[FIC] "Bienvenue dans la police criminelle monsieur Célestin Chancla"
Le 18 novembre 2024 à 11:46:45 :
Aujourd'hui c'est jour de sweet
Maaais oouuui !!!
J'ai tout lu hier et j'ai grave kiffé
Donc 
+
Le 18 novembre 2024 à 11:46:45 :
Aujourd'hui c'est jour de sweet
On va bien manger grâce au chef 
Le 18 novembre 2024 à 17:14:08 :
Suite pour 17h45
Oh, monsieur donne une heure précise 
- Je pensais d’abord approcher des invités pour me faire présenter aux cibles grâce à eux. 
- C’est pas mal. Il te faudra bien les choisir par contre. 
Barrios se lève de son siège et s’adresse à Gréville et à vous.
- Allons finir de préparer le matériel pour ce soir. Une longue nuit nous attend. 
CHAPITRE 13 : UNE BREBIS PARMI LES LOUPS
Il est 20 h 25. Vous patientez avec Barrios à l'arrière du Trafic Renault entièrement aménagé vous servant de base pour ce soir, garé au lieu prévu. Parti depuis dix bonnes minutes désormais, Gréville ouvre la grande porte arrière de l’utilitaire pour vous rejoindre. Il se frictionne les mains en rentrant.
- Ce qu’il fait froid ! 
- Alors ? 
- De ce que j’ai vu, nous n’avons qu’à lui ajouter la veste et il sera habillé comme les autres. 
- Très bien. Finis de le préparer pendant que je teste le micro. 
Gréville referme la porte derrière lui. Tandis que vous enfilez une veste de costume bleu afin de vous mettre au diapason des autres invités, le lieutenant s’assied dans sa chaise pour la soirée qu’il tourne vers vous. Il vous présente une petite boite noire ouverte avec un petit appareille en son centre.
- Tiens, voilà l’oreillette. Le scotch du micro ne t’irrite pas le torse ? 
- Non, ça va. 
Vous prenez l’appareille en main puis la positionnez dans votre oreille droite.
- Barrios ! 
Le capitaine faisait face à un micro et avait enfilé un casque d’écoute. Elle appuie sur un bouton à la base de l’appareil de transmission et une led rouge s’allume.
- Est-ce que tu m’entends dans ton oreillette Major ? À toi. 
- Parfaitement Capitaine. 
Barrios retire son casque et se retourne vers Gréville et vous.
- J’ai un bon retour, on peut y aller. 
Gréville pose sa main sur votre épaule et plonge un regard rassurant dans le vôtre.
- Allez le génie, fais des étincelles. 
- Bonne chance Chancla. Tu n’es pas seul, on sera toujours avec toi. 
Elle avait dit ça en tapotant du doigt le casque posé sur le bureau.
- Merci. On se dit à tout à l’heure alors. 
Sur ces mots, vous vous retournez, attrapez la poignée intérieure du camion et sortez dans le froid. Gréville retourne sa chaise vers le bureau et s’apprête à enfiler son casque d’écoute lorsqu’il remarque que Barrios semble amusée.
- Quoi ?
- Il a fini par t’avoir toi aussi. Tu l’as adopté. 
- Non, ce n’est pas ça. Je me dis qu’il n’y est pour rien et qu’il fait même de son mieux. 
- Ouiiii, ça doit être ça.
- On s’y met ? 
- ... 
Pendant ce temps, vous escaladez la petite grille cachée et remontez le parc. Le regard toujours dirigé en direction du parking d’où le bruit des voitures se mouvant dans le gravier vous parvient, vous avancez par à-coups, d’arbre en arbre pour rester soustrait à la vue des invités, et finissez par atteindre la face nord de la demeure. Vous en informez votre équipe à voix basse.
- *Je suis arrivé à la maison.* 
- Très bien. Dirige-toi vers la porte extérieure de la réserve.
À pas légers, vous longez la façade de pierre jusqu’à parvenir à une porte peinte. Vous pressez la poignée qui, comme prévu, libère la porte.
- *J’entre dans la réserve.* 
Vous vous glissez à l’intérieur et refermez la porte derrière vous. Il s’agit d’une petite pièce tout en longueur seulement éclairée par l’ouverture vitrée de la porte de la cuisine. Le soulagement de n’être plus visible s’empare de vous et vous vous accordez quelques secondes pour retrouver un certain calme et réchauffer vos mains. Votre rythme cardiaque redescendu, vous reprenez votre avancée et rejoignez la source de lumière de la réserve. Vous risquez un œil à l’ouverture et trouvez la cuisine vide.
- *Personne dans la cuisine.*
- Si tu en es certain, alors rentre dedans. À partir de cet instant, le plus dur est fait et tu deviens un invité de la soirée. 
Vous prenez une grande inspiration, vérifiez une dernière fois la cuisine et y pénétrez. Après un rapide contrôle, vous êtes rassuré de bien vous y trouver seul. Les bruits de la soirée vous parviennent étouffés depuis l’autre porte de la pièce. Vous posez la main sur la poignée de cette dernière, travaillez un air serein et détendu, puis rejoignez l’immense salle. Devant vous s’étend un gigantesque salon de réception bordé de grandes fenêtres donnant sur le jardin, fait pour accueillir plusieurs centaines de personnes. Un brouhaha vous assaille immédiatement et votre arrivée se noie dans l’immense foule présente. L’effet de masse vous tétanise en premier lieu et vous restez immobile jusqu’à ce qu’une voix dans votre oreille droite relance vos pensées.
- Maintenant, tu te dégotes un verre pour paraître normal. 
- *D’accord.* 
Ayant retrouvé vos esprits, vous commencez de fendre la foule badine à la recherche d’un lieu prévu pour servir de débit de boissons. Vos yeux s’accrochent à tous les regards qui vous sont portés, persuadé que chaque personne autour de vous se demande présentement la raison de votre présence. À force de regarder autour plutôt que devant vous, vous venez buter contre un jeune homme occupé jusqu’alors à discuter avec des amis.
- Hey ! 
- Oh ! Excusez-moi, je ne vous avais pas vu. Je cherchais où est-ce que nous pouvions nous servir.
- Il n’y a pas de mal. Pour le service, c'est la salle là-bas. 
Il avait pointé du doigt une salle ouverte sur le grand salon où vous deviniez des gens affairez autour de table à se servir.
- Merci beaucoup, et encore désolé.
- Il n’y a pas de quoi. 
Tout en prenant la direction des boissons, vous baissez la tête pour pouvoir communiquer à voix-basse à votre micro.
- *J’ai trouvé pour me servir un verre.*
- On a entendu, mais arrête de les vouvoyer par pitié. 
Vous atteignez enfin la zone de service. Après avoir attendu votre tour, vous placez un verre sous la tireuse et le remplissez à moitié avant de reprendre la direction de l’immense salon.
- *C’est bon*
- Parfait. Comment est la soirée ?
- *Beaucoup de monde, de tout âge. C’est surtout jeune, mais j’ai vu quelques quarantenaires.* 
- Tente de repérer les cibles maintenant. Et mollo sur l’alcool, tu dois rester en pleine maitrise de tes moyens.
Vous parcourez la salle du regard, cherchant parmi tous les visages devant vous un de ceux des dossiers que vous aviez appris par cœur durant toute la semaine. Devant votre insuccès momentané, vous décidez de traverser la salle pour changer de point de vue. Protégeant votre verre contre vous, vous naviguez avec peine entre les petits groupes de discussions. Alors que vous vous glissez entre deux personnes, un visage familier passe devant vous.
- * Je vois Arthur Marchand*
- Alors, Marchand... que je le trouve... Le voilà. Ah oui, c’est vrai, l’ex-petit copain de la victime. 
Vous le suivez du regard tout en continuant d’avancer. Tandis qu’il semblait se déplacer de manière déterminée, il s’arrête pour saluer chaleureusement un autre invité. Après un bref échange, Arthur reprend sa route et disparait derrière une petite porte. L’intérieur que vous avez entre-aperçu évoquait une salle d’eau. Vous décidez de reprendre votre chemin en direction des fenêtres de la salle pour ne plus être au centre de la masse que vous ressentez de plus en plus compacte. Vous vous faufilez tant bien que mal lorsque votre regard croise deux yeux d’émeraude qui vous fixent sans ralentir leur marche contraire à la vôtre.
- 
- 
Votre cœur s’emballe. Vous êtes persuadé qu’elle vous a vu et clairement reconnu. Le mouvement général vous porte à vous éloigner et vous la perdez dans la foule. Alarmé, vous atteignez une des grandes fenêtres de la salle et vous adossez contre son encadrure à la recherche de Charlotte Samain. Vous étudiez fiévreusement la foule sans la trouver.
- * Tu en es où ?*
- Je... je cherche.
Devez-vous signaler à Barrios la présence de votre voisine ? Votre panique intérieure vous empêche de réfléchir clairement et de statuer. En cherchant la jeune femme, vous retrouvez sur un salon rehaussé par une estrade le garçon que vous aviez involontairement bousculé un peu plus tôt. Celui-ci s’approche de jeunes assis dans les canapés disposés sur cette petite place et y embrasse sur les lèvres une jeune femme blonde que vous reconnaissez immédiatement.
- Sarah Turpinier.
- Tu l’as en visuel ?
- *Oui, et...*
Vous regardez plus attentivement le petit groupe assis dans ce salon et y trouver presque l’intégralité du groupe de la soirée d’avant la disparition de Léa Vacquerie.
- * ... ils sont quasiment tous là. Je vois Léonie Rose, Chloé Brun-Dauroy et Marchand vient de les rejoindre. Il ne manque qu’Emilie. *
- Très bien, beau travail Célestin.
- *Et, il y a autre chose...*
- Quoi ? 
- *Ma voisine est là.*
- ... 
- Elle t’a reconnu ?
- *Je crois*
- ... 
- ... On continue, ça ne veut rien dire. On ne va pas tout lâcher pour ça. Ça peut encore fonctionner. Trouve quelqu’un qui pourrait te les faire rencontrer et sympathise avec lui.
- *D’accord. Euh... Chloé bouge !*
- On s’en fiche pour l’instant, sympathise avec quelqu’un !
- *D’accord.*
Alors que vous réfléchissez à votre prochaine action depuis votre poste d’observation, dans le camion, Barrios s’interroge tandis que Gréville organise les dossiers des cibles.
- C’est qui sa voisine ?
- Aucune idée, mais elle ne dira peut-être rien. Il y a beaucoup de monde et Célestin vient d’arriver en ville, elle ne doit pas le connaître ni pouvoir savoir qu’il ne pouvait pas être invité. 
- J’espère. Maintenant, Célestin va devoir assurer.
- ... et voilà le dernier, Chloé Brun-Dauroy. Eh bien, Chancla avait raison ! Il nous faudrait des caméras miniaturisées.
Barrios lève un œil suspicieux en direction de la photo en tête du dossier que le lieutenant tient dans ses mains.
- J’espère que tu ne dis ça à cause de sa poitrine, lieutenant Gréville ?
- C’est toi qui l’as déclaré la première. Moi, je me demandais si son grain de beauté vers sa lèvre était vrai ou bien du maquillage. Ça se fait beaucoup dernièrement.
- ...
- Je vais aller pisser tant qu’il n’a pas besoin de nous si ça ne te dérange pas.
- Tu fais bien.
Gréville se lève et sort du camion, laissant le capitaine seul.
- Alors Célestin, tu as trouvé ce que tu vas faire ?
- *Je crois que j’ai quelques idées...*
Qu'allez vous faire ?
1) Vous aurez pour objectif le jeune homme que vous avez bousculé. Il semble intime avec Sarah Turpinier et s’éloigne actuellement du salon occupé par les cibles.
2) Le jeune homme qu’Arthur Marchand a salué discute avec un autre garçon à lunette potelé. Vous partirez à leur rencontre et vous immiscerez dans la conversation. 
3) Vous retrouverez Charlotte Samain. Votre couverture repose sur son silence et vous voulez d’abord vous en assurer. 
4) Vous aborderez quelqu’un parmi les personnes proches de l’estrade. C’est finalement surtout la possibilité physique de les rencontrer qui compte. 
LES PERSONNAGES RENCONTRÉS
Basé sur ce que Célestin sait
POLICE :
- Commissaire Pierre "Pépé" Dauroy 
58 ans. Commissaire historique de la brigade criminelle de la ville.
- Capitaine Alice Barrios
35 ans. Récemment mutée à la nouvelle brigade. A une certaine confiance en Célestin malgré sa situation. Elle travaille très souvent tard le soir.
- Lieutenant Lucien Gréville
30 ans. Récemment muté à la nouvelle brigade. Marié et père d'un petit garçon. Bon enquêteur mais qui peut être parfois impulsif et un brin moqueur. Il reconnaît certaines qualités à Célestin, qu'il surnomme "Le génie" mais n'apprécie pas qu'un quidam se retrouve dans la brigade.
- Major Célestin Chancla 
25 ans. Vous. Brigade Barrios. RSAiste en attente de l'AAH, une erreur administrative le fait temporairement major de police. Un certain sens de l'observation et une bonne logique lui permette pour l'instant de combler ses défauts athlétiques, sociaux et de connaissances du milieu policier. A repris l'habitude de Barthod de tout noter dans un grand cahier.
- Capitaine Daniel Cortero 
45 ans. Homme charismatique et meneur d'hommes. Il ignore la réalité de la situation de Célestin.
- Lieutenant Camille Mendes 
27 ans. Brigade Cortero. Excellente tireuse, elle déteste Barthod et apprécie Célestin. Elle ignore la réalité de la situation de Célestin.
- Major Mike Landru 
38 ans. Brigade Cortero. Présente un physique hors-norme. Personne naturellement gentille et serviable. Il apprécie beaucoup Célestin et l'accompagne à la salle de sport pour l'aider. Il ignore la réalité de la situation de Célestin.
Ex-Lieutenant Joseph Barthod 
46 ans. Mis en retraite anticipée suite à la tournure de sa dernière enquête, l'affaire du cimetière d'enfants, durant laquelle son capitaine est mort. Personnage aigri et misanthrope, il a toujours une cigarette aux lèvres. Certains prétendent qu'il est devenu fou. Pour lui, Célestin participe à la médiocrité du monde tout en restant quelqu'un qui veut bien faire.
CIVILS :
Que vous avez interrogés:
- Isabelle Vacquerie 
Mère de la victime du tueur, Léa Vacquerie. Son mari était en voyage lorsque vous êtes allés la voir.
- Amir Rahim 
Professeur de français dans la fac de médecine de Léa Vacquerie. Se dit en dehors d'un groupe sociale de profs et d'élèves.
- Vincent Turpinier 
Père de Sarah Turpinier. Léa Vacquerie était a une petite fête chez lui en début de soirée. Il est parti en voiture peu après les jeunes et n'est jamais rentré chez lui avant d'aller au travail cette nuit là.
Groupe présent à la soirée de la nuit du meurtre :
- Sarah Turpinier 
21 ans. Amie de Léa Vacquerie. En 4ème année de médecine
- Chloé Brun-Dauroy 
22 ans. Amie de Léa Vacquerie. En quatrième année de médecine.
- Léonie "Léo" Rose 
21 ans. Amie de Léa Vacquerie. En quatrième année de médecine.
- Arthur Marchand : 
21 ans. En quatrième année de médecine. Ex-compagnon de Léa Vacquerie.
Autres personnages :
- ""
Compagnon de Sarah Turpinier. Vous l'avez involontairement bousculé pendant votre infiltration.
- ""
Ami avec Arthur Marchand.
- ""
- Marie Samain 
Voisine de Célestin et mère de Charlotte Samain. Mariée. Semble apprécier Célestin.
- Charlotte Samain
Voisine de Célestin.
- Albert Mortin 
Journaliste indépendant excentrique. Pas plus d’information pour le moment.
- "Kaya" 
Masseuse. Elle connaissait l'ancien locataire de votre appartement. Elle s'en veut d'avoir cassé le nez de Célestin.
Vous vous faufilez tant bien que mal lorsque votre regard croise deux yeux d’émeraude qui vous fixent sans ralentir leur marche contraire à la vôtre.
-
-
Elle est là ! (c'est la merde)
Cette tête à couper les mains de sa petite camarade avant de l'attacher nu à un arbre 
Vote 3, c'est trop risqué de continuer la mission en faisant abstraction que quelqu'un nous a grillé
Le 18 novembre 2024 à 16:46:47 :
J'ai tout lu hier et j'ai grave kiffé
Donc
+
Content que ça te plaise, bienvenue 
Si Célestin n'a pas les lunettes espion de la DGSI, il va quand même leur piquer leurs méthodes
Je vote 2
Résistez à vos hormones et ne voter pas 3, c'est une perte de temps évidente 
Sinon un choix difficile à faire, je vais +1 le vdd pour éviter de ce faire griller et assurer nos arrières
.gif ":d)")
- Quoi ?
- Il a fini par t’avoir toi aussi. Tu l’as adopté.
- Non, ce n’est pas ça. Je me dis qu’il n’y est pour rien et qu’il fait même de son mieux.
- Ouiiii, ça doit être ça.
- On s’y met ?
- ...
Franchement, on a une bonne équipe, c'est cool 
- Maintenant, tu te dégotes un verre pour paraître normal.
Opération Fièvre du Samedi Soir enclenché mon lieutenant 
- Oh ! Excusez-moi, je ne vous avais pas vu. Je cherchais où est-ce que nous pouvions nous servir.
- On a entendu, mais arrête de les vouvoyer par pitié.
Bordel de, Célestin fais pas le con ! 
Vous vous faufilez tant bien que mal lorsque votre regard croise deux yeux d’émeraude qui vous fixent sans ralentir leur marche contraire à la vôtre.
-
Alerte Générale ! 
Cachez les kheys du NNN 
- Elle t’a reconnu ?
- *Je crois*
Merde, merde, merde 
- C’est qui sa voisine ?
C'est qui ses voisines plutôt ma bonne dame ! 
- ... et voilà le dernier, Chloé Brun-Dauroy. Eh bien, Chancla avait raison ! Il nous faudrait des caméras miniaturisées.
Oui, pour l'enquête
- J’espère que tu ne dis ça à cause de sa poitrine, lieutenant Gréville ?
- C’est toi qui l’as déclaré la première. Moi, je me demandais si son grain de beauté vers sa lèvre était vrai ou bien du maquillage. Ça se fait beaucoup dernièrement.
C'est très important, nous devons savoir 
1) Vous aurez pour objectif le jeune homme que vous avez bousculé. Il semble intime avec Sarah Turpinier et s’éloigne actuellement du salon occupé par les cibles.
On a déjà plus ou moins parler avec lui, on sait à quoi s'attendre, après parler seul à seul avec lui ça fait bizarre, genre t'es tranquille pour aller chier et y'a un mec qui t'accoste d'un coup 
D'autant plus qu'en étant intime avec l'une des suspectes, ça pourrait faire de lui un complice potentiel 
2) Le jeune homme qu’Arthur Marchand a salué discute avec un autre garçon à lunette potelé. Vous partirez à leur rencontre et vous immiscerez dans la conversation.
Grosse inconnue parmi les choix, on ne sait pas qui ils sont ni leurs liens si ce n'est que des amis 
Après, c'est en général le meilleur moyen de sociabilisé en soirée, donc en vrai pourquoi pas 
3) Vous retrouverez Charlotte Samain. Votre couverture repose sur son silence et vous voulez d’abord vous en assurer.
Je ne sais pas si on peux lui parler de la mission, mais l'avoir en "alliée" est surement un gros plus, mais elle pourrait aussi bien gaffé, c'est le soucis 
Quitte ou double pour moi, soit c'est le choix gagnant, soit il nous handicape
4) Vous aborderez quelqu’un parmi les personnes proches de l’estrade. C’est finalement surtout la possibilité physique de les rencontrer qui compte.
Je ne le sens pas du tout, mais alors vraiment pas ce choix 
Qu'allez vous faire ?
Allez, pour le beau jeu je vais VOTER 2) 
Mais si la 3) passe c'est bien également 
Décompte des votes de 20h04
Choix 1 : 1
Choix 2 : 2
Choix 3 : 3
Choix 4 : 0
Clôture des votes à 15h demain + possible suite le jour même
Alerte Générale !
Ce sticker 
Données du topic
- Auteur
- PubliusOvidius
- Date de création
- 30 octobre 2024 à 20:15:02
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