidement. Ayant été le premier à avoir été relié à l’électroencéphalogramme, la plupart des chercheurs observaient ses ondes cérébrales avec surprise. Elles étaient normales la plupart du temps, mais affichaient parfois inexplicablement une simple ligne. C’était comme s'il subissait plusieurs morts cérébrales, avant que tout ne redevienne normal. Comme ils se concentraient sur le papier qui sortait du moniteur, seule une infirmière a vu ses paupières se fermer au moment où sa tête est retombée sur son oreiller. Ses ondes cérébrales se sont immédiatement muées en celles du sommeil profond, puis la ligne droite est apparue pour la dernière fois, alors que son cœur s’arrêtait.
Le seul sujet restant en état de parler s’est mis à crier pour être scellé immédiatement. Ses ondes cérébrales montraient les mêmes lignes droites que celui qui était mort après s’être endormi. Le commandant a donné l’ordre de sceller la chambre avec les deux sujets à l’intérieur, ainsi que trois chercheurs. Un des trois qui ont été nommés a immédiatement sorti son revolver et tiré une balle entre les deux yeux du commandant, puis a retourné son arme contre le sujet muet, lui faisant également sauter la cervelle.
Il a ensuite pointé son arme vers le sujet restant, toujours attaché au lit tandis que les membres restants de l’équipe médicale et de recherche fuyaient la pièce. « Je ne me laisserai pas enfermer là-dedans avec ces choses ! Pas avec vous ! a-t-il crié à l’homme attaché à la table. QU’EST-CE QUE VOUS ÊTES ? a-t-il demandé. Je dois le savoir ! »
Le sujet a souri.
« Est-ce que vous avez oublié si facilement ? a répondu le sujet. Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui est cachée dans chacune d’entre vous, suppliant d’être libérée à tout moment dans votre esprit animal. Nous sommes ce dont vous vous cachez toutes les nuits dans vos lits. Nous sommes ce que vous réduisez au silence et à la paralysie lorsque vous rejoignez le paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »
Le chercheur a marqué un arrêt. Puis il a visé le cœur du sujet et a fait feu. L’électroencéphalogramme a alors affiché une ligne droite, tandis que le sujet s’étranglait, laissant faiblement échapper quelques mots : « Si… près d’être… libre… »
Nan mais mec tout est dans le titre creepypasta. C'est une histoire inventée. Donc faut arrêter de polluer l'espace de discu avec des débilités de ce genre...
Ce genre de topic ou tu te rend bien compte qu'il y a un nombre conséquent de débile profond sur ce forum
Incapable de lire un article ou de réfléchir de manière logique à la condition de x ou y personnes, les autres pucix au RSA qui commente "bien fait fallait pas être con" alors qu'ils en branlent pas une de leurs journée depuis 3 ans
L'élite
la vidéo dailymotion en 3 parties avec les alpinistes qui survivent
la dernière partie qui fait office de film d'horreur
Le 13 mars 2018 à 02:07:30 Tournemol a écrit :
ça fait +2h que je suis sur le topic et que je parcoure les différents liens/vidéos, depuis la première page
la vidéo dailymotion en 3 parties avec les alpinistes qui survivent
la dernière partie qui fait office de film d'horreur
Pareil khey
Le 13 mars 2018 à 02:14:09 Bonjourlesquais a écrit :
Le 13 mars 2018 à 02:07:30 Tournemol a écrit :
ça fait +2h que je suis sur le topic et que je parcoure les différents liens/vidéos, depuis la première page
la vidéo dailymotion en 3 parties avec les alpinistes qui survivent
la dernière partie qui fait office de film d'horreurPareil khey
ça fait plaisir de voir des topics comme ça en tout cas
je m'en souviendrai de cette soirée
Ensuite ils pouvaient lui casser les jambes et le libérer nan ?
La plus atroce reste mourrir puceau 😁
je compatis, ça a dû être une mort horrible mais je pige pas qu' on puisse être assez con pour aller se foutre dans un coin pareil tout seul
Ca me rapelle quand j' étais gosse, je m' étais coincé la tête dans une chaise pendant 30 min max (oui une chaise ) et j' ai cru que j' allais y rester c' était horrible, alors là j' ose même pas imaginer
le désespoir putain
[22:53:26] <jean-racailloux>
Le 12 mars 2018 à 22:51:58 Kainey_lol a écrit :
Le 12 mars 2018 à 22:46:55 audio-technica a écrit :
Autre histoire, la mort d'Omayra SanchezTremblement de terre en 1985 en Colombie, cette fillette s'est retrouvée bloquée dans l'eau avec des débris bloquant tout le bas de son corps. Le cadavre de sa tante était aussi au niveau de ses pieds. Les secours n'ont jamais pu bouger les débris, la petite est morte d'épuisement devant les habitants, journalistes et caméras.
Les mecs ont ramené des journalistes au lieu de moyen pour la dégager. J'adore ce monde.
bfm tv 1er sur l'information
on vient de lui filer à boire, c'est la sécheressenon sérieux une jambe ça se décoince ils ont jamais fait d'apnée
Ils ont bien dû extraire le corps un jour non?
par contre je peu pas m' empêcher de rire en l' imaginant se faufiler en glissant comme un ver de terre, tout seul dans des crevasses pas plus grandes que des tuyaux de canalisation, tout ça en descendant à la verticale dans le noir, jusqu' au point le plus étroit, puis l' entendre lâcher des ptits "gngngn ah zut! Me voila dans de beaux draps"
Puis au bout de 48h, sortir le famoso "tampis je meurs"
Le 13 mars 2018 à 03:55:54 FckinNormies a écrit :
par contre je peu pas m' empêcher de rire en l' imaginant se faufiler en glissant comme un ver de terre, tout seul dans des crevasses pas plus grandes que des tuyaux de canalisation, tout ça en descendant à la verticale dans le noir, jusqu' au point le plus étroit, puis l' entendre lâcher des ptits "gngngn ah zut! Me voila dans de beaux draps"Puis au bout de 48h, sortir le famoso "tampis je meurs"
Données du topic
- Auteur
- audio-technica
- Date de création
- 12 mars 2018 à 22:10:14
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