Vignette CRIT’AIR = Paris INTERDIT aux PROLOS ?

Le 07 juin 2024 à 11:01:13 :

Le 07 juin 2024 à 10:54:52 :
La ZFE ne concerne pas que Paris, ça serait trop beau

Donc en 2028 ça commence à être foutu pour les critairs 2. Aujourd'hui on peut acheter en occasion une critair 1 à 10 k ou rien

Je suis Crit’Air 2, je viens de voir qu'ils vont imposer ça dans la ville où je travaille

Je suis en train de chercher la date max...

Le 07 juin 2024 à 10:56:17 :

> > > > > > > > > > >

> > > > > > > > > > > Le fameux serveur qui prend sa voiture pour travailler dans le restaurant du 4éme arrondissement

> > > > > > > > > >

> > > > > > > > > > Franchement si c'est pour raconter des conneries, ne dit rien c'est mieux

> > > > > > > > >

> > > > > > > > > Les prolos n'ont pas de voiture dans Paris ou autour de Paris. Tout le monde se déplace en transports en commun.

> > > > > > > >

> > > > > > > > Comment dire que tu n'habites pas à Paris sans dire que tu n'habites pas à Paris.

> > > > > > >

> > > > > > > Khey il me répondait et je n'ai même pas daigné lui répondre tellement sa réponse est ridicule.

> > > > > > > Il ne faut pas répondre à ces gens

> > > > > > > Comme on dit le silence est le plus grand des mépris

> > > > > >

> > > > > > J'ai une petite pensée pour les petits artisans que je vois passer chaque matin devant chez moi en voiture, parce que les transports c'est un chouilla pas pratique quand t'as des tonnes de matos. Pour les femmes de ménage, aussi, qui sont debout avant l'ouverture du métro.

> > > > >

> > > > > Les artisans, ces fameux prolo

> > > > > Les fameuses femmes de ménage qui commencent avant 5h30

> > > > > Vous êtes complètement déconnectés, c'est chaud

> > > >

> > > > Excuse-moi, effectivement : les artisans, ces fameux grands bourgeois.

> > >

> > > Bordel mais voilà, vous savez juste pas ce que c'est qu'un prolo

> > > Putain les bourgeois du 78 qui voient un mec mal fringué qui transpire et qui pensent automatiquement qu'il est pauvre

> > > Les artisans en IdF se font des couilles en or, t'en fait pas pour eux. Moi je te parle des vrais prolos, ceux qui ne sont pas propriétaires de leurs moyens de production

> >

> > Vasy, dis-moi tout, grand ponte : qu'est-ce qu'on prolo ? Je peux y classer les femmes de ménages auxquelles je pense ? Les chauffeurs de tacos peut-être, qui se battent contre les boîtes qui sont loin de fournir les aides adéquates pour renouveler le véhicule ?

>

> Un prolétaire : quelqu'un qui n'est pas propriétaire des ses moyens de production. Oui tu peux y mettre les femmes de ménages (dont absolument aucune ne se déplace en voiture pour aller à Paris), non tu ne peux pas y mettre les chauffeurs de taxis (qui sont la quintessence de la petite bourgeoisie)

>

> Pourquoi tu viens t'exprimer sur ce sujet si tu maitrise pas la base du vocabulaire ?

Chauffeurs de tacos, petite bourgeoisie. On me l'avait jamais faite celle-là.

Pas de ma faute si t'as jamais ouvert un bouquin de ta vie
Tu sais pas ce que recouvre les terme prolétaire, petit bourgeois et grand bourgeois, mais tu la ramène
Ca ose tout

Ouais, t'as raison mon gars. "prolo", ça se réfère pas DU TOUT à un train de vie. L'arrogance du type.

Prolo, diminutif de prolétaire. Encore une fois, désolé mais c'est pas de ma faute si t'emplois des termes dont tu ne maitrises pas la portée. Tu t'es déjà assez ridiculisé comme ça. Tu peux faire le choix de t'arrêter là, admettre que tu ne sais pas de quoi tu parles et aller te renseigner. T'es pas obligé de t'enfoncer dans la bêtise juste pour garder la face.

Mais lâche-moi la grappe bordel, si t'étais aussi intelligent que ce que tu sembles penser tu saurais que les termes ont, en plus de la définition stricte, une utilisation plus laxiste qui est celle du langage courant. En fait, tu sais quoi, si t'étais vraiment aussi carré t'aurais jamais utilisé "prolo", parce que le terme se réfère à l'utilisation familière, DONC justement à l'utilisation du raccourci "revenu faible". Et pas du tout à l'utilisation plus académique qui se réfère à la non-possession. Tu serais également en train de discuter de l'historique du terme, parce que la définition date du XIXe et est largement caduque aujourd'hui.

Non, je ne laisserais pas les termes aussi justes que prolos et bourges aux mains de droitards simplets qui les déforment pour les vider de leurs sens. Si tu veux simplement parler des pauvres, alors utilise le mot pauvres. Mais le constat resterait inchangé ; les pauvres ne prennent pas leur voiture quotidiennement pour se rendre à Paris. Ils prennent les TeC.

Prolétaires et bourgeois n'ont jamais été aussi justes qu'aujourd'hui. Au 19e, la majorité des gens étaient encore de petits paysans qui échappaient à cette analyse. Aujourd'hui, tout le monde en France rentre dans les catégories prolétaires, petits bourgeois et grands bourgeois (on pourrait affiner encore un peu plus, mais c'est l'idée).

Le 07 juin 2024 à 11:02:13 :

Le 07 juin 2024 à 10:43:59 :

Le 07 juin 2024 à 10:41:19 :

Le 07 juin 2024 à 10:15:54 :
On interdit les voitures de prolo dans les grandes villes, on interdit les vols entre les différentes villes de France et personne ne dit rien
Sans parler de ceux qui sont totalement pour

Oui oui les prolos qui voyagent en avion en france.....
Sacres droitards , reflechir c’est jamais votre truc, pas vrai ?

Oui, le prolo qui prend l'avion toutes les semaines entre Nantes et Paris
Sachant que la majorité des français ne prennent jamais l'avion, comme si ceux qui étaient impactés c'était les prolétaires qui vivent au smic

Voilà, et dans la vraie vie, le prolo n’a pas les moyens de prendre l’avion, mais le paye quand meme via l’imposition meme indirecte, le traffic aerien etant ultra massivement subventionné

Bref le prolo de base, le vrai, se fait totalement niquer.

Déjà répondu encore une fois un billet d'avion peut coûter 25 euros alors cessez d'utliser les prolétaires comme excuse pour vos délires liberticides

Pitoyable mais nous avons l'habitude avec vous

Le 07 juin 2024 à 11:05:33 :

Le 07 juin 2024 à 11:02:13 :

Le 07 juin 2024 à 10:43:59 :

Le 07 juin 2024 à 10:41:19 :

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On interdit les voitures de prolo dans les grandes villes, on interdit les vols entre les différentes villes de France et personne ne dit rien
Sans parler de ceux qui sont totalement pour

Oui oui les prolos qui voyagent en avion en france.....
Sacres droitards , reflechir c’est jamais votre truc, pas vrai ?

Oui, le prolo qui prend l'avion toutes les semaines entre Nantes et Paris
Sachant que la majorité des français ne prennent jamais l'avion, comme si ceux qui étaient impactés c'était les prolétaires qui vivent au smic

Voilà, et dans la vraie vie, le prolo n’a pas les moyens de prendre l’avion, mais le paye quand meme via l’imposition meme indirecte, le traffic aerien etant ultra massivement subventionné

Bref le prolo de base, le vrai, se fait totalement niquer.

Déjà répondu encore une fois un billet d'avion peut coûter 25 euros alors cessez d'utliser les prolétaires comme excuse pour vos délires liberticides

Pitoyable mais nous avons l'habitude avec vous

Et alors ? Dans les faits, les pauvres ne prennent presque jamais l'avion (ni le TGV, d'ailleurs). Ils ne se déplacent pas beaucoup sur de longues distances.

Le 07 juin 2024 à 11:05:33 :

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On interdit les voitures de prolo dans les grandes villes, on interdit les vols entre les différentes villes de France et personne ne dit rien
Sans parler de ceux qui sont totalement pour

Oui oui les prolos qui voyagent en avion en france.....
Sacres droitards , reflechir c’est jamais votre truc, pas vrai ?

Oui, le prolo qui prend l'avion toutes les semaines entre Nantes et Paris
Sachant que la majorité des français ne prennent jamais l'avion, comme si ceux qui étaient impactés c'était les prolétaires qui vivent au smic

Voilà, et dans la vraie vie, le prolo n’a pas les moyens de prendre l’avion, mais le paye quand meme via l’imposition meme indirecte, le traffic aerien etant ultra massivement subventionné

Bref le prolo de base, le vrai, se fait totalement niquer.

Déjà répondu encore une fois un billet d'avion peut coûter 25 euros alors cessez d'utliser les prolétaires comme excuse pour vos délires liberticides

Pitoyable mais nous avons l'habitude avec vous

Tu racontes n’importe quoi et tu n’as aucune idee du fonctionnement genera, tu ne f1is que repeter les delires del’extr3me droite comme un perroquet.

Le 07 juin 2024 à 11:03:54 :

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> > > > > > > > > > > > Le fameux serveur qui prend sa voiture pour travailler dans le restaurant du 4éme arrondissement

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> > > > > > > > > > > Franchement si c'est pour raconter des conneries, ne dit rien c'est mieux

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> > > > > > > > > > Les prolos n'ont pas de voiture dans Paris ou autour de Paris. Tout le monde se déplace en transports en commun.

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> > > > > > > > > Comment dire que tu n'habites pas à Paris sans dire que tu n'habites pas à Paris.

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> > > > > > > > Khey il me répondait et je n'ai même pas daigné lui répondre tellement sa réponse est ridicule.

> > > > > > > > Il ne faut pas répondre à ces gens

> > > > > > > > Comme on dit le silence est le plus grand des mépris

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> > > > > > > J'ai une petite pensée pour les petits artisans que je vois passer chaque matin devant chez moi en voiture, parce que les transports c'est un chouilla pas pratique quand t'as des tonnes de matos. Pour les femmes de ménage, aussi, qui sont debout avant l'ouverture du métro.

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> > > > > > Les artisans, ces fameux prolo

> > > > > > Les fameuses femmes de ménage qui commencent avant 5h30

> > > > > > Vous êtes complètement déconnectés, c'est chaud

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> > > > > Excuse-moi, effectivement : les artisans, ces fameux grands bourgeois.

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> > > > Bordel mais voilà, vous savez juste pas ce que c'est qu'un prolo

> > > > Putain les bourgeois du 78 qui voient un mec mal fringué qui transpire et qui pensent automatiquement qu'il est pauvre

> > > > Les artisans en IdF se font des couilles en or, t'en fait pas pour eux. Moi je te parle des vrais prolos, ceux qui ne sont pas propriétaires de leurs moyens de production

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> > > Vasy, dis-moi tout, grand ponte : qu'est-ce qu'on prolo ? Je peux y classer les femmes de ménages auxquelles je pense ? Les chauffeurs de tacos peut-être, qui se battent contre les boîtes qui sont loin de fournir les aides adéquates pour renouveler le véhicule ?

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> > Un prolétaire : quelqu'un qui n'est pas propriétaire des ses moyens de production. Oui tu peux y mettre les femmes de ménages (dont absolument aucune ne se déplace en voiture pour aller à Paris), non tu ne peux pas y mettre les chauffeurs de taxis (qui sont la quintessence de la petite bourgeoisie)

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> > Pourquoi tu viens t'exprimer sur ce sujet si tu maitrise pas la base du vocabulaire ?

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> Chauffeurs de tacos, petite bourgeoisie. On me l'avait jamais faite celle-là.

Pas de ma faute si t'as jamais ouvert un bouquin de ta vie
Tu sais pas ce que recouvre les terme prolétaire, petit bourgeois et grand bourgeois, mais tu la ramène
Ca ose tout

Ouais, t'as raison mon gars. "prolo", ça se réfère pas DU TOUT à un train de vie. L'arrogance du type.

Prolo, diminutif de prolétaire. Encore une fois, désolé mais c'est pas de ma faute si t'emplois des termes dont tu ne maitrises pas la portée. Tu t'es déjà assez ridiculisé comme ça. Tu peux faire le choix de t'arrêter là, admettre que tu ne sais pas de quoi tu parles et aller te renseigner. T'es pas obligé de t'enfoncer dans la bêtise juste pour garder la face.

Mais lâche-moi la grappe bordel, si t'étais aussi intelligent que ce que tu sembles penser tu saurais que les termes ont, en plus de la définition stricte, une utilisation plus laxiste qui est celle du langage courant. En fait, tu sais quoi, si t'étais vraiment aussi carré t'aurais jamais utilisé "prolo", parce que le terme se réfère à l'utilisation familière, DONC justement à l'utilisation du raccourci "revenu faible". Et pas du tout à l'utilisation plus académique qui se réfère à la non-possession. Tu serais également en train de discuter de l'historique du terme, parce que la définition date du XIXe et est largement caduque aujourd'hui.

Non, je ne laisserais pas les termes aussi justes que prolos et bourges aux mains de droitards simplets qui les déforment pour les vider de leurs sens. Si tu veux simplement parler des pauvres, alors utilise le mot pauvres. Mais le constat resterait inchangé ; les pauvres ne prennent pas leur voiture quotidiennement pour se rendre à Paris. Ils prennent les TeC.

Prolétaires et bourgeois n'ont jamais été aussi justes qu'aujourd'hui. Au 19e, la majorité des gens étaient encore de petits paysans qui échappaient à cette analyse. Aujourd'hui, tout le monde en France rentre dans les catégories prolétaires, petits bourgeois et grands bourgeois (on pourrait affiner encore un peu plus, mais c'est l'idée).

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Le 07 juin 2024 à 11:05:33 :

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On interdit les voitures de prolo dans les grandes villes, on interdit les vols entre les différentes villes de France et personne ne dit rien
Sans parler de ceux qui sont totalement pour

Oui oui les prolos qui voyagent en avion en france.....
Sacres droitards , reflechir c’est jamais votre truc, pas vrai ?

Oui, le prolo qui prend l'avion toutes les semaines entre Nantes et Paris
Sachant que la majorité des français ne prennent jamais l'avion, comme si ceux qui étaient impactés c'était les prolétaires qui vivent au smic

Voilà, et dans la vraie vie, le prolo n’a pas les moyens de prendre l’avion, mais le paye quand meme via l’imposition meme indirecte, le traffic aerien etant ultra massivement subventionné

Bref le prolo de base, le vrai, se fait totalement niquer.

Déjà répondu encore une fois un billet d'avion peut coûter 25 euros alors cessez d'utliser les prolétaires comme excuse pour vos délires liberticides

Pitoyable mais nous avons l'habitude avec vous

La question c'est pas si c'est payable ou pas en fait, mais que la classe prolo ne prend que peu l'avion parce qu'elle ne se déplace pas sur de longues distances.

Le 07 juin 2024 à 11:12:45 :

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Le 07 juin 2024 à 10:56:17 :

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> > > > > > > > > > > > > Le fameux serveur qui prend sa voiture pour travailler dans le restaurant du 4éme arrondissement

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> > > > > > > > > > > Les prolos n'ont pas de voiture dans Paris ou autour de Paris. Tout le monde se déplace en transports en commun.

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> > > > > > > > > > Comment dire que tu n'habites pas à Paris sans dire que tu n'habites pas à Paris.

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> > > > > > > > > Khey il me répondait et je n'ai même pas daigné lui répondre tellement sa réponse est ridicule.

> > > > > > > > > Il ne faut pas répondre à ces gens

> > > > > > > > > Comme on dit le silence est le plus grand des mépris

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> > > > > > > > J'ai une petite pensée pour les petits artisans que je vois passer chaque matin devant chez moi en voiture, parce que les transports c'est un chouilla pas pratique quand t'as des tonnes de matos. Pour les femmes de ménage, aussi, qui sont debout avant l'ouverture du métro.

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> > > > > > > Les artisans, ces fameux prolo

> > > > > > > Les fameuses femmes de ménage qui commencent avant 5h30

> > > > > > > Vous êtes complètement déconnectés, c'est chaud

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> > > > > > Excuse-moi, effectivement : les artisans, ces fameux grands bourgeois.

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> > > > > Bordel mais voilà, vous savez juste pas ce que c'est qu'un prolo

> > > > > Putain les bourgeois du 78 qui voient un mec mal fringué qui transpire et qui pensent automatiquement qu'il est pauvre

> > > > > Les artisans en IdF se font des couilles en or, t'en fait pas pour eux. Moi je te parle des vrais prolos, ceux qui ne sont pas propriétaires de leurs moyens de production

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> > > > Vasy, dis-moi tout, grand ponte : qu'est-ce qu'on prolo ? Je peux y classer les femmes de ménages auxquelles je pense ? Les chauffeurs de tacos peut-être, qui se battent contre les boîtes qui sont loin de fournir les aides adéquates pour renouveler le véhicule ?

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> > > Un prolétaire : quelqu'un qui n'est pas propriétaire des ses moyens de production. Oui tu peux y mettre les femmes de ménages (dont absolument aucune ne se déplace en voiture pour aller à Paris), non tu ne peux pas y mettre les chauffeurs de taxis (qui sont la quintessence de la petite bourgeoisie)

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> > > Pourquoi tu viens t'exprimer sur ce sujet si tu maitrise pas la base du vocabulaire ?

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> > Chauffeurs de tacos, petite bourgeoisie. On me l'avait jamais faite celle-là.

>

> Pas de ma faute si t'as jamais ouvert un bouquin de ta vie

> Tu sais pas ce que recouvre les terme prolétaire, petit bourgeois et grand bourgeois, mais tu la ramène

> Ca ose tout

Ouais, t'as raison mon gars. "prolo", ça se réfère pas DU TOUT à un train de vie. L'arrogance du type.

Prolo, diminutif de prolétaire. Encore une fois, désolé mais c'est pas de ma faute si t'emplois des termes dont tu ne maitrises pas la portée. Tu t'es déjà assez ridiculisé comme ça. Tu peux faire le choix de t'arrêter là, admettre que tu ne sais pas de quoi tu parles et aller te renseigner. T'es pas obligé de t'enfoncer dans la bêtise juste pour garder la face.

Mais lâche-moi la grappe bordel, si t'étais aussi intelligent que ce que tu sembles penser tu saurais que les termes ont, en plus de la définition stricte, une utilisation plus laxiste qui est celle du langage courant. En fait, tu sais quoi, si t'étais vraiment aussi carré t'aurais jamais utilisé "prolo", parce que le terme se réfère à l'utilisation familière, DONC justement à l'utilisation du raccourci "revenu faible". Et pas du tout à l'utilisation plus académique qui se réfère à la non-possession. Tu serais également en train de discuter de l'historique du terme, parce que la définition date du XIXe et est largement caduque aujourd'hui.

Non, je ne laisserais pas les termes aussi justes que prolos et bourges aux mains de droitards simplets qui les déforment pour les vider de leurs sens. Si tu veux simplement parler des pauvres, alors utilise le mot pauvres. Mais le constat resterait inchangé ; les pauvres ne prennent pas leur voiture quotidiennement pour se rendre à Paris. Ils prennent les TeC.

Prolétaires et bourgeois n'ont jamais été aussi justes qu'aujourd'hui. Au 19e, la majorité des gens étaient encore de petits paysans qui échappaient à cette analyse. Aujourd'hui, tout le monde en France rentre dans les catégories prolétaires, petits bourgeois et grands bourgeois (on pourrait affiner encore un peu plus, mais c'est l'idée).

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ?
Si tu penses que c'est le cas bien entendu
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi (cocasse quand l'on vote Macron)

Le 07 juin 2024 à 11:14:02 :

Le 07 juin 2024 à 11:05:33 :

Le 07 juin 2024 à 11:02:13 :

Le 07 juin 2024 à 10:43:59 :

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> Le 07 juin 2024 à 10:15:54 :

>On interdit les voitures de prolo dans les grandes villes, on interdit les vols entre les différentes villes de France et personne ne dit rien

> Sans parler de ceux qui sont totalement pour

Oui oui les prolos qui voyagent en avion en france.....
Sacres droitards , reflechir c’est jamais votre truc, pas vrai ?

Oui, le prolo qui prend l'avion toutes les semaines entre Nantes et Paris
Sachant que la majorité des français ne prennent jamais l'avion, comme si ceux qui étaient impactés c'était les prolétaires qui vivent au smic

Voilà, et dans la vraie vie, le prolo n’a pas les moyens de prendre l’avion, mais le paye quand meme via l’imposition meme indirecte, le traffic aerien etant ultra massivement subventionné

Bref le prolo de base, le vrai, se fait totalement niquer.

Déjà répondu encore une fois un billet d'avion peut coûter 25 euros alors cessez d'utliser les prolétaires comme excuse pour vos délires liberticides

Pitoyable mais nous avons l'habitude avec vous

La question c'est pas si c'est payable ou pas en fait, mais que la classe prolo ne prend que peu l'avion parce qu'elle ne se déplace pas sur de longues distances.

Les gens vont en vacances comme tout le monde enfin quand je peux profiter d'un prix abordable et que j'ai le temps (les gens travaillent quoi), cela sera génial d'avoir un billet à prix cassé

Le 07 juin 2024 à 11:16:46 :

Le 07 juin 2024 à 11:12:45 :

Le 07 juin 2024 à 11:03:54 :

Le 07 juin 2024 à 10:56:17 :

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> > > > > > > > > > > > > > Le fameux serveur qui prend sa voiture pour travailler dans le restaurant du 4éme arrondissement

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> > > > > > > > > > > > > Franchement si c'est pour raconter des conneries, ne dit rien c'est mieux

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> > > > > > > > > > > > Les prolos n'ont pas de voiture dans Paris ou autour de Paris. Tout le monde se déplace en transports en commun.

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> > > > > > > > > > > Comment dire que tu n'habites pas à Paris sans dire que tu n'habites pas à Paris.

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> > > > > > > > > > Khey il me répondait et je n'ai même pas daigné lui répondre tellement sa réponse est ridicule.

> > > > > > > > > > Il ne faut pas répondre à ces gens

> > > > > > > > > > Comme on dit le silence est le plus grand des mépris

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> > > > > > > > > J'ai une petite pensée pour les petits artisans que je vois passer chaque matin devant chez moi en voiture, parce que les transports c'est un chouilla pas pratique quand t'as des tonnes de matos. Pour les femmes de ménage, aussi, qui sont debout avant l'ouverture du métro.

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> > > > > > > > Les artisans, ces fameux prolo

> > > > > > > > Les fameuses femmes de ménage qui commencent avant 5h30

> > > > > > > > Vous êtes complètement déconnectés, c'est chaud

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> > > > > > > Excuse-moi, effectivement : les artisans, ces fameux grands bourgeois.

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> > > > > > Bordel mais voilà, vous savez juste pas ce que c'est qu'un prolo

> > > > > > Putain les bourgeois du 78 qui voient un mec mal fringué qui transpire et qui pensent automatiquement qu'il est pauvre

> > > > > > Les artisans en IdF se font des couilles en or, t'en fait pas pour eux. Moi je te parle des vrais prolos, ceux qui ne sont pas propriétaires de leurs moyens de production

> > > > >

> > > > > Vasy, dis-moi tout, grand ponte : qu'est-ce qu'on prolo ? Je peux y classer les femmes de ménages auxquelles je pense ? Les chauffeurs de tacos peut-être, qui se battent contre les boîtes qui sont loin de fournir les aides adéquates pour renouveler le véhicule ?

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> > > > Un prolétaire : quelqu'un qui n'est pas propriétaire des ses moyens de production. Oui tu peux y mettre les femmes de ménages (dont absolument aucune ne se déplace en voiture pour aller à Paris), non tu ne peux pas y mettre les chauffeurs de taxis (qui sont la quintessence de la petite bourgeoisie)

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> > > > Pourquoi tu viens t'exprimer sur ce sujet si tu maitrise pas la base du vocabulaire ?

> > >

> > > Chauffeurs de tacos, petite bourgeoisie. On me l'avait jamais faite celle-là.

> >

> > Pas de ma faute si t'as jamais ouvert un bouquin de ta vie

> > Tu sais pas ce que recouvre les terme prolétaire, petit bourgeois et grand bourgeois, mais tu la ramène

> > Ca ose tout

>

> Ouais, t'as raison mon gars. "prolo", ça se réfère pas DU TOUT à un train de vie. L'arrogance du type.

Prolo, diminutif de prolétaire. Encore une fois, désolé mais c'est pas de ma faute si t'emplois des termes dont tu ne maitrises pas la portée. Tu t'es déjà assez ridiculisé comme ça. Tu peux faire le choix de t'arrêter là, admettre que tu ne sais pas de quoi tu parles et aller te renseigner. T'es pas obligé de t'enfoncer dans la bêtise juste pour garder la face.

Mais lâche-moi la grappe bordel, si t'étais aussi intelligent que ce que tu sembles penser tu saurais que les termes ont, en plus de la définition stricte, une utilisation plus laxiste qui est celle du langage courant. En fait, tu sais quoi, si t'étais vraiment aussi carré t'aurais jamais utilisé "prolo", parce que le terme se réfère à l'utilisation familière, DONC justement à l'utilisation du raccourci "revenu faible". Et pas du tout à l'utilisation plus académique qui se réfère à la non-possession. Tu serais également en train de discuter de l'historique du terme, parce que la définition date du XIXe et est largement caduque aujourd'hui.

Non, je ne laisserais pas les termes aussi justes que prolos et bourges aux mains de droitards simplets qui les déforment pour les vider de leurs sens. Si tu veux simplement parler des pauvres, alors utilise le mot pauvres. Mais le constat resterait inchangé ; les pauvres ne prennent pas leur voiture quotidiennement pour se rendre à Paris. Ils prennent les TeC.

Prolétaires et bourgeois n'ont jamais été aussi justes qu'aujourd'hui. Au 19e, la majorité des gens étaient encore de petits paysans qui échappaient à cette analyse. Aujourd'hui, tout le monde en France rentre dans les catégories prolétaires, petits bourgeois et grands bourgeois (on pourrait affiner encore un peu plus, mais c'est l'idée).

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ?
Si tu penses que c'est le cas bien entendu
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi (cocasse quand l'on vote Macron)

Vache c'est vrai qu'on est censé partir de ça à la base.

Mais non, bien sûr que non. Autre souci du topic d'ailleurs, même si ça n'impactait effectivement pas les fameux pauvres restreindre la liberté de déplacement du "bourgeois" (aka : le chauffeur de tacos ) n'est toujours pas bénéficiaire.

Le 07 juin 2024 à 11:18:46 :

Le 07 juin 2024 à 11:14:02 :

Le 07 juin 2024 à 11:05:33 :

Le 07 juin 2024 à 11:02:13 :

Le 07 juin 2024 à 10:43:59 :

> Le 07 juin 2024 à 10:41:19 :

>> Le 07 juin 2024 à 10:15:54 :

> >On interdit les voitures de prolo dans les grandes villes, on interdit les vols entre les différentes villes de France et personne ne dit rien

> > Sans parler de ceux qui sont totalement pour

>

> Oui oui les prolos qui voyagent en avion en france.....

> Sacres droitards , reflechir c’est jamais votre truc, pas vrai ?

Oui, le prolo qui prend l'avion toutes les semaines entre Nantes et Paris
Sachant que la majorité des français ne prennent jamais l'avion, comme si ceux qui étaient impactés c'était les prolétaires qui vivent au smic

Voilà, et dans la vraie vie, le prolo n’a pas les moyens de prendre l’avion, mais le paye quand meme via l’imposition meme indirecte, le traffic aerien etant ultra massivement subventionné

Bref le prolo de base, le vrai, se fait totalement niquer.

Déjà répondu encore une fois un billet d'avion peut coûter 25 euros alors cessez d'utliser les prolétaires comme excuse pour vos délires liberticides

Pitoyable mais nous avons l'habitude avec vous

La question c'est pas si c'est payable ou pas en fait, mais que la classe prolo ne prend que peu l'avion parce qu'elle ne se déplace pas sur de longues distances.

Les gens vont en vacances comme tout le monde enfin quand je peux profiter d'un prix abordable et que j'ai le temps (les gens travaillent quoi), cela sera génial d'avoir un billet à prix cassé

On parlait surtout des migrations des travailleurs, donc les vacances c'est un peu HS je pense ?

Le 07 juin 2024 à 11:12:45

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Il y a pas grand chose de gauche qui transparaît dans tes messages. Et là pour le coup, que ce soit pour les prolos ou plus spécifiquement les pauvres, le constat est le même. La voiture en petite-couronne est d'abord le mode de déplacement des riches.

En quoi le tertiaire vient balayer ça de la main ? C'est pas parce que tu travailles dans un bureau que ça change quelque chose. Tu restes un prolétaire soumis aux conditions imposés par les propriétaires de ton entreprise. Oui, il y des analyses plus fines que ça à faire, et je l'ai précisé entre parenthèses. Mais le cadre reste le même.

La paysannerie échappe à la dichotomie prolétaire/bourgeois parce que la paysannerie était elle-même globalement (en France) constituée d'un grand nombre de petit propriétaires exploitants pauvres (et aussi d'ouvriers agricoles sans terre et d'un petit nombre de grand propriétaires, mais c'est pas le sujet)

Le 07 juin 2024 à 11:24:22 :

Le 07 juin 2024 à 11:12:45

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Il y a pas grand chose de gauche qui transparaît dans tes messages. Et là pour le coup, que ce soit pour les prolos ou plus spécifiquement les pauvres, le constat est le même. La voiture en petite-couronne est d'abord le mode de déplacement des riches.

En quoi le tertiaire vient balayer ça de la main ? C'est pas parce que tu travailles dans un bureau que ça change quelque chose. Tu restes un prolétaire soumis aux conditions imposés par les propriétaires de ton entreprise. Oui, il y des analyses plus fines que ça à faire, et je l'ai précisé entre parenthèses. Mais le cadre reste le même.

La paysannerie échappe à la dichotomie prolétaire/bourgeois parce que la paysannerie était elle-même globalement (en France) constituée d'un grand nombre de petit propriétaires exploitants pauvres (et aussi d'ouvriers agricoles sans terre et d'un petit nombre de grand propriétaires, mais c'est pas le sujet)

Pourquoi? Excuse-moi, c'est parce que je suis en train de pas adopter l'attitude complètement à la con qui consiste à cracher automatiquement sur tout ce qui est bourgeois, tandis que la bourgeoisie reflète des réalité extrêmement vastes aujourd'hui ? Peut-être parce que j'envisage le fait que si tu tapes sur le bourgeois à ce niveau, c'est pas le bourgeois qui va encaisser, mais le travailleurs que tu défends ? Ou parce que j'envisage que, peut-être, plutôt que de restreindre le déplacement ce serait pas mal de multiplier les noyaux durs d'emploi plutôt que d'aller faire chier les déplacements automobiles ? Eclaire ma lanterne.

On va

Le 07 juin 2024 à 11:21:21 :

Le 07 juin 2024 à 11:16:46 :

Le 07 juin 2024 à 11:12:45 :

Le 07 juin 2024 à 11:03:54 :

Le 07 juin 2024 à 10:56:17 :

> > > > > > > > > > > > > > >

> > > > > > > > > > > > > > > Le fameux serveur qui prend sa voiture pour travailler dans le restaurant du 4éme arrondissement

> > > > > > > > > > > > > >

> > > > > > > > > > > > > > Franchement si c'est pour raconter des conneries, ne dit rien c'est mieux

> > > > > > > > > > > > >

> > > > > > > > > > > > > Les prolos n'ont pas de voiture dans Paris ou autour de Paris. Tout le monde se déplace en transports en commun.

> > > > > > > > > > > >

> > > > > > > > > > > > Comment dire que tu n'habites pas à Paris sans dire que tu n'habites pas à Paris.

> > > > > > > > > > >

> > > > > > > > > > > Khey il me répondait et je n'ai même pas daigné lui répondre tellement sa réponse est ridicule.

> > > > > > > > > > > Il ne faut pas répondre à ces gens

> > > > > > > > > > > Comme on dit le silence est le plus grand des mépris

> > > > > > > > > >

> > > > > > > > > > J'ai une petite pensée pour les petits artisans que je vois passer chaque matin devant chez moi en voiture, parce que les transports c'est un chouilla pas pratique quand t'as des tonnes de matos. Pour les femmes de ménage, aussi, qui sont debout avant l'ouverture du métro.

> > > > > > > > >

> > > > > > > > > Les artisans, ces fameux prolo

> > > > > > > > > Les fameuses femmes de ménage qui commencent avant 5h30

> > > > > > > > > Vous êtes complètement déconnectés, c'est chaud

> > > > > > > >

> > > > > > > > Excuse-moi, effectivement : les artisans, ces fameux grands bourgeois.

> > > > > > >

> > > > > > > Bordel mais voilà, vous savez juste pas ce que c'est qu'un prolo

> > > > > > > Putain les bourgeois du 78 qui voient un mec mal fringué qui transpire et qui pensent automatiquement qu'il est pauvre

> > > > > > > Les artisans en IdF se font des couilles en or, t'en fait pas pour eux. Moi je te parle des vrais prolos, ceux qui ne sont pas propriétaires de leurs moyens de production

> > > > > >

> > > > > > Vasy, dis-moi tout, grand ponte : qu'est-ce qu'on prolo ? Je peux y classer les femmes de ménages auxquelles je pense ? Les chauffeurs de tacos peut-être, qui se battent contre les boîtes qui sont loin de fournir les aides adéquates pour renouveler le véhicule ?

> > > > >

> > > > > Un prolétaire : quelqu'un qui n'est pas propriétaire des ses moyens de production. Oui tu peux y mettre les femmes de ménages (dont absolument aucune ne se déplace en voiture pour aller à Paris), non tu ne peux pas y mettre les chauffeurs de taxis (qui sont la quintessence de la petite bourgeoisie)

> > > > >

> > > > > Pourquoi tu viens t'exprimer sur ce sujet si tu maitrise pas la base du vocabulaire ?

> > > >

> > > > Chauffeurs de tacos, petite bourgeoisie. On me l'avait jamais faite celle-là.

> > >

> > > Pas de ma faute si t'as jamais ouvert un bouquin de ta vie

> > > Tu sais pas ce que recouvre les terme prolétaire, petit bourgeois et grand bourgeois, mais tu la ramène

> > > Ca ose tout

> >

> > Ouais, t'as raison mon gars. "prolo", ça se réfère pas DU TOUT à un train de vie. L'arrogance du type.

>

> Prolo, diminutif de prolétaire. Encore une fois, désolé mais c'est pas de ma faute si t'emplois des termes dont tu ne maitrises pas la portée. Tu t'es déjà assez ridiculisé comme ça. Tu peux faire le choix de t'arrêter là, admettre que tu ne sais pas de quoi tu parles et aller te renseigner. T'es pas obligé de t'enfoncer dans la bêtise juste pour garder la face.

Mais lâche-moi la grappe bordel, si t'étais aussi intelligent que ce que tu sembles penser tu saurais que les termes ont, en plus de la définition stricte, une utilisation plus laxiste qui est celle du langage courant. En fait, tu sais quoi, si t'étais vraiment aussi carré t'aurais jamais utilisé "prolo", parce que le terme se réfère à l'utilisation familière, DONC justement à l'utilisation du raccourci "revenu faible". Et pas du tout à l'utilisation plus académique qui se réfère à la non-possession. Tu serais également en train de discuter de l'historique du terme, parce que la définition date du XIXe et est largement caduque aujourd'hui.

Non, je ne laisserais pas les termes aussi justes que prolos et bourges aux mains de droitards simplets qui les déforment pour les vider de leurs sens. Si tu veux simplement parler des pauvres, alors utilise le mot pauvres. Mais le constat resterait inchangé ; les pauvres ne prennent pas leur voiture quotidiennement pour se rendre à Paris. Ils prennent les TeC.

Prolétaires et bourgeois n'ont jamais été aussi justes qu'aujourd'hui. Au 19e, la majorité des gens étaient encore de petits paysans qui échappaient à cette analyse. Aujourd'hui, tout le monde en France rentre dans les catégories prolétaires, petits bourgeois et grands bourgeois (on pourrait affiner encore un peu plus, mais c'est l'idée).

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ?
Si tu penses que c'est le cas bien entendu
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi (cocasse quand l'on vote Macron)

Vache c'est vrai qu'on est censé partir de ça à la base.

Mais non, bien sûr que non. Autre souci du topic d'ailleurs, même si ça n'impactait effectivement pas les fameux pauvres restreindre la liberté de déplacement du "bourgeois" (aka : le chauffeur de tacos ) n'est toujours pas bénéficiaire.

Surtout que le bobo peut s'acheter une voiture critair 1 et payer cher un billet d'avion, le prix il s'en fiche un peu
C'était le sujet à la base en effet
Mais moi cela me choque de voir des gens défendre des restrictions de libertés car le prolétaire ne serais pas affecté, ce qui est faux cela sera le premier affecté justement

Le 07 juin 2024 à 11:16:46

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ?
Si tu penses que c'est le cas bien entendu
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactée. Donc oui, limiter le nombre de déplacement en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidien autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Le 07 juin 2024 à 11:24:22 :

Le 07 juin 2024 à 11:12:45

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Il y a pas grand chose de gauche qui transparaît dans tes messages. Et là pour le coup, que ce soit pour les prolos ou plus spécifiquement les pauvres, le constat est le même. La voiture en petite-couronne est d'abord le mode de déplacement des riches.

En quoi le tertiaire vient balayer ça de la main ? C'est pas parce que tu travailles dans un bureau que ça change quelque chose. Tu restes un prolétaire soumis aux conditions imposés par les propriétaires de ton entreprise. Oui, il y des analyses plus fines que ça à faire, et je l'ai précisé entre parenthèses. Mais le cadre reste le même.

La paysannerie échappe à la dichotomie prolétaire/bourgeois parce que la paysannerie était elle-même globalement (en France) constituée d'un grand nombre de petit propriétaires exploitants pauvres (et aussi d'ouvriers agricoles sans terre et d'un petit nombre de grand propriétaires, mais c'est pas le sujet)

Pourquoi? Excuse-moi, c'est parce que je suis en train de pas adopter l'attitude complètement à la con qui consiste à cracher automatiquement sur tout ce qui est bourgeois, tandis que la bourgeoisie reflète des réalité extrêmement vastes aujourd'hui ? Peut-être parce que j'envisage le fait que si tu tapes sur le bourgeois à ce niveau, c'est pas le bourgeois qui va encaisser, mais le travailleurs que tu défends ? Ou parce que j'envisage que, peut-être, plutôt que de restreindre le déplacement ce serait pas mal de multiplier les noyaux durs d'emploi plutôt que d'aller faire chier les déplacements automobiles ? Eclaire ma lanterne.

Et prolétaire, puisque tu tantines sur la déf académique, c'est pas juste être soumis à des conditions. C'est la non-possession de capital et de moyen de production. Un employé du tertiaire peut posséder les deux comme aucun, ou l'un ou l'autre. Pour le paysan, c'est juste le journalier, l'ouvrier agricole ou le grand propriétaire qui rend ta remarque particulièrement fragile : ce sont aussi des acteurs de la paysannerie, et c'est pas parce que ça ne colle pas à ton discours que tu es autorisé à les jeter dans les égoûts.

(tab)

Le 07 juin 2024 à 11:32:32 :

Le 07 juin 2024 à 11:16:46

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ?
Si tu penses que c'est le cas bien entendu
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ton aspect pollution n'est pas pertinent car il s'agit tout simplement de laisser les entreprises innover pour permettre à une voitude de moins dégager de particule fine

Ton aspect économique également si un pauvre souhaite utiliser sa voiture, ce n'est pas à toi de venir l'ouvrir pour x ou y raison, c'est son choix ensuite il s'agirait de baisser les taxes sur l'essence car pour rappel c'est l'État qui se gave à prendre 50% du prix de l'essence en TICPE et en tva

M'enfin il n'y a pas d'argument sérieux pour restreindre la liberté des gens pour "aides les pauvres"
La seule option viable est de rendre la liberté aux gens
Ce n'est pas à toi de décider pour les autres, reste à ta place !

Le 07 juin 2024 à 11:32:32 :

Le 07 juin 2024 à 11:16:46

Juste une question étant donné que tu es socialiste (enfin de gauche quoi), restreindre la liberté de circulation des gens est supposés aider les pauvres ?
Si tu penses que c'est le cas bien entendu
J'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement des génies juste au dessus de nous
Je ne leur demande pas car ils n'ont pas d'arguments à part dire "extrême droite" ou je ne sais quoi (cocasse quand l'on vote Macron)

Il y a deux aspects à la voiture : l'aspect pollution et l'aspect sociale.

Sur l'aspect pollution, ce sont les pauvres qui sont le plus impactés. Donc oui, limiter le nombre de déplacements en voiture les aide sous la forme d'une meilleure santé. Et c'est aussi valable pour la voiture électrique, puisque la moitié (dans ces eaux là il me semble) des polluants locaux sont dus aux pneus et aux disques de freins.

Sur l'aspect social, le fait d'avoir organisé les déplacements quotidiens autour de la voiture impacte également principalement les pauvres. D'abord, ça leur prend une part du revenu non négligeable. Ensuite, ça occupe de l'espace qui fait concurrence à des modes de transports moins couteux. Donc limiter l'espace de la voiture pour le rendre à la marche, au vélo et aux TeC, ça aide financièrement les pauvres.

Ouais, t'es typique d'une pensée qui articule toute la gauche autour d'une définition vieillissante des disparités sociales, et se targue d'idées qui n'ont plus aucun lien avec la réalité.

Le vélo = atroce comme idée bon dieu. Ca supposerait qu'on est tous à distance égale du boulot, ce qui n'est pas le cas. Je le sais, tu le sais, tout le monde le sait ; pourquoi tu mets ça sur le tapis ?
Pour les TeC ça n'aide personne. Les trucs sont déjà surbondés, donc à moins que tu me trouves un moyen de multiplier les TeC (et non, me dit pas "en supprimant les voitures, pitié. Pas avec l'état actuel de l'économie de la mairie), ce que tu dis ne tient pas.

On parle même pas du fait que ces mesures sont certainement liées à des entreprises qui ont tout intérêt à pousser la population à renouveler leur parc automobile, le tout sous couvert """"d'écologie""".

Le 07 juin 2024 à 11:29:35 :

Le 07 juin 2024 à 11:24:22 :

Le 07 juin 2024 à 11:12:45

Je suis de gauche. T'auras été d'une pertinence incroyable tout au long de la discussion.

"Prolo" (terme familier) : personne aux faibles revenues.

C'est toi qui a mis la déf de "pauvre" sur le tapis mon bon khey. Continue à pester sur les conséquences si ça te chante.

Pour le reste, non, la définition doit évoluer. Parce que la définition ancienne qui classe tout à l'aune de la possession n'est plus exacte aujourd'hui, surtout à Paris d'ailleurs. Parce qu'on a l'apparition du tertiaire, qui vient chasser de la main la notion de détention des moyens de production. Mais t'as encore des lows qui viennent se branler avec les définitions anciennes. Conseil : lire un bouquin, c'est bien. Avoir du recul sur le bouquin, c'est mieux.

Et exempter la paysannerie du prolétariat en te basant uniquement sur la déf qui veut une non-possession des moyens de production, c'est culotté.

Il y a pas grand chose de gauche qui transparaît dans tes messages. Et là pour le coup, que ce soit pour les prolos ou plus spécifiquement les pauvres, le constat est le même. La voiture en petite-couronne est d'abord le mode de déplacement des riches.

En quoi le tertiaire vient balayer ça de la main ? C'est pas parce que tu travailles dans un bureau que ça change quelque chose. Tu restes un prolétaire soumis aux conditions imposés par les propriétaires de ton entreprise. Oui, il y des analyses plus fines que ça à faire, et je l'ai précisé entre parenthèses. Mais le cadre reste le même.

La paysannerie échappe à la dichotomie prolétaire/bourgeois parce que la paysannerie était elle-même globalement (en France) constituée d'un grand nombre de petit propriétaires exploitants pauvres (et aussi d'ouvriers agricoles sans terre et d'un petit nombre de grand propriétaires, mais c'est pas le sujet)

Pourquoi? Excuse-moi, c'est parce que je suis en train de pas adopter l'attitude complètement à la con qui consiste à cracher automatiquement sur tout ce qui est bourgeois, tandis que la bourgeoisie reflète des réalité extrêmement vastes aujourd'hui ? Peut-être parce que j'envisage le fait que si tu tapes sur le bourgeois à ce niveau, c'est pas le bourgeois qui va encaisser, mais le travailleurs que tu défends ? Ou parce que j'envisage que, peut-être, plutôt que de restreindre le déplacement ce serait pas mal de multiplier les noyaux durs d'emploi plutôt que d'aller faire chier les déplacements automobiles ? Eclaire ma lanterne.

On va

J'ai pas demandé pourquoi mais en quoi. Et ça ne répond pas à la question. La possibilité d'une analyse plus fine, je l'évoque déjà moi-même. Prolos/bourges, c'est la cadre. Ensuite, dans ce cadre, tu peux effectivement multiplier les analyses plus fines. Un grand bourgeois, ce n'est pas un petit bourgeois. Chez les petits bourgeois, un avocat ce n'est pas la même chose qu'un commerçant. Chez les prolos, t'as le balayeur et le manageur, c'est pas le même habitus du tout, on est d'accord. Mais le cadre global reste le même. balayeur et manageur restent soumis à la bourgeoisie.

Le problème fondamental de cette discussion, c'est que tu restes enfermé dans ton imaginaire. Alors je le répète : pratiquement aucun pauvre ne prend sa voiture en petite couronne pour aller travailler. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1285604

Je comprends ton point de vu. Il est peut-être valable pour d'autres villes en France. Oui, c'est souvent le prolo, le pauvre, qui paye les pots cassés, qui paye les ajustements. C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce que croient les écolo-centrés, une politique écologique doit nécessairement d'accompagner d'ajustement sociaux. Mais dans le cas spécifique de Paris, c'est différent. Les prolos n'utilisent déjà pas leur voiture.