Rassemblement des pros de l'anime
Darkness Tu verras elle est vraiment cool
mais Megumin best
Denwaa
9
mdr c'est vraiment bien ?
Le 18 janvier 2017 à 17:37:38 NoLust a écrit :
quels sont les classiques des années 2010- à aujourd'hui ? je veux dire des œuvres monumentales dans le style cowboy bepop toussa pour les années 2000
the tatami galaxy, madoka magica
[17:51:57] <Lipnitskaya>
https://www.youtube.com/watch?v=aQ3Xs86Io00
ah ben si y'a des chansons chantées par des femmes alors...
[17:51:57] <Lipnitskaya>
https://www.youtube.com/watch?v=aQ3Xs86Io00
littéralement AAS 2012 cette chanson
Ofelbe pourrait licencier les LN de Monogatari
EDIT : FAUSSE ALERTE ! j'ai mal interpréter une image
par contre ya une annonce demain d'une nouvelle licence, ça peut être possible
le climax émotionnel sur Komm süsser Tod (j'ai versé une larme)
puis le passage le plus profond sur Expansion of blockade (tellement milésien ! tellement anti-platonicien ! tellement anti-abrahamique ! tellement shinto !)
et après le retour à la belle mais douloureuse réalité, la conclusion
l'amour, le rejet
et le cycle peut continuer
ouais
elle est bien
mais c'est un peu le creux émotionnel, entre le choix de la complémentarité et son refus
c'est simplement l'exploration de l'inexistence qu'il va finalement rejeter
c'est une partie un peu apathique et awkward
https://www.youtube.com/watch?v=67a5FTa1U1A
If the original is meant to convey transcending mortality by embracing the afterlife with open arms, Myra and Jan's version is quiet acceptance; fond remembrance of the world left behind and melancholic acceptance of new beginnings. While Shinji has not literally died, he has in the metaphorical sense. During the scene in which the song plays, Shinji is leaving behind what has protected him: his defenses against pain, his solipsistic view of reality, his fear of love, his childish self-hatred, his escape - he is leaving his "dream" for his "reality." He is shedding the Shinji who ran away for a new, more vulnerable, more mature self. It's a Jesus Bleibet Meine Freud for a godless age, in which reality is all we have. It's cool how the imagery is reversed; Shinji leaves his ethereal "heaven" of escape for mortal and painful earth. It is not rapturously triumphant like Bach, but it is nevertheless uplifting- sober and sad, but beautiful, nevertheless. Just like reality.
Ma scène préférée et toi ?
après je peux pas couper entre les deux
Données du topic
- Auteur
- Wayx
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- 29 décembre 2016 à 00:35:13
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