Topic de Questionzzz :

Je veux discuter avec des khey qui ont l'impression de détruire ce qu'ils touchent

[03:19:49] <Questionzzz>

Le 17 mars 2024 à 03:17:31 :

[03:16:05] <Questionzzz>

Le 17 mars 2024 à 03:14:23 :
J'ai tout lu jusqu'ici, courage à toi, poète du soir bonsoir, mais je trouve que tu en fais un peu trop, nonobstant je salut l'effort.

Je suis bien pété mon khey. Pas mon habitude de parler comme ça. Ca tourne parfois au snobisme. Je suis normalement bien plus direct.

Mais bon, parfois c'est le seul moyen pour moi pour que je me sente pathétique. Donc autant assumer jusqu'au bout.

Molo sur la bouteille, stimuler ton langage ne résoudra pas tes problèmes pour autant :hap:

Bien sur. Ca ne les résoud pas mais ça allège un minimum. Ce qui arrive à sortir, c'est toujours du poids en moins. Même si ce n'est que temporaire. Quand les moyens manquent, on bricole avec ce qu'on a.

Ce n'est pas une habitude si cela peut te rassurer. Je me l'autorise que lorsque c'est nécessaire.

Alors profite de ces instants malgré tout, en espérant que tu puisses en tirer quelque chose https://image.noelshack.com/fichiers/2020/27/6/1593818861-ht0hwmqi.png

Le 17 mars 2024 à 03:19:20 :

Le 17 mars 2024 à 03:11:00 :

Le 17 mars 2024 à 03:08:42 :
Tu t'enfonces dans la nuit de l'âme, bienvenue dans le royaumes des ombres, bienvenue dans l'abysse des vivants, le monde de la décomposition, le monde de l'arrêt

Médite, ou sombre

Merci. L'avantage de la décomposition, c'est que ça compose en échouant. Ca se morcèle. Ca sonne assez pour apprécié mais pas suffisament pour en voir le bout.
C'est pire que l'arrêt, c'est le démarrage qui n'arrive jamais.

J'y viens... au fin fond de la nuit, là ou les folles angoisses cavalcadent, règne la reine qui hurle la douleur de la création, et toi, Mortel, tu traduiras les suppliques misérables, et tu empliras ton coeur de cette absolue prière

Je n'ai pas 20 ans et ce n'est pas ma première déception. Je suis bien moins romantique qu'à l'époque. Il n'y a pas de reine et les cris sont etouffés. On est bien avant ta mesure poétique. Le cri est encore inaudible. Il n'y a pour le moment que ses effets sur le corps.

Le 17 mars 2024 à 03:21:39 :

[03:19:49] <Questionzzz>

Le 17 mars 2024 à 03:17:31 :

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Le 17 mars 2024 à 03:14:23 :
J'ai tout lu jusqu'ici, courage à toi, poète du soir bonsoir, mais je trouve que tu en fais un peu trop, nonobstant je salut l'effort.

Je suis bien pété mon khey. Pas mon habitude de parler comme ça. Ca tourne parfois au snobisme. Je suis normalement bien plus direct.

Mais bon, parfois c'est le seul moyen pour moi pour que je me sente pathétique. Donc autant assumer jusqu'au bout.

Molo sur la bouteille, stimuler ton langage ne résoudra pas tes problèmes pour autant :hap:

Bien sur. Ca ne les résoud pas mais ça allège un minimum. Ce qui arrive à sortir, c'est toujours du poids en moins. Même si ce n'est que temporaire. Quand les moyens manquent, on bricole avec ce qu'on a.

Ce n'est pas une habitude si cela peut te rassurer. Je me l'autorise que lorsque c'est nécessaire.

Alors profite de ces instants malgré tout, en espérant que tu puisses en tirer quelque chose https://image.noelshack.com/fichiers/2020/27/6/1593818861-ht0hwmqi.png

Merci mon khey. On verra demain.

soumission de façade à la moraline consensuelle spotted
quel monstre

Ce qu'il y a de pire dans la monstruosité, ce n'est pas tellement l'mage que l'on a de soi. Ce n'est pas le souvenir que l'on a de soi. C'est ce qui perdure dans les effets de ce que l'on a fait ressentir à l'autre.

Ce n'est pas ce que l'autre dit. Ce n'est pas comment il se sent dans le quotidien. C'est la façon dont il réagit quand la peur prime sur l'amour dans les moments difficiles. C'est dans les moments durs que la faiblesse exprime ses tares. C'est dans les moments durs que ce qui est en creux s'exprime avec vociféraiton.

Et manger le corps du Christ tous les dimanche ? C'est plutôt là que je vois de la posture, et une manière de s'élever au divin en traversant un tabou. Hypocrisie ?

On retrouve des marques sur ce sujet en étudiant les religions Baaliennes qui régnaient à l'époque où le peuple juif s'est fondé. On peut confirmer cette hypothèse en étudiant la mythologie comparée dans les périodes qui couvrent -3000 et -600. Le cannibalisme est typique des populations animistes et totémistes qui dominaient dans ces périodes.
L'interdit du cannibalisme est né avec le judaïsme. Je n'entrerai pas dans les détails mais le sacrifice d'Abraham en est la preuve la plus éloquente.

Je vois ce que tu veux dire, mais il va y avoir trop de contre-exemples et de transferts de ce cannibalisme et de l'acte sacrificiel dans les textes. Je pense à Job, et aux interdits, et au rapport maladif au corps et aux femmes. De la vitalité donc.

Ce que tu me dis toi, c'est de la posture. Tu vis dans un monde où le cannibalisme est tabou et tu vois naturellement un moyen magique de t'élever au delà du rang de Dieu.

J'espère que tu regarderas le doc entier, tu sembles maîtriser le sujet du cannibalisme dans les régions du désert à calorie limitée, mais le contexte de la pratique Aghori est très différent.

Puisqu'ils mangent les morts décédés de cause naturelle. Sur les bûchers. Laissés au Gange.

Ils sont considérés comme des divinités locales. Des êtres puissants qui ont traversé le tabou de l'horreur. A-Ghori. Ghora signifiant "L'horreur". +A privatif. Celui qui ne connait l'horreur.

On remarque aussi la racine commune entre Ghora, et le mot Goule. Un monstre, fréquentant les cimetières.

La réalité étant, le tabou n'est qu'une des variations de la fascination par l'esprit humain. Une fascination morbide. Ta place est sur le topic je te l'accorde mais tu ne me convaincras pas dans cette destination. Ce n'est qu'une fascination destructrice.

Loin de moi l'idée de te convaincre ne t'en fait pas, j'apprécie ton attitude, et je te souhaite le meilleur dans cette dernière.

Ne te braque pas, et ne juge pas si vite cette fascination destructrice. C'est à dire que les Aghoris sont des dévots du dieu Shiva. Shiva est à la fois le Dieu de la destruction, et la conscience de tout ce qui s'expériemente, celui qui intègre le plus pleinement la mort, et qui incarnera donc le plus pleinement la vie (Krishna-Radhe, Hanuman...).

Ce que tu qualifies de fascination morbide, c'est un mode de vie au paroxysme de la monstruosité.

Et peut-être même que, tout comme pour le narcissisme, c'est en allant jusqu'au fond, et seulement ainsi, qu'on épuise la monstruosité. Ou au moins, qu'on cesse de la sacrifier

Le 17 mars 2024 à 02:45:54 :

Le 17 mars 2024 à 02:44:11 :
Joli texte.
Est-ce que je serai un monstre toute ma vie ? Oui.
Est-ce que c'est qui je suis ? Non. Pas en ce moment

Paix sur ton chemin actuel. Que l'amour qui va croiser ton chemin suffise à le faire taire ou, mieux, à le rendre heureux.

Je n'en suis pas là malheureusement. Jespère un jour y arriver.

Je te souhaite le meilleur réciproquement. Que la paix dure. Et que tu sois heureux dans la guerre

Le 17 mars 2024 à 03:21:56 :

Le 17 mars 2024 à 03:19:20 :

Le 17 mars 2024 à 03:11:00 :

Le 17 mars 2024 à 03:08:42 :
Tu t'enfonces dans la nuit de l'âme, bienvenue dans le royaumes des ombres, bienvenue dans l'abysse des vivants, le monde de la décomposition, le monde de l'arrêt

Médite, ou sombre

Merci. L'avantage de la décomposition, c'est que ça compose en échouant. Ca se morcèle. Ca sonne assez pour apprécié mais pas suffisament pour en voir le bout.
C'est pire que l'arrêt, c'est le démarrage qui n'arrive jamais.

J'y viens... au fin fond de la nuit, là ou les folles angoisses cavalcadent, règne la reine qui hurle la douleur de la création, et toi, Mortel, tu traduiras les suppliques misérables, et tu empliras ton coeur de cette absolue prière

Je n'ai pas 20 ans et ce n'est pas ma première déception. Je suis bien moins romantique qu'à l'époque. Il n'y a pas de reine et les cris sont etouffés. On est bien avant ta mesure poétique. Le cri est encore inaudible. Il n'y a pour le moment que ses effets sur le corps.

Ainsi tu es encore hypnotisé par l'onde.. sache que ce que je te dévoiles, car je me suis noyé, est au delà des rides... j'ai déjà oublié ton crime, mais tu as chu car tu étais mortel, et c'est le chemin...que tu vois tous prendre

Fais preuve de respect devant la déesse, et porte ta vie en sacrifice sanglant, poussière, fais monter ta voix haut, aussi haut que monte son cri

sais-tu qu'autrement tu seras perdu à jamais?

On ne risque jamais rien quand rien de précieux n'est en jeu. Et ce qui est précieux n'est décidé que de son for intérieur. C'est ce que l'on décide, contre-intuitivement, de défendre même si toutes les conclusions extérieures nous poussent à y renoncer.

L'élément héroïque, c'est ce qui surpasse l'échec. Il n'y a pas d'héros sans échec. Il n'y a pas d'héros sans surpassement. Mais que se passe t'il quand l'héros réussit puis échoue fatalement ? Quand ce qui participait à sa réussite se trouve être les fondations de son propre tombeau ?

On pêche par ce que nous croyons de bon en nous. On pêche par ce que nous pensons être bon. Il n'y a rien de bon qui ne nait que de soi. Nos propres assurances sont toujours des vanités si elles ne trouvent rien dans quoi se refléter. Et ce reflet ne trouve de sens dans l'éternel que lorsqu'il laisse germer quelque chose de bon en l'autre.

Malgré toutes ces précautions, nous ne sommes jamais maitre des dosages. Il ne reste que des alchimies ratées.

J'ai failli être d'accord avec ce que tu disais puis j'ai lu ce passage

Les plus faibles se morfondent dans une mélancolie mélodieuse, leur faiblesse n'étant que le sacrifice nécessaire pour rendre vivant la mort elle-même

Sois tu dis des trucs concrets soit tu te branles avec de la poésie insensée mais pas les deux :pf:

Les relations amoureuses permettent d'évoluer, de vivre en harmonie avec un être, et d'avoir fait le travail de dieu en aimant pleinement. Si tu considéres ne pas aimer suffisamment ou ne pas être aimé suffisamment alors aime encore plus, dans les deux cas. Tu as une belle plume sinon

Le 17 mars 2024 à 03:27:12 :
Et manger le corps du Christ tous les dimanche ? C'est plutôt là que je vois de la posture, et une manière de s'élever au divin en traversant un tabou. Hypocrisie ?

Ce que tu décris est bien un tabou. Dans le cas de "manger le corps du christ", on est dans le dans le cas d'une fonction qui s'inverse en son contraire par rapport au canibalisme (4eme élément de l'équation de la formule de Levi-Strauss concernant la formule canonique des mythes : l'élément catastrophique). C'est assez classique comme principe de diffusion.

Je vois ce que tu veux dire, mais il va y avoir trop de contre-exemples et de transferts de ce cannibalisme et de l'acte sacrificiel dans les textes. Je pense à Job, et aux interdits, et au rapport maladif au corps et aux femmes. De la vitalité donc.

Aucune contradiction ici. C'est même complémentaire.

J'espère que tu regarderas le doc entier, tu sembles maîtriser le sujet du cannibalisme dans les régions du désert à calorie limitée, mais le contexte de la pratique Aghori est très différent.

Puisqu'ils mangent les morts décédés de cause naturelle. Sur les bûchers. Laissés au Gange.

Ils sont considérés comme des divinités locales. Des êtres puissants qui ont traversé le tabou de l'horreur. A-Ghori. Ghora signifiant "L'horreur". +A privatif. Celui qui ne connait l'horreur.

On remarque aussi la racine commune entre Ghora, et le mot Goule. Un monstre, fréquentant les cimetières.

Tu fais l'erreur de ne pas distinguer les traces effectives du cannibalisme dans certaines tribus et la transformation mythique du cannibalisme en son interdit initié par le judaïsme qui a teinté toute l'histoire humaine. Ce rejet est d'ailleurs déjà présent avant les monothéïsmes, chez les grecs antiques, qui ont fait ce même travail de tabouïsation du cannibalisme en parallèle des religions monothéistes.

Ne te braque pas, et ne juge pas si vite cette fascination destructrice. C'est à dire que les Aghoris sont des dévots du dieu Shiva. Shiva est à la fois le Dieu de la destruction, et la conscience de tout ce qui s'expériemente, celui qui intègre le plus pleinement la mort, et qui incarnera donc le plus pleinement la vie (Krishna-Radhe, Hanuman...).

Ce que tu qualifies de fascination morbide, c'est un mode de vie au paroxysme de la monstruosité.

Et peut-être même que, tout comme pour le narcissisme, c'est en allant jusqu'au fond, et seulement ainsi, qu'on épuise la monstruosité. Ou au moins, qu'on cesse de la sacrifier

Même confusion. Les traits cannibaliques d'un Dieu sont toujours à considérer dans le cadre symbolico-culturel dans lequel ils ont vu naissance. Tu ne peux pas transposer des traits de Shiva à des croyances cannibaliques pour la simple raison que l'hindouisme est déjà une transformation du védisme qui n'était déjà pas touché par des influences cannibaliques (au niveau géographique, on retrouve ces croyances principalement au niveau du moyen orient à l'est et majoritairement dans l'hemisphère sud. Ce qui s'explique, entre autres, par les foyers de migration. Si tu es suffisamment honnête, tu reconnaitras qu'on retrouve aucun mythe cannibalique dans l'extrême orient par exemple. Il n'y a rien "d'universel" dans ça.).

Le 17 mars 2024 à 03:28:56 :

Le 17 mars 2024 à 03:21:56 :

Le 17 mars 2024 à 03:19:20 :

Le 17 mars 2024 à 03:11:00 :

Le 17 mars 2024 à 03:08:42 :
Tu t'enfonces dans la nuit de l'âme, bienvenue dans le royaumes des ombres, bienvenue dans l'abysse des vivants, le monde de la décomposition, le monde de l'arrêt

Médite, ou sombre

Merci. L'avantage de la décomposition, c'est que ça compose en échouant. Ca se morcèle. Ca sonne assez pour apprécié mais pas suffisament pour en voir le bout.
C'est pire que l'arrêt, c'est le démarrage qui n'arrive jamais.

J'y viens... au fin fond de la nuit, là ou les folles angoisses cavalcadent, règne la reine qui hurle la douleur de la création, et toi, Mortel, tu traduiras les suppliques misérables, et tu empliras ton coeur de cette absolue prière

Je n'ai pas 20 ans et ce n'est pas ma première déception. Je suis bien moins romantique qu'à l'époque. Il n'y a pas de reine et les cris sont etouffés. On est bien avant ta mesure poétique. Le cri est encore inaudible. Il n'y a pour le moment que ses effets sur le corps.

Ainsi tu es encore hypnotisé par l'onde.. sache que ce que je te dévoiles, car je me suis noyé, est au delà des rides... j'ai déjà oublié ton crime, mais tu as chu car tu étais mortel, et c'est le chemin...que tu vois tous prendre

Fais preuve de respect devant la déesse, et porte ta vie en sacrifice sanglant, poussière, fais monter ta voix haut, aussi haut que monte son cri

sais-tu qu'autrement tu seras perdu à jamais?

t'es possédé mon khey

Apprécie ton entracte , Divin, apprécie le sommeil et les yeux qui se ferment, apprécie ta douleur et ta vanité brisée ainsi que les chaînes qui t'avaient enchaîné à des Trônes trop grands, et compte maintenant humblement le temps des mortels, jusqu'à ce que la roue s'arrête...

Le 17 mars 2024 à 03:32:12 :
J'ai failli être d'accord avec ce que tu disais puis j'ai lu ce passage

Les plus faibles se morfondent dans une mélancolie mélodieuse, leur faiblesse n'étant que le sacrifice nécessaire pour rendre vivant la mort elle-même

Sois tu dis des trucs concrets soit tu te branles avec de la poésie insensée mais pas les deux :pf:

Je t'accorde que c'était kitch.
Ce que je voulais dire, c'est que quand on perd quelqu'un qu'on a aimé passionnément, on ne peut pas s'enlever son image de la tête. Quand on rencontre quelqu'un, on voit les traits ou leurs contraires. On compare toujours par rapport à. On n'engage rien de nous sans jamais engager ce qui est encore mort de notre ancienne relation.

En ce sens, on fait vivre un mort.

Désolé. T'as raison. C'était confus.

Le 17 mars 2024 à 03:32:51 :
Les relations amoureuses permettent d'évoluer, de vivre en harmonie avec un être, et d'avoir fait le travail de dieu en aimant pleinement. Si tu considéres ne pas aimer suffisamment ou ne pas être aimé suffisamment alors aime encore plus, dans les deux cas. Tu as une belle plume sinon

Merci. C'est ça qui m'obscède. Chaque fois que j'ai aimé, je me suis toujours dit que la prochaine fois je corrigerai tout ce qui faisait défaut avant. Je m'y suis toujours tenu. J'ai juste un coup de faiblesse ce soir. Ca use à force. On en grandit, je suis d'accord. C'est vrai. On reste limité par ce qu'on peut investir. Ca use.

Le 17 mars 2024 à 03:40:54 :
Apprécie ton entracte , Divin, apprécie le sommeil et les yeux qui se ferment, apprécie ta douleur et ta vanité brisée ainsi que les chaînes qui t'avaient enchaîné à des Trônes trop grands, et compte maintenant humblement le temps des mortels, jusqu'à ce que la roue s'arrête...

Il n'y a pas de roue qui s'arrête. Il n'y a pas de mort. Si ça bouge, c'est parce que ça veut vivre.
La poésie mortifère m'écoeure. Je préfère le morbide. Ca laisse au moins croire que quelque chose peut encore vivre de ça.

Je vais clore le topic, bonne nuit.
"les grecs antiques ont fait un travail de tabouïsation du cannibalisme"..
Tellement tabou que leurs dieux se bouffent tous entre eux

Données du topic

Auteur
Questionzzz
Date de création
17 mars 2024 à 01:18:55
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