Topic de EntiteParasite :

Quel est le BUT des ÉLITES ? POURQUOI tout cela ?

Personne ne glorifie la souffrance en réalité, c’est compliqué à expliquer avec des mots humain.
Bien sûr que je n’aime pas souffrir, personne aime ça, il faut juste réussir à prendre du recule et questionner la chose sans y émettre nos pensée, perception etc, et oui personne n’a dit que c’était simple à faire.

C’est comme demander à une personne qui a reçu des violences gratuites ce qu’elle en a tiré de bon…

Le 05 août 2023 à 20:24:36 :
L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

L'argument selon lequel la souffrance est nécessaire pour apprécier le bonheur est une idée obsolète et fallacieuse qui n'a aucune base dans notre biologie, notre psychologie ou notre spiritualité. Nous sommes des êtres qui cherchent naturellement le bonheur, l'amour et la joie. Nous n'avons pas besoin de la souffrance comme contraste pour apprécier ces émotions positives. C'est aussi absurde que de dire que nous devons connaître la mort pour apprécier la vie. Ou bien de dire que nous devons boire du poison avant de savourer l'eau pure.

Les religions monothéistes, comme le christianisme, n'édictent pas non plus la souffrance comme une prérogative nécessaire à la proximité de Dieu. Jésus n'a pas prêché la recherche de la souffrance pour se rapprocher de Dieu, mais a plutôt prôné l'amour et l'aide aux autres.

L'idée de glorification de la souffrance a d'ailleurs souvent été utilisée pour justifier le patriarcat oppressif, l'esclavage, le colonialisme, et tout type de hiérarchie et de système de castes oppressifs. Glorifier la souffrance, c'est encourager l'acceptation passive de la brutalité et de l'injustice.

Dire que l'acceptation de la souffrance nous rend plus vivants est absurde et dénuée de toute rationalité. Les personnes qui ont vécu des expériences négatives intenses telles que le traumatisme ou la dépression se sentent souvent moins vivantes et sont déconnectées de leur envie de vivre.

Il est d'ailleurs largement documenté dans la littérature scientifique que des expériences négatives intenses comme le traumatisme ou la dépression peuvent entraîner une déconnection de l'envie de vivre. Par exemple, un symptôme courant de la dépression est l'anédonie, ou l'incapacité à ressentir du plaisir, c'est essentiellement une "déconnection" de la vie. Pareil pour le trouble de stress post-traumatique qui peut entraîner une détresse émotionnelle intense, une déconnection de la réalité et même des pensées suicidaires.

"L'élite n'essaye pas de nous rendre malheureux, mais bien au contraire, elle essaye à tout pris de nous rendre le plus heureux possible en nous abrutissant avec du divertissement et en satisfaisant nos envies les plus triviaux. Les élites savent très bien ce qui permet à l'homme de se rapprocher vers dieu"

Alors là, c'est la première fois que j'entends cela, et franchement, j'ai explosé :rire:

C'est absolument l'opposé total, ce bombardement constant de divertissement et de consumérisme est clairement un moyen par lequel les élites maintiennent leur contrôle et affirment leur domination. En nous laissant submerger par l'éphémère et l'insignifiant, ils nous gardent dans un état de passivité, d'acceptation et de relativisme, éloignés de la réalisation de notre potentiel spirituel et intellectuel. On voit d'ailleurs très bien les dégâts que ça fait en ces temps.

Les élites, en réalité, cherchent à nous détourner des voies plus profondes de la réalisation de soi et de la compréhension spirituelle. Tous leurs outils nous rendent plus manipulables, plus contrôlables, moins susceptibles de remettre en question et de défier le statu quo qui sert leurs intérêts. Leur devise est "diviser pour mieux régner", pas "diviser pour éveiller".

Observez notre société et les gens qui la composent, avez-vous réellement l'impression que toute cette aliénation rapproche les gens d'une quelconque spiritualité ?

Bref, glorifier la souffrance comme voie vers dieu est une déformation dangereuse de l'idée de la spiritualité et de l'humanité, et peut conduire à plus de mal que de bien. Je me suis senti obligé de répondre à cela car vous en faites la promotion sur le topic, et franchement j'ai déjà eu des dizaines d'heures de débat à ce sujet avec différentes personnes. Ce que j'ai constaté à propos des religieux, c'est qu'ils sont aveuglés par leurs dogmes et qu'il est impossible de leur faire entrevoir une autre fenêtre de pensée que ce pour quoi ils ont été conditionné depuis le départ.

Plus de détails quant aux religieux monothéistes :Les religieux sont conditionnés et enfermés dans une seule fenêtre de pensée. Ils sont très souvent éduqués, dès leur plus jeune âge, dans la religion qui est pratiquée par leur famille ou leur communauté. C'est un héritage familial ou culturel. Le conditionnement est alors très fort. Les enseignements religieux, les rites imprègnent leur esprit jour après jour, formant une vision du monde spécifique et déterminé. Ils sont entraînés à diviser le monde en deux : ce qui est conforme à leur doctrine et ce qui ne l'est pas. Ils sont donc enfermés dans une seule fenêtre de pensée, et ont beaucoup de mal à envisager d'autres perspectives ou d'autres interprétations du monde.
Les religieux pensent détenir la vérité absolue, tout ce qui n'entre pas dans leur corde est le mal. La religion, de par sa nature, prétend détenir la vérité absolue. Chaque dogme, chaque texte sacré, chaque rituel est présenté comme étant conforme à la loi divine, à la volonté du Créateur de l'univers. Les religieux, bel et bien enfermés dans leur fenêtre de pensée, pensent détenir la vérité et rejettent tout ce qui est en dehors de celle-ci comme étant le mal, ou, du moins, comme étant erroné.
Les religieux ne peuvent pas être objectifs car ils défendent simplement leur position. L'objectivité exige une vision large et équilibrée, capable d'évaluer toutes les perspectives et toutes les informations disponibles. Le problème est que les religieux, enfermés dans leur fenêtre de pensée et persuadés de détenir la vérité absolue, ne peuvent pas avoir ce genre de vision. Ils ne se posent pas de questions, ne remettent pas leurs croyances en question. Ils défendent simplement leur position, peu importe ce que les faits, la logique ou l'expérience peuvent dire.
Je parle principalement des religieux monothéistes, les autres sont bien plus ouverts d'esprits de ce que j'ai pu constater.
Albert Jacquard disait : "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude; il ne peut donc plus participer aux échanges; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet prêt à être manipulé. C'est là le péché fondamental des religions : faire des adeptes qui ne posent plus de questions. "
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche."

C'est une perte de temps phénoménale donc je vous prierai de ne plus parler de ça ici ou bien faites-en un topic si vous voulez parler des religions monothéistes.

Il n'y a aucune glorification de la souffrance dans ce que je dis (peut-être me suis-je mal exprimé), mais une acceptation de celle-ci, car nous n'avons pas le contrôle sur la plupart des souffrances de ce monde. La souffrance fait partie intégrante de la vie. S'en prendre plain la gueule dans la vie nous fait grandir à condition d'avoir la flamme spirituelle en nous, sinon nous tombons dans l'égo et la souffrance ne devient plus une opportunité de s'élever spirituellement, mais devient destructrice.

La souffrance n'est ni bonne ni mauvaise, elle est le signe d'un manque et l'un de ces manques peut être clairement spirituelle.

Je sais que l'amour est aussi une forme qui permet de s'élever spirituellement, mais j'ai moins les mots pour l'expliquer de façon claire, car c'est un constat beaucoup plus personnel et métaphysique pour moi.

Je maintient ce que je dis sur l'élite : elle cherche à créer le bonheur de tous (du moins artificiellement) pour mieux nous contrôler puisque la souffrance est un facteur d'éveil et donc potentiellement de rébellion.

L'auteur en mode https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/6/1639183297-chat-espace-tison-1.jpg

Activation par la quatrième matrice https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/6/1639183297-chat-espace-tison-1.jpg

Découverte des différentes forme nano atomique par l'univers https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/6/1639183297-chat-espace-tison-1.jpg

Le 05 août 2023 à 21:42:33 :

Le 05 août 2023 à 20:24:36 :
L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

L'argument selon lequel la souffrance est nécessaire pour apprécier le bonheur est une idée obsolète et fallacieuse qui n'a aucune base dans notre biologie, notre psychologie ou notre spiritualité. Nous sommes des êtres qui cherchent naturellement le bonheur, l'amour et la joie. Nous n'avons pas besoin de la souffrance comme contraste pour apprécier ces émotions positives. C'est aussi absurde que de dire que nous devons connaître la mort pour apprécier la vie. Ou bien de dire que nous devons boire du poison avant de savourer l'eau pure.

Les religions monothéistes, comme le christianisme, n'édictent pas non plus la souffrance comme une prérogative nécessaire à la proximité de Dieu. Jésus n'a pas prêché la recherche de la souffrance pour se rapprocher de Dieu, mais a plutôt prôné l'amour et l'aide aux autres.

L'idée de glorification de la souffrance a d'ailleurs souvent été utilisée pour justifier le patriarcat oppressif, l'esclavage, le colonialisme, et tout type de hiérarchie et de système de castes oppressifs. Glorifier la souffrance, c'est encourager l'acceptation passive de la brutalité et de l'injustice.

Dire que l'acceptation de la souffrance nous rend plus vivants est absurde et dénuée de toute rationalité. Les personnes qui ont vécu des expériences négatives intenses telles que le traumatisme ou la dépression se sentent souvent moins vivantes et sont déconnectées de leur envie de vivre.

Il est d'ailleurs largement documenté dans la littérature scientifique que des expériences négatives intenses comme le traumatisme ou la dépression peuvent entraîner une déconnection de l'envie de vivre. Par exemple, un symptôme courant de la dépression est l'anédonie, ou l'incapacité à ressentir du plaisir, c'est essentiellement une "déconnection" de la vie. Pareil pour le trouble de stress post-traumatique qui peut entraîner une détresse émotionnelle intense, une déconnection de la réalité et même des pensées suicidaires.

"L'élite n'essaye pas de nous rendre malheureux, mais bien au contraire, elle essaye à tout pris de nous rendre le plus heureux possible en nous abrutissant avec du divertissement et en satisfaisant nos envies les plus triviaux. Les élites savent très bien ce qui permet à l'homme de se rapprocher vers dieu"

Alors là, c'est la première fois que j'entends cela, et franchement, j'ai explosé :rire:

C'est absolument l'opposé total, ce bombardement constant de divertissement et de consumérisme est clairement un moyen par lequel les élites maintiennent leur contrôle et affirment leur domination. En nous laissant submerger par l'éphémère et l'insignifiant, ils nous gardent dans un état de passivité, d'acceptation et de relativisme, éloignés de la réalisation de notre potentiel spirituel et intellectuel. On voit d'ailleurs très bien les dégâts que ça fait en ces temps.

Les élites, en réalité, cherchent à nous détourner des voies plus profondes de la réalisation de soi et de la compréhension spirituelle. Tous leurs outils nous rendent plus manipulables, plus contrôlables, moins susceptibles de remettre en question et de défier le statu quo qui sert leurs intérêts. Leur devise est "diviser pour mieux régner", pas "diviser pour éveiller".

Observez notre société et les gens qui la composent, avez-vous réellement l'impression que toute cette aliénation rapproche les gens d'une quelconque spiritualité ?

Bref, glorifier la souffrance comme voie vers dieu est une déformation dangereuse de l'idée de la spiritualité et de l'humanité, et peut conduire à plus de mal que de bien. Je me suis senti obligé de répondre à cela car vous en faites la promotion sur le topic, et franchement j'ai déjà eu des dizaines d'heures de débat à ce sujet avec différentes personnes. Ce que j'ai constaté à propos des religieux, c'est qu'ils sont aveuglés par leurs dogmes et qu'il est impossible de leur faire entrevoir une autre fenêtre de pensée que ce pour quoi ils ont été conditionné depuis le départ.

Plus de détails quant aux religieux monothéistes :Les religieux sont conditionnés et enfermés dans une seule fenêtre de pensée. Ils sont très souvent éduqués, dès leur plus jeune âge, dans la religion qui est pratiquée par leur famille ou leur communauté. C'est un héritage familial ou culturel. Le conditionnement est alors très fort. Les enseignements religieux, les rites imprègnent leur esprit jour après jour, formant une vision du monde spécifique et déterminé. Ils sont entraînés à diviser le monde en deux : ce qui est conforme à leur doctrine et ce qui ne l'est pas. Ils sont donc enfermés dans une seule fenêtre de pensée, et ont beaucoup de mal à envisager d'autres perspectives ou d'autres interprétations du monde.
Les religieux pensent détenir la vérité absolue, tout ce qui n'entre pas dans leur corde est le mal. La religion, de par sa nature, prétend détenir la vérité absolue. Chaque dogme, chaque texte sacré, chaque rituel est présenté comme étant conforme à la loi divine, à la volonté du Créateur de l'univers. Les religieux, bel et bien enfermés dans leur fenêtre de pensée, pensent détenir la vérité et rejettent tout ce qui est en dehors de celle-ci comme étant le mal, ou, du moins, comme étant erroné.
Les religieux ne peuvent pas être objectifs car ils défendent simplement leur position. L'objectivité exige une vision large et équilibrée, capable d'évaluer toutes les perspectives et toutes les informations disponibles. Le problème est que les religieux, enfermés dans leur fenêtre de pensée et persuadés de détenir la vérité absolue, ne peuvent pas avoir ce genre de vision. Ils ne se posent pas de questions, ne remettent pas leurs croyances en question. Ils défendent simplement leur position, peu importe ce que les faits, la logique ou l'expérience peuvent dire.
Je parle principalement des religieux monothéistes, les autres sont bien plus ouverts d'esprits de ce que j'ai pu constater.
Albert Jacquard disait : "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude; il ne peut donc plus participer aux échanges; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet prêt à être manipulé. C'est là le péché fondamental des religions : faire des adeptes qui ne posent plus de questions. "
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche."

C'est une perte de temps phénoménale donc je vous prierai de ne plus parler de ça ici ou bien faites-en un topic si vous voulez parler des religions monothéistes.

Il n'y a aucune glorification de la souffrance dans ce que je dis (peut-être me suis-je mal exprimé), mais une acceptation de celle-ci, car nous n'avons pas le contrôle sur la plupart des souffrances de ce monde. S'en prendre plain la gueule dans la vie nous fait grandir à condition d'avoir la flamme spirituelle en nous, sinon nous tombons dans l'égo et la souffrance ne devient plus une opportunité de s'élever spirituellement, mais devient destructrice pour notre âme et notre conscience.

La souffrance n'est ni bonne ni mauvaise, elle est le signe d'un manque et l'un de ces manques peut être clairement spirituelle (et l'est souvent).

Je sais que l'amour est aussi une forme qui permet de s'élever spirituellement, mais j'ai moins les mots pour l'expliquer de façon claire, car c'est un constat beaucoup plus personnel et métaphysique pour moi.

Je maintient ce que je dis sur l'élite : elle cherche à créer le bonheur de tous (du moins artificiellement) pour mieux nous contrôler puisque la souffrance est un facteur d'éveil et donc potentiellement de rébellion.

Ou à la recherche constante de celui ci à travers de brève sensation qui finissent par nous rendre vide et dénué de sens nous menant vers la mauvaise direction constamment

Je confirme cela. C'est entités sont surtout trouvable dans le monde de l'entreprise avec des managers dépourvus d'âmes. Je ne n'en fais pas une généralité. Mais oui ils se matérialisent et notre société en est malade.
Elle s'infiltrent à travers plusieurs voies musique, nourriture etc etc

"Les élites"

Ce terme de low qi

Le 05 août 2023 à 21:49:44 :
Je confirme cela. C'est entités sont surtout trouvable dans le monde de l'entreprise avec des managers dépourvus d'âmes. Je ne n'en fais pas une généralité. Mais oui ils se matérialisent et notre société en est malade.
Elle s'infiltrent à travers plusieurs voies musique, nourriture etc etc

Tu as juste à faire à des gens rationnel, te permettre de les juger est grossier car tu sais leur poste ou fonction ne les représentent pas dans la vie de tout les jours
la vie c'est plus complexe que ça...

L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

d'accord donc tu ne comprends pas la vertue du dolorisme

Montaigne disait "il faut éduquer ses enfants a l'eau froide "

le dolorisme s'adresse principalement aux gosses de riche, les gens très bien portant qui n'auront pas eu la "chance" de connaître la souffrance dans leur vie

comme Simone Weil qui a passé volontairement une année à l'usine pour comprendre la condition ouvrière

si ta vie est un long fleuve tranquille, tu ne peux pas développer correctement l'empathie, ta compréhension du mal sur Terre. tu passes complètement à côté d'un sentiment humain qui te restera toujours étranger

tu as connu uniquement le bonheur, la recherche unique du bonheur te donnera jamais une âme complète mais partielle

c'est pas la souffrance comme un but mais un moyen d'accès au bonheur, cette expérience doit être temporaire

Bonheur (le vrai) = pas un but, mais une fin.

Le 05 août 2023 à 21:42:33 :

Le 05 août 2023 à 20:24:36 :
L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

L'argument selon lequel la souffrance est nécessaire pour apprécier le bonheur est une idée obsolète et fallacieuse qui n'a aucune base dans notre biologie, notre psychologie ou notre spiritualité. Nous sommes des êtres qui cherchent naturellement le bonheur, l'amour et la joie. Nous n'avons pas besoin de la souffrance comme contraste pour apprécier ces émotions positives. C'est aussi absurde que de dire que nous devons connaître la mort pour apprécier la vie. Ou bien de dire que nous devons boire du poison avant de savourer l'eau pure.

Les religions monothéistes, comme le christianisme, n'édictent pas non plus la souffrance comme une prérogative nécessaire à la proximité de Dieu. Jésus n'a pas prêché la recherche de la souffrance pour se rapprocher de Dieu, mais a plutôt prôné l'amour et l'aide aux autres.

L'idée de glorification de la souffrance a d'ailleurs souvent été utilisée pour justifier le patriarcat oppressif, l'esclavage, le colonialisme, et tout type de hiérarchie et de système de castes oppressifs. Glorifier la souffrance, c'est encourager l'acceptation passive de la brutalité et de l'injustice.

Dire que l'acceptation de la souffrance nous rend plus vivants est absurde et dénuée de toute rationalité. Les personnes qui ont vécu des expériences négatives intenses telles que le traumatisme ou la dépression se sentent souvent moins vivantes et sont déconnectées de leur envie de vivre.

Il est d'ailleurs largement documenté dans la littérature scientifique que des expériences négatives intenses comme le traumatisme ou la dépression peuvent entraîner une déconnection de l'envie de vivre. Par exemple, un symptôme courant de la dépression est l'anédonie, ou l'incapacité à ressentir du plaisir, c'est essentiellement une "déconnection" de la vie. Pareil pour le trouble de stress post-traumatique qui peut entraîner une détresse émotionnelle intense, une déconnection de la réalité et même des pensées suicidaires.

"L'élite n'essaye pas de nous rendre malheureux, mais bien au contraire, elle essaye à tout pris de nous rendre le plus heureux possible en nous abrutissant avec du divertissement et en satisfaisant nos envies les plus triviaux. Les élites savent très bien ce qui permet à l'homme de se rapprocher vers dieu"

Alors là, c'est la première fois que j'entends cela, et franchement, j'ai explosé :rire:

C'est absolument l'opposé total, ce bombardement constant de divertissement et de consumérisme est clairement un moyen par lequel les élites maintiennent leur contrôle et affirment leur domination. En nous laissant submerger par l'éphémère et l'insignifiant, ils nous gardent dans un état de passivité, d'acceptation et de relativisme, éloignés de la réalisation de notre potentiel spirituel et intellectuel. On voit d'ailleurs très bien les dégâts que ça fait en ces temps.

Les élites, en réalité, cherchent à nous détourner des voies plus profondes de la réalisation de soi et de la compréhension spirituelle. Tous leurs outils nous rendent plus manipulables, plus contrôlables, moins susceptibles de remettre en question et de défier le statu quo qui sert leurs intérêts. Leur devise est "diviser pour mieux régner", pas "diviser pour éveiller".

Observez notre société et les gens qui la composent, avez-vous réellement l'impression que toute cette aliénation rapproche les gens d'une quelconque spiritualité ?

Bref, glorifier la souffrance comme voie vers dieu est une déformation dangereuse de l'idée de la spiritualité et de l'humanité, et peut conduire à plus de mal que de bien. Je me suis senti obligé de répondre à cela car vous en faites la promotion sur le topic, et franchement j'ai déjà eu des dizaines d'heures de débat à ce sujet avec différentes personnes. Ce que j'ai constaté à propos des religieux, c'est qu'ils sont aveuglés par leurs dogmes et qu'il est impossible de leur faire entrevoir une autre fenêtre de pensée que ce pour quoi ils ont été conditionné depuis le départ.

Plus de détails quant aux religieux monothéistes :Les religieux sont conditionnés et enfermés dans une seule fenêtre de pensée. Ils sont très souvent éduqués, dès leur plus jeune âge, dans la religion qui est pratiquée par leur famille ou leur communauté. C'est un héritage familial ou culturel. Le conditionnement est alors très fort. Les enseignements religieux, les rites imprègnent leur esprit jour après jour, formant une vision du monde spécifique et déterminé. Ils sont entraînés à diviser le monde en deux : ce qui est conforme à leur doctrine et ce qui ne l'est pas. Ils sont donc enfermés dans une seule fenêtre de pensée, et ont beaucoup de mal à envisager d'autres perspectives ou d'autres interprétations du monde.
Les religieux pensent détenir la vérité absolue, tout ce qui n'entre pas dans leur corde est le mal. La religion, de par sa nature, prétend détenir la vérité absolue. Chaque dogme, chaque texte sacré, chaque rituel est présenté comme étant conforme à la loi divine, à la volonté du Créateur de l'univers. Les religieux, bel et bien enfermés dans leur fenêtre de pensée, pensent détenir la vérité et rejettent tout ce qui est en dehors de celle-ci comme étant le mal, ou, du moins, comme étant erroné.
Les religieux ne peuvent pas être objectifs car ils défendent simplement leur position. L'objectivité exige une vision large et équilibrée, capable d'évaluer toutes les perspectives et toutes les informations disponibles. Le problème est que les religieux, enfermés dans leur fenêtre de pensée et persuadés de détenir la vérité absolue, ne peuvent pas avoir ce genre de vision. Ils ne se posent pas de questions, ne remettent pas leurs croyances en question. Ils défendent simplement leur position, peu importe ce que les faits, la logique ou l'expérience peuvent dire.
Je parle principalement des religieux monothéistes, les autres sont bien plus ouverts d'esprits de ce que j'ai pu constater.
Albert Jacquard disait : "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude; il ne peut donc plus participer aux échanges; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet prêt à être manipulé. C'est là le péché fondamental des religions : faire des adeptes qui ne posent plus de questions. "
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche."

C'est une perte de temps phénoménale donc je vous prierai de ne plus parler de ça ici ou bien faites-en un topic si vous voulez parler des religions monothéistes.

Il n'y a aucune glorification de la souffrance dans ce que je dis (peut-être me suis-je mal exprimé), mais une acceptation de celle-ci, car nous n'avons pas le contrôle sur la plupart des souffrances de ce monde. La souffrance fait partie intégrante de la vie. S'en prendre plain la gueule dans la vie nous fait grandir à condition d'avoir la flamme spirituelle en nous, sinon nous tombons dans l'égo et la souffrance ne devient plus une opportunité de s'élever spirituellement, mais devient destructrice.

La souffrance n'est ni bonne ni mauvaise, elle est le signe d'un manque et l'un de ces manques peut être clairement spirituelle.

Je sais que l'amour est aussi une forme qui permet de s'élever spirituellement, mais j'ai moins les mots pour l'expliquer de façon claire, car c'est un constat beaucoup plus personnel et métaphysique pour moi.

Je maintient ce que je dis sur l'élite : elle cherche à créer le bonheur de tous (du moins artificiellement) pour mieux nous contrôler puisque la souffrance est un facteur d'éveil et donc potentiellement de rébellion.

Merci d'avoir confirmer ce que je disais à propos des religieux dans mon post.

Voilà pourquoi j'ai arrêté de discuter avec vous, vous n'écoutez pas les gens.

Bonne continuation.

Le 05 août 2023 à 22:14:44 :

Le 05 août 2023 à 21:42:33 :

Le 05 août 2023 à 20:24:36 :
L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

L'argument selon lequel la souffrance est nécessaire pour apprécier le bonheur est une idée obsolète et fallacieuse qui n'a aucune base dans notre biologie, notre psychologie ou notre spiritualité. Nous sommes des êtres qui cherchent naturellement le bonheur, l'amour et la joie. Nous n'avons pas besoin de la souffrance comme contraste pour apprécier ces émotions positives. C'est aussi absurde que de dire que nous devons connaître la mort pour apprécier la vie. Ou bien de dire que nous devons boire du poison avant de savourer l'eau pure.

Les religions monothéistes, comme le christianisme, n'édictent pas non plus la souffrance comme une prérogative nécessaire à la proximité de Dieu. Jésus n'a pas prêché la recherche de la souffrance pour se rapprocher de Dieu, mais a plutôt prôné l'amour et l'aide aux autres.

L'idée de glorification de la souffrance a d'ailleurs souvent été utilisée pour justifier le patriarcat oppressif, l'esclavage, le colonialisme, et tout type de hiérarchie et de système de castes oppressifs. Glorifier la souffrance, c'est encourager l'acceptation passive de la brutalité et de l'injustice.

Dire que l'acceptation de la souffrance nous rend plus vivants est absurde et dénuée de toute rationalité. Les personnes qui ont vécu des expériences négatives intenses telles que le traumatisme ou la dépression se sentent souvent moins vivantes et sont déconnectées de leur envie de vivre.

Il est d'ailleurs largement documenté dans la littérature scientifique que des expériences négatives intenses comme le traumatisme ou la dépression peuvent entraîner une déconnection de l'envie de vivre. Par exemple, un symptôme courant de la dépression est l'anédonie, ou l'incapacité à ressentir du plaisir, c'est essentiellement une "déconnection" de la vie. Pareil pour le trouble de stress post-traumatique qui peut entraîner une détresse émotionnelle intense, une déconnection de la réalité et même des pensées suicidaires.

"L'élite n'essaye pas de nous rendre malheureux, mais bien au contraire, elle essaye à tout pris de nous rendre le plus heureux possible en nous abrutissant avec du divertissement et en satisfaisant nos envies les plus triviaux. Les élites savent très bien ce qui permet à l'homme de se rapprocher vers dieu"

Alors là, c'est la première fois que j'entends cela, et franchement, j'ai explosé :rire:

C'est absolument l'opposé total, ce bombardement constant de divertissement et de consumérisme est clairement un moyen par lequel les élites maintiennent leur contrôle et affirment leur domination. En nous laissant submerger par l'éphémère et l'insignifiant, ils nous gardent dans un état de passivité, d'acceptation et de relativisme, éloignés de la réalisation de notre potentiel spirituel et intellectuel. On voit d'ailleurs très bien les dégâts que ça fait en ces temps.

Les élites, en réalité, cherchent à nous détourner des voies plus profondes de la réalisation de soi et de la compréhension spirituelle. Tous leurs outils nous rendent plus manipulables, plus contrôlables, moins susceptibles de remettre en question et de défier le statu quo qui sert leurs intérêts. Leur devise est "diviser pour mieux régner", pas "diviser pour éveiller".

Observez notre société et les gens qui la composent, avez-vous réellement l'impression que toute cette aliénation rapproche les gens d'une quelconque spiritualité ?

Bref, glorifier la souffrance comme voie vers dieu est une déformation dangereuse de l'idée de la spiritualité et de l'humanité, et peut conduire à plus de mal que de bien. Je me suis senti obligé de répondre à cela car vous en faites la promotion sur le topic, et franchement j'ai déjà eu des dizaines d'heures de débat à ce sujet avec différentes personnes. Ce que j'ai constaté à propos des religieux, c'est qu'ils sont aveuglés par leurs dogmes et qu'il est impossible de leur faire entrevoir une autre fenêtre de pensée que ce pour quoi ils ont été conditionné depuis le départ.

Plus de détails quant aux religieux monothéistes :Les religieux sont conditionnés et enfermés dans une seule fenêtre de pensée. Ils sont très souvent éduqués, dès leur plus jeune âge, dans la religion qui est pratiquée par leur famille ou leur communauté. C'est un héritage familial ou culturel. Le conditionnement est alors très fort. Les enseignements religieux, les rites imprègnent leur esprit jour après jour, formant une vision du monde spécifique et déterminé. Ils sont entraînés à diviser le monde en deux : ce qui est conforme à leur doctrine et ce qui ne l'est pas. Ils sont donc enfermés dans une seule fenêtre de pensée, et ont beaucoup de mal à envisager d'autres perspectives ou d'autres interprétations du monde.
Les religieux pensent détenir la vérité absolue, tout ce qui n'entre pas dans leur corde est le mal. La religion, de par sa nature, prétend détenir la vérité absolue. Chaque dogme, chaque texte sacré, chaque rituel est présenté comme étant conforme à la loi divine, à la volonté du Créateur de l'univers. Les religieux, bel et bien enfermés dans leur fenêtre de pensée, pensent détenir la vérité et rejettent tout ce qui est en dehors de celle-ci comme étant le mal, ou, du moins, comme étant erroné.
Les religieux ne peuvent pas être objectifs car ils défendent simplement leur position. L'objectivité exige une vision large et équilibrée, capable d'évaluer toutes les perspectives et toutes les informations disponibles. Le problème est que les religieux, enfermés dans leur fenêtre de pensée et persuadés de détenir la vérité absolue, ne peuvent pas avoir ce genre de vision. Ils ne se posent pas de questions, ne remettent pas leurs croyances en question. Ils défendent simplement leur position, peu importe ce que les faits, la logique ou l'expérience peuvent dire.
Je parle principalement des religieux monothéistes, les autres sont bien plus ouverts d'esprits de ce que j'ai pu constater.
Albert Jacquard disait : "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude; il ne peut donc plus participer aux échanges; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet prêt à être manipulé. C'est là le péché fondamental des religions : faire des adeptes qui ne posent plus de questions. "
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche."

C'est une perte de temps phénoménale donc je vous prierai de ne plus parler de ça ici ou bien faites-en un topic si vous voulez parler des religions monothéistes.

Il n'y a aucune glorification de la souffrance dans ce que je dis (peut-être me suis-je mal exprimé), mais une acceptation de celle-ci, car nous n'avons pas le contrôle sur la plupart des souffrances de ce monde. La souffrance fait partie intégrante de la vie. S'en prendre plain la gueule dans la vie nous fait grandir à condition d'avoir la flamme spirituelle en nous, sinon nous tombons dans l'égo et la souffrance ne devient plus une opportunité de s'élever spirituellement, mais devient destructrice.

La souffrance n'est ni bonne ni mauvaise, elle est le signe d'un manque et l'un de ces manques peut être clairement spirituelle.

Je sais que l'amour est aussi une forme qui permet de s'élever spirituellement, mais j'ai moins les mots pour l'expliquer de façon claire, car c'est un constat beaucoup plus personnel et métaphysique pour moi.

Je maintient ce que je dis sur l'élite : elle cherche à créer le bonheur de tous (du moins artificiellement) pour mieux nous contrôler puisque la souffrance est un facteur d'éveil et donc potentiellement de rébellion.

Merci d'avoir confirmer ce que je disais à propos des religieux dans mon post.

Voilà pourquoi j'ai arrêté de discuter avec vous, vous n'écoutez pas les gens.

Bonne continuation.

T'es fascinant comme bonhomme toi, je m'amuse de lire le topic en bon ghostfag que je suis, et la c'est trop, d'ou tu sors qu'ils sont religieux ? :rire:

Le 05 août 2023 à 22:23:25 enculer2merde a écrit :

Le 05 août 2023 à 22:14:44 :

Le 05 août 2023 à 21:42:33 :

Le 05 août 2023 à 20:24:36 :
L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

L'argument selon lequel la souffrance est nécessaire pour apprécier le bonheur est une idée obsolète et fallacieuse qui n'a aucune base dans notre biologie, notre psychologie ou notre spiritualité. Nous sommes des êtres qui cherchent naturellement le bonheur, l'amour et la joie. Nous n'avons pas besoin de la souffrance comme contraste pour apprécier ces émotions positives. C'est aussi absurde que de dire que nous devons connaître la mort pour apprécier la vie. Ou bien de dire que nous devons boire du poison avant de savourer l'eau pure.

Les religions monothéistes, comme le christianisme, n'édictent pas non plus la souffrance comme une prérogative nécessaire à la proximité de Dieu. Jésus n'a pas prêché la recherche de la souffrance pour se rapprocher de Dieu, mais a plutôt prôné l'amour et l'aide aux autres.

L'idée de glorification de la souffrance a d'ailleurs souvent été utilisée pour justifier le patriarcat oppressif, l'esclavage, le colonialisme, et tout type de hiérarchie et de système de castes oppressifs. Glorifier la souffrance, c'est encourager l'acceptation passive de la brutalité et de l'injustice.

Dire que l'acceptation de la souffrance nous rend plus vivants est absurde et dénuée de toute rationalité. Les personnes qui ont vécu des expériences négatives intenses telles que le traumatisme ou la dépression se sentent souvent moins vivantes et sont déconnectées de leur envie de vivre.

Il est d'ailleurs largement documenté dans la littérature scientifique que des expériences négatives intenses comme le traumatisme ou la dépression peuvent entraîner une déconnection de l'envie de vivre. Par exemple, un symptôme courant de la dépression est l'anédonie, ou l'incapacité à ressentir du plaisir, c'est essentiellement une "déconnection" de la vie. Pareil pour le trouble de stress post-traumatique qui peut entraîner une détresse émotionnelle intense, une déconnection de la réalité et même des pensées suicidaires.

"L'élite n'essaye pas de nous rendre malheureux, mais bien au contraire, elle essaye à tout pris de nous rendre le plus heureux possible en nous abrutissant avec du divertissement et en satisfaisant nos envies les plus triviaux. Les élites savent très bien ce qui permet à l'homme de se rapprocher vers dieu"

Alors là, c'est la première fois que j'entends cela, et franchement, j'ai explosé :rire:

C'est absolument l'opposé total, ce bombardement constant de divertissement et de consumérisme est clairement un moyen par lequel les élites maintiennent leur contrôle et affirment leur domination. En nous laissant submerger par l'éphémère et l'insignifiant, ils nous gardent dans un état de passivité, d'acceptation et de relativisme, éloignés de la réalisation de notre potentiel spirituel et intellectuel. On voit d'ailleurs très bien les dégâts que ça fait en ces temps.

Les élites, en réalité, cherchent à nous détourner des voies plus profondes de la réalisation de soi et de la compréhension spirituelle. Tous leurs outils nous rendent plus manipulables, plus contrôlables, moins susceptibles de remettre en question et de défier le statu quo qui sert leurs intérêts. Leur devise est "diviser pour mieux régner", pas "diviser pour éveiller".

Observez notre société et les gens qui la composent, avez-vous réellement l'impression que toute cette aliénation rapproche les gens d'une quelconque spiritualité ?

Bref, glorifier la souffrance comme voie vers dieu est une déformation dangereuse de l'idée de la spiritualité et de l'humanité, et peut conduire à plus de mal que de bien. Je me suis senti obligé de répondre à cela car vous en faites la promotion sur le topic, et franchement j'ai déjà eu des dizaines d'heures de débat à ce sujet avec différentes personnes. Ce que j'ai constaté à propos des religieux, c'est qu'ils sont aveuglés par leurs dogmes et qu'il est impossible de leur faire entrevoir une autre fenêtre de pensée que ce pour quoi ils ont été conditionné depuis le départ.

Plus de détails quant aux religieux monothéistes :Les religieux sont conditionnés et enfermés dans une seule fenêtre de pensée. Ils sont très souvent éduqués, dès leur plus jeune âge, dans la religion qui est pratiquée par leur famille ou leur communauté. C'est un héritage familial ou culturel. Le conditionnement est alors très fort. Les enseignements religieux, les rites imprègnent leur esprit jour après jour, formant une vision du monde spécifique et déterminé. Ils sont entraînés à diviser le monde en deux : ce qui est conforme à leur doctrine et ce qui ne l'est pas. Ils sont donc enfermés dans une seule fenêtre de pensée, et ont beaucoup de mal à envisager d'autres perspectives ou d'autres interprétations du monde.
Les religieux pensent détenir la vérité absolue, tout ce qui n'entre pas dans leur corde est le mal. La religion, de par sa nature, prétend détenir la vérité absolue. Chaque dogme, chaque texte sacré, chaque rituel est présenté comme étant conforme à la loi divine, à la volonté du Créateur de l'univers. Les religieux, bel et bien enfermés dans leur fenêtre de pensée, pensent détenir la vérité et rejettent tout ce qui est en dehors de celle-ci comme étant le mal, ou, du moins, comme étant erroné.
Les religieux ne peuvent pas être objectifs car ils défendent simplement leur position. L'objectivité exige une vision large et équilibrée, capable d'évaluer toutes les perspectives et toutes les informations disponibles. Le problème est que les religieux, enfermés dans leur fenêtre de pensée et persuadés de détenir la vérité absolue, ne peuvent pas avoir ce genre de vision. Ils ne se posent pas de questions, ne remettent pas leurs croyances en question. Ils défendent simplement leur position, peu importe ce que les faits, la logique ou l'expérience peuvent dire.
Je parle principalement des religieux monothéistes, les autres sont bien plus ouverts d'esprits de ce que j'ai pu constater.
Albert Jacquard disait : "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude; il ne peut donc plus participer aux échanges; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet prêt à être manipulé. C'est là le péché fondamental des religions : faire des adeptes qui ne posent plus de questions. "
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche."

C'est une perte de temps phénoménale donc je vous prierai de ne plus parler de ça ici ou bien faites-en un topic si vous voulez parler des religions monothéistes.

Il n'y a aucune glorification de la souffrance dans ce que je dis (peut-être me suis-je mal exprimé), mais une acceptation de celle-ci, car nous n'avons pas le contrôle sur la plupart des souffrances de ce monde. La souffrance fait partie intégrante de la vie. S'en prendre plain la gueule dans la vie nous fait grandir à condition d'avoir la flamme spirituelle en nous, sinon nous tombons dans l'égo et la souffrance ne devient plus une opportunité de s'élever spirituellement, mais devient destructrice.

La souffrance n'est ni bonne ni mauvaise, elle est le signe d'un manque et l'un de ces manques peut être clairement spirituelle.

Je sais que l'amour est aussi une forme qui permet de s'élever spirituellement, mais j'ai moins les mots pour l'expliquer de façon claire, car c'est un constat beaucoup plus personnel et métaphysique pour moi.

Je maintient ce que je dis sur l'élite : elle cherche à créer le bonheur de tous (du moins artificiellement) pour mieux nous contrôler puisque la souffrance est un facteur d'éveil et donc potentiellement de rébellion.

Merci d'avoir confirmer ce que je disais à propos des religieux dans mon post.

Voilà pourquoi j'ai arrêté de discuter avec vous, vous n'écoutez pas les gens.

Bonne continuation.

T'es fascinant comme bonhomme toi, je m'amuse de lire le topic en bon ghostfag que je suis, et la c'est trop, d'ou tu sors qu'ils sont religieux ? :rire:

Merci du compliment :oui:

Discours typique des religieux monothéistes, mais bon, prouvez-moi que j'ai tort.

Le 05 août 2023 à 22:24:24 :

Le 05 août 2023 à 22:23:25 :

Le 05 août 2023 à 22:14:44 :

Le 05 août 2023 à 21:42:33 :

Le 05 août 2023 à 20:24:36 :
L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

L'argument selon lequel la souffrance est nécessaire pour apprécier le bonheur est une idée obsolète et fallacieuse qui n'a aucune base dans notre biologie, notre psychologie ou notre spiritualité. Nous sommes des êtres qui cherchent naturellement le bonheur, l'amour et la joie. Nous n'avons pas besoin de la souffrance comme contraste pour apprécier ces émotions positives. C'est aussi absurde que de dire que nous devons connaître la mort pour apprécier la vie. Ou bien de dire que nous devons boire du poison avant de savourer l'eau pure.

Les religions monothéistes, comme le christianisme, n'édictent pas non plus la souffrance comme une prérogative nécessaire à la proximité de Dieu. Jésus n'a pas prêché la recherche de la souffrance pour se rapprocher de Dieu, mais a plutôt prôné l'amour et l'aide aux autres.

L'idée de glorification de la souffrance a d'ailleurs souvent été utilisée pour justifier le patriarcat oppressif, l'esclavage, le colonialisme, et tout type de hiérarchie et de système de castes oppressifs. Glorifier la souffrance, c'est encourager l'acceptation passive de la brutalité et de l'injustice.

Dire que l'acceptation de la souffrance nous rend plus vivants est absurde et dénuée de toute rationalité. Les personnes qui ont vécu des expériences négatives intenses telles que le traumatisme ou la dépression se sentent souvent moins vivantes et sont déconnectées de leur envie de vivre.

Il est d'ailleurs largement documenté dans la littérature scientifique que des expériences négatives intenses comme le traumatisme ou la dépression peuvent entraîner une déconnection de l'envie de vivre. Par exemple, un symptôme courant de la dépression est l'anédonie, ou l'incapacité à ressentir du plaisir, c'est essentiellement une "déconnection" de la vie. Pareil pour le trouble de stress post-traumatique qui peut entraîner une détresse émotionnelle intense, une déconnection de la réalité et même des pensées suicidaires.

"L'élite n'essaye pas de nous rendre malheureux, mais bien au contraire, elle essaye à tout pris de nous rendre le plus heureux possible en nous abrutissant avec du divertissement et en satisfaisant nos envies les plus triviaux. Les élites savent très bien ce qui permet à l'homme de se rapprocher vers dieu"

Alors là, c'est la première fois que j'entends cela, et franchement, j'ai explosé :rire:

C'est absolument l'opposé total, ce bombardement constant de divertissement et de consumérisme est clairement un moyen par lequel les élites maintiennent leur contrôle et affirment leur domination. En nous laissant submerger par l'éphémère et l'insignifiant, ils nous gardent dans un état de passivité, d'acceptation et de relativisme, éloignés de la réalisation de notre potentiel spirituel et intellectuel. On voit d'ailleurs très bien les dégâts que ça fait en ces temps.

Les élites, en réalité, cherchent à nous détourner des voies plus profondes de la réalisation de soi et de la compréhension spirituelle. Tous leurs outils nous rendent plus manipulables, plus contrôlables, moins susceptibles de remettre en question et de défier le statu quo qui sert leurs intérêts. Leur devise est "diviser pour mieux régner", pas "diviser pour éveiller".

Observez notre société et les gens qui la composent, avez-vous réellement l'impression que toute cette aliénation rapproche les gens d'une quelconque spiritualité ?

Bref, glorifier la souffrance comme voie vers dieu est une déformation dangereuse de l'idée de la spiritualité et de l'humanité, et peut conduire à plus de mal que de bien. Je me suis senti obligé de répondre à cela car vous en faites la promotion sur le topic, et franchement j'ai déjà eu des dizaines d'heures de débat à ce sujet avec différentes personnes. Ce que j'ai constaté à propos des religieux, c'est qu'ils sont aveuglés par leurs dogmes et qu'il est impossible de leur faire entrevoir une autre fenêtre de pensée que ce pour quoi ils ont été conditionné depuis le départ.

Plus de détails quant aux religieux monothéistes :Les religieux sont conditionnés et enfermés dans une seule fenêtre de pensée. Ils sont très souvent éduqués, dès leur plus jeune âge, dans la religion qui est pratiquée par leur famille ou leur communauté. C'est un héritage familial ou culturel. Le conditionnement est alors très fort. Les enseignements religieux, les rites imprègnent leur esprit jour après jour, formant une vision du monde spécifique et déterminé. Ils sont entraînés à diviser le monde en deux : ce qui est conforme à leur doctrine et ce qui ne l'est pas. Ils sont donc enfermés dans une seule fenêtre de pensée, et ont beaucoup de mal à envisager d'autres perspectives ou d'autres interprétations du monde.
Les religieux pensent détenir la vérité absolue, tout ce qui n'entre pas dans leur corde est le mal. La religion, de par sa nature, prétend détenir la vérité absolue. Chaque dogme, chaque texte sacré, chaque rituel est présenté comme étant conforme à la loi divine, à la volonté du Créateur de l'univers. Les religieux, bel et bien enfermés dans leur fenêtre de pensée, pensent détenir la vérité et rejettent tout ce qui est en dehors de celle-ci comme étant le mal, ou, du moins, comme étant erroné.
Les religieux ne peuvent pas être objectifs car ils défendent simplement leur position. L'objectivité exige une vision large et équilibrée, capable d'évaluer toutes les perspectives et toutes les informations disponibles. Le problème est que les religieux, enfermés dans leur fenêtre de pensée et persuadés de détenir la vérité absolue, ne peuvent pas avoir ce genre de vision. Ils ne se posent pas de questions, ne remettent pas leurs croyances en question. Ils défendent simplement leur position, peu importe ce que les faits, la logique ou l'expérience peuvent dire.
Je parle principalement des religieux monothéistes, les autres sont bien plus ouverts d'esprits de ce que j'ai pu constater.
Albert Jacquard disait : "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude; il ne peut donc plus participer aux échanges; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet prêt à être manipulé. C'est là le péché fondamental des religions : faire des adeptes qui ne posent plus de questions. "
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche."

C'est une perte de temps phénoménale donc je vous prierai de ne plus parler de ça ici ou bien faites-en un topic si vous voulez parler des religions monothéistes.

Il n'y a aucune glorification de la souffrance dans ce que je dis (peut-être me suis-je mal exprimé), mais une acceptation de celle-ci, car nous n'avons pas le contrôle sur la plupart des souffrances de ce monde. La souffrance fait partie intégrante de la vie. S'en prendre plain la gueule dans la vie nous fait grandir à condition d'avoir la flamme spirituelle en nous, sinon nous tombons dans l'égo et la souffrance ne devient plus une opportunité de s'élever spirituellement, mais devient destructrice.

La souffrance n'est ni bonne ni mauvaise, elle est le signe d'un manque et l'un de ces manques peut être clairement spirituelle.

Je sais que l'amour est aussi une forme qui permet de s'élever spirituellement, mais j'ai moins les mots pour l'expliquer de façon claire, car c'est un constat beaucoup plus personnel et métaphysique pour moi.

Je maintient ce que je dis sur l'élite : elle cherche à créer le bonheur de tous (du moins artificiellement) pour mieux nous contrôler puisque la souffrance est un facteur d'éveil et donc potentiellement de rébellion.

Merci d'avoir confirmer ce que je disais à propos des religieux dans mon post.

Voilà pourquoi j'ai arrêté de discuter avec vous, vous n'écoutez pas les gens.

Bonne continuation.

T'es fascinant comme bonhomme toi, je m'amuse de lire le topic en bon ghostfag que je suis, et la c'est trop, d'ou tu sors qu'ils sont religieux ? :rire:

Je n'appartiens pourtant à aucune religion :(

Non mais là c'est du délire j'ai bien rigolé mais le type se la joue connaisseur mais est incapable de prendre les critiques, c'est un gamin, franchement ce type dégoute de la spiritualité et je ocmprends pourquoi j'ai un mauvais apriori dessus

Le 05 août 2023 à 22:26:34 :

Le 05 août 2023 à 22:24:24 :

Le 05 août 2023 à 22:23:25 :

Le 05 août 2023 à 22:14:44 :

Le 05 août 2023 à 21:42:33 :

> Le 05 août 2023 à 20:24:36 :

>L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

>

> L'argument selon lequel la souffrance est nécessaire pour apprécier le bonheur est une idée obsolète et fallacieuse qui n'a aucune base dans notre biologie, notre psychologie ou notre spiritualité. Nous sommes des êtres qui cherchent naturellement le bonheur, l'amour et la joie. Nous n'avons pas besoin de la souffrance comme contraste pour apprécier ces émotions positives. C'est aussi absurde que de dire que nous devons connaître la mort pour apprécier la vie. Ou bien de dire que nous devons boire du poison avant de savourer l'eau pure.

>

> Les religions monothéistes, comme le christianisme, n'édictent pas non plus la souffrance comme une prérogative nécessaire à la proximité de Dieu. Jésus n'a pas prêché la recherche de la souffrance pour se rapprocher de Dieu, mais a plutôt prôné l'amour et l'aide aux autres.

>

> L'idée de glorification de la souffrance a d'ailleurs souvent été utilisée pour justifier le patriarcat oppressif, l'esclavage, le colonialisme, et tout type de hiérarchie et de système de castes oppressifs. Glorifier la souffrance, c'est encourager l'acceptation passive de la brutalité et de l'injustice.

>

> Dire que l'acceptation de la souffrance nous rend plus vivants est absurde et dénuée de toute rationalité. Les personnes qui ont vécu des expériences négatives intenses telles que le traumatisme ou la dépression se sentent souvent moins vivantes et sont déconnectées de leur envie de vivre.

>

> Il est d'ailleurs largement documenté dans la littérature scientifique que des expériences négatives intenses comme le traumatisme ou la dépression peuvent entraîner une déconnection de l'envie de vivre. Par exemple, un symptôme courant de la dépression est l'anédonie, ou l'incapacité à ressentir du plaisir, c'est essentiellement une "déconnection" de la vie. Pareil pour le trouble de stress post-traumatique qui peut entraîner une détresse émotionnelle intense, une déconnection de la réalité et même des pensées suicidaires.

>

> "L'élite n'essaye pas de nous rendre malheureux, mais bien au contraire, elle essaye à tout pris de nous rendre le plus heureux possible en nous abrutissant avec du divertissement et en satisfaisant nos envies les plus triviaux. Les élites savent très bien ce qui permet à l'homme de se rapprocher vers dieu"

>

> Alors là, c'est la première fois que j'entends cela, et franchement, j'ai explosé :rire:

>

> C'est absolument l'opposé total, ce bombardement constant de divertissement et de consumérisme est clairement un moyen par lequel les élites maintiennent leur contrôle et affirment leur domination. En nous laissant submerger par l'éphémère et l'insignifiant, ils nous gardent dans un état de passivité, d'acceptation et de relativisme, éloignés de la réalisation de notre potentiel spirituel et intellectuel. On voit d'ailleurs très bien les dégâts que ça fait en ces temps.

>

> Les élites, en réalité, cherchent à nous détourner des voies plus profondes de la réalisation de soi et de la compréhension spirituelle. Tous leurs outils nous rendent plus manipulables, plus contrôlables, moins susceptibles de remettre en question et de défier le statu quo qui sert leurs intérêts. Leur devise est "diviser pour mieux régner", pas "diviser pour éveiller".

>

> Observez notre société et les gens qui la composent, avez-vous réellement l'impression que toute cette aliénation rapproche les gens d'une quelconque spiritualité ?

>

> Bref, glorifier la souffrance comme voie vers dieu est une déformation dangereuse de l'idée de la spiritualité et de l'humanité, et peut conduire à plus de mal que de bien. Je me suis senti obligé de répondre à cela car vous en faites la promotion sur le topic, et franchement j'ai déjà eu des dizaines d'heures de débat à ce sujet avec différentes personnes. Ce que j'ai constaté à propos des religieux, c'est qu'ils sont aveuglés par leurs dogmes et qu'il est impossible de leur faire entrevoir une autre fenêtre de pensée que ce pour quoi ils ont été conditionné depuis le départ.

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> Plus de détails quant aux religieux monothéistes : <spoil>Les religieux sont conditionnés et enfermés dans une seule fenêtre de pensée. Ils sont très souvent éduqués, dès leur plus jeune âge, dans la religion qui est pratiquée par leur famille ou leur communauté. C'est un héritage familial ou culturel. Le conditionnement est alors très fort. Les enseignements religieux, les rites imprègnent leur esprit jour après jour, formant une vision du monde spécifique et déterminé. Ils sont entraînés à diviser le monde en deux : ce qui est conforme à leur doctrine et ce qui ne l'est pas. Ils sont donc enfermés dans une seule fenêtre de pensée, et ont beaucoup de mal à envisager d'autres perspectives ou d'autres interprétations du monde.

> Les religieux pensent détenir la vérité absolue, tout ce qui n'entre pas dans leur corde est le mal. La religion, de par sa nature, prétend détenir la vérité absolue. Chaque dogme, chaque texte sacré, chaque rituel est présenté comme étant conforme à la loi divine, à la volonté du Créateur de l'univers. Les religieux, bel et bien enfermés dans leur fenêtre de pensée, pensent détenir la vérité et rejettent tout ce qui est en dehors de celle-ci comme étant le mal, ou, du moins, comme étant erroné.

> Les religieux ne peuvent pas être objectifs car ils défendent simplement leur position. L'objectivité exige une vision large et équilibrée, capable d'évaluer toutes les perspectives et toutes les informations disponibles. Le problème est que les religieux, enfermés dans leur fenêtre de pensée et persuadés de détenir la vérité absolue, ne peuvent pas avoir ce genre de vision. Ils ne se posent pas de questions, ne remettent pas leurs croyances en question. Ils défendent simplement leur position, peu importe ce que les faits, la logique ou l'expérience peuvent dire.

> Je parle principalement des religieux monothéistes, les autres sont bien plus ouverts d'esprits de ce que j'ai pu constater.

> Albert Jacquard disait : "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude; il ne peut donc plus participer aux échanges; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet prêt à être manipulé. C'est là le péché fondamental des religions : faire des adeptes qui ne posent plus de questions. "

> "Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche."</spoil>

>

>

> C'est une perte de temps phénoménale donc je vous prierai de ne plus parler de ça ici ou bien faites-en un topic si vous voulez parler des religions monothéistes.

Il n'y a aucune glorification de la souffrance dans ce que je dis (peut-être me suis-je mal exprimé), mais une acceptation de celle-ci, car nous n'avons pas le contrôle sur la plupart des souffrances de ce monde. La souffrance fait partie intégrante de la vie. S'en prendre plain la gueule dans la vie nous fait grandir à condition d'avoir la flamme spirituelle en nous, sinon nous tombons dans l'égo et la souffrance ne devient plus une opportunité de s'élever spirituellement, mais devient destructrice.

La souffrance n'est ni bonne ni mauvaise, elle est le signe d'un manque et l'un de ces manques peut être clairement spirituelle.

Je sais que l'amour est aussi une forme qui permet de s'élever spirituellement, mais j'ai moins les mots pour l'expliquer de façon claire, car c'est un constat beaucoup plus personnel et métaphysique pour moi.

Je maintient ce que je dis sur l'élite : elle cherche à créer le bonheur de tous (du moins artificiellement) pour mieux nous contrôler puisque la souffrance est un facteur d'éveil et donc potentiellement de rébellion.

Merci d'avoir confirmer ce que je disais à propos des religieux dans mon post.

Voilà pourquoi j'ai arrêté de discuter avec vous, vous n'écoutez pas les gens.

Bonne continuation.

T'es fascinant comme bonhomme toi, je m'amuse de lire le topic en bon ghostfag que je suis, et la c'est trop, d'ou tu sors qu'ils sont religieux ? :rire:

Je n'appartiens pourtant à aucune religion :(

Non mais là c'est du délire j'ai bien rigolé mais le type se la joue connaisseur mais est incapable de prendre les critiques, c'est un gamin, franchement ce type dégoute de la spiritualité et je ocmprends pourquoi j'ai un mauvais apriori dessus

Oulà, tu n'as pas l'air serein mon khey, va méditer un peu ça va te faire du bien.

Je n'appartiens pourtant à aucune religion :(

Tu le sors d'où ce post, je ne le vois pas https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Joli pseudo nonobstant.

Le 05 août 2023 à 22:26:26 :

Le 05 août 2023 à 22:23:25 enculer2merde a écrit :

Le 05 août 2023 à 22:14:44 :

Le 05 août 2023 à 21:42:33 :

Le 05 août 2023 à 20:24:36 :
L'idée d'exaltation de la souffrance comme nécessaire pour élargir sa spiritualité et se rapprocher de dieu est dangereusement perverse et même potentiellement destructrice. C'est du masochisme spirituel, et le masochisme n'est pas une voie vers l'épanouissement mais plutôt un chemin vers la détérioration de l'épanouissement personnel et collectif.

L'argument selon lequel la souffrance est nécessaire pour apprécier le bonheur est une idée obsolète et fallacieuse qui n'a aucune base dans notre biologie, notre psychologie ou notre spiritualité. Nous sommes des êtres qui cherchent naturellement le bonheur, l'amour et la joie. Nous n'avons pas besoin de la souffrance comme contraste pour apprécier ces émotions positives. C'est aussi absurde que de dire que nous devons connaître la mort pour apprécier la vie. Ou bien de dire que nous devons boire du poison avant de savourer l'eau pure.

Les religions monothéistes, comme le christianisme, n'édictent pas non plus la souffrance comme une prérogative nécessaire à la proximité de Dieu. Jésus n'a pas prêché la recherche de la souffrance pour se rapprocher de Dieu, mais a plutôt prôné l'amour et l'aide aux autres.

L'idée de glorification de la souffrance a d'ailleurs souvent été utilisée pour justifier le patriarcat oppressif, l'esclavage, le colonialisme, et tout type de hiérarchie et de système de castes oppressifs. Glorifier la souffrance, c'est encourager l'acceptation passive de la brutalité et de l'injustice.

Dire que l'acceptation de la souffrance nous rend plus vivants est absurde et dénuée de toute rationalité. Les personnes qui ont vécu des expériences négatives intenses telles que le traumatisme ou la dépression se sentent souvent moins vivantes et sont déconnectées de leur envie de vivre.

Il est d'ailleurs largement documenté dans la littérature scientifique que des expériences négatives intenses comme le traumatisme ou la dépression peuvent entraîner une déconnection de l'envie de vivre. Par exemple, un symptôme courant de la dépression est l'anédonie, ou l'incapacité à ressentir du plaisir, c'est essentiellement une "déconnection" de la vie. Pareil pour le trouble de stress post-traumatique qui peut entraîner une détresse émotionnelle intense, une déconnection de la réalité et même des pensées suicidaires.

"L'élite n'essaye pas de nous rendre malheureux, mais bien au contraire, elle essaye à tout pris de nous rendre le plus heureux possible en nous abrutissant avec du divertissement et en satisfaisant nos envies les plus triviaux. Les élites savent très bien ce qui permet à l'homme de se rapprocher vers dieu"

Alors là, c'est la première fois que j'entends cela, et franchement, j'ai explosé :rire:

C'est absolument l'opposé total, ce bombardement constant de divertissement et de consumérisme est clairement un moyen par lequel les élites maintiennent leur contrôle et affirment leur domination. En nous laissant submerger par l'éphémère et l'insignifiant, ils nous gardent dans un état de passivité, d'acceptation et de relativisme, éloignés de la réalisation de notre potentiel spirituel et intellectuel. On voit d'ailleurs très bien les dégâts que ça fait en ces temps.

Les élites, en réalité, cherchent à nous détourner des voies plus profondes de la réalisation de soi et de la compréhension spirituelle. Tous leurs outils nous rendent plus manipulables, plus contrôlables, moins susceptibles de remettre en question et de défier le statu quo qui sert leurs intérêts. Leur devise est "diviser pour mieux régner", pas "diviser pour éveiller".

Observez notre société et les gens qui la composent, avez-vous réellement l'impression que toute cette aliénation rapproche les gens d'une quelconque spiritualité ?

Bref, glorifier la souffrance comme voie vers dieu est une déformation dangereuse de l'idée de la spiritualité et de l'humanité, et peut conduire à plus de mal que de bien. Je me suis senti obligé de répondre à cela car vous en faites la promotion sur le topic, et franchement j'ai déjà eu des dizaines d'heures de débat à ce sujet avec différentes personnes. Ce que j'ai constaté à propos des religieux, c'est qu'ils sont aveuglés par leurs dogmes et qu'il est impossible de leur faire entrevoir une autre fenêtre de pensée que ce pour quoi ils ont été conditionné depuis le départ.

Plus de détails quant aux religieux monothéistes :Les religieux sont conditionnés et enfermés dans une seule fenêtre de pensée. Ils sont très souvent éduqués, dès leur plus jeune âge, dans la religion qui est pratiquée par leur famille ou leur communauté. C'est un héritage familial ou culturel. Le conditionnement est alors très fort. Les enseignements religieux, les rites imprègnent leur esprit jour après jour, formant une vision du monde spécifique et déterminé. Ils sont entraînés à diviser le monde en deux : ce qui est conforme à leur doctrine et ce qui ne l'est pas. Ils sont donc enfermés dans une seule fenêtre de pensée, et ont beaucoup de mal à envisager d'autres perspectives ou d'autres interprétations du monde.
Les religieux pensent détenir la vérité absolue, tout ce qui n'entre pas dans leur corde est le mal. La religion, de par sa nature, prétend détenir la vérité absolue. Chaque dogme, chaque texte sacré, chaque rituel est présenté comme étant conforme à la loi divine, à la volonté du Créateur de l'univers. Les religieux, bel et bien enfermés dans leur fenêtre de pensée, pensent détenir la vérité et rejettent tout ce qui est en dehors de celle-ci comme étant le mal, ou, du moins, comme étant erroné.
Les religieux ne peuvent pas être objectifs car ils défendent simplement leur position. L'objectivité exige une vision large et équilibrée, capable d'évaluer toutes les perspectives et toutes les informations disponibles. Le problème est que les religieux, enfermés dans leur fenêtre de pensée et persuadés de détenir la vérité absolue, ne peuvent pas avoir ce genre de vision. Ils ne se posent pas de questions, ne remettent pas leurs croyances en question. Ils défendent simplement leur position, peu importe ce que les faits, la logique ou l'expérience peuvent dire.
Je parle principalement des religieux monothéistes, les autres sont bien plus ouverts d'esprits de ce que j'ai pu constater.
Albert Jacquard disait : "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude; il ne peut donc plus participer aux échanges; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet prêt à être manipulé. C'est là le péché fondamental des religions : faire des adeptes qui ne posent plus de questions. "
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche."

C'est une perte de temps phénoménale donc je vous prierai de ne plus parler de ça ici ou bien faites-en un topic si vous voulez parler des religions monothéistes.

Il n'y a aucune glorification de la souffrance dans ce que je dis (peut-être me suis-je mal exprimé), mais une acceptation de celle-ci, car nous n'avons pas le contrôle sur la plupart des souffrances de ce monde. La souffrance fait partie intégrante de la vie. S'en prendre plain la gueule dans la vie nous fait grandir à condition d'avoir la flamme spirituelle en nous, sinon nous tombons dans l'égo et la souffrance ne devient plus une opportunité de s'élever spirituellement, mais devient destructrice.

La souffrance n'est ni bonne ni mauvaise, elle est le signe d'un manque et l'un de ces manques peut être clairement spirituelle.

Je sais que l'amour est aussi une forme qui permet de s'élever spirituellement, mais j'ai moins les mots pour l'expliquer de façon claire, car c'est un constat beaucoup plus personnel et métaphysique pour moi.

Je maintient ce que je dis sur l'élite : elle cherche à créer le bonheur de tous (du moins artificiellement) pour mieux nous contrôler puisque la souffrance est un facteur d'éveil et donc potentiellement de rébellion.

Merci d'avoir confirmer ce que je disais à propos des religieux dans mon post.

Voilà pourquoi j'ai arrêté de discuter avec vous, vous n'écoutez pas les gens.

Bonne continuation.

T'es fascinant comme bonhomme toi, je m'amuse de lire le topic en bon ghostfag que je suis, et la c'est trop, d'ou tu sors qu'ils sont religieux ? :rire:

Merci du compliment :oui:

Discours typique des religieux monothéistes, mais bon, prouvez-moi que j'ai tort.

:rire: Je suis athée curieux, mais c'est pas avec toi que je vais changer d'avis

:rire: Je suis athée curieux, mais c'est pas avec toi que je vais changer d'avis

Tu fais ce que tu veux khey :ok:

Le 05 août 2023 à 22:30:51 :

:rire: Je suis athée curieux, mais c'est pas avec toi que je vais changer d'avis

Tu fais ce que tu veux khey :ok:

Te prouver que tu as tord ?

J'ai lu le topic entier parce que je me faisais chier, et t'as pleins de khey qui ce sont retenu de te détruire une bonne fois pour toute par gentillesse et t'es même pas foutu de te remetttre en question ou admettre que tu detiens pas forcement la vérité je pleures https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480094570-1474490303-risitas484.png

Le 05 août 2023 à 22:33:12 :

Le 05 août 2023 à 22:30:51 :

:rire: Je suis athée curieux, mais c'est pas avec toi que je vais changer d'avis

Tu fais ce que tu veux khey :ok:

Te prouver que tu as tord ?

J'ai lu le topic entier parce que je me faisais chier, et t'as pleins de khey qui ce sont retenu de te détruire une bonne fois pour toute par gentillesse et t'es même pas foutu de te remetttre en question ou admettre que tu detiens pas forcement la vérité je pleures https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480094570-1474490303-risitas484.png

Si tu avais lu le topic tu aurais justement remarqué que je précise à plusieurs reprises que je ne détiens pas la vérité absolue et que je dénonce ceux qui prétendent le contraire.

Joli personnage, mais tu te ridiculises.

Bon bref, j'ai assez feed, cesse de polluer le topic et va faire le clown ailleurs.

D'ailleurs, c'est un miracle que le topic tienne encore, je ne comprends pas :rire:

D'habitude quand je fais ce genre de topic, c'est 410 en 2 minutes et je me mange 5 pseudos ban en une journée :rire:

Je ne détiens pas n'ont plus la vérité absolue, peut-être que j'ai totalement tort. Mais j'avais envie de donner mon opinion vu qu'on est sur un topic qui aborde la spiritualité.

Données du topic

Auteur
EntiteParasite
Date de création
19 juillet 2023 à 12:54:55
Nb. messages archivés
863
Nb. messages JVC
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