[FIC] Ta Grand-mère et moi.
Le 07 février 2018 à 22:25:51 Toystealer a écrit :
Le 07 février 2018 à 22:24:44 bepis a écrit :
Le 07 février 2018 à 14:41:59 WaitingForAName a écrit :
Qu'est-ce que tu as contre les supporters de Metz ?Sinon je vote 3.
Content de revoir la fic avancer :D
Ah la base
Si tu parles du famoso h qui c'est collé dans le message je ne sais comment, il est apparut là je ne sais comment.
1 et B
Il est au courant du pari, et cela ne m'étonnerait pas qu'il fasse du chantage. . .
Sinon je votes B.
1) et A).
-Non mais allez, fait pas ton radin! Il n'y en a que pour toi! Moi aussi je veux vivre des aventures trépidantes, bouyave de la Maltaise et faire des choix! Surtout le dernier truc qui m'intéresse... Faire des choix!
Ça change de Tarene qui se moquait de Clito pour ses interminables réflexions.
Si jamais vous les voulez les quais, demandez moi en MP le temps que je reupload le tout.
ça lui apprendra à salir l'honneur des sœurs Strudel.
Le 08 février 2018 à 02:14:40 Sozion a écrit :
Je votes 1, avec Marius en plus aux buraux ce sera bien drôle.
Sinon je votes B.
Il va tomber amoureux de la Célestine à tout les coups, sauf s'il n'est pas déjà en kiffe sur Cassandre.
(On se demande tous la raison du up)
Chapitre 4: Picsou Magazine
Partie 02:
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-Bon allez Phil, n'oublies pas, rendez-vous à onze heure dans mon bureau pour la planification de notre première darka commune!
Monsieur Safardi, maitre du Picsou Magazine m'abandonna donc pour reprendre ses occupations habituelles d'homme d'affaires rachetant tout sur son passage. J'étais assis dans un bureau vide, mon bureau. Vide car c'était bien évidemment à moi de me trouver du mobilier à la hauteur du reste du bâtiment. Ne voulant travailler, j'avais tout de même allumé mon ordinateur, ayant en tête de me faire une petite liste des choses à ramener dans cette pièce pour montrer à travers mes affaires à quel point j'étais cool et branché. Paris en ce temps-là ne misait que sur les apparences, c'était quelque chose que j'avais rapidement appris ici.
-Alors comme ça on va se faire une "darka" avec le patron?
Ayant a peine eu le temps de rédiger mon premier mot sur le traitement de texte que ma collègue du bureau d'à côté m'interpella sur un ton diaboliquement ironique. La porte joignant nos deux bureaux fut restée ouverte durant ma conversation avec le père d'Audrey et Poppy avait tout entendue. J'aurais pu lui répondre le plus simplement du monde mais sa pause de chaudière me trouble au plus haut point. Assise sur sa chaise, elle avait un crayon en bouche et sa cuisse était en avant de façon à ce que je pus entrevoir furtivement la dentelle de ses bas.
Beaucoup moins sexy, elle avala un quart du crayon dans une grimace simiesque pour ensuite me le propulser jusqu'à mes pieds.
-Ne t'en fait pas hein, je m'en moque que tu sois un pistonné.
Me répondit-elle de son sourire Britannique.
-C'est juste que le patron me prend pour un fana de sensations forte. Tout à l'heure je vais devoir le rejoindre pour planifier un truc de ouf et je suis déjà en train de me faire dessus.
Mes mains tremblaient déjà comme celles d'un vieillard alors que je n'avais même pas évoqué à cette journaliste ce que le père d'Audrey faisait faire à Jean-Luc Mélenchon.
Elle se leva, franchit la frontière entre nos deux bureaux, se déplaça dans ma direction et m'effectua un massage sensuel des épaules dans l'unique but, selon elle, de me déstresser. Son objectif ne fut qu'à moitié accomplie car si mes épaules se détendirent, d'autres parties de mon corps répondirent à notre contact physique. Puis elle me tapota deux fois l'épaule droite en me rappelant qu'on était voisin de bureau et que si jamais le succès m'atteignait, que je ne devais point oublier la charmante Poppy.
-C'était... Étrange... Je vais me chercher un café.
-A tout de suite alors, voisin de bureau.
L'entre-jambe en fusion, travailler était désormais exclu. Ce fut pour cette raison que je me rendis ensuite à la machine à café. J'avais grand besoin de me libérer les neurones, et si la caféine ne m’aidait pas à atteindre mon objectif, je pourrais toujours essayer cette machine à smoothie directement importée du Nigeria. Sur le chemin, j'eus jeté un simple coup d’œil au bureau de Déborah, dans la simple optique de converser avec une collègue qui n'était pas chaude comme la braise. Elle était en train de se lamenter sur son sort, tout en souriant et j'avais donc décidé de ne pas l’embêter.
-Fait comme Sarah Lou ta sœur qu'il disait... Deviens journaliste... Misère...
-Joyeuse comme la mort mais souriante, une vrai folle.
Une fois à la fameuse machine, j'eus la surprise de trouver Paul, le journaliste des faits divers. Il avait non pas une tasse, mais deux pichets de café en mains, ce qui pouvait expliquer bien des choses concernant son apparence ravagée et désabusée. On aurait dit un camé en manque fraichement réapprovisionné, mais ayant décidé d'en faire mon pote de journalisme, j'engageai la conversation avec lui.
Me demanda-t-il en tremblotant.
-Il s'est passé un truc chelou dans mon bureau.
-Ah? Poppy? Fait gaffe à elle, c'est une nympho. Askip elle ne faisait que de baiser comme une truie avec Jean, le mec qui était là avant toi... Avec Gulliver des pages sportives on pense que c'est pour ça que ce con s'est fait virer.
-Bizarrement je n'ai aucun mal à te croire, elle pue le zgeg à plein nez. Malheureusement, ce n'est pas le cas de l'autre?
-Déborah? Ne fait pas attention à elle. Elle a toujours été à la fois dark et souriante. C'est déstabilisant mais on s'y fait. Et puis ces derniers temps ça s'est aggravé. Avec Gulliver des pages sportives, on s'est dit que si elle est triste, c'est car ce fameux Jean qui était là avant toi s'est fait viré. On pense qu'elle était en kiffe sur lui mais qu'elle était trop timide pour le lui dire en face.
-Ce Gulliver des sports m'a l'air d'être une sacré commère...
-Ah mais tu ne crois pas si bien dire. En plus de son job normal, il tient une chronique interne: "Les ragots de Gulli" que ça s'appelle. Toutes les histoires de fesses et autres embrouilles y sont répertoriées à la lecture de tous, et il fait ça gratuitement en plus, c'est ça le pire. Si tu veux t'inscrire à la newsletter, demande lui c'est gratis.
Bien que le canard se voulait une réputation de référence dans le petit monde du journalisme d'investigation, on ne pourrait dire la même chose des employés. Sexe, rire, rire-sexe et trahison furent au programme de cette cours de récréation grandeur nature. Mon mat redevint mou à la simple idée que monsieur Safardi lise une dépêche de cette newsletter de commérage où il est raconté que l'on m'a attrapé la tête plongée dans les cuisse de ma voisine de bureau. Histoire de me changer les idées, la suite de notre conversation fut un poil plus professionnel.
-Et sinon, tu bosses dans quoi toi déjà?
Paul regarda à droite et à gauche, comme s'il avait peur d'être mis sur écoute. Il me chuchota ensuite:
-Tu parles genre de meurtre et tout?
Si ce pauvre homme était un grand stressé de la vie, l'explication se trouvait ici. Frayer avec la bassesse de ce monde avait dû le rendre fou. Stress, complots, paranoïa, tel était devenu la vie de Paul, le journaliste spécialiste de faits-divers sordide. Pour la deuxième fois en même pas une matinée, l'un de mes collègues se rapprocha dangereusement de moi. Non mon grand, ce n'était pas pour me séduire, mais pour me chuchoter un secret à l'oreille.
-A vrai dire je suis même sur un gros coup-là. Tu veux que je te montre?
-Eh bien oui, je veux bien te suivre. Avec un peu de chance les ardeurs de l'autre folle vont se calmer si je mets longtemps à revenir.
Laissant tomber l'un de ses pichets sur le sol, Paul m'attrapa par la main et m’emmena dans son bureau. il verrouilla la porte à l'aide de ses trois cadenas. Son bureau était plongé dans l'obscurité. Lorsqu'il alluma sa lampe de bureau, je découvris une décoration digne de celle d'un adolescent, avec de nombreux posters tous plus complotistes les uns que les autres sur les murs. Le reporter s'agenouilla, ouvrit ce qui ressemblait à un coffre d'encastré dans le sol et me montra un dossier épais comme la perversité du genre humain.
-Je suis sur un gros coup-là, sur un gros coup-là...
-Je viens de découvrir qu'un gros nom de la chanson Française des années soixante a une fille cachée! Et le pire dans cette histoire c'est qu'il l'a eu avec une mineure! J'ai des preuves et tout!
-C'est une exclusivité Picsou Magazine! On va être riche et célèbre! Enfin sauf si on me vole l'affaire comme l'autre fois.
-Comment ça l'autre fois, ce genre de truc arrive souvent?
-Tu te souviens de l'affaire Fillon? C'est bibi qui l’avais découverte!
-Arrêtes ton char, c'est le canard enchainé qui a publié ça!
-Non mais genre un journaliste de sport auto a découvert ça tout seul?! Tu y as cru? Cet enfoiré de hipster à lunette m'a volé mon travail! Le Cone je te déteste!
Chapitre 4: Picsou Magazine
Partie 02-T:
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(Cette sweet est une retranscription de la conversation que Philandrin et Marius ont eu sur I message pendant la sweet 02 du chapitre 04).
-Je ne te crois toujours pas... Envoie-moi un MMS des locaux comme preuve?
-Tiens, voici la photo. (Sérieux, il y a une déjà une collègue qui me fait du rentre dedans... La meuf elle me montre ses cuisses oklm. C'est une anglaise...).
-Baise-là gros. Pour le pari et pour Germain!
-Justement pour le pari, je me tâte, maintenant je sors avec la fille de mon nouveau patron. Tu sais si ça se sait que je la trompe je vais probablement me faire virer, ou même pire encore...
-Si tu arrêtes le pari il va probablement t'arriver la même chose aussi...
-Mais ne le prends pas comme une menace de ma part hein?
Surtout que tu bosses au Picsou Magazine maintenant...
-Accouche bordel! (Putain la seconde fille avec qui je bosse dans deux mois grands max elle se tire une balle! Elle est au bord du gouffre la pauvre ).
-Vu que tu sors avec la fille du proprio... Tu peux m'avoir un job steuplait?
-Je veux bosser au Picsou Magazine aussi!
-Opportuniste! Non mais je ne le crois pas lui!
-Non mais allez, fait pas ton radin! Il n'y en a que pour toi! Moi aussi je veux vivre des aventures trépidantes, bouyave de la Maltaise et faire des choix! Surtout le dernier truc qui m'intéresse... Faire des choix!
-Ba tu m'avais pas dit que tu avais "bouyave" les soeurs Strudel chez Michou l'autre soir? Toi aussi tu en vis des aventures!
-J'ai mytho pour impressionner Cassandre mec. Je suis méga pucix en vrai. Allez, trouve moi un job sympa, une bonne planque. Je te rappelle que je suis un expert en informatique, il doit bien y avoir une rubrique dédiée!
-Pourquoi tu voudrais impressionner Cassandre?
Mais que vas-tu décider de faire?
- 1) Tu acceptes de pistonner Marius.
- 2) Tu refuses, qu'il se trouve un meilleur job par lui-même.
De plus, Marius n'a pas l'air très net au sujet de la fameuse Cassandre. Pourquoi voudrait-il l’impressionner?
- A) Tu lui mets un coup de pression au sujet de ton amie d'enfance, histoire qu'il ne se fasse pas de film.
- B) Tu laisses couler, en bon ami que tu es.
Le 08 février 2018 à 02:25:29 culdevados a écrit :
Il va tomber amoureux de la Célestine à tout les coups, sauf s'il n'est pas déjà en kiffe sur Cassandre.
A tous les coups ce n'est qu'un quiproquo.
Données du topic
- Auteur
- bepis
- Date de création
- 23 décembre 2017 à 21:53:32
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