La DRAGUE DE RUE devrait être INTERDITE par la LOI

Le 31 août 2023 à 16:54:32 :
Le problème c'est les influenceurs, tiktokeur, youtubeur et autre léger, c'est sur leurs "métier" qu'il faut légiféré
Actuellement y'a rien et les mecs sont en roue libre, on ne parle même pas de l'influence de merde qu'ils ont sur les gosses

Et qui va les surveiller, on a déjà pas de thunes pour avoir des forces de l'ordre bien équipés et en effectif suffisant

Le 05 mai 2024 à 17:35:47 :
Je suis très sceptique vis-à-vis de cette pratique, pour plusieurs raisons :

- Ça fait dalleux : on aborde la personne juste parce qu'elle passait par là et qu'elle nous a plu, sans qu'il y ait un échange préalable où une situation où on serait mis en relation avec la personne. Par exemple, je connais un mec qui a rencontré sa femme via une annonce de vente de voiture : là, c'est différent car la phase de séduction a été précédé d'une situation préalable qui les a fait se rencontrer. Mais draguer dans la rue, c'est littéralement dire : "Ouga ! Moi vouloir toi ! Moi excité ! Ouga !". C'est réagir à travers ses pulsions.

- Contrairement à ce que les coachs en carton pâte prétendent, cela n'a rien à voir avec la masculinité traditionnelle et la séduction telle qu'elle se pratiquait jadis. Déjà, il était rare qu'une jeune fille célibataire sorte sans chaperon (eh oui, la France traditionnelle avait plus en commun avec l'Iran qu'avec la Californie). Et il était assez mal vu d'approcher une femme comme ça sans raison, non pas au nom du fém***sme, mais justement au nom de l'honneur des jeunes filles et de leurs familles. La drague de rue actuelle est précisément le fait de l'effondrement de la tradition et du triomphe de l'individualisme et des pulsions.

- Quand on aborde une fille comme ça, on ne sait rien sur elle, sur sa disposition. Peut-être qu'elle est déjà en couple et on introduit donc la tentation dans sa relation. Peut-être qu'elle n'a pas la tête à répondre à nos avances car elle va à un rendez-vous médical ou qu'elle revient de l'enterrement de sa grand-mère. Ou peut-être qu'elle a déjà été abordée par plusieurs mecs et qu'elle veut juste se promener tranquillement sans être arrêtée à chaque minute.

Après, malgré toutes ces raisons, je ne suis pas favorable à une interdiction légale, car cela donnerait encore plus de pouvoirs coercitifs à l'Etat. Il faut plutôt une révolution des mentalités, pour que cette pratique tombe en désuétude.

THIS

Le 31 août 2023 à 16:49:20 :

Premier primate de bondy

Normalement avec une vie équilibrée, tu ne devrais pas avoir à te reposer que sur ça pour rencontrer des femmes

Après si tu plais à la meuf et que c'est un minimum contextualisé, c'est tout bon pour toi

Le 05 mai 2024 à 17:35:47 :
Je suis très sceptique vis-à-vis de cette pratique, pour plusieurs raisons :

- Ça fait dalleux : on aborde la personne juste parce qu'elle passait par là et qu'elle nous a plu, sans qu'il y ait un échange préalable où une situation où on serait mis en relation avec la personne. Par exemple, je connais un mec qui a rencontré sa femme via une annonce de vente de voiture : là, c'est différent car la phase de séduction a été précédé d'une situation préalable qui les a fait se rencontrer. Mais draguer dans la rue, c'est littéralement dire : "Ouga ! Moi vouloir toi ! Moi excité ! Ouga !". C'est réagir à travers ses pulsions.

- Contrairement à ce que les coachs en carton pâte prétendent, cela n'a rien à voir avec la masculinité traditionnelle et la séduction telle qu'elle se pratiquait jadis. Déjà, il était rare qu'une jeune fille célibataire sorte sans chaperon (eh oui, la France traditionnelle avait plus en commun avec l'Iran qu'avec la Californie). Et il était assez mal vu d'approcher une femme comme ça sans raison, non pas au nom du fém***sme, mais justement au nom de l'honneur des jeunes filles et de leurs familles. La drague de rue actuelle est précisément le fait de l'effondrement de la tradition et du triomphe de l'individualisme et des pulsions.

- Quand on aborde une fille comme ça, on ne sait rien sur elle, sur sa disposition. Peut-être qu'elle est déjà en couple et on introduit donc la tentation dans sa relation. Peut-être qu'elle n'a pas la tête à répondre à nos avances car elle va à un rendez-vous médical ou qu'elle revient de l'enterrement de sa grand-mère. Ou peut-être qu'elle a déjà été abordée par plusieurs mecs et qu'elle veut juste se promener tranquillement sans être arrêtée à chaque minute.

Après, malgré toutes ces raisons, je ne suis pas favorable à une interdiction légale, car cela donnerait encore plus de pouvoirs coercitifs à l'Etat. Il faut plutôt une révolution des mentalités, pour que cette pratique tombe en désuétude.

Ok ok mais osef
Ça fonctionne et c'est tout ce qu'il y a à savoir

Je fais de la drague de rue depuis 2 ans, je suis passé de Célestin à yeslife, je prends soin de ma gueule, je go muscu etc ça marche très bien j'ai plein de contact femme

La réalité c'est que les gens comme l'OP bident (comme moi) sur Tinder à faire le toutou devant les femmes et au lieu d'être actif et de prendre son courage à tchatcher dans la rue, il préfère rager de voir les autres réussir

Evidemment sur insta j'ai vu des dragueurs à 2 balles qui me mettent mal à l'aise, mais perso les chiffres parlent d'eux même : je prends 75% du temps l'insta de la meuf (dans les 25% du temps restant il y a les meufs en couple ou pas du tout intéressé, des lesbiennes de fois ), je parle même pas des Erasmus où c'est ultra simple

Après faut pas mentir aux gens, à moins de bien ciblé le profil (genre soirée en bar, femme solo bien décadente de tête) il faut facile 20 interactions facile pour en mettre une dans le lit

20 interactions 15 prises de contacts 10 qui vont répondre 5 que tu peux revoir 1 que tu

Je ne sais pas si c'est représentatif des profils de dragueurs de rue, mais j'en ai vu un à Bastille aujourd'hui : petit et boule à zéro mais go muscu.
J'ai trouvé ça marrant car c'était littéralement un des archétypes malchanceux dont parle le forum, et je suppose qu'il se tourne vers la rue car il doit galérer sur les applis

Cela dit il avait visiblement réussi à prendre le numéro de la demoiselle donc gg à lui

Le 05 mai 2024 à 17:35:47 :
Je suis très sceptique vis-à-vis de cette pratique, pour plusieurs raisons :

- Ça fait dalleux : on aborde la personne juste parce qu'elle passait par là et qu'elle nous a plu, sans qu'il y ait un échange préalable où une situation où on serait mis en relation avec la personne. Par exemple, je connais un mec qui a rencontré sa femme via une annonce de vente de voiture : là, c'est différent car la phase de séduction a été précédé d'une situation préalable qui les a fait se rencontrer. Mais draguer dans la rue, c'est littéralement dire : "Ouga ! Moi vouloir toi ! Moi excité ! Ouga !". C'est réagir à travers ses pulsions.

- Contrairement à ce que les coachs en carton pâte prétendent, cela n'a rien à voir avec la masculinité traditionnelle et la séduction telle qu'elle se pratiquait jadis. Déjà, il était rare qu'une jeune fille célibataire sorte sans chaperon (eh oui, la France traditionnelle avait plus en commun avec l'Iran qu'avec la Californie). Et il était assez mal vu d'approcher une femme comme ça sans raison, non pas au nom du fém***sme, mais justement au nom de l'honneur des jeunes filles et de leurs familles. La drague de rue actuelle est précisément le fait de l'effondrement de la tradition et du triomphe de l'individualisme et des pulsions.

- Quand on aborde une fille comme ça, on ne sait rien sur elle, sur sa disposition. Peut-être qu'elle est déjà en couple et on introduit donc la tentation dans sa relation. Peut-être qu'elle n'a pas la tête à répondre à nos avances car elle va à un rendez-vous médical ou qu'elle revient de l'enterrement de sa grand-mère. Ou peut-être qu'elle a déjà été abordée par plusieurs mecs et qu'elle veut juste se promener tranquillement sans être arrêtée à chaque minute.

Après, malgré toutes ces raisons, je ne suis pas favorable à une interdiction légale, car cela donnerait encore plus de pouvoirs coercitifs à l'Etat. Il faut plutôt une révolution des mentalités, pour que cette pratique tombe en désuétude.