" La vengeance est un plat que je mange tout de suite "

Le 21 décembre 2024 à 10:27:03 :
Je tente quelque chose sur la rédaction, je pense que je vais arrêter de mettre systématiquement la négation et des formules soutenues. Ca doit être pour l'une de ces raisons que Massko trouve que les persos sont robotiques.

Après ma critique vaut ce qu'elle vaut clé, je me prétends pas détenteur de la bonne langue (surtout vu la claque d'humilité que m'a mise la fic de Publius à ce niveau là )

Le 21 décembre 2024 à 10:56:31 :

Le 21 décembre 2024 à 10:27:03 :
Je tente quelque chose sur la rédaction, je pense que je vais arrêter de mettre systématiquement la négation et des formules soutenues. Ca doit être pour l'une de ces raisons que Massko trouve que les persos sont robotiques.

Après ma critique vaut ce qu'elle vaut clé, je me prétends pas détenteur de la bonne langue (surtout vu la claque d'humilité que m'a mise la fic de Publius à ce niveau là )

T'inquiète, j'ai remarqué la différence de niveau dans les dialogues chez Arseneur et Publius, chez toi aussi et j'ai remarqué que les persos étaient cohérents avec leur registre de langage. Nos kheys ont du talent.

Le 21 décembre 2024 à 11:40:53 :
SWEEEEEEETTTT

Stickerisation en cours, la relation avec Valentine avance très légèrement

Le 21 décembre 2024 à 12:08:41 :

Le 21 décembre 2024 à 10:56:31 :

Le 21 décembre 2024 à 10:27:03 :
Je tente quelque chose sur la rédaction, je pense que je vais arrêter de mettre systématiquement la négation et des formules soutenues. Ca doit être pour l'une de ces raisons que Massko trouve que les persos sont robotiques.

Après ma critique vaut ce qu'elle vaut clé, je me prétends pas détenteur de la bonne langue (surtout vu la claque d'humilité que m'a mise la fic de Publius à ce niveau là )

T'inquiète, j'ai remarqué la différence de niveau dans les dialogues chez Arseneur et Publius, chez toi aussi et j'ai remarqué que les persos étaient cohérents avec leur registre de langage. Nos kheys ont du talent.

Le 21 décembre 2024 à 11:40:53 :
SWEEEEEEETTTT

Stickerisation en cours, la relation avec Valentine avance très légèrement

Elle avance tout comme ma description sur mon autre message ?

Le 21 décembre 2024 à 12:17:24 :

Le 21 décembre 2024 à 12:08:41 :

Le 21 décembre 2024 à 10:56:31 :

Le 21 décembre 2024 à 10:27:03 :
Je tente quelque chose sur la rédaction, je pense que je vais arrêter de mettre systématiquement la négation et des formules soutenues. Ca doit être pour l'une de ces raisons que Massko trouve que les persos sont robotiques.

Après ma critique vaut ce qu'elle vaut clé, je me prétends pas détenteur de la bonne langue (surtout vu la claque d'humilité que m'a mise la fic de Publius à ce niveau là )

T'inquiète, j'ai remarqué la différence de niveau dans les dialogues chez Arseneur et Publius, chez toi aussi et j'ai remarqué que les persos étaient cohérents avec leur registre de langage. Nos kheys ont du talent.

Le 21 décembre 2024 à 11:40:53 :
SWEEEEEEETTTT

Stickerisation en cours, la relation avec Valentine avance très légèrement

Elle avance tout comme ma description sur mon autre message ?

Quel autre message ?

Le 13 décembre 2024 à 07:39:26 :
L'heure est grave

Valentine va mal

Il faut la consoler et être là pour elle

Ensuite on ira voir sa mère, lui demander le CUL de sa fille
Elle refusera…
Alors on va aussi la démonter pour lui montrer les plaisirs de la vie
Elle aime tellement sa fille qu'elle acceptera qu'on s'en occupe
On retournera voir Valentine qui ira un peu mieux et sera parmi le gang du divertissement et on la prendra sauvagement sur la table de ping-pong

Le 21 décembre 2024 à 12:30:25 :

Le 13 décembre 2024 à 07:39:26 :
L'heure est grave

Valentine va mal

Il faut la consoler et être là pour elle

Ensuite on ira voir sa mère, lui demander le CUL de sa fille
Elle refusera…
Alors on va aussi la démonter pour lui montrer les plaisirs de la vie
Elle aime tellement sa fille qu'elle acceptera qu'on s'en occupe
On retournera voir Valentine qui ira un peu mieux et sera parmi le gang du divertissement et on la prendra sauvagement sur la table de ping-pong

T'es trop horny kheyax

Arc 2 Chapitre 10

15h40, telle est l’heure affichée sur l’horloge du gymnase. Plus de la moitié du temps libre est épuisée. Inquiet pour Valentine, Edmond dérogea à son rôle de parrain et laissa en second plan Eric pour retrouver Valentine.
Durant sa course effrénée, Edmond aperçut en contrebas Edouard, assis sur une chaise à ranger des cartes.

- Salut Ed’, t’aurais pas vu Valentine dans les parages ?
- Hey Edmond, c’est la première fois qu’on se revoit depuis le confinement. Tu ne t’arrêtes pas pour taper une causette avec moi ?
- Ca ne se voit pas que je suis pressé ?
- C’est vrai mais j’voulais passer du bon temps avec mon rival et pote, vu que j’ai rien à faire. Pour faire court, elle a été convoquée dans la salle des visites car il est arrivé un truc à l’un de ses proches.
- Alors c’était vrai…
- Quoi ?
- Cortex m’en a vaguement parlé, mais je sais qu’elle a eu des ennuis. Je te laisse !
- Je te comprends, bon courage puisqu’elle n’avait pas l’air d’être dans son assie…. Eh, tu me laisses en plan !

C’était la course contre la montre, Edmond ignorait son environnement et courait comme un dératé, ce qui éveilla les soupçons de quelques prisonniers.
Sa course s’arrêta brusquement, un gardien barrait l’accès à la salle des visites.

- Oula oula, on s’arrête deux seconde. T’es qui et pourquoi tu cours ? Y a pas le feu au lac.
- Je t’ai jamais vu ici donc je te retourne ta question.
- On ne répond pas à une question par une question, p’tit effronté. Présente-toi.
- Ecoute, j’ai pas le temps de me justifier : j’ai une amie que je dois aller voir tout de suite, elle a eu des problèmes. Il faut que je m’assure qu’elle aille bien.
- Ah tu parles de la prisonnière Valentine ? C’est pas mes oignons, sauf si t’as une visite maintenant mais il me faut ton nom et prénom.
- Je suis Edmond Celestin von Dantès, c’est urgent alors libère ce passage.
- A t’entendre c’est pas une visite programmée hein ?
- Non, j’ai pas réservé.
- Du coup c’est mort, les règles sont les règles.
- Y a pas moyen de faire une petite exception ?
- Non, et ne te mets pas à me supplier ! Je peux te faire arrêter pour harcèlement.

Un petit claquement de porte retentit, signalant qu’elle s’entrouvrait. La psychologue de la prison pointa le bout de son nez et adressa la parole au gardien.

- La visite psychologique est terminée gardien Maurice, t’as encore besoin de moi ou c’est bon ?
- Ah non non, à part le fait que ce petit malotru m’emmerde.
- Lui ? Oh je te reconnais, c’est Edmond. Mon nouveau patient pour la séance de désintox.
- Salut. Vu que la visite est terminée, ce serait possible que je puisse parler à Valentine ? (Ce qu’elle est belle pour une psychologue, je croyais que c’était une vieille ! )

Edmond ne fit pas attention et regarda de la tête aux pieds Lapie, d’une manière ostentatoire.

- Je te fais tant d’effet que ça ? Sache que mon coeur est déjà pris, ne t’imagine rien.
- Euh non non, c’est ton imagination qui joue des tours.
- D’accord. Sinon attends un instant, Valentine sera là d’un moment à l’autre. Tu tombes à pic on va dire, elle a besoin d’un soutien psychologique.
- Mais c’est si grave que ça ?!
- On a évité le pire. Toutefois c’est à surveiller, t’as l’air de la connaître du coup je compte sur toi pour veiller sur elle.
- Dieu merci. (C’est quand même anormal que je m’emballe beaucoup pour Valentine, je veux dire que je ne la connais pas trop en dehors des interactions avec son gang, et que je n’ai jamais échangé en profondeur avec elle… )

Valentine se dévoila enfin, l’air maussade. C’était la première fois qu’Edmond la voyait aussi mal en point. Etait-ce la faute de ses actions ?

- Hey Valentine, c’est moi Edmond. Il faut qu’on parle.
- ….
- Je ne veux pas paraître abrupt, mais tu dois t’exprimer. Je me fais du sang d’encre pour toi.
- C’est bien sympa sauf que ton soutien ne me suffira pas.
- Hein ? J’ai accouru vers toi et tu m’envoies balader ?
- Je crains que tes paroles me feront pas d’effet. Là il s’agit de ma famille, et c’est pas un prisonnier comme toi qui pourrais la protéger.
- C’est par rapport à ta mère, non ?
- Comment ? Qui t’a soufflé cette info… ?
- Cortex. Il se l’est permis parce qu’on est proches pour des prisonniers, et que… comment dire… que nous sommes un peu plus intimes que les autres.
- Oh arrête, il n’y a rien eu entre nous. C’est pas le moment d’en parler. Et en réalité, on a pas tant causé que ça en dehors de la bande, donc ne t’imagine pas des choses.
- Euh ouais désolé, c’était maladroit de ma part. Tu peux me raconter ce qu’il y a eu avec ta mère, elle…. Elle est vivante ? (Elle marque un point, je suis en train de m’attacher sauf qu’il ne s’est pas encore passé grand chose. Par contre sa réaction ne lui ressemble pas, on dirait une toute autre personne. )
- A ton avis ? Si je ne me suis pas effondrée en larmes c’est que c’est le cas. J’suis plus choquée qu’autre chose, des sal*pards qui sont en contact avec les économistes l’ont bloquée dans une ruelle et l’ont menacée…
- (C’est moins grave que ce que je m’attendais. Par contre il aurait pu lui arriver quelque chose de pire par ma faute.
)
- Et….

Point de vue de la mère de Valentine

Un lundi matin, un jour comme un autre, du moins, sous les apparences. Cependant un événement inopinée chamboula le quotidien de Delphine, 56 ans et mère célibataire.

- Bonjour ma p’tite dame, ce sera en espèces ou en carte bleue ?
- Ma « p’tite dame » ? Roh ces jeunes mal élevés de nos jours, c’est pas comme ça qu’on parle à des clients.
- Désolé, c’est seulement que vous me paraissiez sympathique mais c’est pas le cas en fait…
- Et en plus vous vous enfoncez ! Qu’on en finisse, je payerai en espèces.
- D’accord… Euh attendez, je vais vérifier votre billet.
- Mon billet ? Qu’est-ce qu’il a ? C’est un billet comme un autre !
- Il paraît étrange, je n’ai jamais vu un tel billet. Un instant je vous prie…
- C’est que tu te fous de ma gueule en plus, à me faire poireauter alors que je suis une femme pressée !
- Ok votre billet est en règle, voici la monnaie…
- Ce sera pas nécessaire ! Je vais vous faire la monnaie.
- Mhh non, je n’en ai pas envie.
- Plaît-il ? Je suis tombé sur un abruti de première aujourd’hui… T’es un très mauvais vendeur et t’iras pas loin dans la vie, petit con.
- Ok tout est bon, bonne journée madame.
- Va te faire foutre. Pffff, la France ce pays de merde je te jure.

Des inconnus observaient discrètement la scène au loin, Delphine n’ayant pas remarqué leur présence dans le magasin.

- Une charmante mégère cette personne, non ?
- C’est à elle qu’on doit mettre un coup de pression ? On va plutôt se faire soulever les gars.
- Arrête ton spectacle. Ok voici ce qu’on fera : j’ai analysé les lieux et à côté du supermarché se trouve une ruelle. La cible empreinte toujours la rue adjacente, on l’attrapera au croisement des rues. Compris ?
- C’est bon.
- Chef oui chef.
- Sois normal toi. Et je ne veux surtout pas d’agression physique, ordre d’Idrissa ! Des menaces suffiront. Et restez en arrière, je me chargerai de la diversion pour l’attirer dans une ruelle.

L’équipe passa à l’action, synchronisée comme un commando militaire. N’importe qui serait impressionné par leurs actions.

Quelques instants après, au niveau de la ruelle.

- Excusez-moi madame, je recherche la station de métro Balard. Vous connaissez le chemin qui amène à cette station ?
- Je n’ai pas le temps, je suis une femme occupée tu vois.
- Donc vous ne savez pas ?
- Hors de ma vue !

D’une poigne forme, le sous-fifre d’Idrissa posa sa main sur l’épaule de Delphine et la poussa dans la ruelle, provoquant un vol plané.

- Je crois que t’as pas saisi la situation. Si tu veux bien nous suivre gentiment dans la ruelle, avec mes collègues.
- Hein ? D’où sortent ces idiots ? Lâchez-moi, je vais appeler la police MMMHHHH…
- Si tu cries ou que t’essaies de te débattre, on te charcute sur place. Compris la greluche ?

L’un des gangsters sortit un couteau de cuisine dernier cri et affuté, arborant la marque « Lagiole » dessus.

- Bien, elle s’est calmée. Maintenant ouvre bien tes grandes oreilles : on sait que tu résides dans la rue de Cadix dans le 15ème arrondissement, et on connaît très bien tes petites habitudes ; le massage thai tous les mercredis ; ta sœur qui débarque en fin de semaine, etc etc.
- Vous voulez mon argent ? Tout est à vous, je peux même vous refiler ma carte bancaire !
- Non non on s’en fout, c’est pas ce qui nous intéresse. La vérité c’est qu’on est là spécialement à cause des agissements de ta rejetonne, la Valentine.
- Elle ?! Qu’est-ce qu’elle a encore fait ?
- On veut que tu fasses une mission pour nous, t’iras voir ta fille en prison et tu lui dira d’arrêter de déconner avec les économistes ou il y’aura des conséquences. Capiche ?
- Oui oui, je ferai tout ce que vous voulez.
- Au fait, ne t’avise pas à contacter les condés. Il serait dommage que la tête de Pluto roule et qu’il atterrisse dans ta boîte postale…
- Mon chien ? Ne lui faites surtout pas de mal ! Il compte beaucoup pour moi.
- Tant mieux alors. Donc t’iras dire à ta fille adorée que….

Retour dans le présent.

- Je… Je n’ai pas les mots pour décrire une telle horreur. Et qu’est-ce qui a valu un avertissement des économistes ?
- Ils m’ont reproché d’avoir soufflé des informations sur leur gang… Pourtant je suis sûre de n’avoir rien dit, et on t’a déjà dit qu’ils déconnaient pas.
- Il y a bien eu quelque chose non ?
- Je n’y comprends plus rien Edmond, j’ignore ce que j’ai fait pour m’attirer leurs foudres. Avec mon histoire, tu t’es bien rendu compte de ce qu’ils sont capables : ils ont des contacts dans le monde extérieur et peuvent mettre leur menace à l’exécution.
- Putain mais c’est pas possible d’avoir autant de pouvoir en étant prisonnier, il y a bien quelque chose derrière tout ça.
- Rome n’a pas été bâti en quelques jours, Idrissa s’est énormément impliqué dans la vie carcérale et a accumulé des gains, tout en entretenant des relations avec d’autres gangsters.
- Je vois, et c’est aussi le cas des autres chefs de la prison ?
- A part Soral qui est mis de côté, les chefs de gang sont des privilégiés. Ils ont accès aux métiers les plus prestigieux de la prison.
- Mais je ne comprends toujours pas, t’as été en contact avec les économistes récemment ? T’as fait quelque chose qui leur a pas plu ? ( Elle a pas l’air d’avoir fait le lien entre l’organisation du match et mon passage chez eux. )
- Mhh pas vraiment, peut-être qu’on a pas été assez discret avec l’histoire des contrats ? Je ne vois que ça, comme par hasard ma mère se fait menacer quelques jours après l’échec du match. Ils doivent me tenir comme responsable.
- Je vois.
( Je me sens de plus en plus mal à l’aise, et d’expérience il est dur de camoufler un mensonge. Est-ce que je suis obligé de lui mentir ? Une fois que ce serait faire, je pourrais la regarder en face après lui avoir menti ? D’une manière ou d’une autre, elle pourrait se douter de mon implication, pour le moment il n’y a rien parce qu’elle est embrouillée mentalement. Mais en réalité, les enjeux ne sont pas gros : elle m’a bien dit qu’il n’y avait rien eu entre nous, et c’est vrai que les interactions avec elles me mènent nulle part. Donc pour l’instant, si je lui mens il n’y aura pas de grosses répercussions. Si notre relation était déjà approfondie, ça aurait été une autre paire de manches. Finalement, je dois lui dire la vérité ou non ? Même si je lui ai menti, je peux toujours bien m’entendre avec elle. )

1) Révéler la vérité à Valentine, peut-être qu’elle vous pardonnera
2) Continuer d’entretenir le mensonge, vous avez peur de briser votre relation avec elle