Des éditeurs refusent mon manuscrit
Le 20 décembre 2017 à 17:10:03 Gwotwousanfon a écrit :
D'ailleurs si je me trompe pas tu t'y connais en piston, n'est-ce pas ?
Je ne vois pas de quoi tu veux parler
Le 20 décembre 2017 à 17:12:25 HeroeDRomAsm a écrit :
Si vous estimez tenir une pépite et avoir du talent, et que malgré ça les maisons d'éditions font la fine bouche , pourquoi ne pas le publier gratuitement sur le net, sur une plateforme assez connu pour que la mèche prenne,le reste de la visibilité arrivera grâce aux qualités du livres ?
C'est ce que font souvent les concernés
Le 20 décembre 2017 à 17:14:40 Gwotwousanfon a écrit :
On a compris sur l'autre topic que t'étais du genre à polir la pierre brute yako
C'est toi qui l'as déduit ça
Le 20 décembre 2017 à 17:16:18 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:13:20 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:12:25 HeroeDRomAsm a écrit :
Si vous estimez tenir une pépite et avoir du talent, et que malgré ça les maisons d'éditions font la fine bouche , pourquoi ne pas le publier gratuitement sur le net, sur une plateforme assez connu pour que la mèche prenne,le reste de la visibilité arrivera grâce aux qualités du livres ?C'est ce que font souvent les concernés
En général à force et force de travailler et travailler sans cesse, si tu tiens réellement une pépite, ton livre passera s'il est vraiment bon.
L'erreur qu'on fait souvent en écriture, on a souvent tendance à se surestimer et à croire qu'on a produit quelque chose d'exceptionnel pour tout ce travail fournis et ces journées entières à écrire.
C'est mon avis aussi.
Je suis pas partisane de l'auto-édition (mais je pense que ça a ses avantages) et j'y préfère le compte d'éditeur classique.
Mais beaucoup finissent par s'y résoudre et on trouve de beaux livres auto-édités
Le 20 décembre 2017 à 17:19:35 Statikk a écrit :
J'ai l'impression qu'il avoir commencé à écrire jeune pour être très bon
Bof, c'est surtout que quand t'y appris goût très jeune, ça fait rapidement partie de ton "hygiène de vie". Perso j'écris tous les jours ou presque depuis le CM2... mais quand tu regardes à travail égal, y a pas de vraie différence. Surtout que ta sensibilité (littéraire, mais aussi ta sensibilité tout court) n'est mature qu'à un certain âge, donc c'est difficile d'atteindre son plein potentiel très tôt
Le 20 décembre 2017 à 17:17:21 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:16:18 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:13:20 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:12:25 HeroeDRomAsm a écrit :
Si vous estimez tenir une pépite et avoir du talent, et que malgré ça les maisons d'éditions font la fine bouche , pourquoi ne pas le publier gratuitement sur le net, sur une plateforme assez connu pour que la mèche prenne,le reste de la visibilité arrivera grâce aux qualités du livres ?C'est ce que font souvent les concernés
En général à force et force de travailler et travailler sans cesse, si tu tiens réellement une pépite, ton livre passera s'il est vraiment bon.
L'erreur qu'on fait souvent en écriture, on a souvent tendance à se surestimer et à croire qu'on a produit quelque chose d'exceptionnel pour tout ce travail fournis et ces journées entières à écrire.
C'est mon avis aussi.
Je suis pas partisane de l'auto-édition (mais je pense que ça a ses avantages) et j'y préfère le compte d'éditeur classique.Mais beaucoup finissent par s'y résoudre et on trouve de beaux livres auto-édités
Exactement, il n'y a pas tant de livre que ça qui sont bons et qui sont rejetés en bloc par les maisons d'édition, ( hormis sur des sujets sensibles tel que Nabukov les aimait)
Le problème de l'auto-édition c'est la disparité marketing de ton produit, c'est tout un travail d'assurer l'édition de ses ouvrages n’empêche, de l'impression jusqu'à la distribution. A moins de passer par un réseau exclusivement consacré à l'auto-édition comme Bénevent, et encore je sens que tu te fais pigeonner dans ce genre de contrat, tu touches presque rien.
Oui, après je ne peux que te rejoindre. il y a et aura toujours quelques histoires vraiment pas mal en auto-édition. Souvent c'est des histoires qui n’intéresseraient pas le grand public, mais plus un public de niche, d'où ce choix d'auto-édition. Ou parfois, c'est juste un pari risqué ou une foi aveugle en ton projet.
Le 20 décembre 2017 à 17:19:35 Statikk a écrit :
J'ai l'impression qu'il faut avoir commencé à écrire jeune pour être très bon
Pas forcément, mais ça aide et surtout ça s'apprend.
Ecrire, du moins dans la fiction, c'est mettre sur papier ton imagination, un produit brut basé sur l'essence même de ta vie et sa construction. Nous sommes tous différent et avons tous une conception du monde plus ou moins unique basé sur notre vécu personnel. Ce qui fait qu'un livre généralement peut être considérer comme "bon" c'est quand il allie à la perfection le fond et la forme.
La forme par exemple, c'est la stylisation (je caricature). Le fond, lui c'est unique et quelque chose d'inné, ta consistance narrative à l'état le plus brut. Je reste persuadé, qu'il est plus difficile pour quelqu'un d'acquérir une maitrise du fond que de la forme. Et c'est le problème (je trouve) de pas mal (pas tous) de best-seller d'aujourd'hui. Leurs auteurs savent écrire, mais traite leur sujet de manière souvent artificiel
Phillipe K. Dick, par exemple a commencé à écrire relativement tard, et ses premières œuvres étaient d'une bouillasse sans nom, infame à lire d'après les lecteurs de maisons d'édition et ses proches. Aujourd'hui peu d'écrivain de SF peuvent se targuer d'avoir autant travailler le fond que lui par exemple, pourtant il écrivait mal à ses débuts. Bon un mec parano sur sa fin de vie n'est peut être pas le meilleur exemple, mais j'ai plein d'autres exemple en poche
Le 20 décembre 2017 à 17:25:33 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:17:21 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:16:18 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:13:20 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:12:25 HeroeDRomAsm a écrit :
Si vous estimez tenir une pépite et avoir du talent, et que malgré ça les maisons d'éditions font la fine bouche , pourquoi ne pas le publier gratuitement sur le net, sur une plateforme assez connu pour que la mèche prenne,le reste de la visibilité arrivera grâce aux qualités du livres ?C'est ce que font souvent les concernés
En général à force et force de travailler et travailler sans cesse, si tu tiens réellement une pépite, ton livre passera s'il est vraiment bon.
L'erreur qu'on fait souvent en écriture, on a souvent tendance à se surestimer et à croire qu'on a produit quelque chose d'exceptionnel pour tout ce travail fournis et ces journées entières à écrire.
C'est mon avis aussi.
Je suis pas partisane de l'auto-édition (mais je pense que ça a ses avantages) et j'y préfère le compte d'éditeur classique.Mais beaucoup finissent par s'y résoudre et on trouve de beaux livres auto-édités
Exactement, il n'y a pas tant de livre que ça qui sont bons et qui sont rejetés en bloc par les maisons d'édition, ( hormis sur des sujets sensibles tel que Nabukov les aimait)
Le problème de l'auto-édition c'est la disparité marketing de ton produit, c'est tout un travail d'assurer l'édition de ses ouvrages n’empêche, de l'impression jusqu'à la distribution. A moins de passer par un réseau exclusivement consacré à l'auto-édition comme Bénevent, et encore je sens que tu te fais pigeonner dans ce genre de contrat, tu touches presque rien.
Oui, après je ne peux que te rejoindre. il y a et aura toujours quelques histoires vraiment pas mal en auto-édition. Souvent c'est des histoires qui n’intéresseraient pas le grand public, mais plus un public de niche, d'où ce choix d'auto-édition. Ou parfois, c'est juste un pari risqué ou une foi aveugle en ton projet.
Après c'est aussi une philosophie, pour certains : s'affranchir de la notion de "contrat", ne pas dépendre d'un organisme, ne pas "faire rentrer son livre dans le capital"
Perso je pense que c'est bien pratique d'avoir un diffuseur, un chargé de com', un attaché de presse, une présence en salons, une présence sur les prix, une présence près de tes lecteurs en dédicace ou en librairie ok:
Mais certains ne voient pas l'édition comme ça aussi
Le 20 décembre 2017 à 17:33:18 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:19:35 Statikk a écrit :
J'ai l'impression qu'il faut avoir commencé à écrire jeune pour être très bonPas forcément, mais ça aide et surtout ça s'apprend.
Ecrire, du moins dans la fiction, c'est mettre sur papier ton imagination, un produit brut basé sur l'essence même de ta vie et sa construction. Nous sommes tous différent et avons tous une conception du monde plus ou moins unique basé sur notre vécu personnel. Ce qui fait qu'un livre généralement peut être considérer comme "bon" c'est quand il allie à la perfection le fond et la forme.
La forme par exemple, c'est la stylisation (je caricature). Le fond, lui c'est unique et quelque chose d'inné, ta consistance narrative à l'état le plus brut. Je reste persuadé, qu'il est plus difficile pour quelqu'un d'acquérir une maitrise du fond que de la forme. Et c'est le problème (je trouve) de pas mal (pas tous) de best-seller d'aujourd'hui. Leurs auteurs savent écrire, mais traite leur sujet de manière souvent artificiel
Phillipe K. Dick, par exemple a commencé à écrire relativement tard, et ses premières œuvres étaient d'une bouillasse sans nom, infame à lire d'après les lecteurs de maisons d'édition et ses proches. Aujourd'hui peu d'écrivain de SF peuvent se targuer d'avoir autant travailler le fond que lui par exemple, pourtant il écrivait mal à ses débuts. Bon un mec parano sur sa fin de vie n'est peut être pas le meilleur exemple, mais j'ai plein d'autres exemple en poche
Yep. L'écriture c'est (paradoxalement puisque ça semble très "scolaire" pour beaucoup de gens ) peut être l'art le moins académique, le plus personnel et le moins "balisable". Parce qu'il y a une infinité d'histoires potentielles impactée par une quasi-infinité de vécus humains.
Le 20 décembre 2017 à 17:36:05 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:25:33 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:17:21 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:16:18 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:13:20 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:12:25 HeroeDRomAsm a écrit :
Si vous estimez tenir une pépite et avoir du talent, et que malgré ça les maisons d'éditions font la fine bouche , pourquoi ne pas le publier gratuitement sur le net, sur une plateforme assez connu pour que la mèche prenne,le reste de la visibilité arrivera grâce aux qualités du livres ?C'est ce que font souvent les concernés
En général à force et force de travailler et travailler sans cesse, si tu tiens réellement une pépite, ton livre passera s'il est vraiment bon.
L'erreur qu'on fait souvent en écriture, on a souvent tendance à se surestimer et à croire qu'on a produit quelque chose d'exceptionnel pour tout ce travail fournis et ces journées entières à écrire.
C'est mon avis aussi.
Je suis pas partisane de l'auto-édition (mais je pense que ça a ses avantages) et j'y préfère le compte d'éditeur classique.Mais beaucoup finissent par s'y résoudre et on trouve de beaux livres auto-édités
Exactement, il n'y a pas tant de livre que ça qui sont bons et qui sont rejetés en bloc par les maisons d'édition, ( hormis sur des sujets sensibles tel que Nabukov les aimait)
Le problème de l'auto-édition c'est la disparité marketing de ton produit, c'est tout un travail d'assurer l'édition de ses ouvrages n’empêche, de l'impression jusqu'à la distribution. A moins de passer par un réseau exclusivement consacré à l'auto-édition comme Bénevent, et encore je sens que tu te fais pigeonner dans ce genre de contrat, tu touches presque rien.
Oui, après je ne peux que te rejoindre. il y a et aura toujours quelques histoires vraiment pas mal en auto-édition. Souvent c'est des histoires qui n’intéresseraient pas le grand public, mais plus un public de niche, d'où ce choix d'auto-édition. Ou parfois, c'est juste un pari risqué ou une foi aveugle en ton projet.
Après c'est aussi une philosophie, pour certains : s'affranchir de la notion de "contrat", ne pas dépendre d'un organisme, ne pas "faire rentrer son livre dans le capital"
Perso je pense que c'est bien pratique d'avoir un diffuseur, un chargé de com', un attaché de presse, une présence en salons, une présence sur les prix, une présence près de tes lecteurs en dédicace ou en librairie ok:
Mais certains ne voient pas l'édition comme ça aussi
Au final, à moins de l'offrir dans ta sa totale gratuité, même en étant auto-édité, le capital avalera toujours ton livre. Le capitalisme l'emporte toujours, surtout si tu souhaites en vivre.
Je pense comme toi
Ca a le mérite de t'économiser des journées, et des journées, et des journées de vie. (Et encore c'est un euphémisme)
Le 20 décembre 2017 à 17:41:44 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:36:05 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:25:33 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:17:21 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:16:18 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:13:20 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:12:25 HeroeDRomAsm a écrit :
Si vous estimez tenir une pépite et avoir du talent, et que malgré ça les maisons d'éditions font la fine bouche , pourquoi ne pas le publier gratuitement sur le net, sur une plateforme assez connu pour que la mèche prenne,le reste de la visibilité arrivera grâce aux qualités du livres ?C'est ce que font souvent les concernés
En général à force et force de travailler et travailler sans cesse, si tu tiens réellement une pépite, ton livre passera s'il est vraiment bon.
L'erreur qu'on fait souvent en écriture, on a souvent tendance à se surestimer et à croire qu'on a produit quelque chose d'exceptionnel pour tout ce travail fournis et ces journées entières à écrire.
C'est mon avis aussi.
Je suis pas partisane de l'auto-édition (mais je pense que ça a ses avantages) et j'y préfère le compte d'éditeur classique.Mais beaucoup finissent par s'y résoudre et on trouve de beaux livres auto-édités
Exactement, il n'y a pas tant de livre que ça qui sont bons et qui sont rejetés en bloc par les maisons d'édition, ( hormis sur des sujets sensibles tel que Nabukov les aimait)
Le problème de l'auto-édition c'est la disparité marketing de ton produit, c'est tout un travail d'assurer l'édition de ses ouvrages n’empêche, de l'impression jusqu'à la distribution. A moins de passer par un réseau exclusivement consacré à l'auto-édition comme Bénevent, et encore je sens que tu te fais pigeonner dans ce genre de contrat, tu touches presque rien.
Oui, après je ne peux que te rejoindre. il y a et aura toujours quelques histoires vraiment pas mal en auto-édition. Souvent c'est des histoires qui n’intéresseraient pas le grand public, mais plus un public de niche, d'où ce choix d'auto-édition. Ou parfois, c'est juste un pari risqué ou une foi aveugle en ton projet.
Après c'est aussi une philosophie, pour certains : s'affranchir de la notion de "contrat", ne pas dépendre d'un organisme, ne pas "faire rentrer son livre dans le capital"
Perso je pense que c'est bien pratique d'avoir un diffuseur, un chargé de com', un attaché de presse, une présence en salons, une présence sur les prix, une présence près de tes lecteurs en dédicace ou en librairie ok:
Mais certains ne voient pas l'édition comme ça aussi
Au final, à moins de l'offrir dans ta sa totale gratuité, même en étant auto-édité, le capital avalera toujours ton livre. Le capitalisme l'emporte toujours, surtout si tu souhaites en vivre.
Je pense comme toi
Ca a le mérite de t'économiser des journées, et des journées, et des journées de vie. (Et encore c'est un euphémisme)
T'écris/publies khey ?
ça sert à rien l'auteur ces tocards des maisons d'édition marchent juste au piston
Le 20 décembre 2017 à 17:43:03 LyannaMormont a écrit :
http://people.bfmtv.com/actualite-people/claude-simon-prix-nobel-de-litterature-1985-refuse-par-19-maisons-d-edition-en-2017-1325482.htmlça sert à rien l'auteur ces tocards des maisons d'édition marchent juste au piston
Non mais 19 maisons d'édition c'est RIEN comparé à la moyenne...
Franchement, beaucoup minimisent absolument le travail de recherche éditoriale. Faut pas pondre un texte et le refiler au premier qui passe en croisant les doigts hein ?
Envoie de la romance classique à Bragelonne, du fantasy à Dilettante, de l'homo-érotique à Grasset, du sexuel hardcore à l'Epée, de l'autobiographie à l'Atalante... vois comment tu te fais recevoir, même si t'as pondu un chef d'oeuvre
Le 20 décembre 2017 à 17:45:21 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:43:03 LyannaMormont a écrit :
http://people.bfmtv.com/actualite-people/claude-simon-prix-nobel-de-litterature-1985-refuse-par-19-maisons-d-edition-en-2017-1325482.htmlça sert à rien l'auteur ces tocards des maisons d'édition marchent juste au piston
Non mais 19 maisons d'édition c'est RIEN comparé à la moyenne...
Franchement, beaucoup minimisent absolument le travail de recherche éditoriale. Faut pas pondre un texte et le refiler au premier qui passe en croisant les doigts hein ?
Envoie de la romance classique à Bragelonne, du fantasy à Dilettante, de l'homo-érotique à Grasset, du sexuel hardcore à l'Epée, de l'autobiographie à l'Atalante... vois comment tu te fais recevoir, même si t'as pondu un chef d'oeuvre
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-maisons-d-edition-piegees-131562
lit ça
Le 20 décembre 2017 à 17:42:44 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:41:44 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:36:05 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:25:33 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:17:21 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:16:18 Mobydick64 a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:13:20 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:12:25 HeroeDRomAsm a écrit :
Si vous estimez tenir une pépite et avoir du talent, et que malgré ça les maisons d'éditions font la fine bouche , pourquoi ne pas le publier gratuitement sur le net, sur une plateforme assez connu pour que la mèche prenne,le reste de la visibilité arrivera grâce aux qualités du livres ?C'est ce que font souvent les concernés
En général à force et force de travailler et travailler sans cesse, si tu tiens réellement une pépite, ton livre passera s'il est vraiment bon.
L'erreur qu'on fait souvent en écriture, on a souvent tendance à se surestimer et à croire qu'on a produit quelque chose d'exceptionnel pour tout ce travail fournis et ces journées entières à écrire.
C'est mon avis aussi.
Je suis pas partisane de l'auto-édition (mais je pense que ça a ses avantages) et j'y préfère le compte d'éditeur classique.Mais beaucoup finissent par s'y résoudre et on trouve de beaux livres auto-édités
Exactement, il n'y a pas tant de livre que ça qui sont bons et qui sont rejetés en bloc par les maisons d'édition, ( hormis sur des sujets sensibles tel que Nabukov les aimait)
Le problème de l'auto-édition c'est la disparité marketing de ton produit, c'est tout un travail d'assurer l'édition de ses ouvrages n’empêche, de l'impression jusqu'à la distribution. A moins de passer par un réseau exclusivement consacré à l'auto-édition comme Bénevent, et encore je sens que tu te fais pigeonner dans ce genre de contrat, tu touches presque rien.
Oui, après je ne peux que te rejoindre. il y a et aura toujours quelques histoires vraiment pas mal en auto-édition. Souvent c'est des histoires qui n’intéresseraient pas le grand public, mais plus un public de niche, d'où ce choix d'auto-édition. Ou parfois, c'est juste un pari risqué ou une foi aveugle en ton projet.
Après c'est aussi une philosophie, pour certains : s'affranchir de la notion de "contrat", ne pas dépendre d'un organisme, ne pas "faire rentrer son livre dans le capital"
Perso je pense que c'est bien pratique d'avoir un diffuseur, un chargé de com', un attaché de presse, une présence en salons, une présence sur les prix, une présence près de tes lecteurs en dédicace ou en librairie ok:
Mais certains ne voient pas l'édition comme ça aussi
Au final, à moins de l'offrir dans ta sa totale gratuité, même en étant auto-édité, le capital avalera toujours ton livre. Le capitalisme l'emporte toujours, surtout si tu souhaites en vivre.
Je pense comme toi
Ca a le mérite de t'économiser des journées, et des journées, et des journées de vie. (Et encore c'est un euphémisme)
T'écris/publies khey ?
Dans mon cercle relationnel j'ai quelques proches qui ont écris, publié, des romans + scénarios donc ça aide un peu pour saisir les fonctionnements du marché littéraire et cinématographique.
Quand à moi, comment dire ? On peut dire que j'écris, mais est-ce que je publies ? () je me suis lancé cette année dans le scénario, mais après un refus dans des maisons de production, je paufine mon petit projet (long-métrage) en le récrivant sans cesse, tout en profitant de mes études de cinéma. Et je prends mon temps pour écrire un petit bouquin personnel à coté,
Et en même temps, j'essaies d'intégrer une école spécialisée sur Paris dont le cursus scolaire offre une intégration assez rapide dans le milieu de l'écriture cinématographique, donc ça avale un peu de mon temps.
Le scénario paye plus que la littérature, mais vu que j'aime bien l'écriture, ça m'arrange si un jour j'arrive à concilier les deux.
Et toi ? Tu écris de la fiction ? des essais ?
Le 20 décembre 2017 à 17:46:32 LyannaMormont a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:45:21 Yakomaru a écrit :
Le 20 décembre 2017 à 17:43:03 LyannaMormont a écrit :
http://people.bfmtv.com/actualite-people/claude-simon-prix-nobel-de-litterature-1985-refuse-par-19-maisons-d-edition-en-2017-1325482.htmlça sert à rien l'auteur ces tocards des maisons d'édition marchent juste au piston
Non mais 19 maisons d'édition c'est RIEN comparé à la moyenne...
Franchement, beaucoup minimisent absolument le travail de recherche éditoriale. Faut pas pondre un texte et le refiler au premier qui passe en croisant les doigts hein ?
Envoie de la romance classique à Bragelonne, du fantasy à Dilettante, de l'homo-érotique à Grasset, du sexuel hardcore à l'Epée, de l'autobiographie à l'Atalante... vois comment tu te fais recevoir, même si t'as pondu un chef d'oeuvre
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-maisons-d-edition-piegees-131562
lit ça
Je sas déjà très bien comment marche le milieu de l'édition. Malheureusement (ou heureusement, sinon le livre aurait disparu), c'est aussi un milieu d'entreprise : c'est pas tout d'avoir un beau CV, il faut que la maison ait un poste vacant à t'offrir.
Un texte refusé n'est pas forcément un texte de mauvaise qualité. Derrière, il y a des études de marché, des publics qui cherchent certains genres, il y a des affinités de certaines maisons avec certains styles.
Bien sûr qu'un texte d'Hugo ou qu'un Zola aurait du mal à se faire éditer de nos jours ! Mais ça tient pas à la qualité du texte : ça tient à ce que le public lit, demande, ce qu'il injecte comme énergie financière à la maison.
Si tu as peur d'être piégé par une maison, tu fais comme avec une entreprise qui a le bon goût de t'embaucher : tu lis le contrat trente fois, avec un juriste s'il le faut, et normalement, t'as pas d'emmerde
Données du topic
- Auteur
- Noctis6Solid
- Date de création
- 15 décembre 2017 à 01:30:55
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