J'ai un exposé sur un livre de 200 pages pour lundi
Le 07 décembre 2023 à 22:31:17 :
Le 07 décembre 2023 à 22:29:27 :
Exemple de l'IA :
etc etc...
bref chat-GPT, tu cherches une problématique, puis tu demandes de faire un plan, puis tu étoffes chaque parties (je l'ai pas fait dans l'exemple), puis tu demandes de résumer tout sous forme de ballpoint, puis tu copie/colle sur Tom.app puis tu retravaille dessus.
Ok merci clé
Par contre y a des risques de se faire cramer que ce soit fait par chat gpt ?
Pour ca qu'il faut tu travail aussi de ton coté.
Mais de toute manière ca se verra pas, parce qu'un exposé c'est visuel.
Tes slides c'est 5% de ton contenu de recherches; essaye de les illustrer sous forme de bulletpoint et illustration.
Tout le reste doit se faire oralement.
Si tu mets trop de contenu sur tes slides ton public pourra pas se concentrer ET sur ta voix ET sur ce qu'il y a écrit.
Donc ton contenu visuel est juste la pour appuyer tes propos (et ce qu'il faut retenir de chacune de tes parties et pourquoi tu passes de l'une à l'autre)
Le 07 décembre 2023 à 22:34:04 :
Le 07 décembre 2023 à 22:31:17 :
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Exemple de l'IA :etc etc...
bref chat-GPT, tu cherches une problématique, puis tu demandes de faire un plan, puis tu étoffes chaque parties (je l'ai pas fait dans l'exemple), puis tu demandes de résumer tout sous forme de ballpoint, puis tu copie/colle sur Tom.app puis tu retravaille dessus.
Ok merci clé
Par contre y a des risques de se faire cramer que ce soit fait par chat gpt ?
Pour ca qu'il faut tu travail aussi de ton coté.
Mais de toute manière ca se verra pas, parce qu'un exposé c'est visuel.
Tes slides c'est 5% de ton contenu de recherches; essaye de les illustrer sous forme de bulletpoint et illustration.
Tout le reste doit se faire oralement.
Si tu mets trop de contenu sur tes slides ton public pourra pas se concentrer ET sur ta voix ET sur ce qu'il y a écrit.
Donc ton contenu visuel est juste la pour appuyer tes propos (et ce qu'il faut retenir de chacune de tes parties et pourquoi tu passes de l'une à l'autre)
Ok bon bah 100 ème merci, ça va libérer mon week-end 
Que Dieu vous garde les clés
Le 07 décembre 2023 à 22:35:13 :
Le 07 décembre 2023 à 22:34:04 :
Le 07 décembre 2023 à 22:31:17 :
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Exemple de l'IA :etc etc...
bref chat-GPT, tu cherches une problématique, puis tu demandes de faire un plan, puis tu étoffes chaque parties (je l'ai pas fait dans l'exemple), puis tu demandes de résumer tout sous forme de ballpoint, puis tu copie/colle sur Tom.app puis tu retravaille dessus.
Ok merci clé
Par contre y a des risques de se faire cramer que ce soit fait par chat gpt ?
Pour ca qu'il faut tu travail aussi de ton coté.
Mais de toute manière ca se verra pas, parce qu'un exposé c'est visuel.
Tes slides c'est 5% de ton contenu de recherches; essaye de les illustrer sous forme de bulletpoint et illustration.
Tout le reste doit se faire oralement.
Si tu mets trop de contenu sur tes slides ton public pourra pas se concentrer ET sur ta voix ET sur ce qu'il y a écrit.
Donc ton contenu visuel est juste la pour appuyer tes propos (et ce qu'il faut retenir de chacune de tes parties et pourquoi tu passes de l'une à l'autre)
Ok bon bah 100 ème merci, ça va libérer mon week-end
Que Dieu vous garde les clés
Si j'ai le temps j'te fait une presentation rapidos d'ici demain.
Mais essaye quand meme à réfléchir à une problématique qui t'INTERESSES (plus le sujet t'intéressera, mieux t'arriveras à le retranscrire oralement)
Le 07 décembre 2023 à 22:36:28 :
Le 07 décembre 2023 à 22:35:13 :
Le 07 décembre 2023 à 22:34:04 :
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Exemple de l'IA :etc etc...
bref chat-GPT, tu cherches une problématique, puis tu demandes de faire un plan, puis tu étoffes chaque parties (je l'ai pas fait dans l'exemple), puis tu demandes de résumer tout sous forme de ballpoint, puis tu copie/colle sur Tom.app puis tu retravaille dessus.
Ok merci clé
Par contre y a des risques de se faire cramer que ce soit fait par chat gpt ?
Pour ca qu'il faut tu travail aussi de ton coté.
Mais de toute manière ca se verra pas, parce qu'un exposé c'est visuel.
Tes slides c'est 5% de ton contenu de recherches; essaye de les illustrer sous forme de bulletpoint et illustration.
Tout le reste doit se faire oralement.
Si tu mets trop de contenu sur tes slides ton public pourra pas se concentrer ET sur ta voix ET sur ce qu'il y a écrit.
Donc ton contenu visuel est juste la pour appuyer tes propos (et ce qu'il faut retenir de chacune de tes parties et pourquoi tu passes de l'une à l'autre)
Ok bon bah 100 ème merci, ça va libérer mon week-end
Que Dieu vous garde les clés
Si j'ai le temps j'te fait une presentation rapidos d'ici demain.
Mais essaye quand meme à réfléchir à une problématique qui t'INTERESSES (plus le sujet t'intéressera, mieux t'arriveras à le retranscrire
merci c'est gentil, mais t'oblige pas à le faire si t'as pas envie. Vous m'avez donné les outils nécessaires
Sinon omme je l'ai dit demain je peux pas trop m'avancé dessus (peut-être max 1h) j'ai cours + sport et je dois faire la route pour rentrer + je vais passer un peu de temps avec ma famille.
Le 07 décembre 2023 à 22:40:30 :
Le 07 décembre 2023 à 22:36:28 :
Le 07 décembre 2023 à 22:35:13 :
Le 07 décembre 2023 à 22:34:04 :
Le 07 décembre 2023 à 22:31:17 :
> Le 07 décembre 2023 à 22:29:27 :
>Exemple de l'IA :
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> etc etc...
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> bref chat-GPT, tu cherches une problématique, puis tu demandes de faire un plan, puis tu étoffes chaque parties (je l'ai pas fait dans l'exemple), puis tu demandes de résumer tout sous forme de ballpoint, puis tu copie/colle sur Tom.app puis tu retravaille dessus.
Ok merci clé
Par contre y a des risques de se faire cramer que ce soit fait par chat gpt ?
Pour ca qu'il faut tu travail aussi de ton coté.
Mais de toute manière ca se verra pas, parce qu'un exposé c'est visuel.
Tes slides c'est 5% de ton contenu de recherches; essaye de les illustrer sous forme de bulletpoint et illustration.
Tout le reste doit se faire oralement.
Si tu mets trop de contenu sur tes slides ton public pourra pas se concentrer ET sur ta voix ET sur ce qu'il y a écrit.
Donc ton contenu visuel est juste la pour appuyer tes propos (et ce qu'il faut retenir de chacune de tes parties et pourquoi tu passes de l'une à l'autre)
Ok bon bah 100 ème merci, ça va libérer mon week-end
Que Dieu vous garde les clés
Si j'ai le temps j'te fait une presentation rapidos d'ici demain.
Mais essaye quand meme à réfléchir à une problématique qui t'INTERESSES (plus le sujet t'intéressera, mieux t'arriveras à le retranscrire
merci c'est gentil, mais t'oblige pas à le faire si t'as pas envie. Vous m'avez donné les outils nécessaires
Sinon omme je l'ai dit demain je peux pas trop m'avancé dessus (peut-être max 1h) j'ai cours + sport et je dois faire la route pour rentrer + je vais passer un peu de temps avec ma famille.
T'inquiète ca me fait plaisir.
J'ai pas l'habitude d'utiliser l'IA pour mon travail, j'ai envie de tester 2-3 trucs.
Après tu pourras t'en servir de supports pour retravailler dessus à ta guise.
je te MP.
Voila une présentation que je t'ai faites à l'arrache via ChatGPT.
Evidement c'est un squelette, ca ne t'exonères pas de lire le bouquin, mais cela peut t'aider pour ta présentation de Lundi.
Le but étant que tu comprennes tout ce que tu présentes.
(Aujourd'hui, nous plongeons dans une question fascinante et profonde : 'En quoi l'étude des troubles mentaux et troubles nerveux de guerre éclaire-t-elle notre compréhension du langage et de la connaissance dans le contexte de l'expérience extrême ?' Cette problématique nous invite à explorer les liens entre la psychologie de guerre, telle qu'analysée par Georges Dumas, et les domaines de la philosophie du langage et de la connaissance. Nous allons découvrir comment les extrêmes de la guerre influencent non seulement l'esprit humain mais aussi notre manière de communiquer et de comprendre notre réalité)
(Entrons maintenant dans le vif du sujet avec notre première section : 'Le Langage Comme Révélateur de l'État Mental'. Dans les conditions extrêmes de la guerre, le langage devient un miroir révélateur, reflétant les turbulences internes des soldats. Comme le soulignait Wittgenstein, 'Les limites de mon langage signifient les limites de mon monde'. Cela est particulièrement vrai dans les contextes de guerre, où le langage peut se transformer sous l'effet du trauma.
D'abord, le langage révèle des changements dans la psyché, en particulier sous l'impact du trauma. Les soldats, confrontés à des horreurs indicibles, voient leur façon de s'exprimer évoluer. Cette transformation se manifeste souvent par un langage fragmenté ou répétitif, où la structure habituelle de la parole se brise sous le poids de l'expérience traumatisante.
Ensuite, nous observons une incapacité à verbaliser pleinement le trauma. Certains soldats, incapables de trouver des mots pour leurs expériences, se tournent vers le silence ou des expressions métaphoriques. Ces moyens d'expression alternatifs sont des tentatives de communiquer l'incommunicable, de donner forme à des expériences qui échappent aux descriptions ordinaires.
Finalement, le langage devient une fenêtre sur les expériences et émotions internes des soldats. À travers leurs mots, ou leur absence, nous pouvons entrevoir l'impact profond de la guerre sur leur état mental. Leurs récits, parfois décousus, parfois poignants, offrent un aperçu de la complexité de la psyché humaine face aux épreuves extrêmes.
Ainsi, le langage, dans le contexte de la guerre, se révèle être un outil puissant pour comprendre non seulement les expériences individuelles des soldats, mais aussi pour éclairer notre compréhension globale de la nature humaine face au trauma.)
Continuons notre exploration avec la manière dont le trauma modifie la langue et la pensée. Le trauma, en particulier celui vécu lors des conflits armés, a un impact profond et souvent perturbateur sur les processus de pensée. Ce que Georges Dumas a remarquablement capturé dans ses observations des soldats est la manifestation de ce bouleversement dans la structure même de leur langage.
Tout d'abord, le trauma entraîne une pensée fragmentée et désorganisée. Les soldats exposés à des événements traumatisants peuvent éprouver une difficulté à maintenir un fil de pensée cohérent. Cela se manifeste dans leur façon de parler - un langage qui devient souvent disjoint et parfois symbolique, comme si les mots ordinaires ne suffisaient plus à encapsuler leur réalité.
Ensuite, l'impact sur le langage est significatif. Nous observons un passage à des formes d'expression qui diffèrent radicalement de la communication quotidienne. Certains soldats, confrontés à l'incapacité d'exprimer leur trauma, se tournent vers des métaphores ou des symboles, cherchant à transmettre l'inexprimable.
Enfin, ces répercussions sur la communication soulèvent des défis importants. Comment articuler une expérience qui défie la compréhension normale, qui dépasse les limites de notre langage habituel ? Les soldats, dans leurs tentatives de communiquer leur vécu, révèlent les limites et les possibilités du langage humain face à l'extrême.
Georges Dumas, à travers ses études, nous donne un aperçu de ces transformations. Il décrit, par exemple, un soldat qui, après un bombardement intense, ne pouvait plus communiquer que par des mots isolés, perdant ainsi la capacité de former des phrases complètes. Ce cas spécifique illustre à quel point le trauma peut déconstruire non seulement notre langage, mais aussi notre façon de penser et de percevoir le monde
(Nous abordons maintenant un aspect fondamental mais souvent négligé de l'impact de la guerre : les limites du langage dans l'expression du trauma. Comme le disait Wittgenstein, 'Ce dont on ne peut parler, il faut le passer sous silence.' Cette phrase résume parfaitement la difficulté inhérente à l'expression des expériences traumatisantes de guerre.
Tout d'abord, abordons l'incapacité à exprimer le trauma. Les soldats, confrontés à l'horreur et à la brutalité de la guerre, se trouvent souvent à court de mots pour décrire ce qu'ils ont vécu. Les expériences traumatisantes de la guerre sont si intenses et déroutantes qu'elles dépassent souvent le cadre linguistique habituel.
Ensuite, examinons le silence et l'indicible. Dans de nombreux cas, le silence devient le moyen d'expression le plus puissant. Lorsque les mots échouent, le silence parle. Il devient un espace où l'indicible peut résonner, où l'absence de mots reflète l'ampleur de l'expérience traumatisante. Ce silence, lourd de sens, devient un témoignage puissant de ce qui ne peut être verbalisé.
Enfin, considérons l'écart entre l'expérience et l'expression. Le langage, aussi riche et diversifié soit-il, a ses limites lorsqu'il s'agit de retranscrire fidèlement l'intégralité et l'intensité du vécu traumatique. Cet écart souligne la complexité de communiquer des expériences qui transcendent notre compréhension et notre capacité d'expression habituelles.
Ainsi, comme l'illustre Wittgenstein, nous nous trouvons confrontés à la limite du langage face à l'extrême. Dans le contexte de la guerre, ces limites nous poussent à reconnaître l'existence d'une réalité qui, parfois, existe au-delà des mots.)
(Nous abordons maintenant un aspect crucial mais complexe de notre sujet : l'accès à la connaissance dans les états pathologiques. Comme le soulignait Sigmund Freud, les mots ont un pouvoir magique, ils peuvent éveiller des émotions et transmettre des savoirs de génération en génération. Cette observation est particulièrement pertinente dans le contexte des troubles mentaux liés à la guerre.
D'abord, examinons les méthodes de compréhension de ces états. La psychologie, en tant que science, utilise une variété de méthodes pour accéder à la connaissance des états mentaux. Cela inclut l'observation clinique, les récits personnels des soldats, et l'analyse de leur comportement. Chaque méthode offre une perspective unique, mais aussi ses propres limites.
Puis, abordons les dilemmes épistémologiques. Comment comprendre objectivement quelque chose d'aussi subjectif que les états mentaux ? C'est un défi majeur dans la recherche psychologique, surtout quand il s'agit d'expériences aussi extrêmes que celles vécues pendant la guerre. Ces dilemmes soulèvent des questions sur la nature de la connaissance et la manière dont nous pouvons vraiment 'connaître' les expériences d'autrui.
Enfin, la tension entre subjectivité et objectivité est une préoccupation constante. La perspective individuelle d'un soldat sur son expérience est inestimable, mais elle peut différer significativement de l'analyse clinique. Cette tension souligne l'importance d'une approche équilibrée et empathique dans la compréhension des troubles mentaux.
Ces considérations, illustrées par les mots de Freud, mettent en lumière la complexité et l'importance de comprendre les états mentaux pathologiques. Elles nous rappellent que derrière chaque diagnostic et analyse clinique, il y a une expérience humaine riche et profonde qui mérite notre attention et notre compréhension.)
(Passons maintenant à un aspect profondément transformateur de la guerre : son impact sur la connaissance de soi et la perception du monde. Georges Dumas, dans son exploration des troubles mentaux et nerveux de guerre, nous offre un éclairage sur ce phénomène. Il écrit : 'Nous connaissions déjà les troubles mentaux et les troubles nerveux que la guerre a produits avec une abondance toute particulière; ces troubles se manifestent sous l'influence des secousses émotionnelles et des ébranlements organiques.'
La guerre, en tant qu'expérience extrême, force une introspection profonde et une redéfinition de soi. Les soldats, confrontés à la réalité brutale du conflit, doivent souvent repenser qui ils sont et ce qu'ils représentent. Cette introspection va bien au-delà d'un simple ajustement ; c'est une transformation fondamentale de l'identité et de la perception de soi.
Ensuite, la guerre modifie radicalement la perception mondiale. Les expériences de combat, la confrontation avec la mort et la souffrance, tout cela change la manière dont les soldats voient le monde. Les valeurs qui étaient autrefois tenues pour acquises peuvent être remises en question, tandis que de nouvelles perspectives et compréhensions émergent.
Enfin, la guerre conduit à une réévaluation des croyances et des priorités. Les convictions et les idéaux antérieurs sont souvent mis à l'épreuve dans l'environnement extrême de la guerre. Ce processus de réévaluation n'est pas seulement personnel, mais s'étend à l'ensemble de la société, influençant la manière dont les troubles mentaux et les expériences de guerre sont perçus et compris.
Ainsi, la guerre, comme le souligne Dumas, nous offre une opportunité unique de pénétrer plus profondément dans notre compréhension de la psyché humaine. Elle remet en question nos connaissances antérieures et nous pousse à explorer de nouvelles dimensions de la compréhension humaine.)
(Dans cette partie de notre exploration, nous abordons une question fondamentale : quelle est la relation entre l'interprétation et la réalité des états mentaux, surtout dans des contextes extrêmes comme la guerre ? Cette question nous amène à des réflexions profondes sur la nature de la connaissance et de la perception.
Premièrement, considérons la subjectivité de l'expérience. Les états mentaux, tels que ceux vécus par les soldats en temps de guerre, reflètent une réalité subjective fortement influencée par leur vécu personnel. Cette subjectivité rend l'interprétation des états mentaux particulièrement complexe. Chaque individu vit et exprime son trauma de manière unique, ce qui soulève des questions sur la nature de la réalité psychologique.
Ensuite, examinons le défi de l'objectivité. Dans les situations extrêmes, interpréter objectivement les expériences mentales devient un défi majeur. Comment pouvons-nous comprendre et catégoriser des expériences qui sont si profondément personnelles et subjectives ? C'est ici que les théories philosophiques nous offrent des perspectives précieuses. Merleau-Ponty, par exemple, souligne l'importance de l'expérience vécue dans la formation de notre connaissance, nous rappelant que la réalité est perçue à travers le prisme de nos expériences personnelles.
Enfin, abordons l'impact de la culture et de la société. Les perceptions et interprétations des états mentaux ne sont pas isolées; elles sont façonnées par le contexte culturel et social. Michel Foucault, dans ses travaux sur la folie et la société, examine comment nos perceptions de la santé mentale sont influencées et formées par des forces sociales et historiques.
Ces perspectives, alliant psychologie et philosophie, nous aident à comprendre que les états mentaux ne sont pas seulement des phénomènes biologiques ou cliniques, mais aussi des constructions sociales et culturelles. Cette approche multidimensionnelle éclaire la complexité de l'expérience humaine, en particulier dans les contextes traumatisants de la guerre.)
(Nous abordons maintenant une dimension cruciale mais souvent délicate de notre sujet : l'éthique dans la compréhension et le traitement des troubles mentaux, en particulier ceux provoqués par la guerre. Comme l'a observé Georges Dumas, la guerre a non seulement révélé les troubles mentaux et nerveux mais a aussi approfondi notre compréhension de ces états.
D'abord, considérons notre responsabilité envers les patients. Le traitement des personnes souffrant de troubles mentaux n'est pas seulement un acte médical, mais aussi un acte éthique. Il exige une prise en charge qui respecte leur humanité, leur autonomie et leur dignité. Cette responsabilité éthique est encore plus accentuée dans le contexte des troubles liés à la guerre, où les expériences vécues sont extrêmement intenses et souvent traumatisantes.
Ensuite, examinons les considérations éthiques dans le traitement. Il est essentiel d'adopter une approche individualisée, tenant compte des expériences uniques et des besoins spécifiques de chaque patient. Le respect de l'autonomie et de la dignité des individus est primordial, même dans des situations où ils peuvent sembler vulnérables ou incapables de prendre des décisions pour eux-mêmes.
Enfin, abordons les dilemmes moraux. Comment équilibrer les soins appropriés avec le respect des choix personnels des patients ? Comment naviguer entre le besoin d'intervenir pour aider et le risque de s'immiscer dans leur autonomie personnelle ? Ces dilemmes soulignent la complexité de la prise en charge éthique des troubles mentaux, en particulier dans des contextes aussi chargés que ceux de la guerre.
Ainsi, comme le souligne Dumas, la guerre, avec ses impacts profonds sur la psyché, nous a offert une opportunité unique de pénétrer plus avant dans l'analyse des troubles mentaux, nous incitant à une réflexion éthique approfondie sur notre manière de les comprendre et de les traiter.)
(Nous explorons maintenant le rôle du langage en tant que médiateur essentiel dans la compréhension sociale des troubles mentaux. Le langage ne sert pas seulement à communiquer ; il façonne activement notre perception collective de ces troubles, influençant à la fois la manière dont ils sont perçus et traités dans la société.
Tout d'abord, le langage agit comme un médiateur de la compréhension. Les mots que nous utilisons pour parler des troubles mentaux jouent un rôle crucial dans la façon dont ces conditions sont comprises et acceptées socialement. Le choix des termes peut contribuer à une compréhension empathique ou, au contraire, renforcer des stéréotypes et des idées fausses.
Ensuite, le langage est utilisé pour exprimer et valider les expériences personnelles. Pour les personnes souffrant de troubles mentaux, pouvoir parler de leurs expériences dans leurs propres termes est une étape importante dans leur processus de guérison et d'acceptation. C'est à travers le langage que ces expériences deviennent partageables et compréhensibles par autrui.
L'influence des normes sociales sur le langage est également significative. Les valeurs culturelles et les attitudes sociales influencent la manière dont nous parlons des troubles mentaux. Cette influence se manifeste dans l'évolution des termes utilisés. Par exemple, le passage de termes comme 'névrose' à 'trouble de stress post-traumatique' reflète un changement dans la compréhension sociale de ces troubles.
Enfin, abordons l'impact des normes sociales. Le langage peut contribuer à la formation de stéréotypes et à la stigmatisation des personnes souffrant de troubles mentaux. Cependant, il peut également jouer un rôle clé dans la déstigmatisation et la promotion d'une compréhension plus nuancée et empathique de ces conditions.
Ainsi, le langage, en tant qu'outil de connaissance sociale, est fondamental dans la manière dont nous appréhendons, discutons et traitons les troubles mentaux. Il nous rappelle l'importance de choisir nos mots avec soin et de reconnaître leur pouvoir dans la formation des perceptions sociales.)
(Nous arrivons maintenant à la conclusion de notre exploration, où nous rassemblons nos réflexions et nous tournons vers l'avenir de la recherche. Cette section, 'Perspectives Philosophiques et Avenir de la Recherche', nous amène à réfléchir sur les liens entre langage, connaissance et réalité, et sur la manière dont l'étude des troubles mentaux enrichit notre compréhension dans ces domaines.
Nous avons vu comment la guerre impacte profondément la psyché, transformant la perception de soi et de la réalité. Ces expériences extrêmes remettent en question notre compréhension du langage et de la connaissance, et nous poussent à repenser la manière dont nous approchons ces concepts.
Ensuite, l'importance de l'approche éthique dans la compréhension et le traitement des troubles mentaux a été soulignée. Nous avons discuté de la responsabilité morale envers les patients, de l'importance de respecter leur autonomie, et des dilemmes éthiques rencontrés dans ce domaine.
Maintenant, tournons-nous vers l'avenir. Plusieurs questions restent ouvertes pour la recherche future. Comment pouvons-nous mieux comprendre et exprimer les expériences extrêmes, en particulier celles qui dépassent les limites du langage ? Quelles nouvelles perspectives peuvent être explorées dans l'analyse des états mentaux, en tenant compte de l'évolution continue de notre connaissance psychologique ?
Enfin, comment les théories philosophiques contemporaines peuvent-elles éclairer notre compréhension des troubles mentaux liés à la guerre ? Ces questions ouvrent des pistes de recherche passionnantes, qui continueront à enrichir notre compréhension de la psychologie humaine et de la philosophie du langage.
En regardant vers l'horizon, nous voyons une route s'étendant vers l'avenir, pleine de possibilités pour approfondir et élargir notre compréhension de ces sujets complexes et fascinants)
Voila, t'as plus qu'à t'aider de ca, lire les 200 pages, et tu devrait réussir ton exposé (si tu prépares bien ton oral) ;)
Données du topic
- Auteur
- Zizipetteh
- Date de création
- 7 décembre 2023 à 21:48:49
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