La "PHILOSOPHIE" a apporté quoi en 3000 ans SÉRIEUX ? :rire:
Le 18 février 2024 à 19:58:32 :
Les mathématiques sont fondées sur la logique, champ appartenant à la philosophieLa physique moderne est mathématisée, donc reposant sur la logique, donc reposant sur la philosophie
Pas de philosophie = pas de forum JVC (informatique fondée sur la logique propositionnelle) = pas vos posts de merde (en ce qui concerne les scientistes)
La logique appartient aux maths, ce sont des algèbres particulières.
D'ailleurs la syntaxe des langages humain est donnée par ses monoïdes syntaxiques et sa sémantique par une théorie des types, cela faisant partie des mathématiques.
Le 18 février 2024 à 20:15:24 :
Le 18 février 2024 à 20:12:48 RaffaelloSanzio a écrit :
N'empêche que ce khey est certaine la plus grande "redpill" du forum :
Des topics prétentieux de "haut qi", des topics de discussion sur les homme qui écrit des livres à n'en plus finir mais toujours aucun pour répondre à ces phrasés.Où sont les high-IQ du forum bordel ?
Pour poster des culs tout le monde est là, mais quand il s'agit de répondre à des problèmes comme l'individuation ou le rapport de l'un au multiple il n'y a évidemment plus personne
Et c'est comme ça que tu arrive à des gens qui pensent que par exemple, (pour prendre un exemple répandue) croire en dieu et ne pas croire en dieu est opposé avoir qu'ils partagent la même base, la croyance, comme tu l'avais expliqué avec le zéro.
La philosophie c'est l'art de perdre son temps.
J'ai appris il y a longtemps, sur le forum d'ailleurs, que la philosophie ce sont des pensées que tout le monde peut développer personnellement facilement. Les gens qui ne comprennent pas la philosophie ne comprennent pas """l'auteur""", comme Platon, Descartes et autre.
La réalité c'est que la philosophie c'est la complexification inutile de concepts simple que l'on comprend instinctivement.
Par exemple l'allégorie de la caverne est EXTREMEMENT SIMPLE à comprendre, seulement voilà, monsieur utilise des mots compliqués ou des tournures de phrases obsolètes depuis 2000 ans.
Le 18 février 2024 à 20:17:39 JPPLACHANCLA3 a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:15:55 :
Le 18 février 2024 à 20:15:32 JPPLACHANCLA3 a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentationDu moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
Bordel il est encore là ce clown ambulant à pondre ses vieux pavés que personne ne lit que seuls les prestidigitateurs des mots de sa trempe comprennent ?
Dans le terreau de l'esprit germent les images perceptives, puisant dans la nappe des stimuli, ces germes perçant dans un flux convergent la stase de l'esprit. Ce flux convergent ascendant, tel une toile centripète, forme le rhizome du jugement inductif, qui prend source dans les visions éparses et décèlent leurs similitudes dans un processus analogique, de façon à générer un tubercule axiomatique où décante l'essence des stimuli induits (processus de conceptualisation, dite "intuition"). Ce tubercule porteur d'images conceptuelles, similaires aux diagrammes de venn, décante lesdits concepts et les dispose, afin d'en tirer les axiomes, ou prédicats fondamentaux.
C'est une fois ces axiomes en puissance, telles des graines, que le tubercule les renfermant peut percer la terre de l'esprit et déployer l'arborescence du jugement, transportant les axiomes, telle une sève perceptive, et les complexifiant dans un mouvement génératif et déductif. Hors de la terre de l'esprit, les axiomes conceptuels prospèrent et divergent, via les branches de l'arbre du jugement, dans un mouvement centrifuge dans le flux du trans-esprit, en dialectique avec la stase de l'esprit-terre matriciel.
Enfin, c'est le dernier stade de ce flux arborescent centrifuge, qu'est la floraison des propositions dans le transesprit suivant deux espèces, l'une fleurissant en faisant éclore les axiomes de façon à en conserver la pureté, afin de garantir leur véracité, peu importe qu'ils heurtent les axiomes d'autres esprits, tandis que les autres suivent la priorité inverse, et font éclore les axiomes de façon à les accorder aux axiomes d'autres esprits, peu importe leur véracité. Autrement dit, le premier type de fleur figure la pensée et le second figure la morale.
Mais, outre les deux natures dialectiques de fleurs, existent aussi une dialectique intrinsèque aux axiomes-sève charriés, déterminant leur portée dans le transesprit, et découlant de leur décantation en aval dans le tubercule axiomatisant : la première nature est celle des axiomes primitifs, en fait les images perceptives grossièrement décantées, restées proches de leur nature sensible, tandis que la seconde nature axiomatique est celle des axiomes finement décantés, donc conceptualisés par le tubercule. Cette division des axiomes détermine, comme évoqué, leur portée centrifuge dans le transesprit : les peu décantés, sensibles, ont une courte portée, éphémère et basique, mais non moins indispensable puisque guidant l'arbre du jugement dans le monde sensible des corps ; alors que les axiomes finement décantés ont une portée infiniment large, comme s'ils prolongeaient et mimaient l'arborescence du jugement, concentrique et méta, liant l'arbre et l'esprit le générant au monde intelligible des méta-axiomes (les axiomes universels, désarborescentisés et hors de tout stimuli et jugement, devant être atteints par procession des axiomes finement décantés).
Car comme évoqué entre les parenthèses ci-avant, les axiomes les plus conceptuels permettent à l'esprit et sa générativité arborescente de transcender le transesprit et atteindre par un mouvement centrifuge, en cercles concentriques d'axiomes conceptuels (qui ont la forme de corpuscules et non de simples points), l'hypostase des méta-axiomes, les véritables prédiacats/lexèmes universels, atemporels, aspatiaux et indécomposables sématiquement, ces méta-axiomes ou méta-prédicats n'étant autres que les cordes de l'univers, c'est-à-dire sa substance immanente
Aya je viens de capter le troll, bien joué
Dire que les "philosophes" pondent vraiment ces merdes au premier degré et yen a qui les croient
Absolument zéro troll le non-être, je me lève tout les jours à 5h du matin (l'heure à laquelle tu te couches en pleurant depuis ta conscience malheureuse) pour lire ce genre de pavés postmoderne indigeste
Le 18 février 2024 à 20:17:16 :
Le 18 février 2024 à 20:15:54 :
Le 18 février 2024 à 20:13:33 :
Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentationDu moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
C'est absolument faux de dire qu'on est dans un paradigme de représentabilité, d'autant avec l'aménement de la physique quantique.
Bordel moi aussi j'ai un c/c pour tous les arguments et réponse des kheys ici
------>
L'ensemble des théories scientifiques arrivent a leurs limites parce que les sciences se heurtent à leur propre lois, la nécessité d'expérience et d'observation et bien sûr de test.
Une théorie comme la théorie de tout est impossible a étudié dans le champ scientifique.
Une théorie bien prétentieuse, qui tend a expliquer et unifier de en usant de la "cohérence" et de la "logique", l'ensemble des interactions fondamentales cela signifie pouvoir expliquer la nature même de l'univers grâce au science et ses diverses théories.
Cependant la cadre théorique dans lequel ces explications sont censé voir le jour est non seulement biaisé mais n'arrive pas en englober la description de la gravitation.
Une discipline sous jacente de la conscience humaine qui a pour nécessité d'interpréter le monde arrivera nécessairement a sa limites lorsque cette dernière devra décrire son origine, sa nature et sa composition objective et réelle.Bah oui on sait qu'une théorie du tout ne peut exiser à cause du théorème d'incomplétude de Gödel. Trivial.
Bah besoin de ce théorème, relis.
Je sors complètement du champ scientifique.
Le 18 février 2024 à 20:18:56 :
Le 18 février 2024 à 20:17:39 JPPLACHANCLA3 a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:15:55 :
Le 18 février 2024 à 20:15:32 JPPLACHANCLA3 a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentationDu moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
Bordel il est encore là ce clown ambulant à pondre ses vieux pavés que personne ne lit que seuls les prestidigitateurs des mots de sa trempe comprennent ?
Dans le terreau de l'esprit germent les images perceptives, puisant dans la nappe des stimuli, ces germes perçant dans un flux convergent la stase de l'esprit. Ce flux convergent ascendant, tel une toile centripète, forme le rhizome du jugement inductif, qui prend source dans les visions éparses et décèlent leurs similitudes dans un processus analogique, de façon à générer un tubercule axiomatique où décante l'essence des stimuli induits (processus de conceptualisation, dite "intuition"). Ce tubercule porteur d'images conceptuelles, similaires aux diagrammes de venn, décante lesdits concepts et les dispose, afin d'en tirer les axiomes, ou prédicats fondamentaux.
C'est une fois ces axiomes en puissance, telles des graines, que le tubercule les renfermant peut percer la terre de l'esprit et déployer l'arborescence du jugement, transportant les axiomes, telle une sève perceptive, et les complexifiant dans un mouvement génératif et déductif. Hors de la terre de l'esprit, les axiomes conceptuels prospèrent et divergent, via les branches de l'arbre du jugement, dans un mouvement centrifuge dans le flux du trans-esprit, en dialectique avec la stase de l'esprit-terre matriciel.
Enfin, c'est le dernier stade de ce flux arborescent centrifuge, qu'est la floraison des propositions dans le transesprit suivant deux espèces, l'une fleurissant en faisant éclore les axiomes de façon à en conserver la pureté, afin de garantir leur véracité, peu importe qu'ils heurtent les axiomes d'autres esprits, tandis que les autres suivent la priorité inverse, et font éclore les axiomes de façon à les accorder aux axiomes d'autres esprits, peu importe leur véracité. Autrement dit, le premier type de fleur figure la pensée et le second figure la morale.
Mais, outre les deux natures dialectiques de fleurs, existent aussi une dialectique intrinsèque aux axiomes-sève charriés, déterminant leur portée dans le transesprit, et découlant de leur décantation en aval dans le tubercule axiomatisant : la première nature est celle des axiomes primitifs, en fait les images perceptives grossièrement décantées, restées proches de leur nature sensible, tandis que la seconde nature axiomatique est celle des axiomes finement décantés, donc conceptualisés par le tubercule. Cette division des axiomes détermine, comme évoqué, leur portée centrifuge dans le transesprit : les peu décantés, sensibles, ont une courte portée, éphémère et basique, mais non moins indispensable puisque guidant l'arbre du jugement dans le monde sensible des corps ; alors que les axiomes finement décantés ont une portée infiniment large, comme s'ils prolongeaient et mimaient l'arborescence du jugement, concentrique et méta, liant l'arbre et l'esprit le générant au monde intelligible des méta-axiomes (les axiomes universels, désarborescentisés et hors de tout stimuli et jugement, devant être atteints par procession des axiomes finement décantés).
Car comme évoqué entre les parenthèses ci-avant, les axiomes les plus conceptuels permettent à l'esprit et sa générativité arborescente de transcender le transesprit et atteindre par un mouvement centrifuge, en cercles concentriques d'axiomes conceptuels (qui ont la forme de corpuscules et non de simples points), l'hypostase des méta-axiomes, les véritables prédiacats/lexèmes universels, atemporels, aspatiaux et indécomposables sématiquement, ces méta-axiomes ou méta-prédicats n'étant autres que les cordes de l'univers, c'est-à-dire sa substance immanente
Aya je viens de capter le troll, bien joué
Dire que les "philosophes" pondent vraiment ces merdes au premier degré et yen a qui les croientAbsolument zéro troll le non-être, je me lève tout les jours à 5h du matin (l'heure à laquelle tu te couches en pleurant depuis ta conscience malheureuse) pour lire ce genre de pavés postmoderne indigeste
D'accord fouzinzin, et sinon tu as une pensée propre, que tu as conceptualisée toi-même ?
Le 18 février 2024 à 20:18:56 :
Le 18 février 2024 à 20:17:39 JPPLACHANCLA3 a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:15:55 :
Le 18 février 2024 à 20:15:32 JPPLACHANCLA3 a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentationDu moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
Bordel il est encore là ce clown ambulant à pondre ses vieux pavés que personne ne lit que seuls les prestidigitateurs des mots de sa trempe comprennent ?
Dans le terreau de l'esprit germent les images perceptives, puisant dans la nappe des stimuli, ces germes perçant dans un flux convergent la stase de l'esprit. Ce flux convergent ascendant, tel une toile centripète, forme le rhizome du jugement inductif, qui prend source dans les visions éparses et décèlent leurs similitudes dans un processus analogique, de façon à générer un tubercule axiomatique où décante l'essence des stimuli induits (processus de conceptualisation, dite "intuition"). Ce tubercule porteur d'images conceptuelles, similaires aux diagrammes de venn, décante lesdits concepts et les dispose, afin d'en tirer les axiomes, ou prédicats fondamentaux.
C'est une fois ces axiomes en puissance, telles des graines, que le tubercule les renfermant peut percer la terre de l'esprit et déployer l'arborescence du jugement, transportant les axiomes, telle une sève perceptive, et les complexifiant dans un mouvement génératif et déductif. Hors de la terre de l'esprit, les axiomes conceptuels prospèrent et divergent, via les branches de l'arbre du jugement, dans un mouvement centrifuge dans le flux du trans-esprit, en dialectique avec la stase de l'esprit-terre matriciel.
Enfin, c'est le dernier stade de ce flux arborescent centrifuge, qu'est la floraison des propositions dans le transesprit suivant deux espèces, l'une fleurissant en faisant éclore les axiomes de façon à en conserver la pureté, afin de garantir leur véracité, peu importe qu'ils heurtent les axiomes d'autres esprits, tandis que les autres suivent la priorité inverse, et font éclore les axiomes de façon à les accorder aux axiomes d'autres esprits, peu importe leur véracité. Autrement dit, le premier type de fleur figure la pensée et le second figure la morale.
Mais, outre les deux natures dialectiques de fleurs, existent aussi une dialectique intrinsèque aux axiomes-sève charriés, déterminant leur portée dans le transesprit, et découlant de leur décantation en aval dans le tubercule axiomatisant : la première nature est celle des axiomes primitifs, en fait les images perceptives grossièrement décantées, restées proches de leur nature sensible, tandis que la seconde nature axiomatique est celle des axiomes finement décantés, donc conceptualisés par le tubercule. Cette division des axiomes détermine, comme évoqué, leur portée centrifuge dans le transesprit : les peu décantés, sensibles, ont une courte portée, éphémère et basique, mais non moins indispensable puisque guidant l'arbre du jugement dans le monde sensible des corps ; alors que les axiomes finement décantés ont une portée infiniment large, comme s'ils prolongeaient et mimaient l'arborescence du jugement, concentrique et méta, liant l'arbre et l'esprit le générant au monde intelligible des méta-axiomes (les axiomes universels, désarborescentisés et hors de tout stimuli et jugement, devant être atteints par procession des axiomes finement décantés).
Car comme évoqué entre les parenthèses ci-avant, les axiomes les plus conceptuels permettent à l'esprit et sa générativité arborescente de transcender le transesprit et atteindre par un mouvement centrifuge, en cercles concentriques d'axiomes conceptuels (qui ont la forme de corpuscules et non de simples points), l'hypostase des méta-axiomes, les véritables prédiacats/lexèmes universels, atemporels, aspatiaux et indécomposables sématiquement, ces méta-axiomes ou méta-prédicats n'étant autres que les cordes de l'univers, c'est-à-dire sa substance immanente
Aya je viens de capter le troll, bien joué
Dire que les "philosophes" pondent vraiment ces merdes au premier degré et yen a qui les croientAbsolument zéro troll le non-être, je me lève tout les jours à 5h du matin (l'heure à laquelle tu te couches en pleurant depuis ta conscience malheureuse) pour lire ce genre de pavés postmoderne indigeste
Raconte pas ta vie par contre mon clé
Le 18 février 2024 à 20:18:45 Duckkalod a écrit :
La philosophie c'est l'art de perdre son temps.J'ai appris il y a longtemps, sur le forum d'ailleurs, que la philosophie ce sont des pensées que tout le monde peut développer personnellement facilement. Les gens qui ne comprennent pas la philosophie ne comprennent pas """l'auteur""", comme Platon, Descartes et autre.
La réalité c'est que la philosophie c'est la complexification inutile de concepts simple que l'on comprend instinctivement.
Par exemple l'allégorie de la caverne est EXTREMEMENT SIMPLE à comprendre, seulement voilà, monsieur utilise des mots compliqués ou des tournures de phrases obsolètes depuis 2000 ans.
D'accord, explique moi l'allégorie de la caverne et tant qu'on y est le rapport de l'un au multiple
Le 18 février 2024 à 20:20:42 :
Le 18 février 2024 à 20:17:16 :
Le 18 février 2024 à 20:15:54 :
Le 18 février 2024 à 20:13:33 :
Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentationDu moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
C'est absolument faux de dire qu'on est dans un paradigme de représentabilité, d'autant avec l'aménement de la physique quantique.
Bordel moi aussi j'ai un c/c pour tous les arguments et réponse des kheys ici
------>
L'ensemble des théories scientifiques arrivent a leurs limites parce que les sciences se heurtent à leur propre lois, la nécessité d'expérience et d'observation et bien sûr de test.
Une théorie comme la théorie de tout est impossible a étudié dans le champ scientifique.
Une théorie bien prétentieuse, qui tend a expliquer et unifier de en usant de la "cohérence" et de la "logique", l'ensemble des interactions fondamentales cela signifie pouvoir expliquer la nature même de l'univers grâce au science et ses diverses théories.
Cependant la cadre théorique dans lequel ces explications sont censé voir le jour est non seulement biaisé mais n'arrive pas en englober la description de la gravitation.
Une discipline sous jacente de la conscience humaine qui a pour nécessité d'interpréter le monde arrivera nécessairement a sa limites lorsque cette dernière devra décrire son origine, sa nature et sa composition objective et réelle.Bah oui on sait qu'une théorie du tout ne peut exiser à cause du théorème d'incomplétude de Gödel. Trivial.
Bah besoin de ce théorème, relis.
Je sors complètement du champ scientifique.
Impossible de sortir complètement du champ de la science
Le 18 février 2024 à 20:15:15 :
Le 18 février 2024 à 20:13:33 :
Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentationDu moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
C'est absolument faux de dire qu'on est dans un paradigme de représentabilité, d'autant avec l'aménement de la physique quantique.
Il a juste aligné quelques mots un peu complexes pour faire joli hein
Quand vous ne comprenez pas au lieu de demander vous méprisez.
De la même manière qu'avec le double biais, conscience + paradigme et lois scientifique, il est impossible de discuter avec des gens empli d'ego, quand nous en sommes, ou faisons en sorte d'essayer d'en être dépourvue.
Le 18 février 2024 à 20:18:35 :
Le 18 février 2024 à 19:58:32 :
Les mathématiques sont fondées sur la logique, champ appartenant à la philosophieLa physique moderne est mathématisée, donc reposant sur la logique, donc reposant sur la philosophie
Pas de philosophie = pas de forum JVC (informatique fondée sur la logique propositionnelle) = pas vos posts de merde (en ce qui concerne les scientistes)
La logique appartient aux maths, ce sont des algèbres particulières.
D'ailleurs la syntaxe des langages humain est donnée par ses monoïdes syntaxiques et sa sémantique par une théorie des types, cela faisant partie des mathématiques.
Le 18 février 2024 à 20:20:42 :
Le 18 février 2024 à 20:17:16 :
Le 18 février 2024 à 20:15:54 :
Le 18 février 2024 à 20:13:33 :
Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentationDu moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
C'est absolument faux de dire qu'on est dans un paradigme de représentabilité, d'autant avec l'aménement de la physique quantique.
Bordel moi aussi j'ai un c/c pour tous les arguments et réponse des kheys ici
------>
L'ensemble des théories scientifiques arrivent a leurs limites parce que les sciences se heurtent à leur propre lois, la nécessité d'expérience et d'observation et bien sûr de test.
Une théorie comme la théorie de tout est impossible a étudié dans le champ scientifique.
Une théorie bien prétentieuse, qui tend a expliquer et unifier de en usant de la "cohérence" et de la "logique", l'ensemble des interactions fondamentales cela signifie pouvoir expliquer la nature même de l'univers grâce au science et ses diverses théories.
Cependant la cadre théorique dans lequel ces explications sont censé voir le jour est non seulement biaisé mais n'arrive pas en englober la description de la gravitation.
Une discipline sous jacente de la conscience humaine qui a pour nécessité d'interpréter le monde arrivera nécessairement a sa limites lorsque cette dernière devra décrire son origine, sa nature et sa composition objective et réelle.Bah oui on sait qu'une théorie du tout ne peut exiser à cause du théorème d'incomplétude de Gödel. Trivial.
Bah besoin de ce théorème, relis.
Je sors complètement du champ scientifique.
T'as juste paraphrasé qu'une théorie recursivement axiomatisable n'est pas démontrable par elle même, donc Gödel, je maintient.
Le 18 février 2024 à 20:22:55 :
Le 18 février 2024 à 20:15:15 :
Le 18 février 2024 à 20:13:33 :
Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentationDu moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
C'est absolument faux de dire qu'on est dans un paradigme de représentabilité, d'autant avec l'aménement de la physique quantique.
Il a juste aligné quelques mots un peu complexes pour faire joli hein
Quand vous ne comprenez pas au lieu de demander vous méprisez.
De la même manière qu'avec le double biais, conscience + paradigme et lois scientifique, il est impossible de discuter avec des gens empli d'ego, quand nous en sommes, ou faisons en sorte d'essayer d'en être dépourvue.
J'ai compris ce qu'il voulait dire, c'est juste beaucoup trop enrobé
Le 18 février 2024 à 20:18:42 RaffaelloSanzio a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:15:24 :
Le 18 février 2024 à 20:12:48 RaffaelloSanzio a écrit :
N'empêche que ce khey est certaine la plus grande "redpill" du forum :
Des topics prétentieux de "haut qi", des topics de discussion sur les homme qui écrit des livres à n'en plus finir mais toujours aucun pour répondre à ces phrasés.Où sont les high-IQ du forum bordel ?
Pour poster des culs tout le monde est là, mais quand il s'agit de répondre à des problèmes comme l'individuation ou le rapport de l'un au multiple il n'y a évidemment plus personne
Et c'est comme ça que tu arrive à des gens qui pensent que par exemple, (pour prendre un exemple répandue) croire en dieu et ne pas croire en dieu est opposé avoir qu'ils partagent la même base, la croyance, comme tu l'avais expliqué avec le zéro.
Absolument, c'est pas pour rien que le dieu de spinoza est un dieu impersonnel d'un désert absolument vide
Le 18 février 2024 à 20:20:47 :
Le 18 février 2024 à 20:18:56 :
Le 18 février 2024 à 20:17:39 JPPLACHANCLA3 a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:15:55 :
Le 18 février 2024 à 20:15:32 JPPLACHANCLA3 a écrit :
> Le 18 février 2024 à 20:12:23 :
> L'ontologie du paradigme scientifique en vigueur est celui de la connaissabilité de la nature, alors que précisément le monde tel qu'il est appréhendé par les différents champs scientifiques reste dans le champ de la représentation
>
> Du moins si la cybernétique avait définitivement liquidée le paradigme scientiste actuelle pour la remplacer par une ontologie de l'expérimentation, de l'inconnaissable et du non-maîtrisable ; l'argument selon lequel la science est ridicule car elle n'étudie que des rapports dans le principe de raison n'aurait pas lieu
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> Néanmoins ce n'est pas le cas et la philosophie explose complètement les autres disciplines scientifiques (particulièrement la physique) car précisément le monde observable et mesurable n'est jamais que le monde tel qu'il est une représentation de la conscience, un phénomène ; et que tout les rapports que la science étudie sont des phénomènes, raison pour laquelle elle devient vaine sur des échelles macros et micros
Bordel il est encore là ce clown ambulant à pondre ses vieux pavés que personne ne lit que seuls les prestidigitateurs des mots de sa trempe comprennent ?
Dans le terreau de l'esprit germent les images perceptives, puisant dans la nappe des stimuli, ces germes perçant dans un flux convergent la stase de l'esprit. Ce flux convergent ascendant, tel une toile centripète, forme le rhizome du jugement inductif, qui prend source dans les visions éparses et décèlent leurs similitudes dans un processus analogique, de façon à générer un tubercule axiomatique où décante l'essence des stimuli induits (processus de conceptualisation, dite "intuition"). Ce tubercule porteur d'images conceptuelles, similaires aux diagrammes de venn, décante lesdits concepts et les dispose, afin d'en tirer les axiomes, ou prédicats fondamentaux.
C'est une fois ces axiomes en puissance, telles des graines, que le tubercule les renfermant peut percer la terre de l'esprit et déployer l'arborescence du jugement, transportant les axiomes, telle une sève perceptive, et les complexifiant dans un mouvement génératif et déductif. Hors de la terre de l'esprit, les axiomes conceptuels prospèrent et divergent, via les branches de l'arbre du jugement, dans un mouvement centrifuge dans le flux du trans-esprit, en dialectique avec la stase de l'esprit-terre matriciel.
Enfin, c'est le dernier stade de ce flux arborescent centrifuge, qu'est la floraison des propositions dans le transesprit suivant deux espèces, l'une fleurissant en faisant éclore les axiomes de façon à en conserver la pureté, afin de garantir leur véracité, peu importe qu'ils heurtent les axiomes d'autres esprits, tandis que les autres suivent la priorité inverse, et font éclore les axiomes de façon à les accorder aux axiomes d'autres esprits, peu importe leur véracité. Autrement dit, le premier type de fleur figure la pensée et le second figure la morale.
Mais, outre les deux natures dialectiques de fleurs, existent aussi une dialectique intrinsèque aux axiomes-sève charriés, déterminant leur portée dans le transesprit, et découlant de leur décantation en aval dans le tubercule axiomatisant : la première nature est celle des axiomes primitifs, en fait les images perceptives grossièrement décantées, restées proches de leur nature sensible, tandis que la seconde nature axiomatique est celle des axiomes finement décantés, donc conceptualisés par le tubercule. Cette division des axiomes détermine, comme évoqué, leur portée centrifuge dans le transesprit : les peu décantés, sensibles, ont une courte portée, éphémère et basique, mais non moins indispensable puisque guidant l'arbre du jugement dans le monde sensible des corps ; alors que les axiomes finement décantés ont une portée infiniment large, comme s'ils prolongeaient et mimaient l'arborescence du jugement, concentrique et méta, liant l'arbre et l'esprit le générant au monde intelligible des méta-axiomes (les axiomes universels, désarborescentisés et hors de tout stimuli et jugement, devant être atteints par procession des axiomes finement décantés).
Car comme évoqué entre les parenthèses ci-avant, les axiomes les plus conceptuels permettent à l'esprit et sa générativité arborescente de transcender le transesprit et atteindre par un mouvement centrifuge, en cercles concentriques d'axiomes conceptuels (qui ont la forme de corpuscules et non de simples points), l'hypostase des méta-axiomes, les véritables prédiacats/lexèmes universels, atemporels, aspatiaux et indécomposables sématiquement, ces méta-axiomes ou méta-prédicats n'étant autres que les cordes de l'univers, c'est-à-dire sa substance immanente
Aya je viens de capter le troll, bien joué
Dire que les "philosophes" pondent vraiment ces merdes au premier degré et yen a qui les croientAbsolument zéro troll le non-être, je me lève tout les jours à 5h du matin (l'heure à laquelle tu te couches en pleurant depuis ta conscience malheureuse) pour lire ce genre de pavés postmoderne indigeste
D'accord fouzinzin, et sinon tu as une pensée propre, que tu as conceptualisée toi-même ?
Cela n'existe pas, encore l'ego.
Ta pensée est le fruit de ton environnement et ton époque ainsi que ton inné génétique, ici, fouzinzin enchaîne les schémas de pensée sans biais à part sa conscience pour en sortir, du moins tenter, et ainsi arriver à ce à quoi les science tendent sans jamais pouvoir à causes de leur biais.
Le 18 février 2024 à 20:25:44 :
Le 18 février 2024 à 20:18:42 RaffaelloSanzio a écrit :
Le 18 février 2024 à 20:15:24 :
Le 18 février 2024 à 20:12:48 RaffaelloSanzio a écrit :
N'empêche que ce khey est certaine la plus grande "redpill" du forum :
Des topics prétentieux de "haut qi", des topics de discussion sur les homme qui écrit des livres à n'en plus finir mais toujours aucun pour répondre à ces phrasés.Où sont les high-IQ du forum bordel ?
Pour poster des culs tout le monde est là, mais quand il s'agit de répondre à des problèmes comme l'individuation ou le rapport de l'un au multiple il n'y a évidemment plus personne
Et c'est comme ça que tu arrive à des gens qui pensent que par exemple, (pour prendre un exemple répandue) croire en dieu et ne pas croire en dieu est opposé avoir qu'ils partagent la même base, la croyance, comme tu l'avais expliqué avec le zéro.
Absolument, c'est pas pour rien que le dieu de spinoza est un dieu impersonnel d'un désert absolument vide
Vide comme ta logoraie qui ne dupe personne ici
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- JPPLACHANCLA3
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- 18 février 2024 à 19:34:23
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