[FIC] Ta Grand-mère et moi.
Le 24 janvier 2018 à 22:05:54 Toystealer a écrit :
Le 24 janvier 2018 à 22:05:05 bepis a écrit :
Voici le résultat final des votes
- 1) II
- 2) IIIIIIIII
- 3) IIII
Pour commencer, un merci au maitre compteur. Puis la réponse 2) est la gagnante! Prochaine sweet aux alentours de deux heures du matin.
Bah vu que je suis pas mal absentéiste ces derniers temps il essaye de s'assurer que je vais pas me barrer
Mon écriture et mise en forme de la sweet est ralentie par l'absence de Risibank.
Chapitre 3: Paris, ville opportuniste
Partie 08:
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Tous les clients ainsi que le personnel avaient fui le bâtiment en courant. De ma position qui était pourtant assez éloignée de la porte de sortie, je pouvais quand même entendre nombre de pneus qui crissaient, signe que la panique fit perdre la raison à la masse et qu'ils s'étaient rués sur la route.
En dehors du monstre, il ne restait plus que quatre âmes encore en vie: La fille au bras cassé, le pauvre vigile au moignon sanglant, un vieil homme au sourire paternaliste et moi-même. Nous étions tous tétanisés, nous ne savions que faire. Devions-nous nous battre pour notre vie? Ou bien attendre l'intervention des forces de l'ordre? Heureusement pour notre petit groupe de survivant, l'homme aux cheveux grisonnant et au sourire bienveillant se sentait l'âme d'un chef. Il me donna donc de précieuses instructions à suivre.
-Foncez secourir cette fille bon Dieu!
La pauvre blonde était affalée sur le sol. Tout en m'agenouillant, je la pris dans mes bras. Elle soupira de douleur et me déclara qu'elle ne sentait plus son bras. Il n'aurait pu en être autrement, je le sentais bel et bien son membre, et il me semblait que l'un de ses os se faisait sérieusement la malle. Elle me regarda d'un air faible. Je n'avais jamais tenue une personne à l'article de la mort dans mes bras, les larmes m’inondèrent les yeux.
-Ne chiale pas! Va lui casser la gueule à cette grosse vache!
-Oui mec, allez, va lui faire bouffer ses dents!
Ce satané vigile à la voix stridente façon Eddy Murphy était en train de ruiner notre moment émotion. J'aurais pu lui dire de se taire, mais vu les circonstances, cela aurait peut-être énervée Magalie, occupée dans le fond à manger un régiment de crabe encore vivants.
Son regard bleu se vidait de secondes en secondes.
-Gaby, ne nous quitte pas. Une fois tout ce bazar de terminé, je t’invite au resto, compris?
Elle toussota violemment et déclara d'une voix de plus en plus faiblarde:
-Crétin! Je ne vais pas mourir à cause d'un bras cassé! Je suis simplement entrain de m'évanouir. Monde de merde!
Gaby quitta ce monde de manière temporaire et son visage s’apaisa. Tout en contemplant avec stupeur le spectacle que nous offrait Magalie, je caressai tendrement les cheveux de cette jeune fille évanouie car j'estimais qu'il ne restait plus que cela à faire. Le vieil homme à côté de moi ne l’entendait pas de cette oreille et me poussa à aller me battre.
-Jeune homme. Elle a estropié le bras de votre dulcinée et presque faillit vous noyer. Cette cause vous semble-t-elle perdue?
-Oui. Je ne suis qu'un homme, elle, c'est une montagne!
-Réclamez vengeance! Méritez votre coït avec cette chère Gaby! Allez lui refaire le portrait malheureux, et que ça saute!
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/!\ Rencontre Psycopathe: Magalie Gordo, maitresse de la gourmandise. /!\
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https://www.youtube.com/watch?v=qupswFhMCxI
Si certaines paroles valent mieux que des actes, celle-ci me motivèrent à passer à l'action. Déposant délicatement dans un premier temps la tête de l'évanouie sur le sol, je pris pied sur un genou, puis l'autre. Debout, l'air des climatiseurs me caressant la nuque et me décoiffant légèrement, j'étais prêt. Je tendis alors ma main en direction du golem de graisse. Deux rapide va et vient de mes doigts suffirent à lui faire comprendre que je voulais en découdre.
-De retour le blancos? Une noyade ne t'a pas suffi?
-Tu veux que je m'excuse, c'est ça?
Prenant son inspiration à plein poumon, elle me cracha d'imposants projectiles par le biais de son immonde gueule engluée de fruits de mer. Esquivant tout en me projetant sur le sol, ce ne fut que quelques secondes plus tard que je compris qu'elle était en train de m'envoyer telle une mitrailleuse chacun des os de la main du vigile qu’elle avait précédemment dévoré.
Le plus dur lors de cet affrontement fut de s'approcher de cet immonde tas de graisse ambulant. Le buffet lui proposait en réalité toute une panoplie de projectile pour m'empêcher de l'approcher. De nombreuses assiettes se cassèrent sur mon visage, une fourchette se planta sur ma cuisse, même une écrevisse encore en vie me pinça le lobe d'oreille. Et dire que j'allais devoir justifier toutes ces marques à ma petite amie... Même si tout cela était bien évidemment moins honteux et suspect que la trace d'un suçon sur le cou.
-Toujours la banane, toujours vivant!
Ce fut sur ces verres tirant leur origine d'un célèbre fabricant d'automobile que je me pris place furtivement devant elle. Tu aurais dû voir ton pépé à l’œuvre. Je n'étais pas réellement un expert en bagarre en ce temps-là, mais mon jeu de jambe faisait tout de même baver d'envie ce pauvre vigile affalé plus loin sur le sol. Ce ne fut pas non une, ni deux, mais bel et bien trois baigne qui atteignirent Magali en plein visage. Ce dernier était gras, adipeux et ignoble au touché. Même sortir un sac poubelle juteux de son conteneur aurait été plus agréable que de taper de gros sac à viande.
Son cerveau étant malheureusement enveloppé par une couche protectrice de graisse, mes coups furent malheureusement sans effet. En guise de riposte, elle m'attrapa. Une main me tenant par la nuque, l'autre par les roubignoles, elle m'envoya valdinguer une dizaine de mètre plus loin. Heureusement pour moi, mon atterrissage s'effectua sur une montagne de chips à la crevette. Ne rigole pas petit con, j'aurais pu perdre la vie si jamais elle m'avait envoyé me promener sur par exemple des ustensiles de cuisine.
J'aurais aimé me relever en un rien de temps et repartir à l'assaut. Mais mon souffle fut coupé et mon dos me faisait mal. Magali ne m'analysant plus comme une menace, elle repartit se remplir la pense, pompant le wasabi avec la même vigueur qu'un jeune rugbyman subissant un bizutage au vestiaire un soir de victoire.
-Je vais avoir la chiasse moi demain héhéhé!
Le vieil homme, lui, de son côté, me faisait un topo sur la situation du restaurant en temps réel, et elle n'était pas très réjouissante:
-Bon sang! Dépêchez-vous! Le restaurant commence à prendre feu!
J'aurais préféré qu'il en soit autrement mais le vieil homme avait raison. Le pauvre cuistot s'étant échoué sur son grill y était toujours, et son corps inerte commençait même à prendre feu. Et il n'y avait malheureusement pour nous aucun extincteur à proximité!
-C'est quoi ce bordel encore?!
Quel ne fut pas mon soulagement lorsque la police arriva! Tout ces officiers arrivèrent en faisant ce qu'il savait faire de mieux: Crier. Et il n'était pas trop tôt, je ne me sentais plus réellement capable de tenir tête à ce monstre après mon atterrissage sur une panoplie de chips aiguisés. Ils pouvaient prendre le relai s'il le voulait.
-Je brule des calories rien qu'en vous parlant, dégagez!
-Wesh cousine! Ta gueule on t'a dit!
L'un d'eux, un officier à lunette de soleil, avait son arme de braqué sur notre adversaire. Il semblait beaucoup plus tendu que les autres, ses mains furent même toute aussi tremblotantes que celle d'une personne âgée. Un homme asiatique à la carrure autoritaire, probablement son supérieur, lui conseilla de se calmer, mais son collègue était à la limite du nervous break down.
-Serpentini, tu m'as l'air stressé, tu as écouté mes albums d'ASMR comme je te l'avais conseillé?
-Désolé Julie, ça m'embête de te l'annoncer comme ça, mais je l'ai perdu ton ipod.
-C'était un Ipod Classic! Ça ne se fabrique même plus! Sale con! Toujours la même chose avec toi!
Les policiers ne faisaient même plus attention à ce qu'il se passait dans la salle. Ils n'avaient même pas remarqué le cadavre en flamme du pauvre jeune homme. Cette scène était plus surréaliste qu'une toile du maitre Dali.
-Vous me faites chier! Barrez-vous!
L'action s'enchaina en une dizaine de seconde montre digitale en main. A l'instant où l'officier nommé Serpentini appuya sur la gâchette, Magalie lui envoya une assiette à la vitesse de l'éclair. Cette dernière dévia l'arme de l'officier, qui se braqua sur le menton de son propriétaire et la balle commença sa route infernale, résultant en un suicide forcé du policier. Le pauvre homme c'était fait sauter sa propre tête à cause de Magali. De son crâne il n'en restait plus rien et son corps s'affala sur le sol en deux temps.
-Putain patron, c'est quoi ce délire? Elle l'a suicidé.
-Homme à terre! On se replie! On barricade la porte et on appelle le raid!
-Tu vas nous le payer grosse vache!
Et les forces de l'ordre partirent aussi vite qu'ils étaient arrivés, laissant lâchement le cadavre de leur ami sur le sol. Mais cet incident avait eu au moins deux mérites: J'avais pu récupérer mon souffle et Magalie était distraite, me tournant le dos. Regardant mes compagnons d'infortune, le vieil homme me supplia d'un simple conseil.
Je n'aurais probablement pas du l'écouter cette-fois ci car dans ma hâte Magali m’assomma à coup de chaudron.
-Je ne suis pas aussi débile que j'en ai l'air!
Je ne repris conscience qu'une dizaine de minutes plus tard, toujours selon ma montre. J'étais allongé, à côté de tout les autres. Les deux hommes à ma droite étaient complètement bâillonnés et ligotés par du scotch de couleur orange. En revanche, la pauvre Gaby, toujours inconsciente, était encore libre de toute attache.
-Laisse toi faire coquin héhéhé!
Le choc reçut sur la tête troubla ma vision à moyenne et longue distance. Mais je pouvais quand même voir ce que Magalie était en train de me faire. Elle me scotchait les pieds. D'un grand coup de talon, je lui brisa son nez et envoya valdinguer son rouleau dans les flammes grandissante du grill.
Magalie m’assomma une seconde fois.
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Mon crâne était lourd car le sang me montait à la tête. Ma respiration était hésitante mais en me concentrant ce n'était plus un problème réellement gênant. Il ne me fallut quand même quelques minutes pour réaliser que j'étais désormais dans une sorte de chambre froide, pendu par mes pieds scotchés, et entièrement nue. J'avais envie d'aller aux toilettes et cette position ne m'aidait pas réellement à me retenir. Quelle pénitence que je vivais! J'avais déjà décidé d'aller engueuler ce cher JET .M et son maudit Tinder HAX si jamais je me sortais de ce pétrin.
Mais mes espoirs s'amenuisèrent comme une peau de chagrin et la taille de mon sexe. Non pas à cause du froid de la chambre où j'étais pendu tête en bas, mais à cause de l'ambiance générale. Un bruit de scie électrique pouvait se faire entendre au loin, cela me terrifiait et me glaçait le sang. Mais moins que le fait que le vigile à ma gauche était lui aussi pendu par les pieds et que Gaby... La pauvre Gaby... Elle était suspendue elle aussi, mais la tête plantée dans un croc de boucher.
Pendant ma panique, la scie s'arrêta et des bruits de pas commencèrent à se faire entendre.
Mais que vas-tu bien pouvoir faire?
- 1) Tu attends que Magali te rejoigne.
- 2) Tu te fais pipi dessus. Étant suspendu par les pieds, ton urine touchera le sol. Cette dernière gèlera au contact du sol et pourra donc faire tomber l'horrible princesse Magali.
- 3) Tu essayes de te faire tomber en te balançant d'un côté à l'autre.
Si jamais la sweet est supprimée à cause de son ultra-violence où des nombreuses insultes policières, voici le lien alternatif:
Chapitre 3: Paris, ville opportuniste
Partie 08:
https://www.jeuxvideo.com/bepis/forums/message/908352671
Clito a jamais autant été dans la merde non?
Je vote 2) sinon, ça semble être un bon plan.
Bon je vote la 2 aussi
Le 25 janvier 2018 à 08:28:05 Risissous a écrit :
Je vote 2 plus la page 69 putain
Page érotique
Je vote 2, faisons basculer la vache obèse!
Khey Bepis il y a des chances pour qu'on ait rencontré Magalie dans ce resto si on avait choisi Gaby durant le vote des filles ?
Si c'est sûrement ma rencontre psychopathologie préférée avec la rencontre de l'acteur de genre Dominique Pinon et je vote 2.
Données du topic
- Auteur
- bepis
- Date de création
- 23 décembre 2017 à 21:53:32
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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