Topic de kheycurieux8 :

Vignette CRIT’AIR = Paris INTERDIT aux PROLOS ?

Le 07 juin 2024 à 11:42:23 :

Le 07 juin 2024 à 11:29:35 :

Le 07 juin 2024 à 11:24:22 :

Le 07 juin 2024 à 11:12:45

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Il y a pas grand chose de gauche qui transparaît dans tes messages. Et là pour le coup, que ce soit pour les prolos ou plus spécifiquement les pauvres, le constat est le même. La voiture en petite-couronne est d'abord le mode de déplacement des riches.

En quoi le tertiaire vient balayer ça de la main ? C'est pas parce que tu travailles dans un bureau que ça change quelque chose. Tu restes un prolétaire soumis aux conditions imposés par les propriétaires de ton entreprise. Oui, il y des analyses plus fines que ça à faire, et je l'ai précisé entre parenthèses. Mais le cadre reste le même.

La paysannerie échappe à la dichotomie prolétaire/bourgeois parce que la paysannerie était elle-même globalement (en France) constituée d'un grand nombre de petit propriétaires exploitants pauvres (et aussi d'ouvriers agricoles sans terre et d'un petit nombre de grand propriétaires, mais c'est pas le sujet)

Pourquoi? Excuse-moi, c'est parce que je suis en train de pas adopter l'attitude complètement à la con qui consiste à cracher automatiquement sur tout ce qui est bourgeois, tandis que la bourgeoisie reflète des réalité extrêmement vastes aujourd'hui ? Peut-être parce que j'envisage le fait que si tu tapes sur le bourgeois à ce niveau, c'est pas le bourgeois qui va encaisser, mais le travailleurs que tu défends ? Ou parce que j'envisage que, peut-être, plutôt que de restreindre le déplacement ce serait pas mal de multiplier les noyaux durs d'emploi plutôt que d'aller faire chier les déplacements automobiles ? Eclaire ma lanterne.

On va

J'ai pas demandé pourquoi mais en quoi. Et ça ne répond pas à la question. La possibilité d'une analyse plus fine, je l'évoque déjà moi-même. Prolos/bourges, c'est la cadre. Ensuite, dans ce cadre, tu peux effectivement multiplier les analyses plus fines. Un grand bourgeois, ce n'est pas un petit bourgeois. Chez les petits bourgeois, un avocat ce n'est pas la même chose qu'un commerçant. Chez les prolos, t'as le balayeur et le manageur, c'est pas le même habitus du tout, on est d'accord. Mais le cadre global reste le même. balayeur et manageur restent soumis à la bourgeoisie.

Le problème fondamental de cette discussion, c'est que tu restes enfermé dans ton imaginaire. Alors je le répète : pratiquement aucun pauvre ne prend sa voiture en petite couronne pour aller travailler. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1285604

Je comprends ton point de vu. Il est peut-être valable pour d'autres villes en France. Oui, c'est souvent le prolo, le pauvre, qui paye les pots cassés, qui paye les ajustements. C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce que croient les écolo-centrés, une politique écologique doit nécessairement d'accompagner d'ajustement sociaux. Mais dans le cas spécifique de Paris, c'est différent. Les prolos n'utilisent déjà pas leur voiture.

Khey, ton étude est bousillée par un autre article posté quelques pages plus tôt, et que vous avez royalement ignoré.

La diminution de l'usage de la voiture est très majoritairement intra-muros. Ton extrait le dit lui-même bon sang, stop poster des trucs sans les lire.

Cependant, le principal mode de transport domicile-travail diffère selon les territoires franciliens. À Paris, la voiture est peu utilisée, et les transports en commun sont plébiscités. C’est l’inverse en grande couronne, même si l’usage de la voiture y est moins fréquent qu’en province. L’équipement automobile des ménages franciliens reflète en grande partie les différences territoriales dans l’usage des modes de transport domicile-travail. Ainsi, en grande couronne comme en province, neuf ménages actifs occupés sur dix disposent d’au moins une voiture, tandis qu’à Paris six sur dix n’en ont pas du tout.

Le 07 juin 2024 à 11:38:42 :

Le 07 juin 2024 à 11:32:32 :

Le 07 juin 2024 à 11:16:46

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ? :hap:
Si tu penses que c'est le cas bien entendu :hap:
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous :hap:
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi :hap: (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ton aspect pollution n'est pas pertinent car il s'agit tout simplement de laisser les entreprises innover pour permettre à une voitude de moins dégager de particule fine :hap:

Ton aspect économique également si un pauvre souhaite utiliser sa voiture, ce n'est pas à toi de venir l'ouvrir pour x ou y raison, c'est son choix ensuite il s'agirait de baisser les taxes sur l'essence car pour rappel c'est l'État qui se gave à prendre 50% du prix de l'essence en TICPE et en tva :hap:

M'enfin il n'y a pas d'argument sérieux pour restreindre la liberté des gens pour "aides les pauvres" :hap:
La seule option viable est de rendre la liberté aux gens :hap:
Ce n'est pas à toi de décider pour les autres, reste à ta place ! :hap:

Ah oui donc tout ce que t'as à répondre c'est "gneugneu l'innovation" et après c'est moi le troll :rire:

Le 07 juin 2024 à 11:46:08 :

Le 07 juin 2024 à 11:38:42 :

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Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ? :hap:
Si tu penses que c'est le cas bien entendu :hap:
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous :hap:
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi :hap: (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ton aspect pollution n'est pas pertinent car il s'agit tout simplement de laisser les entreprises innover pour permettre à une voitude de moins dégager de particule fine :hap:

Ton aspect économique également si un pauvre souhaite utiliser sa voiture, ce n'est pas à toi de venir l'ouvrir pour x ou y raison, c'est son choix ensuite il s'agirait de baisser les taxes sur l'essence car pour rappel c'est l'État qui se gave à prendre 50% du prix de l'essence en TICPE et en tva :hap:

M'enfin il n'y a pas d'argument sérieux pour restreindre la liberté des gens pour "aides les pauvres" :hap:
La seule option viable est de rendre la liberté aux gens :hap:
Ce n'est pas à toi de décider pour les autres, reste à ta place ! :hap:

Ah oui donc tout ce que t'as à répondre c'est "gneugneu l'innovation" et après c'est moi le troll :rire:

Ce qui est un fait ni plus ni moins :hap:
Les voitures émettent de moins en moins de particule fine, que tu le veuilles ou non :hap:
Visiblement tu ne sais pas débattre alors je vais te laisser dans ton délirium et bon courage pour ton futur surtout :ok:

Les "prolos" de Paris habitent en banlieue et prennent le RER/transilien puis le métro pour aller travailler à Paris.

Le 07 juin 2024 à 11:41:15 :

Le 07 juin 2024 à 11:32:32 :

Le 07 juin 2024 à 11:16:46

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ? :hap:
Si tu penses que c'est le cas bien entendu :hap:
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous :hap:
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi :hap: (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ouais, t'es typique d'une pensée qui articule toute la gauche autour d'une définition vieillissante des disparités sociales, et se targue d'idées qui n'ont plus aucun lien avec la réalité.

Le vélo = atroce comme idée bon dieu. Ca supposerait qu'on est tous à distance égale du boulot, ce qui n'est pas le cas. Je le sais, tu le sais, tout le monde le sait ; pourquoi tu mets ça sur le tapis ?
Pour les TeC ça n'aide personne. Les trucs sont déjà surbondés, donc à moins que tu me trouves un moyen de multiplier les TeC (et non, me dit pas "en supprimant les voitures, pitié. Pas avec l'état actuel de l'économie de la mairie), ce que tu dis ne tient pas.

On parle même pas du fait que ces mesures sont certainement liées à des entreprises qui ont tout intérêt à pousser la population à renouveler leur parc automobile, le tout sous couvert """"d'écologie""".

Mais encore une fois : explique moi en quoi ces idées n'ont plus aucun lien avec la réalité. C'est la troisième fois que tu le répète sans exemple concret de cadre ou de catégorie qui fait voler en éclat le cadre prolos/bourges :(

Le 07 juin 2024 à 11:47:25 :

Le 07 juin 2024 à 11:46:08 :

Le 07 juin 2024 à 11:38:42 :

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Le 07 juin 2024 à 11:16:46

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ? :hap:
Si tu penses que c'est le cas bien entendu :hap:
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous :hap:
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi :hap: (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ton aspect pollution n'est pas pertinent car il s'agit tout simplement de laisser les entreprises innover pour permettre à une voitude de moins dégager de particule fine :hap:

Ton aspect économique également si un pauvre souhaite utiliser sa voiture, ce n'est pas à toi de venir l'ouvrir pour x ou y raison, c'est son choix ensuite il s'agirait de baisser les taxes sur l'essence car pour rappel c'est l'État qui se gave à prendre 50% du prix de l'essence en TICPE et en tva :hap:

M'enfin il n'y a pas d'argument sérieux pour restreindre la liberté des gens pour "aides les pauvres" :hap:
La seule option viable est de rendre la liberté aux gens :hap:
Ce n'est pas à toi de décider pour les autres, reste à ta place ! :hap:

Ah oui donc tout ce que t'as à répondre c'est "gneugneu l'innovation" et après c'est moi le troll :rire:

Ce qui est un fait ni plus ni moins :hap:
Les voitures émettent de moins en moins de particule fine, que tu le veuilles ou non :hap:
Visiblement tu ne sais pas débattre alors je vais te laisser dans ton délirium et bon courage pour ton futur surtout :ok:

Grâce aux réglementations, pas grâce à la main invisible :)
En attendant, tu sacrifie des prolos :ok:

Le 07 juin 2024 à 11:49:23 :

Le 07 juin 2024 à 11:47:25 :

Le 07 juin 2024 à 11:46:08 :

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> Le 07 juin 2024 à 11:16:46

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> Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ? :hap:

> Si tu penses que c'est le cas bien entendu :hap:

> J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous :hap:

> Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi :hap: (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ton aspect pollution n'est pas pertinent car il s'agit tout simplement de laisser les entreprises innover pour permettre à une voitude de moins dégager de particule fine :hap:

Ton aspect économique également si un pauvre souhaite utiliser sa voiture, ce n'est pas à toi de venir l'ouvrir pour x ou y raison, c'est son choix ensuite il s'agirait de baisser les taxes sur l'essence car pour rappel c'est l'État qui se gave à prendre 50% du prix de l'essence en TICPE et en tva :hap:

M'enfin il n'y a pas d'argument sérieux pour restreindre la liberté des gens pour "aides les pauvres" :hap:
La seule option viable est de rendre la liberté aux gens :hap:
Ce n'est pas à toi de décider pour les autres, reste à ta place ! :hap:

Ah oui donc tout ce que t'as à répondre c'est "gneugneu l'innovation" et après c'est moi le troll :rire:

Ce qui est un fait ni plus ni moins :hap:
Les voitures émettent de moins en moins de particule fine, que tu le veuilles ou non :hap:
Visiblement tu ne sais pas débattre alors je vais te laisser dans ton délirium et bon courage pour ton futur surtout :ok:

Grâce aux réglementations, pas grâce à la main invisible :)
En attendant, tu sacrifie des prolos :ok:

Quel est le rapport ? :hap:
Ah oui aucun :hap:
Surtout que la demande aussi joue pas seulement la réglementation :hap:
Et en attendant tu sacrifies les prolos et leurs libertés :ok:

Le 07 juin 2024 à 11:46:07 :

Le 07 juin 2024 à 11:42:23 :

Le 07 juin 2024 à 11:29:35 :

Le 07 juin 2024 à 11:24:22 :

Le 07 juin 2024 à 11:12:45

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Il y a pas grand chose de gauche qui transparaît dans tes messages. Et là pour le coup, que ce soit pour les prolos ou plus spécifiquement les pauvres, le constat est le même. La voiture en petite-couronne est d'abord le mode de déplacement des riches.

En quoi le tertiaire vient balayer ça de la main ? C'est pas parce que tu travailles dans un bureau que ça change quelque chose. Tu restes un prolétaire soumis aux conditions imposés par les propriétaires de ton entreprise. Oui, il y des analyses plus fines que ça à faire, et je l'ai précisé entre parenthèses. Mais le cadre reste le même.

La paysannerie échappe à la dichotomie prolétaire/bourgeois parce que la paysannerie était elle-même globalement (en France) constituée d'un grand nombre de petit propriétaires exploitants pauvres (et aussi d'ouvriers agricoles sans terre et d'un petit nombre de grand propriétaires, mais c'est pas le sujet)

Pourquoi? Excuse-moi, c'est parce que je suis en train de pas adopter l'attitude complètement à la con qui consiste à cracher automatiquement sur tout ce qui est bourgeois, tandis que la bourgeoisie reflète des réalité extrêmement vastes aujourd'hui ? Peut-être parce que j'envisage le fait que si tu tapes sur le bourgeois à ce niveau, c'est pas le bourgeois qui va encaisser, mais le travailleurs que tu défends ? Ou parce que j'envisage que, peut-être, plutôt que de restreindre le déplacement ce serait pas mal de multiplier les noyaux durs d'emploi plutôt que d'aller faire chier les déplacements automobiles ? Eclaire ma lanterne.

On va

J'ai pas demandé pourquoi mais en quoi. Et ça ne répond pas à la question. La possibilité d'une analyse plus fine, je l'évoque déjà moi-même. Prolos/bourges, c'est la cadre. Ensuite, dans ce cadre, tu peux effectivement multiplier les analyses plus fines. Un grand bourgeois, ce n'est pas un petit bourgeois. Chez les petits bourgeois, un avocat ce n'est pas la même chose qu'un commerçant. Chez les prolos, t'as le balayeur et le manageur, c'est pas le même habitus du tout, on est d'accord. Mais le cadre global reste le même. balayeur et manageur restent soumis à la bourgeoisie.

Le problème fondamental de cette discussion, c'est que tu restes enfermé dans ton imaginaire. Alors je le répète : pratiquement aucun pauvre ne prend sa voiture en petite couronne pour aller travailler. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1285604

Je comprends ton point de vu. Il est peut-être valable pour d'autres villes en France. Oui, c'est souvent le prolo, le pauvre, qui paye les pots cassés, qui paye les ajustements. C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce que croient les écolo-centrés, une politique écologique doit nécessairement d'accompagner d'ajustement sociaux. Mais dans le cas spécifique de Paris, c'est différent. Les prolos n'utilisent déjà pas leur voiture.

Khey, ton étude est bousillée par un autre article posté quelques pages plus tôt, et que vous avez royalement ignoré.

La diminution de l'usage de la voiture est très majoritairement intra-muros. Ton extrait le dit lui-même bon sang, stop poster des trucs sans les lire.

Cependant, le principal mode de transport domicile-travail diffère selon les territoires franciliens. À Paris, la voiture est peu utilisée, et les transports en commun sont plébiscités. C’est l’inverse en grande couronne, même si l’usage de la voiture y est moins fréquent qu’en province. L’équipement automobile des ménages franciliens reflète en grande partie les différences territoriales dans l’usage des modes de transport domicile-travail. Ainsi, en grande couronne comme en province, neuf ménages actifs occupés sur dix disposent d’au moins une voiture, tandis qu’à Paris six sur dix n’en ont pas du tout.

Je parle pas de la dynamique mais du constat : en petite couronne + paris, la voiture est déjà un mode de transport minoritaire. Et plus on descend dans le revenu, plus c'est vrai

Le 07 juin 2024 à 10:35:11 :

Le 07 juin 2024 à 10:31:15 :
Vous êtes clairement pas ready pour la suite
Des pneumologues ont alerté sur le danger des voitures électriques, vu qu'elles sont plus lourdes elles émettent beaucoup plus de micro particule toxique au freinage

L'augmentation des asbestose dans 20 ans not ready Les shills [[sticker:p/1kku]]

Il ne s'agit d'augmenter le nombre de véhicules électriques mais de bannir les voitures

Chaque semaine des routes sont fermées a la circulation et rendu exclusivement piétonnes et c'est un pure bonheurs

Si c'est comme a Bruxelles, ce que je doute pas, ça profite exclusivement aux toxs et clodos qui squattent.

Le 07 juin 2024 à 11:48:07 :

Le 07 juin 2024 à 11:41:15 :

Le 07 juin 2024 à 11:32:32 :

Le 07 juin 2024 à 11:16:46

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ? :hap:
Si tu penses que c'est le cas bien entendu :hap:
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous :hap:
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi :hap: (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ouais, t'es typique d'une pensée qui articule toute la gauche autour d'une définition vieillissante des disparités sociales, et se targue d'idées qui n'ont plus aucun lien avec la réalité.

Le vélo = atroce comme idée bon dieu. Ca supposerait qu'on est tous à distance égale du boulot, ce qui n'est pas le cas. Je le sais, tu le sais, tout le monde le sait ; pourquoi tu mets ça sur le tapis ?
Pour les TeC ça n'aide personne. Les trucs sont déjà surbondés, donc à moins que tu me trouves un moyen de multiplier les TeC (et non, me dit pas "en supprimant les voitures, pitié. Pas avec l'état actuel de l'économie de la mairie), ce que tu dis ne tient pas.

On parle même pas du fait que ces mesures sont certainement liées à des entreprises qui ont tout intérêt à pousser la population à renouveler leur parc automobile, le tout sous couvert """"d'écologie""".

Mais encore une fois : explique moi en quoi ces idées n'ont plus aucun lien avec la réalité. C'est la troisième fois que tu le répète sans exemple concret de cadre ou de catégorie qui fait voler en éclat le cadre prolos/bourges :(

Le prof. Ne possède rien en tant que moyen de production, mais ne peut pas être qualifié de prolétaire pour autant : il se raccroche à un capital culturel bourgeois.
Le chauffeur de taxi : possède sa voiture, mais soumis de facto à des conditions de travail exécrable. Il n'est pas bourgeois ; ni prolétaire si on prend les définitions marxistes.

Pour continuer à utiliser les définitions dont tu te réclames, il faudrait rester sur des systèmes de production traditionnels. Or ceux-ci ont explosés avec l'avènement du néo-libéralisme économiuque.

> "Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

>

> C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

>

> Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

>

> Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Il y a pas grand chose de gauche qui transparaît dans tes messages. Et là pour le coup, que ce soit pour les prolos ou plus spécifiquement les pauvres, le constat est le même. La voiture en petite-couronne est d'abord le mode de déplacement des riches.

En quoi le tertiaire vient balayer ça de la main ? C'est pas parce que tu travailles dans un bureau que ça change quelque chose. Tu restes un prolétaire soumis aux conditions imposés par les propriétaires de ton entreprise. Oui, il y des analyses plus fines que ça à faire, et je l'ai précisé entre parenthèses. Mais le cadre reste le même.

La paysannerie échappe à la dichotomie prolétaire/bourgeois parce que la paysannerie était elle-même globalement (en France) constituée d'un grand nombre de petit propriétaires exploitants pauvres (et aussi d'ouvriers agricoles sans terre et d'un petit nombre de grand propriétaires, mais c'est pas le sujet)

Pourquoi? Excuse-moi, c'est parce que je suis en train de pas adopter l'attitude complètement à la con qui consiste à cracher automatiquement sur tout ce qui est bourgeois, tandis que la bourgeoisie reflète des réalité extrêmement vastes aujourd'hui ? Peut-être parce que j'envisage le fait que si tu tapes sur le bourgeois à ce niveau, c'est pas le bourgeois qui va encaisser, mais le travailleurs que tu défends ? Ou parce que j'envisage que, peut-être, plutôt que de restreindre le déplacement ce serait pas mal de multiplier les noyaux durs d'emploi plutôt que d'aller faire chier les déplacements automobiles ? Eclaire ma lanterne.

On va

J'ai pas demandé pourquoi mais en quoi. Et ça ne répond pas à la question. La possibilité d'une analyse plus fine, je l'évoque déjà moi-même. Prolos/bourges, c'est la cadre. Ensuite, dans ce cadre, tu peux effectivement multiplier les analyses plus fines. Un grand bourgeois, ce n'est pas un petit bourgeois. Chez les petits bourgeois, un avocat ce n'est pas la même chose qu'un commerçant. Chez les prolos, t'as le balayeur et le manageur, c'est pas le même habitus du tout, on est d'accord. Mais le cadre global reste le même. balayeur et manageur restent soumis à la bourgeoisie.

Le problème fondamental de cette discussion, c'est que tu restes enfermé dans ton imaginaire. Alors je le répète : pratiquement aucun pauvre ne prend sa voiture en petite couronne pour aller travailler. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1285604

Je comprends ton point de vu. Il est peut-être valable pour d'autres villes en France. Oui, c'est souvent le prolo, le pauvre, qui paye les pots cassés, qui paye les ajustements. C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce que croient les écolo-centrés, une politique écologique doit nécessairement d'accompagner d'ajustement sociaux. Mais dans le cas spécifique de Paris, c'est différent. Les prolos n'utilisent déjà pas leur voiture.

Khey, ton étude est bousillée par un autre article posté quelques pages plus tôt, et que vous avez royalement ignoré.

La diminution de l'usage de la voiture est très majoritairement intra-muros. Ton extrait le dit lui-même bon sang, stop poster des trucs sans les lire.

Cependant, le principal mode de transport domicile-travail diffère selon les territoires franciliens. À Paris, la voiture est peu utilisée, et les transports en commun sont plébiscités. C’est l’inverse en grande couronne, même si l’usage de la voiture y est moins fréquent qu’en province. L’équipement automobile des ménages franciliens reflète en grande partie les différences territoriales dans l’usage des modes de transport domicile-travail. Ainsi, en grande couronne comme en province, neuf ménages actifs occupés sur dix disposent d’au moins une voiture, tandis qu’à Paris six sur dix n’en ont pas du tout.

Je parle pas de la dynamique mais du constat : en petite couronne + paris, la voiture est déjà un mode de transport minoritaire. Et plus on descend dans le revenu, plus c'est vrai

Source pour le revenu. On va arrêter de parler sur du vent. Parce qu'a priori, moi je pars du pricnipe que la grande couronne c'est pas uniquement de gros bourgeois. Au contraire. Donc si quand tu t'éloignes = plus de voiture (à l'échelle parisienne, osef que ce soit minoritaire ou moindre qu'en Province), ça veut dire que ceux qui doivent aller à l'extérieur pour des questions de coût utilisent plus la voiture en moyenen.

Le 07 juin 2024 à 11:54:12 :

Le 07 juin 2024 à 11:48:07 :

Le 07 juin 2024 à 11:41:15 :

Le 07 juin 2024 à 11:32:32 :

Le 07 juin 2024 à 11:16:46

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ? :hap:
Si tu penses que c'est le cas bien entendu :hap:
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous :hap:
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi :hap: (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ouais, t'es typique d'une pensée qui articule toute la gauche autour d'une définition vieillissante des disparités sociales, et se targue d'idées qui n'ont plus aucun lien avec la réalité.

Le vélo = atroce comme idée bon dieu. Ca supposerait qu'on est tous à distance égale du boulot, ce qui n'est pas le cas. Je le sais, tu le sais, tout le monde le sait ; pourquoi tu mets ça sur le tapis ?
Pour les TeC ça n'aide personne. Les trucs sont déjà surbondés, donc à moins que tu me trouves un moyen de multiplier les TeC (et non, me dit pas "en supprimant les voitures, pitié. Pas avec l'état actuel de l'économie de la mairie), ce que tu dis ne tient pas.

On parle même pas du fait que ces mesures sont certainement liées à des entreprises qui ont tout intérêt à pousser la population à renouveler leur parc automobile, le tout sous couvert """"d'écologie""".

Mais encore une fois : explique moi en quoi ces idées n'ont plus aucun lien avec la réalité. C'est la troisième fois que tu le répète sans exemple concret de cadre ou de catégorie qui fait voler en éclat le cadre prolos/bourges :(

Le prof. Ne possède rien en tant que moyen de production, mais ne peut pas être qualifié de prolétaire pour autant : il se raccroche à un capital culturel bourgeois.
Le chauffeur de taxi : possède sa voiture, mais soumis de facto à des conditions de travail exécrable. Il n'est pas bourgeois ; ni prolétaire si on prend les définitions marxistes.

Pour continuer à utiliser les définitions dont tu te réclames, il faudrait rester sur des systèmes de production traditionnels. Or ceux-ci ont explosés avec l'avènement du néo-libéralisme économiuque.

Heureusement que dès le début je parle de la possibilité de faire des analyses plus fines. Oui, un prof se rattache à la bourgeoisie intellectuelle (et encore, on parle de que prof ? Un CAPES, agrégé, un HDR avec chaire au Collège de France ?). Un taxi est un petit bourgeois, quelqu'un qui possède ses moyens de productions et les exploite lui-même (ou à petite échelle). Ca ne veut pas dire qu'il vit comme un grand bourgeois, ni qu'il roule sur l'or.

J'ai l'impression que tu viens calquer tout un imaginaire sur mon discours. Comme si mon analyse était absolument dichotomique. J'ai pourtant bien appuyé le fait qu'il s'agit là du cadre. Un prof et un taxis restent moins soumis matériellement à la bourgeoisie qu'un balayeur ou un manageur. Ca ne veut pas dire qu'ils sont absolument autonomes par rapport à la bourgeoisie.

Le 07 juin 2024 à 11:56:32 :

> > "Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

> >

> > C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

> >

> > Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

> >

> > Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

>

> Il y a pas grand chose de gauche qui transparaît dans tes messages. Et là pour le coup, que ce soit pour les prolos ou plus spécifiquement les pauvres, le constat est le même. La voiture en petite-couronne est d'abord le mode de déplacement des riches.

>

> En quoi le tertiaire vient balayer ça de la main ? C'est pas parce que tu travailles dans un bureau que ça change quelque chose. Tu restes un prolétaire soumis aux conditions imposés par les propriétaires de ton entreprise. Oui, il y des analyses plus fines que ça à faire, et je l'ai précisé entre parenthèses. Mais le cadre reste le même.

>

> La paysannerie échappe à la dichotomie prolétaire/bourgeois parce que la paysannerie était elle-même globalement (en France) constituée d'un grand nombre de petit propriétaires exploitants pauvres (et aussi d'ouvriers agricoles sans terre et d'un petit nombre de grand propriétaires, mais c'est pas le sujet)

Pourquoi? Excuse-moi, c'est parce que je suis en train de pas adopter l'attitude complètement à la con qui consiste à cracher automatiquement sur tout ce qui est bourgeois, tandis que la bourgeoisie reflète des réalité extrêmement vastes aujourd'hui ? Peut-être parce que j'envisage le fait que si tu tapes sur le bourgeois à ce niveau, c'est pas le bourgeois qui va encaisser, mais le travailleurs que tu défends ? Ou parce que j'envisage que, peut-être, plutôt que de restreindre le déplacement ce serait pas mal de multiplier les noyaux durs d'emploi plutôt que d'aller faire chier les déplacements automobiles ? Eclaire ma lanterne.

On va

J'ai pas demandé pourquoi mais en quoi. Et ça ne répond pas à la question. La possibilité d'une analyse plus fine, je l'évoque déjà moi-même. Prolos/bourges, c'est la cadre. Ensuite, dans ce cadre, tu peux effectivement multiplier les analyses plus fines. Un grand bourgeois, ce n'est pas un petit bourgeois. Chez les petits bourgeois, un avocat ce n'est pas la même chose qu'un commerçant. Chez les prolos, t'as le balayeur et le manageur, c'est pas le même habitus du tout, on est d'accord. Mais le cadre global reste le même. balayeur et manageur restent soumis à la bourgeoisie.

Le problème fondamental de cette discussion, c'est que tu restes enfermé dans ton imaginaire. Alors je le répète : pratiquement aucun pauvre ne prend sa voiture en petite couronne pour aller travailler. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1285604

Je comprends ton point de vu. Il est peut-être valable pour d'autres villes en France. Oui, c'est souvent le prolo, le pauvre, qui paye les pots cassés, qui paye les ajustements. C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce que croient les écolo-centrés, une politique écologique doit nécessairement d'accompagner d'ajustement sociaux. Mais dans le cas spécifique de Paris, c'est différent. Les prolos n'utilisent déjà pas leur voiture.

Khey, ton étude est bousillée par un autre article posté quelques pages plus tôt, et que vous avez royalement ignoré.

La diminution de l'usage de la voiture est très majoritairement intra-muros. Ton extrait le dit lui-même bon sang, stop poster des trucs sans les lire.

Cependant, le principal mode de transport domicile-travail diffère selon les territoires franciliens. À Paris, la voiture est peu utilisée, et les transports en commun sont plébiscités. C’est l’inverse en grande couronne, même si l’usage de la voiture y est moins fréquent qu’en province. L’équipement automobile des ménages franciliens reflète en grande partie les différences territoriales dans l’usage des modes de transport domicile-travail. Ainsi, en grande couronne comme en province, neuf ménages actifs occupés sur dix disposent d’au moins une voiture, tandis qu’à Paris six sur dix n’en ont pas du tout.

Je parle pas de la dynamique mais du constat : en petite couronne + paris, la voiture est déjà un mode de transport minoritaire. Et plus on descend dans le revenu, plus c'est vrai

Source pour le revenu. On va arrêter de parler sur du vent. Parce qu'a priori, moi je pars du pricnipe que la grande couronne c'est pas uniquement de gros bourgeois. Au contraire. Donc si quand tu t'éloignes = plus de voiture (à l'échelle parisienne, osef que ce soit minoritaire ou moindre qu'en Province), ça veut dire que ceux qui doivent aller à l'extérieur pour des questions de coût utilisent plus la voiture en moyenen.

Je parle bien de la petite-couronne + Paris. Après, c'est multifactoriel, en effet.
T'as ce papier (en lien le graphique spécifique) qui ventile les émissions de transport entre les déciles de revenus et l'espace de résidence (rural, banlieue, centre) : https://www.cairn.info/revue-de-l-ofce-2020-5-page-73.htm

On distingue que pour les trois type d'air, la part d'émission de mobilité domicile-travail augmente avec les revenus

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kheycurieux8
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