Faire du sport réduit l'espérance de vie

Le 02 novembre 2024 à 18:44:56 :
Les kheys qui ont la gorge serrée et ne parviennent pas à avaler cette pilule : pensez aux moines Shaolin qui méditent à longueur de journée, sont assis en tailleur toute leur vie, ne consomme pas de protéine juste des soupes d'eau aux légumes verts, 0 stress, vivent jusqu'à 200 ans minimum

Ils ne sont pas prêts

Le 02 novembre 2024 à 18:44:27 :

Le 02 novembre 2024 à 18:43:33 :

Le 02 novembre 2024 à 18:40:10 :
Et je dis en ayant été un golem qui a fait de la muscu

+ de masse musculaire = métabolisme plus élevé = vieillissement accéléré des cellules

Sans compter le stress de la régénération des tissus

La muscu n’est pas un sport .

C'est quoi alors ?

Une activité physique, comme la marche mais pas un sport.

Le 02 novembre 2024 à 18:43:21 :
Donc d’après ton raisonnement si je n’entretien pas mon véhicule il vivra aussi longtemps que si je l’entretien

Raisonnement faux, car ton corps continue à fonctionner quand tu fais pas grand chose contrairement à un véhicule.

Par contre si tu fais tourner la voiture sans forcer, elle durera plus longtemps

Le 02 novembre 2024 à 18:41:32 :

Le 02 novembre 2024 à 18:40:10 :
Tu as raison mais la question c'est est ce que la sédentarité et l'absence de muscles ne te posent pas des problèmes qui réduisent encore plus ton espérance de e vie

En ayant une bonne alimentation et en faisant un peu de marche ou des activités simples du quoitidien il y a pas de problème surtout pour un homme.

Tu crois que les mémés qui tapent les 120 ans sont musclées ?

Le 02 novembre 2024 à 18:41:32 :

Le 02 novembre 2024 à 18:40:10 :
Tu as raison mais la question c'est est ce que la sédentarité et l'absence de muscles ne te posent pas des problèmes qui réduisent encore plus ton espérance de e vie

En ayant une bonne alimentation et en faisant un peu de marche ou des activités simples du quoitidien il y a pas de problème surtout pour un homme.

Tu crois que les mémés qui tapent les 120 ans sont musclées ?

Bah elles ont la génétique pour elle, il faut voir sur la population générale qu'est ce qui fait baisser ou augmenter l'espérance de vie

Le 02 novembre 2024 à 18:46:53 :
L'op a totalement raison en dépit des golems formatés par la société qui valorise le sport

Même les khey ont du mal à l'accepter d'avoir été golémisés par la société

La loi de l'entropie n'est pas applicable ici : En biologie, le corps humain n'est pas comparable à une machine simple qui s'use à chaque utilisation. Nos cellules, tissus et organes se régénèrent, s'adaptent et se renforcent face aux défis comme l'exercice. La réparation et la croissance des muscles et tissus, stimulées par le sport, contribuent en réalité à renforcer le corps plutôt qu'à l'utilisateur.

Les comparaisons animales ne sont pas valides : Comparer des animaux à métamorphose très lent, comme les tortues, aux humains n'a pas vraiment de sens ici. Les tortues vivent longtemps en raison de facteurs génétiques et de leurs besoins métaboliques très particuliers, sans parler des environnements qui différencient ce type de vie. Les humains ont une biologie qui répond activement à l'exercice physique : cela améliore notre condition cardiovasculaire, notre capacité pulmonaire et notre santé métabolique.

Les études scientifiques montrent l'inverse : De nombreuses recherches montrent que les personnes qui pratiquent une activité physique régulière vivent en meilleure santé et plus longtemps. L'exercice diminue les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, de cancer, et même de troubles mentaux, ce qui se traduit par une espérance de vie plus longue et une meilleure qualité de vie.

Métabolisme et longévité : Il est vrai que certains animaux à hybridation lent vivent plus longtemps, mais cela ne s'applique pas de la même manière aux humains. Le sport ne signifie pas un métabolisme suractivé en permanence. Les bienfaits de l'activité physique sont nombreux, et même avec un légèrement augmenté, notre corps est capable de fonctionner de façon optimale.

Exemple des hommes castrés et des femmes : La différence d'espérance de vie entre hommes et femmes s'explique en partie par des facteurs hormonaux et par des différences dans les risques liés aux comportements, mais ce n'est pas lié à la sédentarité. De plus, les hommes castrés peuvent éviter certaines influences hormonales, mais cela n'en fait pas un argument contre le sport. Les effets bénéfiques de l'exercice ont des effets néfastes sur le sexe ou les hormones.

La sédentarité est un facteur de risque : De nombreuses études montrent que la sédentarité est associée à une espérance de vie plus courte et à de nombreux problèmes de santé, comme les maladies cardiovasculaires et l'obésité. Une activité physique modérée est bénéfique sans nécessiter des entraînements intenses, et elle aide à protéger le corps contre les effets négatifs d'une vie trop sédentaire.

En somme, l'argument selon lequel l'exercice diminuerait l'espérance de vie est réfuté par les connaissances scientifiques actuelles. Le sport, pratiqué avec modération et régularité, est bénéfique pour la santé et peut contribuer à une vie plus longue et en meilleure santé.

M'ui.. faut prendre en compte que le sport permet d'avoir un rythme cardiaque au repos qui est plus bas que celui d'un non sportif, donc paradoxalement le cœur travaille moins pour un sportif, il devient + efficace ! Le cœur est très sollicité pendant l'effort, mais ensuite, au repos, sa charge est diminuée par rapport à celle d'un non sportif.. donc sur le long terme, le sportif est gagnant, il faut juste ne pas tomber dans l'excès ! (En plus c'est super bon pour le cerveau également)

Par contre je suis d'accord pour l'alimentation, les gens mangent trop.. et souvent c'est des trucs ultra inflammatoires qui les tuent à petit feu, un repas par jour c'est suffisant perso.. mais après faut accepter d'être maigre quoi

L'auteur a raison.

Les sportifs brisé vers 50 ans qui ont le dos, les genoux et autres articulations détruites.

Le 02 novembre 2024 à 18:49:33 :
La loi de l'entropie n'est pas applicable ici : En biologie, le corps humain n'est pas comparable à une machine simple qui s'use à chaque utilisation. Nos cellules, tissus et organes se régénèrent, s'adaptent et se renforcent face aux défis comme l'exercice. La réparation et la croissance des muscles et tissus, stimulées par le sport, contribuent en réalité à renforcer le corps plutôt qu'à l'utilisateur.

Les comparaisons animales ne sont pas valides : Comparer des animaux à métamorphose très lent, comme les tortues, aux humains n'a pas vraiment de sens ici. Les tortues vivent longtemps en raison de facteurs génétiques et de leurs besoins métaboliques très particuliers, sans parler des environnements qui différencient ce type de vie. Les humains ont une biologie qui répond activement à l'exercice physique : cela améliore notre condition cardiovasculaire, notre capacité pulmonaire et notre santé métabolique.

Les études scientifiques montrent l'inverse : De nombreuses recherches montrent que les personnes qui pratiquent une activité physique régulière vivent en meilleure santé et plus longtemps. L'exercice diminue les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, de cancer, et même de troubles mentaux, ce qui se traduit par une espérance de vie plus longue et une meilleure qualité de vie.

Métabolisme et longévité : Il est vrai que certains animaux à hybridation lent vivent plus longtemps, mais cela ne s'applique pas de la même manière aux humains. Le sport ne signifie pas un métabolisme suractivé en permanence. Les bienfaits de l'activité physique sont nombreux, et même avec un légèrement augmenté, notre corps est capable de fonctionner de façon optimale.

Exemple des hommes castrés et des femmes : La différence d'espérance de vie entre hommes et femmes s'explique en partie par des facteurs hormonaux et par des différences dans les risques liés aux comportements, mais ce n'est pas lié à la sédentarité. De plus, les hommes castrés peuvent éviter certaines influences hormonales, mais cela n'en fait pas un argument contre le sport. Les effets bénéfiques de l'exercice ont des effets néfastes sur le sexe ou les hormones.

La sédentarité est un facteur de risque : De nombreuses études montrent que la sédentarité est associée à une espérance de vie plus courte et à de nombreux problèmes de santé, comme les maladies cardiovasculaires et l'obésité. Une activité physique modérée est bénéfique sans nécessiter des entraînements intenses, et elle aide à protéger le corps contre les effets négatifs d'une vie trop sédentaire.

En somme, l'argument selon lequel l'exercice diminuerait l'espérance de vie est réfuté par les connaissances scientifiques actuelles. Le sport, pratiqué avec modération et régularité, est bénéfique pour la santé et peut contribuer à une vie plus longue et en meilleure santé.

Ok GPT demande lui si les francs maçons créent des complots ils te diront que c'est un groupe de discussions dans l'égalité et la fraternité

Même si les tissus se régénèrent et que c'est vrai la capacité à se régénérer est limitée c'est le principe de l'entropie toujours. Donc moins on détruit les tissus plus la capacité de régénération sera préservée

Le 02 novembre 2024 à 18:49:33 :
La loi de l'entropie n'est pas applicable ici : En biologie, le corps humain n'est pas comparable à une machine simple qui s'use à chaque utilisation. Nos cellules, tissus et organes se régénèrent, s'adaptent et se renforcent face aux défis comme l'exercice. La réparation et la croissance des muscles et tissus, stimulées par le sport, contribuent en réalité à renforcer le corps plutôt qu'à l'utilisateur.

Les comparaisons animales ne sont pas valides : Comparer des animaux à métamorphose très lent, comme les tortues, aux humains n'a pas vraiment de sens ici. Les tortues vivent longtemps en raison de facteurs génétiques et de leurs besoins métaboliques très particuliers, sans parler des environnements qui différencient ce type de vie. Les humains ont une biologie qui répond activement à l'exercice physique : cela améliore notre condition cardiovasculaire, notre capacité pulmonaire et notre santé métabolique.

Les études scientifiques montrent l'inverse : De nombreuses recherches montrent que les personnes qui pratiquent une activité physique régulière vivent en meilleure santé et plus longtemps. L'exercice diminue les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, de cancer, et même de troubles mentaux, ce qui se traduit par une espérance de vie plus longue et une meilleure qualité de vie.

Métabolisme et longévité : Il est vrai que certains animaux à hybridation lent vivent plus longtemps, mais cela ne s'applique pas de la même manière aux humains. Le sport ne signifie pas un métabolisme suractivé en permanence. Les bienfaits de l'activité physique sont nombreux, et même avec un légèrement augmenté, notre corps est capable de fonctionner de façon optimale.

Exemple des hommes castrés et des femmes : La différence d'espérance de vie entre hommes et femmes s'explique en partie par des facteurs hormonaux et par des différences dans les risques liés aux comportements, mais ce n'est pas lié à la sédentarité. De plus, les hommes castrés peuvent éviter certaines influences hormonales, mais cela n'en fait pas un argument contre le sport. Les effets bénéfiques de l'exercice ont des effets néfastes sur le sexe ou les hormones.

La sédentarité est un facteur de risque : De nombreuses études montrent que la sédentarité est associée à une espérance de vie plus courte et à de nombreux problèmes de santé, comme les maladies cardiovasculaires et l'obésité. Une activité physique modérée est bénéfique sans nécessiter des entraînements intenses, et elle aide à protéger le corps contre les effets négatifs d'une vie trop sédentaire.

En somme, l'argument selon lequel l'exercice diminuerait l'espérance de vie est réfuté par les connaissances scientifiques actuelles. Le sport, pratiqué avec modération et régularité, est bénéfique pour la santé et peut contribuer à une vie plus longue et en meilleure santé.

Chatgpted

Le 02 novembre 2024 à 18:49:40 :
Je pratique de l'UFC 3 fois par semaine

Une des pires activités, tu rajoutes les chocs à la tête et autres traumatismes